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SORET ET E. SARASIN. — Sur la polarisation rotatoire du quartz; Archives des Sciences physiques et naturelles, t. LIV, p. 253, 1875

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237161

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237161

Submitted on 1 Jan 1876

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SORET ET E. SARASIN. - Sur la polarisation rotatoire du quartz; Archives des Sciences physiques et naturelles,

t. LIV, p. 253, 1875

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. SORET ET E. SARASIN. - Sur la polarisation rotatoire du quartz; Archives des Sciences physiques et naturelles, t. LIV, p. 253, 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.156-158.

�10.1051/jphystap:018760050015601�. �jpa-00237161�

(2)

I56

versé un

grenier rempli

de

paille,

et la ferme et les récoltes ont

été incendiées.

Il aurait fallu ou

placer

la mare à côté du

peuplier,

ou munir la

partie

inférieure de ce

peuplier

d’une forte

tige

de métal communi-

quant,

de manière ou

d’autre,

avec la mare : on aurait eu dans ce

cas un excellent

paratonnerre.

En

résumé,

les

propriétaires

de bâtiments

qui

ne les ont pas pourvus de

paratonnerres spéciaux

et

qui

considèrent ces maisons

comme

garanties

par des arbres voisins élevés feront bien d’armer les troncs de

tiges

de fer

qui,

arrivées au

sol,

devront être conti-

nuées

jusqu’à

une

fontaine,

un

réservoir,

un

puits

ou enfouies pro- fondément dans un sol constamment humide.

SORET ET E. SARASIN. 2014 Sur la polarisation rotatoire du quartz; Archives des Sciences physiques et naturelles, t. LIV, p. 253, I875.

Les auteurs ont

appliqué

leur

spectroscope

à oculaire fluores-

cent

(1)

à l’étude de la

polarisation

rotatoire du

quartz

pour les rayons ultra-violets. Leurs observations s’étendent

jusqu’à

la raie

N;

elles sont résumées dans le tableau suivant :

(1) Voir Journal de Physique., t. III, p. 253.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050015601

(3)

I57 Les nombres obtenus pour la

partie

visible du spectre sont

parfai-

tement d’accord avec ceux

qui

avaient été obtenus par :1B1. Stefan

(1);

la

légère

différence

qu’ils présentent

tient à ce que les

expériences

actuelles ont été faites à une

température

de 20

degrés environ,

su-

périeure

à celle à

laquelle

se

rapportent

les nombres de M.

Stefan;

cette différence est dans le sens de la v aria tion du

pouvoir

rotatoire

observée par M. von

Lang (2)

et du même ordre de

grandeur.

Les nombres contenus dans la

quatrième

colonne du tableau

précédent

ont été calculés par la formule de M. Boltzinann

(3)

La formule ordinaire

ne

s’applique plus

exactement aux rayons ultra-violets.

E. BOUTY. e

F. KOHLRAUSCH. 2013 Ueber Thermo-El el,,tri citât, Warn1e-und Elek1ricitatleHung (Sur

la thermo-électricité et la propagation de la chaleur et de l’électricité); .Annales de

Poggendorff, t. CLYI, p. 6or ; 1875.

Ceci est un essai de théorie des

phénomènes thermo-électridues ;

M. Kohlrausch admet

qu’il

existe une différence de

potentiel

entre

deux

points

de la même substance à

températures différentes,

et il

l’attribue à ce

qu’un

flux de chaleur doit être

toujours accompagné

d’un flux

d’électricité,

et

réciproquement.

Si a

représente

la quan- tité d’électricité entraînée par l’unité de

chaleur, q

et K les conducti- bilités

calorifiques

et

électriques

d’un

conducteur,

à une chute ll- Ut

de

température

devra

correspondre

une

chute V - V1

=

(it - u,)

de

potentiel:

le

facteur ai

est la constante thermo -

électrique

du

corps; nous la

représenterons

par 03B8. On en déduit facilement que la

force

électromotrice totale d’un circuit

composé

de deux mètaux est

(1) Pobb Ann., t. CXXII, p. I3I.

Voir Journal de Physique, t. V, p. 35.

(3) Donnée dans les Ann. de Pogg., Jubelband, p. t 28.

(4)

I58

(0

2013

03B8’) (it - u, ), 0

et 0’ étant les constantes des deux

métaux, u

et Ut les

températures

des soudures.

On a admis que,

réciproquement,

un flux d’électricité entraînait

un flux de chaleur. Un courant traversant un circuit

bimétallique dégagera (ou absorbera)

donc aux soudures une

quantité

de cha-

leur

égale

à l’excès d’un des flux sur

l’autre,

et, si l’on suppose

qu’au

flux i

corresponde

un flux

calorifique C0i,

C étant constant pour

tous les

métaux,

la chaleur

dégagée

oit absorbée à

chaque

sou-

dure sera C i

(e 2013 03B8’),

résultat entièrement conforme à

l’expérience.

Si un courant passe dans un fil

homogène

dont la

température

varie d’un

point

à un autre, le

potentiel,

au lieu d’être distribué

comme la loi de Ohm

l’indique,

varie suivant la loi suivante : dr étant la résistance d’un élément du

fil,

du la différence de

trempé-

rature, la variation dV du

potentiel

sera i dr +

Odit,

et la cha-

leur

produite

pat- le passage de la

quantité

i d’électricilé sera

i2 dl" + i

03B8du,

variable par

conséquent

avec le

signe

de

du,

ce

qui explique

les

phénomènes

découverts par M. Thomson. et étudiés par M. Le Roux.

La constante 0

peut

varier avec la

température

du métal : la force électromotrice d’un circuit

bimétallique

est alors

elle ne

dépend

donc que de la nature des

métaux,

des

températures

des

soudures,

et non de la distribution des

températures

dans le

circuit;

mais elle ne sera

plus proportionnelle

à u, - Zl2. En suppo-

sant

simplemelit 03B8

=

80 + 03BBu,

cette force électromotrice devient

formule

qui

suffit pour rendre

compte

des

pheno17zènes d’inversion

des courants

therlno-électriques.

Il

n’y

a donc pas de

raison, d’après l’auteur,

de chercher dans les

phénomènes

découverts par Peltier une mesure de la force électro- motrice dite de coj2tact, ni la preuve d’une

différence brusque

de

potentiel

des deux côtés d’une soudure.

A. POTIER.

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