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Septembre 1907 Bureaux : R u e de l a S e r r e , 5 8

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Vingt-deuxième Année. — N° 69 P r i x d u n u m é r o : 1 0 centimes

Dimanche 1

e r

Septembre 1907 Bureaux : R u e de l a S e r r e , 5 8

LAtEDMOTMOmm

S U I S S E >md-

ABONNEMENTS

Un an Sil mois :

Suisse . . . . Fr.6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

Les abonnements étrangers se paient d'avance.

Paraissant le Jeudi et Is Dlnuug i ja Cbaox-ds-Foiicli On s';ibomie a tous les bureaux de poste.

ANN0N6ES

suisses 20 d., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 49, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Instruction

On ne se doute pas dans ce qu'on appelle le monde bourgeois des propos haineux

tenus dans certains milieux populaires : il n'est rien moins question que de tout cham- barder et d'en unir au plus tôt avec les bourgeois et les patrons, je passe les épi- thètes.

Ces sentiments et ces cris de haine ne servent pas à résoudre les ditlicultés so- ciales; mais contribuent au contraire à les aggraver.

Q u a n d les passions de l'homme sont surexcitées, l'homme est incapable de ju- ger sainement les questions, il est forcé- ment de parti-pris. Il ne pense plus qu'à d é t r u i r e ; il n'est plus dans l'état d'équili- bre nécessaire pour reconstruire. Voilà pourquoi les politiciens qui excitent les mauvaises passions humaines sont vrai- ment coupables. Ils ne se rendent pas compte du mal qu'ils font ; ce serait leur seule excuse.

Ce dont ils peuvent être assurés, c'est qu'une fois les instincts brutaux de l'hom- me déchaînés, on verra les ruines s'amon- celer. Voilà pourquoi l'instruction des masses est indispensable, mais une instruc- tion pratique, qui apprenne à raisonner avec sang-froid et bon sens sur des bases solides.

La première chose à connaître, ce serait l'histoire de l'industrie et du commerce depuis l'époque la plus reculée, où les premiers essais de production ont été ten- tés, jusqu'à nos jours. Il y a là une étude très intéressante et très importante à faire;

c'est le moyen d'apprendre quelles ditli- cultés il faut vaincre avant d'atteindre la perfection industrielle aussi bien au point de vue de la production que de l'organisa- tion intérieure et de la distribution des bénéfices. Les progrès se font lentement et si on se reporte vers des siècles en ar- rière, on est étonné des changements réa- lisés. De l'esclavage on est passé au servage, puis au salariat et nous arrivons au travail associé.

Aristote classe les esclaves parmi les ins- truments de p r o d u c t i o n : « I l y a des ins-

truments avec des âmes et des instruments sans âme. » « Cependant, dit-il, les âmes de ces instruments ne sont pas faites com- me celles de leurs maîtres. » « Ce sont des âmes sans volonté. » UJpian le stoïque, parle « des esclaves et des autres animaux».

Marc Aurèle les classe parmi les bestiaux ! Ces temps ne sont plus — heureusement !

— Déjà, avec le salariat, les hommes sont libres et peuvent imposer leurs conditions au patronat ; avec le .travail associé, vers lequel nous marchons, tous les hommes sont égaux, et les classes disparaissent.

Les hommes ne se distingueront plus les uns des autres q u e par leur degré d'in- telligence ou de moralité.

L'instruction civique rentre encore dans l'éducation nécessaire à d o n n e r à tous les citoyens. Combien peu d'hommes connais- sent les devoirs des citoyens les uns en- vers les a u t r e s ? Combien peu respectent la propriété de la collectivité? Avec quelle facilité on trompe l'Etat?

Les coopérateurs et les trade-Unionisles anglais font tous leurs ellorts pour répan- dre une instruction pratique parmi leurs partisans. Les coopérateurs, seuls, dépen- sent dans ce but, plus de deux millions de francs sur les 250 millions de bonis qu'ils recueillent chaque année.

C'est peu de chose encore pour eux que deux millions ; aussi pensent-ils verser une somme plus importante dans la caisse pour le développement de l'éducation coopéra- tive.

Pourquoi ne chercherions-nous pas, nous aussi, à instruire nos coopérateurs d'une manière intelligente, non pas en leur débi- tant des discours ronflants, où on les berne de rêves irréalisables, mais en leur faisant suivre un programme pratique.

Les llalteurs sont toujours à c r a i n d r e ; ils étaient néfastes sous le règne des rois ; ils ne le sont pas moins sous le règne des masses.

Apprenez que tout flatteur

Vil aux dépens de celui qui l'écoute, a dit le bon Lafontaine.

Sans doute, tout homme véridique, fer- me dans ses opinions parce qu'ils les aura longuement étudiés, sans parti pris, ne

sera jamais populaire, fut-il le plus désin- téressé de tous les hommes.

Mais qu'importe ! Il serait à désirer qu'il y eût beaucoup de ces hommes de carac- tère, pour relever l'état social et moral du pays.

Les menaces de grèves générales, de chambardement, les usines brûlées et pil- lées, les soldats lapidés n'ont eu d'autre effet que de faire fuir les capitaux à l'étran- ger et d'arrêter l'essort de notre industrie, tandis qu'elle se développe d'une manière considérable en Angleterre, en Allemagne et môme en Suisse !

Veut-on en arriver au m o m e n t où les ingénieurs et les industriels iront fonder des industries à l'étranger? Il y en a déjà quelques-unes.

Ces réflexions pessimistes doivent n o u s faire réfléchir. Il aurait été si facile, il y a quelques années, au l

e i

Congrès, en 1885, si les coopérateurs l'avaient voulu, de s'en- tendre sur un programme commun.

Celte transformation de l'état compétitif en état coopératif, où le salariat aurait été remplacé peu à peu par le travail associé, pouvait se faire sans bruit, sans effrayer personne, et sans soulever d'autres protes- tations de la part des commerçants et des industriels, que celles déjà lancées contre les trusts, les grands magasins, les grands bazars, et les industries créées par des so- ciétés anonymes. •

Puisque les petits magasins et les petites industries doivent être mangés — ils ont à choisir entre la sauce compétitive et la sauce coopérative. Il est plus moral que ce soit à la sauce coopérative.

Actuellement, nous considérons comme fâcheux la politique suivie par beaucoup de socialistes : celle d'exciter les classes les unes contre les autres. A notre avis, c'est préparer, n o n pas un état social meilleur, mais une lutte finale désastreuse.

O n a beaucoup moins raison de parler

de classes en France qu'ailleurs. Dans au-

cun pays les fortunes ne sont aussi divi-

sées. O n voit des travailleurs manuels dont

le père ou le grand-père possédait un châ-

teau ; et d'un autre côté on rencontre sou-

vent des hommes qui occupent les plus

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554 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E h a u t e s s i t u a t i o n s d a n s le g o u v e r n e m e n t , e t

d o n t le p è r e était u n s i m p l e p a y s a n o u u n m a n œ u v r e .

Il s'agit d e faciliter e n c o r e d a v a n t a g e c e t t e fusion d e s c l a s s e s e t l ' a c c è s à la p r o - p r i é t é p a r le t r a v a i l . C'est p r é c i s é m e n t ce q u e n o u s d é s i r o n s e t ce q u e p e u t faire la c o o p é r a t i o n d ' a p r è s les p r i n c i p e s d e R o c h - d a l e .

(L'Emancipation) D E B O Y V E .

Le temps décimal devant le Congrès de géographie à Bordeaux

La ville de Bordeaux a reçu le 28m e Con- grès national des Sociétés de Géographie, à l'occasion de son intéressante Exposition maritime du centenaire de la navigation à vapeur.

Notre sympathique collaborateur, M. de Rey-Pailhade, a défendu une fois de plus la cause de la décimalisation du temps el d e l'angle.

Nous sommes heureux de reproduire d'après La Petite Gironde l'impression de l'assemblée :

M. de Rey-Pailhade, de Toulouse, traite le sujet s u i v a n t : « O b s e r v a t o i r e universel international». Il voudrait voir, dit-il en r é s u m é , l'application du système métrique à la mesure des angles et du temps. Il in- dique les inconvénients que s u p p o r t e n t les observatoires actuels, aussi bien celui de Greenwich que celui de Paris. Celui de Greenwich notamment, est entouré d'usi- nes d o n t les trépidations, les fumées nui- sent à son fonctionnement. Un observa- toire qui, d'après M. de Rey-Pailhade, pourrait être choisi, est celui du Mont Gros, dans les Alpes-Maritimes.

L e s conclusions de M. de Rey-Pailhade sont :

1° Unification des longitudes par le choix d'un méridien universel passant par un observatoire international pour la m a r i n e ;

"1° Emploi de la division décimale d u q u a r t de cercle p o u r l'indication des lati- tudes et des longitudes.

La communication de M. de Rey-Pail- hade, aussi convaincue que savante, a valu à son auteur de sérieuses félicitations, no- tamment de la part de M. Franlz-Schrader qui, après avoir fourni quelques explica- tions complémentaires, a dit que la réfor- me souhaitée par M. de Rey-Pailhade, ne tarderait pas à aboutir.

Il résulte donc d'après le savant carto- graphe Schrader que bientôt les caries seront graduées décimalement.

Les i n s t r u m e n t s de mesures de temps gradués en 100 ou 400 parlies égales par j o u r vont devenir de plus en plus indis- pensables.

La plupart des tropomètres construits en 1900 sont écoulés ; il devient donc utile de développer plus activement la construc- tion de m o n t r e s décimales.

Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs que l'observatoire astronomique de Montsouris possède actuellement un outillage décimal complet : Pendule déci- male de Louis Berthoud, 2 tropomètres de la maison L. Leroy, cartes marines gra- duées en grades, sextant décimal et tables décimales a s t r o n o m i q u e s de Laplace.

Nos horlogers désireux de se rendre compte d'une installation décimale com- plète le p o u r r o n t facilement en allant visi- ter Montsouris.

Moniteur de la Bijouterie et de VHorlogerie.'

L'industrie de l'automobile en France

L'induslrie de l'automobile va se développant d'une façon étonnante en France. Les chiffres de la statistique que nous empruntons au Moni- teur des intérêts matériels en disent long à ce sujet. Pour les six premiers mois de 1906 on a constaté un progrès des exportations de 19 mil- lions de francs par r a p p o r t a la même période de 1905. Les six premiers mois de celte année mar- quent un nouveau progrès de fr. 10.068.000 par rapporl à l'an dernier.

En six mois la France a vendu au monde pour 78 millions de francs, soit pour près de 500.000 francs par jour.

Dans ce chiffre ne sont compris ni les pneus, ni les bicyclettes, ni même les motocycles. En voici, d'ailleurs, le détail.

1905 1906 1907

Valoui en millions île francs

Russie 374 807 783 Royaume-Uni . . 27.140 29.530 32.820 Allemagne . . . 5.340 9.215 S.7of.

Belgique . . . . 4.135 0.941 8.383 Suisse 032 1.308 2.088 Italie . . . 2.309 3.753 2.205 Espagne. . . . . 7(34 1.798 2.098 Aul riche-Hongrie. 392 289 490 Turquie . . . . 35 85 54 Etals-Unis . . . 2.793 5.938 5.444 Brésil 104 442 2.028 A r g e n t i n e . . . . 9 4 0 . 3.370 3.303 Algérie 1.232 1.308 1.704

Totaux avec les

aulres pays . . . 49.505 08.190 78.804 Les pays qui figurent avec le plus d'augmen- talion sont l'Anglelerre. avec plus de 3 millions, le Brésil avec près de 2 millions, l'Espagne avec 300.000 francs, la Belgique avec plus d'un mil- lion, la Suisse avec 700.000 francs. l'Algérie avec 400.000 francs.

Seule l'Italie a diminué ses achals d'une façon appréciable, ainsi que l'Allemagne et les Elats- Unis.

Pendant le premier semestre de 1907 In France a acheté pour 4.530 000 francs d'automobiles, contre 4.202.000 francs en 1900. Il n'y a donc pas de modification appréciable.

L'Allemagne a vendu dans ces six mois à la République pour un million de moins que pen- dant la même période de 1900, soil 1.404.000 fr.

contre 2.481.000 francs. En revanche, l'Halle lui a vendu pour 000.000 francs de plus, 1.604.000 francs au lieu de 1.014.000 francs, et la Belgique pour 503.000 francs au lieu de 282.000 francs.

L'Angleterre en est à 127.000 francs ou lieu de 154.000 francs, les Etals-Unis à 45.000 francs au lieu de 21.000 et la Suisse à 190.000 francs au lieu de 54.000 francs.

Mise hors de cours des pièces de 1 thaler de l'empire d'Allemagne

L'autorilé compétente de l'empire d'Allemagne a pris la décision suivante :

A partir du 1e r octobre 1907, les pièces de 1 llialer à l'effigie de l'empire d'Allemagne seront hors de cours comme monnaie légale. Dès celle date, à l'exceplion des caisses chargées d'en opé- rer le retrait, personne ne pourra èlre tenu d'ac- cepter celle monnaie en paiement. Les dites pièces pourront être échangées ou livrées en paiement, à raison de 3 marks pour un llialer, aux caisses impériales et nationales, qui les re- cevront jusqu'au 30 septembre 1908. Celle dis- position ne s'applique ni aux pièces fausses ni à celles qui seraient percées ou dont le poids serait réduil d'une autre manière que par le frai ordi- naire de la monnaie.

Bien que les monnaies de l'empire d'Allema- gne n'aient pas cours légal en Suisse, il n'est pourtant pas impossible que. par suite des nom- breuses relotions commerciales qui existent entre les deux pays, des pièces de 1 lhaler soient en circulation chez nous, notamment dans les can- tons frontières de l'Allemagne. La décision qui précède esl donc porlée à la connaissance du pu- blic pour prévenir des perles éventuelles.

Berne, le 7 août 1907.

Département fédéral des Finances

Société fédérale de cautionnement mutuel

On sait qu'en Suisse les fonctionnaires el em- ployés fédéraux ont à fournir au canlon une caution, suivant l'emploi occupé.

Pour obvier aux ennuis d'une ou plusieurs caillions particulières, à fournir, il existe au sein du personnel respectif, une société de cau- tionnement mutuel fondée en 1884. qui, moyen- nant une cotisalion relativement minime, se rend garante vis-à-vis de l'Administration fédérale, de tous les employés, ses membres, dont le caution- nement ne dépasse pas fr. 20.000.

Actuellement le comité central de celte Société est à Lausanne.

Au 31 décembre 1900, le nombre des socié- taires était de 17.448, fournissant caution pour une somme totale de fr. 50 millions 379.800.

La somme moyenne du cautionnement par so- ciétaire e s l : pour la Poste, de francs3.038; pour le Télégraphe, de fr. 1.318; pour la Douane, de fr. 2.125, el aulres administrations, de fr. 8.980.

La fortune sociale élail à cetle date de francs 282.105.11. Le boni de l'année 1906 accuse francs 23.090.43 et les frais généraux figurent nu compte des profits et perles par un chiffre de fr.

9.002.00 soit 43 centimes par sociétaire.

Le personnel altaché à l'adminislralion cen- trale de la Caisse el contrôle de la nouvelle Banque nationale a été admis sur sa demande dans l'association de caulionnement mutuel.

Correspondance particulière

Bienne, le 26 août 1907.

Monsieur le rédocteur

de la Fédération horlogère, Chaux-de-Fonds.

Monsieur.

Pour répondre à l'article daté de Fleurier, paru dans voire numéro du 25 courant, concernant la nouvelle boite calotte avec fond mobile pour la- quelle j ' a i déposé un brevet, je dirai à votre cor- respondant qu'il n'y a absolument rien d'exagéré dans l'article de voire numéro du 18 courant.

Je liens, du reste, à la disposition désintéres- sés, aussi bien monteurs de boîles que fabricants, des modèles de cette nouvelle boîte, à l'appui de ce que relaie l'article précilé.

Avec celle nouvelle boile, à mesure qu'on peut se dispenser de la cuvetle ou d'une glace pour garantir le mouvement, à cause de sa fermeture hermétique, on gagne d'abord l'épaisseur de la glace ou de la cuvelle soit 3 à 4/i s ou 0,564 0,752 millimètres, puis le jour obligatoire entre fond et cuvette ou glace, soil V12 o u 0.188 mil- limètres, ce qui fait en tout 0,940 millimèlres ou Y12-

Dans les boites diles Roskopf, il y a générale- ment encore un fort jour de sûreté entre mouve- ment et glace, ce qui fait dire à votre correspon- dant du numéro du 18 courant, qu'avec cetle nouvelle boile, on peut gagner de 5 à V12 s u r la liauleur des boilcs habituelles.

Quant à la question des douzièmes el centiè- mes, elle n'a rien à voir dans la boite en ques- tion, la plus grande partie du public horloger, utilisant encore les douzièmes plutôt que les cen- tièmes. Qu'une boite se donne plus basse en douzièmes ou en centièmes, elle n'en est pas moins plus éléganle et je laisse à votre corres- pondant du numéro du 18 courant le soin de vous expliquer pourquoi il a employé les dou- zièmes plutol que les centièmes.

Veuillez agréer. Monsieur le rédacteur, avec mes remerciements anticipés, l'assurance de ma considération distinguée.

J . BRÉGUET-BRKTING.

Nouvelles diverses

Le n o u v e a u t a r i f a u s t r a l i e n , foui d'abord les produits britanniques bénéficient d'une réduc- tion de droits d'entrée estimée à 10 pour cent, en moyenne.

La réduction des droits d'importation accordée à l'Angleterre représente une somme annuelle

de 1.200,000 liv. st. d Le nouveau tarif qui favorise l'Angleterre ne ]

changera guère la position commerciale du pays el In concurrence étrangère augmentera encore son activité, car les importations des autres pays concernent des produits nécessaires à l'Australie!

et que l'Angleterre ne peul importer aux mêmes!

conditions. De 1901 à 1905 l'Australie a importé!

pour 2.000.000 de liv. st. de moins de produits!

anglais et 39.000.000 de liv. si. de plus de pro- duits étrangers, dont une quantité considérable!

de matières premières. Comme le commerce del la France avec l'Auslralie a une certaine impor-j tance, il est bon d'étudier la nouvelle politique!

économique de ce pays.

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 555 Variété

Le mouvement national en Chine

P e n d a n t que l'Europe a les yeux fixés sur Je Maroc, il me parait utile d'analyser le mouve- ment national de renaissance qui s'opère actuel- lement en Chine et auquel l'Angleterre et le Japon seront mêlés tot ou tard. Cette fois, il est probable que la guerre de Chine sera motivée par des faits économiques, mais les belligérants auront bien soin de se couvrir du manteau huma- nitaire, prétextant quelque massacre de mission- naires ou autre pour entrer en scène.' Depuis quelques années de grands changements se sont opérés en Asie. Deux peuples sont appelés par la force des choses à jouer un rôle dominateur dans cette partie du monde, l'Angleterre et le Japon.

L'impératrice de la Chine est à la veille d'ab- diquer ; en Corée l'empereur vient d'abdiquer et la pénétration pacifique du Japon en Chine est plus effective que l'action militaire, car elle se cache et a pour base la relfgion jointe aux suc- cès des armes.

Chez tous les peuples, à une époque de l'his- toire, le patriotisme a fomenté l'esprit de révolte ou créé un sentiment national d'un ordre élevé.

Mal dirigé, sans cause justiciable, il a abouti à des désordres, comme en Corée, dans l'Inde, en Egypte ; tandis que le patriotisme éclairé a trans- formé le Japon en grande puissance : mais les mille et une ilesjaponaises ne suffisent plus à con- tenir les aspirations de ce grand peuple qui, dans le plus petit espace de temps, a réalisé plus de progrés que toutes les nations des temps passés et présents. On rencontre des pionniers japonais dans toutes les parties du monde, Au Canada, aux Etats-Unis, au Mexique, etc., en Europe, en Océanie et un peu partout en Asie. Depuis la dernière guerre le budget japonais dépasse les ressources du pays, les impôts écrasent le peu- ple, mais les armements japonais sont énormes et pour les maintenir et se créer de nouvelles ressources il ne reste qu'un plan — faire la guerre contre une nation — la Chine. L'occasion ne manquera pas.

Ceux qui liront cet article m'appelleront pessi- miste, mais les événements justifieront malheu-

reusement mon dire et les diplomates versés dans les affaires japonaises savent fort bien ce qui se prépare et ne soufflent mot, pensant que les événements justifieront l'action du Japon et que les grandes puissances n'y perdront rien au point de vue commercial. Quel est actuellement l'effet du mouvement national chinois sur le com- merce extérieur du pays?

Examinons cette question puisqu'elle semble intéresser le Times et autres journaux de môme nuance tous persona' grata' à la cour de Tokio.

Et, tout d'abord, le mouvement national n'est pas seulement un mouvement politique, msis encore et surtout un mouvement commercial qui vise à l'écoulement exclusif des produits indigè- nes. Or, les ressources de la Chine sont multi- ples et la clientèle chinoise innombrable. 11 faut que la Chine soit aux Chinois ! s'écrient les man- darins et le peuple. De tout temps la Chine a été rebelle aux idées européennes: aujourd'hui que la presse chinoise se développe, que l'éducation éclaire de plus en plus toutes les sphères de la société, les Chinois se croient assez forts pour se passer des Mentors que l'Europe leur a imposés.

La rébellion des Boxers, la pénétration russe, le triomphe du Japon ont contribué à la réforme de l'administration chinoise et de l'armée.

Cette dernière n'est pas encore formidable, mais les troupes disciplinées et armées à l'euro- péenne et commandées par des officiers étran- gers, d'une compétence reconnue que la Chine possède, sont le commencement d'une puissance militaire formidable, car les quatre cents mil- lions de Chinois pourraient dans un temps donné avec la progression actuelle, fournir 25.000.000 de soldats. Qu'on imagine une pareille armée, possédant des armes modernes perfectionnées et un patriotisme aveugle, mise en mouvement par un génie avide de conquêtes ! Les lettrés aban- donnent le vêtement national et le remplace par l'habit européen ; il cache celte queue de cheveux, signe de servitude que leur infligèrent les con- quérants Mongols en attendant qu'ils la suppri- ment, leur esprit s'éclaire de tous les arts et de toutes les sciences de l'Europe pour plus lard s'en servir pour affranchir leur pays de l'influence étrangère. Les pagodes s'ont transformées en

écoles ou les livres scientifiques de tous genres remplacent les bouddhas relégués a u x caves. >

L'Angleiterre a retiré les plus grands avan-/

tages de ses guerres avec la Chine en raison dé ses possessions asiatiques et de son expansion commerciale; mais, depuis quelques années, la "•

concurrenceallemande lui enlève une partie de sa j clientèle. Tous les produits du monde se trouvent en Chine, car son climat varie à l'infini depuis les zones tropicales des provinces du Kivang-si et du Yun-nan jusqu'aux zones glaciales de la j Mandchourie du Nord.

Le jour où l'esprit commercial et industriel1' chinois sera complètement développé, aucune nation ne pourra faire concurrence aux produits chinois, car la Chine a sous la main les matières premières dont son industrie a besoin et une;

main-d'œuvre essentiellement économique. Chez:

elle les trois règnes de la nature, animal, végétal.:

et minéral, prodiguent leurs richesses. Actuelle-, ment, à l'exception des soieries et du thé, là;Ghine<;

exporte principalement des matières p r e m i è r e s ^ ; . , importe des produits manufacturés; mais depuisfi- plusieurs années de nombreuses fabriques onfe*tè •;

construites, des filatures perfectïorïhées établies qui permettent d'utiliser sur place les maliéS'es premières et diminuent d'autant les importations. • Le jour viendra où la Chine mettra des droits d'entrée sur certains produits importés aujourr * d'hui en franchise. En érigeant lea tabacs en . monopole, le Japon ruina le commerce étranger des tabacs, les protestations furent inutiles, le J a ^ pon étaient devenu une grande puissance. La ' nouvelle génération semble avoir profité des malheurs des générations passées et se prépare à jouir de ses progrès économiques sous un ré- gime protectionniste à moins que l'Angleterre et le Japon n'y mettent entrave.

Le Monde Economique.

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