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Journal de chimie-physique; t. X, n° 2; 1912

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241818

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241818

Submitted on 1 Jan 1912

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G. Roy

To cite this version:

G. Roy. Journal de chimie-physique; t. X, n° 2; 1912. J. Phys. Theor. Appl., 1912, 2 (1), pp.965-968.

�10.1051/jphystap:019120020096501�. �jpa-00241818�

(2)

965

W. MARCIïWALD. - Sur l’étalon international de radium. - P. i 32.

M. Marckwald met en doute la pureté du sel de radium obtenu par cristallisation fractionnée par M. Hônigschmid, sel qui a été com- paré à l’étalon préparé par Curie.

A. GRUMBACH.

JOURNAL DE CHIMIE-PHYSIQUE;

T. X, n° 2; 1912.

G. Contribution à l’étude de l’état des corps dissous . dans l’acide sulfurique absolu. - P.

L’étude des solutions de sulfate de potasse, de soude et d’ammo- niaque dans l’acide sulfurique pur a été poursuivie au moyen d’un

appareil spécial permettant des mesures cryoscopiques et des déter-

minations de conductibilité électrique. Le pouvoir ionisant de l’acide sulfurique absolu semble nettement établi, mais les résultats sont masqués par la formation de molécules complexes, dont la cons-

titution est difficile à déterminer.

WiTOLD BRONIEWSIII. - Sur la réduction du nombre des unités fondamentales.

P. 193.

Les trois unités fondamentales du système C. G. S. sont reliées à

la force par les deux équations qui expriment les lois de l’inertie et

de l’attraction newionienne ; cela permet d’éliminer la force et

d’exprimer l’une des unités fondamentales en fonction des deux autres. L’élimination de la masse semble logique, car elle appar- tient à la même catégorie que les autres grandeurs physiques ; l’es-

pace et le temps, au contraire, sont des propriétés qui peuvent être déterminées par rapport à un phénomène quelconque accessible à

nos sens. La masse est alors exprimée par l’équation :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019120020096501

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et l’unité de masse peut être définie : celle qui communiquerait par

sa force attractive une accélération égale à l’unité de longueur à

une masse égale et distante d’elle d’une unité de longueur. Les

unités dont les formules de dimensions ne contiennent pas la masse

ne seraientpas modifiées dans le systèmelongueur-temps ; les autres présentent de plus la particularité de ne pas contenir d’exposants

fractionnaires.

L. GAY. - Sur la notion de tension d’expansibilité. - P. 197.

Essai d’extensionde la notion de tension d’expansibilité d’un fluide

aux fluides à l’état gazeux. Cette tension est définie comme la

pression qu’aurait un constituant, à l’état idéal de gaz parfait et en équilibre osmotique avec le tluide considéré.

ERIK H XGGELUND. - L’hydrolyse dans les solutions alcooliques

et alcooliques aqueuses. - P. 207.

La validité de la loi d’Ostwald, toujours discutée dans le cas des solutions alcooliques, est cependant vérifiée pour un grande nombre

de substandes étudiées par l’auteur ; elle permet d’étendre la con-

naissance des coefficients de dissociation et des vitesses de migration

des ions à des corps insolubles dans l’eau. L’étude de la conducti- bilité des solutions dans l’alcool à 98 et à 80 0/0 montre que

l’hydrolyse des sels augmente avec la concentration en alcool.

K. JABLEZYNSKI et S. PRZE11ZI SIiI. - Sur les processus des systèmes hétéro- gènes. I. La vitesse de vaporisation de l’eau et des solutions aqueuses. - P. 241. - Il. La vitesse d’absorption, par la potasse caustique, de l’anhydride carbonique dilué dans un courant d’air. - P. 271.

Nernst, pour étudier la vitesse de réaction entre solide et liquide,

a imaginé que les solides étaient recouverts d’une couche liquide

immobile dans laquelle entre en jeu la diffusion. Les auteurs ont

envisagé une hypothèse analogue dans les réactions entre liquides

et gaz et montré que la considération de la vitesse de diffusion con-

duit encore à des formules vérifiées par l’expérience. Ils ont étudié

en particulier la vaporisation de l’eau et des solutions aqueuses sous

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967 l’influence d’un courant gazeux et le cas inverse d’une absorption

de gaz par une solution.

Dans le premier cas, le coefficient de diffusion li doit être élevé à

une puissance m plus petite que 1, pour tenir compte de la dif- fusion rétrograde (en sens inverse du courant gazeux). Dans le second, le coefficient K doit être élevé à une puissance n plus grande

que i, pour tenir compte de la diffusion en avant du gaz qui aug- mente sa pression partielle, cette dernière étude correspond au cas pratique des tours d’absorption et on a vérifié, en particulier, que le 0’0 de absorbé ne dépend pas de la concentration gazeuse, toutes choses égales d’ailleurs.

SERGE KEtAPIVINE. - Recherches sur la vitesse de formation de l’acétothiosulfate de soude. - P. 289.

I,a vitesse de formation de l’acétothiosulfate de soude par l’action d’une solution aqueuse de thiosulfate de soude sur une solution de monochloracétate de soude est influencée par la présence des par- ties non dissociées des sels constituants. La constante de la réaction bimoléculaire diminue quand la dilution croît, augmente en présence

de l’hyposulfite de soude, des chlorures, bromures et iodures de sodium et du sulfate de soude.

A.-F.-0. GERMÂNN et ETTOITE CARDOSO. - Sur une pompe à mercure,.

Type de laboratoire. - P. 306.

Cette pompe dérive de la pompe de Toppler, récemment modifiée

par Antroppof ; elle est entièrement en verre soudé et peut être construite en quelques heures dans un laboratoire.

NI -H. GOLBLUNI et 1B11118 L. Etude sur l’ordre de réaction entre les acides iodhydrique et chromique. - P. 310.

Cette réaction en l’absence d’acides étrangers est du quatrième ordre ; cette conclusion n’eat pas modifiée par la présence des pro- duits de réaction, tels que l’iode libre, ou de sels minéraux. Elle devient du troisième ordre en présence d’un grand excès d’acide

chlorhydrique.

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PH.-_B. I. KOVACS et E. WOURTZEL. - Recherches sur la densité de l’air atmosphérique à Genève en février, mars et avril 1910. - P. 332.

Les mesures antérieures à 1888 sont entachées d’erreurs variables dues à la contraction des ballons par le vide, erreurs signalées

alors par lord Rayleigh. La méthode du ballon a été appliquée dans

toute sa rigueur à trente déterminations d’échantillons pris à des époques différentes, et la densité a été rapportée à celle de l’oxy- gène mesurée au moyen des mêmes ballons. La moyenne journa-

lière paraît exacte à 2 unités près de la 4e décimale, et il semble

bien qu’il y ait de faibles variations avec les époques, se traduisant

par une diminution de la densité en relation avec un maximum relatif de pression, et correspondant à une diminution de la teneur en

oxygène. On a obtenu 1,29275 et 1,2933, la moyenne des trente déterminations étant 1,2930. Des prises d’air faites dans des stations

variées, le 19 mai 1910, jour du passage de la comète de Halley à

la distance minimum de la Terre, n’ont pas encore été étudiées

complètement.

G. B)1_lJlBIE. - La chimie physique en 1911. Revue. - P. 354.

G. Roy.

ZEITSCHRIFT FUR PHYSIKALISCHE CHEMIE;

T. LXXIX.

PLOTB IhOW. - Études photochimiques. - P. 641-656.

Ce sixième travail du même auteur se rapporte à la distribution

spectrale de la sensibilité lumineuse du brome. Comme pour l’iode,

la sensibilité passe par un rnaximum pour le bleu. Le brome possède

deux bandes d’absorption photochimique en partie superposées et

une bande d’absorption thermique. Deux grandeurs photochimiques qui paraissent être caractéristiques sont le coefficient de température photochimique et la longueur d’onde qui correspond au maximum de

sensibilité.

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