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Sur la déviation des lignes équipotentielles et la variation de résistance du bismuth dans un champ magnétique

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238613

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238613

Submitted on 1 Jan 1886

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Sur la déviation des lignes équipotentielles et la variation de résistance du bismuth dans un champ magnétique

A. Leduc

To cite this version:

A. Leduc. Sur la déviation des lignes équipotentielles et la variation de résistance du bis- muth dans un champ magnétique. J. Phys. Theor. Appl., 1886, 5 (1), pp.116-126.

�10.1051/jphystap:018860050011601�. �jpa-00238613�

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II6

suffit que l’on ait l’inébalité

Considérons un corps avec lequel l’eau se raccorde sous un angle aigu, mais sans mouiller ce corps. On aura alors, en vertu de l’iné- galité (3) et de l’égalité (4),

Le corps considéré ne sera donc pas hygrométrique s’il pré-

sente une surface lisse; mais, si K est suffisamment grand, on

pourra avoir

Donc, tout corps avec lequel l’eau se raccorde sous un angle aigu lorsqu’il présente une surface lisse pourra devenir hygro- métrique si sa surface est criblée de cavités suffisammen t petites

et suffisamment nombreuses.

On voit donc que la Thermodynamique permet d’expliquer les propriétés les plus saillantes des corps hygrométriques et met de plus en évidence certaines corrélations inattendues entre ces pro-

priétés et la valeur de l’angle de raccordement de l’eau avec le corps considéré (1).

SUR LA DÉVIATION DES LIGNES ÉQUIPOTENTIELLES ET LA VARIATION DE RÉSISTANCE DU BISMUTH DANS UN CHAMP MAGNÉTIQUE;

PAR M. A. LEDUC.

Les expériences dont je vais rendre compte ont eu pour but de

remplacer la formule grossièrement approchée D = k M( 1 - at)

(1) Dans

un

Mémoire dont la publication est postérieure à la rédaction de la

présente Note, et dont

un

résumé étendu a par u dans ce volume (p. 83),

M. Bunsen a démontré expérimentalement que l’eau formait à la surface du verre, dans

une

atmosphère

non

saturée, une couche liquide très mince dont il a

pu évaluer l’épaisseur. L’accord qui existe entre les phénomènes étudiés par 31. Bunsen et les prévisions de la théorie fournit une heureuse confirmation de . cellc-ci.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018860050011601

(3)

II7

que j’avais indiquée dans un précédent travail (1) par une autre

plus exacte et de déterminer à 1 ou ’2 près le coefficient k pour le-bismuth.

Disposition des expériences.

J’ai opéré sur une lame de bismuth de 54mm de longueur, de

32mm de largeur, et dont l’ëpaisseur moyenne calculée d’après sa

résistance serait de omm,0233.

Soient A, B, G, H les milieux des côtés de la lame. Deux pinces

fixées en A et B servent d’électrodes au courant qui traverse le

métal dans le sens de la longueur. Deux autres pinces fixées en

G et H, mais isolées du métal au moyen de mica, portent de petits

ressorts dont les extrémités, munies de têtes arrondies, viennent s’appuyer en deux points E et F de la ligne GH. Ces deux points

sont sensiblement au même potentiel. Le tout plonge dans une

cuve étroite remplie d’eau distillée, afin d’atténuer le plus possible

l’échauffement dû au courant qui traverse la lame. Cette cuve est placée entre les armatures d’un électro-aimant distantes de onl, 03.

J’ai vérifié que le champ est sensiblement uniforme dans la région occupée par la lame. Il s’élève à 10 000 C.G.S. lorsqu’on anime

l’électro-aimant par un courant de 38 ampères.

Soit D la déviation que subit la ligne équipotentielle passant

par E dans un champ magnétique d’intensité M, à la température

1°, et représentons par d la distance EF, par p la résistance de la lame par centimètre de longueur, et par 1 l’intensité du courant

qui la traverse. Il s’établira entre les deux points E et F une diffé-

rence de potentiel e donnée par la formule

e

=

1 p dtang D.

Cette différence de potentiel est mesurée par la méthode de ré- duction à zéro, au moyen de l’électromètre de M. Lippmann.

Afin d’éviter la correction due au magnétisme rémanent et de

doubler l’effet à mesurer, j’ai toujours opéré par renversement du

magnétisme de l’électro-aimant.

(’ ) Voir Journal de Physique) 2e série, t. III, p. 133.

(4)

II8

Variations de la résistance du bismuth.

Remarquons d’abord que la résistance varie avec la température

et aussi avec l’intensité M du champ, ainsi que je l’ai observé pour la première fois il y a deux ans.

Pour étudier ces varialions, j’ai employé deux méthodes qui

m’ont donné des résultats bien concordants. Dans une première

série d’expériences, la lame était placée dans l’une des branches d’un pont de Wheatstone; dans une autre séries ai observé la dif-

férence de potentiel établie entre deux points situés sur la ligne

AB par un courant d’intensité donnée.

Voici, par exemple, des nombres tirés de deux expériences ; r désigne la résistance en unités britanniques d’une longueur de 19m, 5 de la lame ci-dessus.

Les résultats que j’ai obtenus ont été bien représentés par des formules paraboliques de la forme

et j’ai trouver pOLir les coefficients a, b, c, p, q, les valeurs moyennes suivan tes :

La résistance po de la lame par centimètre de longueur à hors

du champ magnétique est, d’après ces expériences, OUB,0183.

Phénomène de Hall.

L’angle D ne dépasse pas 5°; on peut donc remplacer la tangente

par l’angle lui-même.

(5)

II9

Admettons que les variations de résistance étudiées ci-dessus soient indépendantes l’une de l’autre et posons

nous pouvons écrire

Il ne reste plus qu’à étudier la fonction Ô. Trois séries d’expé-

riences ont été faites, afin d’établir l’influence de l’intensité 1B1 du

champ magnétique, de la température t° et de l’intensité 1 du cou- rant qui traverse la lame.

J’ai fait varier en outre d. Bien que l’expression 8 m’ait paru

indépendante de cette grandeur, je me propose de répéter ces ex- périences sur un nouvel échantillon de bism uth, afin d’éviter les perturbations que peut produire le défaut d’homogénéité de cette lame, qui a servi à de nombreux essais.

io Variation de M. Dans une première série d’expériences,

la température 10 et l’intensité 1 sont restées sensiblement inva-

riables, tandis que l’intensité du champ magnétique s’est élevée

de 100o à 9500 C. G. S.

Dans le Tableau ci-après, extrait de l’une de ces expériences,

la différence de potentiel e est mesurée en unités arbitraires; pour l’obtenir en volts, il suffira de multiplier les nombres inscrits dans

cette colonne par 1,1; 20000 + e 1 intensité 1 est exprimée en ampères

elle est mesurée par la différence de potentiel prise aux extrémités

d’un gros fil dont la résistance est o,0863. L’intensité du magné-

tisme est mesurée au moyen du magnétométre à mercure précé-

demment décrit (1 ).

(1) Conzptes rendus des séances de l ’Académie des ,Sciences du 28 juillet 1884.

(6)

120

J’ai tracé une courbe en prenant comme abscisses les valeurs du champ et pour ordonnées celles de y Cette courbe est bien

représentée par l’équation

dans laquelle

On volt, en effet, dans la dernière colonne que l’expression

d x 10-7

d1 = M(1 - ocM + (3M2) est sensiblement constante ; ses variations peuvent être attribuées à la différence des températures auxquelles

sont faites les diverses lectures.

° Variation de 1.

-

Dans une expérience ou j’ai maintenu

constantes, autant que possible, J’intensité du champ et la tem- pérature, j’ai obtenu les nombres suivants :

Les nombres de la dernière colonne s’élèvent légèrement en même temps que 1 augmente; mais la différence de i pour i oo qui existe

entre le premier et le dernier de ces nombres peut être attribuée à

(7)

I2I

l’échauffement que subit la laine traversée par le courant, quoi- qu’elle soit plongée dans l’eau. Il suffit, en effet, d’une élévation de température de pour produire une semblable augmentation.

Nous admettrons donc que la déviation D est absolument indépen-

dante de l’intensité 1.

3° Variation de to.

-

Enfin plusieurs expériences ont été

faites avec des valeurs différentes de M, dans lesquelles j’ai fait

varier la température entre et 7oO. J’ai consigné dans le Tableau ci-dessous les valeurs de d1 , calculées au moyen de la formule pré-

cédente.

Ces résultats sont bien représentés par la formule dans laquelle

Conclusion.

On peut donc représenter 1 par la formule suivante

et, par suite,

ou enfin

formule dans laquelle les constantes ont les valeurs suivantes :

(8)

I22

Cette formule montre que D atteint 5° environ dans un champ égal à i o ooo. Elle n’est pas applicable au delà. On voit aussi que la déviation D est maxima à la température de 49°.

Remarque 1. - M. Hall appelle pouvoir rotatoire magnétique l’expression

dans laquelle z désigne l’épaisseur de la lame, et il attribue à ce

coefficient pour le bismuth la valeur 858 X iow 1.

On remarquera que R varie avec la température et l’intensité

magnétique. Désignons, en effet, par p, la résistance spécifique du bismuth, exprimée en ohms ; on voit que

et, si l’on adopte pour p, la valeur donnée par M. Mathiessen,

1312. X iow, on a, d’après l’expérience ci-dessus,

Eu égard à la température, on voi t que R prend une valeur maxima vers 29°.

La valeur de R est toujours inférieure à 240 X 10-11 et devient trois fois plus petite dans un champ égal à 15 000. Le coefficient donné par M. Hall serait donc beaucoup trop fort. Je me propose d’examiner si une pareille différence peut tenir à quelque parti-

cularité de l’échantillon du métal employé.

Quelques expériences sur l’antimoine m’ont donné pour le coef- ficient k la valeur 44 x i o-8, que je crois exacte à i o pour 100

près. Il en résulte que R doit rester inférieur à 16 X 10-12.

M. Hall donne à ce coefficient une valeur sept fois plus forte

Remarque Il.

-

On a vu plus haut que la résistance du bis- muth peut augmenter de 16 pour 10o de sa valeur dans un champ magnétique égal à 1oooo C. G. S.

Cette augmentation de résistance est due en partie à la déviation

des lignes équipotentielles ; la résistance doit être multipliée, en

(9)

I23

effet, par ’ - Mais il est facile de voir que ce coefficient ne dé-

cos D

passe pas ici i,oo5. Il faut donc chercher l’explication de ce phé-

nomène dans le changement de structure du métal qui produit

aussi la déformation du champ électrique de la lame.

Quoi qu’il en soit, je me suis proposé d’étudier cette variation

sur des échantillons de bismuth préparés de diverses manières,

afin de l’appliquer à la mesure des champs magnétiques.

Je n1e bornerai à indiquer ici que la formule parabolique adoptée plus haut doit être remplacée, si l’on veut dépasser les limites

entre lesquelles elle a été établie, par la formule hyperbolique

dans laquelle z est le rapport rn - ro, ro e t d et (3 des constantes que l’on devra déterminer au moyen de deux expériences. Cela fait,

on calculera aisément l’intensité M du champ qui produit une

variation donnée de la résistance par la formule

E.-H. HALL. - On the rotation of the equipotential lines of an electric current by magnetic action (Rotation des lignes équipotentielles dans

un

champ ma- gnétique) ; Phil. Mag., 51 série, t. XIX, p. 4rg; 1885.

M. Hall a repris depuis z 883 un certain nombre de ses premi ères expériences (1), en y apportant plus de précision. En particulier,

il prend le soin, ainsi que j’en ai indiqué moi-même la nécessité (2),

de plonger la lame sur laquelle il opère dans une cuve étroite remplie d’eau que l’on peut renouveler. La lame, collée sur verre

au moyen d’un mélange de résine et de cire d’abeilles, a, en général,

0m,01 de large et 0m, 03 de long.

L’intensité magnétique M est déterminée au moyen d’une petite

bobine que l’on enlève subitement du champ magnétique et qui

(1) Journal de Physique, 2e série, t. II, p. 5og.

(2 ) Comptes rendus) 17 mars 1884.

(10)

I24

est reliée à un galvanomètre balistique. Le courant longitudinal C

dans la lame est mesuré par une boussole des tangentes, et le

courant transverse par un galvanomètre de Thomson dont la con- stante est déterminée fréquemment au moyen d’un courant connu.

Les résultats sont donnés en unités absolues ; mais on peut

constater entre certains nombres déterminés dans des conditions

identiques des différences atteignant 6 pour i oo. D’ailleurs, cer-

taines erreurs peuvent affecter les mesures : on connaît imparfai-

tement :

1 ° L’épaisseur des lames (l’erreur peut atteindre 5 pour 100);

2° La surface du toron qui sert à mesurer l’intensité magnétique ;

3° L’intensité de la composante horizontale du magnétisme ter-

restre ;

40 La constante du galvanomètre;

5° L’effet exercé par l’électro-aimant sur le galvanomètre de

Thomson (à la distance de 5o pieds).

1° Cuivre) zinc et leurs alliciges.

-

L’auteur a étudié six

feuilles dont l’épaisseur était comprise entre omm, 03 et 0mm, 1 et

dont la composition a été déterminée avec soin. Le champ magné- tique est resté compris entre 5560 et 6210.

Soient E la différence de potentiel que prennent les électrodes

parasites dans le champ magnétique, D l’épaisseur de la lame de

métal; le pouvoir rotatoire R est défini par DE . CM M. Hall obtient

les résultats suivants :

(11)

I25

On voit que les pouvoirs rotatoires du cuivre et du zinc sont

contraires, et que les alliages présentent un pouvoir rotatoire

intermédiaire entre ceux de leurs composants. Mais le pouvoir

rotatoire de chacun de ces alliages est plus voisin de celui du

cuivre qu’il ne devrait l’être si chacun des composants conservait dans l’alliage son pouvoir rotatoire particulier.

2° Fer et acier.

-

NI. Hall soumet à l’expérience une lame de

fer doux dont l’épaisseur est de 0mm, 041. Contrairement à l’opinion qu’il avait émise autrefois, le pouvoir rotatoire de ce métal paraît

varier fort peu avec M ; celui du nickel, au contraire, diminue considérablement pour les grandes intensités magnétiques.

Le pouvoir rotatoire de l’acier non trempé vaut une fois et demie,

et celui de l’acier trempé 4 fois celui du fer doux.

Une partie de I’effet produit sur l’acier est perlnanente; on peut l’évaluer à 5 pour 100 pour l’acier non trempé et i -L pour ioo seu- lement pour l’acier trempé.

Le fer, ainsi que l’oh, n’ont donné aucune trace d’effet permanent.

3° Bislnuth) ccnttmotne, etc. M. Hall a opéré sur une lame

de bismuth dont l’épaisseur était de inlnl environ et sur une plaque

d’antimoine de 1mm, 2. Ses résultats relatifs au bismuth concordent

avec ceux que M. Righi et moi-même avons publiés antérieure-

ment (1 ).

40 Influence de la température. - D’après un petit nombre

d’observations faites entre i°, 3 et 28°,7 et qui d’ailleurs concor-

dent souvent assez peu (voir le Tableau ci-dessus), M. Hall croi t

pouvoir établir que pour les métaux non magnétiques, tels que le cuivre et le zinc, le pouvoir rotatoire diminue légèrement lorsque

la température s’éiève ; il augmenterait, au contraire, pour les mé-

taux magnétiques :

De 1 pour 100 par degré centigrade pour l’acier,

De ) pour ioo par degré centigrade pour le fer et le nickel,

De i pour 100 par degré centigrade pour le cobalt.

(’ ) Journal de Physique,

mars

1884.

(12)

I26

Réslllné.

-

D’après ses dernières expériences, M. Hall donne

comme pouvoirs rotatoires de divers métaux à 20° les nombres suivants:

N. B. - L’auteur ajoute quelques arguments à la réfutation de

la théorie de M. Bidwell. A. LEDUC.

R.-H.-M. BOSANQUET. 2014 On the supposed repulsion between magnetic lines of

force (Sur la répulsion supposée entre les lignes de force magnétiques); Phil.

Mag., 5e série, vol. XVIII, p. 494; I885.

On sait que deux aiguilles aimantées placées côte à côte, les pôles dirigés dans le même sens, se repoussent. Faraday admet,

pour expliquer ce phénomène, la répulsion entre lignes de forces parallèles.

Or un anneau de fer aimanté par un courant qui parcourt un fil enroulé régulièrement sur lui n’exerce à l’extérieur aucune

action, quoiqu’il soit le siège de lignes de forces circulaires d’une

grande intensité. Deux semblables appareils, suspendus l’un près

de l’autre parallèlement, ne doivent donc montrer aucune répul-

sion mutuelle. C’est ce que vérifie l’auteur au moyen d’anneaux

assez réguliers pour ne présenter qu’une polarité négligeable. On

peut faire commencer ou cesser le courant dans les bobines, ou

l’inverser sans que l’on puisse constater aucun mouvement d’ap- proche ou d’éloignement.

La répulsion dans l’expérience de Faraday doit être liée au chan-

gement survenu dans la distribution des lignes de force, change-

ment qui ne peut se produire dans l’expérience de M. Bosanquet.

A. LEDUC.

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