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EILHARD WIEDEMANN. — Ueber die specifische Wärme der Dämpfe und ihre Aenderungen mit der Temperatur (Chaleurs spécifiques des vapeurs, leurs variations avec la température); Ann. der Physik, 2e série, t. II, p. 195

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00237480

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237480

Submitted on 1 Jan 1878

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EILHARD WIEDEMANN. - Ueber die specifische Wärme der Dämpfe und ihre Aenderungen mit der Temperatur (Chaleurs spécifiques des vapeurs, leurs variations avec la température); Ann. der Physik, 2e

série, t. II, p. 195

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. EILHARD WIEDEMANN. - Ueber die specifische Wärme der Dämpfe und ihre Aen- derungen mit der Temperatur (Chaleurs spécifiques des vapeurs, leurs variations avec la tempéra- ture); Ann. der Physik, 2e série, t. II, p. 195. J. Phys. Theor. Appl., 1878, 7 (1), pp.97-100.

�10.1051/jphystap:01878007009701�. �jpa-00237480�

(2)

97

Coniptes

rendus de l’,4cadéniie des Sciences

t. LXXXVI,

p.

10 6 14 j anvier 1878).

Le

gaz

était obtenu en chauffant à 225°

un

mélange

de formiate de

potasse

et de

potasse caustique.

A la

température

de -1400 et sous un e

pression

de

650atm, l’hydro- gène

s’est

liquéfié.

Le robinet étant ouvert, on vit

s’échapper

avec

violence un

jet

opaque, d’une teinte bleu-acier

très-caractérisée,

qui

devint bientôt intermittent. lB1. Pictet pense que

l’hydrogène

était en

partie

solidifié..

31. Pictet se propose de renouveler cette

expérience,

pour en déduire les mêmes données que pour

l’oxygène;

il se propose

également

de faire de nouveaux efforts pour recueillir et con-

server

quelque tempes,

dans des vases

transparents,

les

produits

de la

condensation,

afin de les mieux étudier. Ce résultat aurait

un intérêt sur

lequel

il est inutile d’insister.

R. BENOÎT.

EILHARD WIEDEMANN. 2014 Ueber die specifische Wärme der Dämpfe und ihre Aen-

derungen mit der Temperatur (Chaleurs spécifiques des vapeurs, leurs variations

avec la température); Ann. der Physik, 2e série, t. II, p. I95.

La méthode connue de

Iiegnault,

pour la détermination des cha- leurs

spécifiques

des vapeurs,

présente

une condition

particulière-

ment

défavorable;

c’est que la

quantité

de chaleur fournie par le refroidissement de

la sapeur

à l’état gazeux n’est

qu’une

fraction

très-faible de la chaleur totale cédée au calorimètre. 81. Wiede-

n1ann évite cet inconvénient au moyen d’un

appareil

dans

lequel

on fait un vide

partiel

et l’on a soin de

prendre

la

température

initiale du calorimètre assez élevée pour éviter la condensation des vapeurs.

Le

générateur

à vapeur est en

laiton,

le fond est

canuelé,

ce

qui

donne une surface de chauffe considérable et

permet

d’obtenir un

courant de vapeur sensiblement constant: ce vase est

plongé

dans

un bain d’eau chaude.

L’appareil

d’échaunement de la vapeur et le calorimètr e sont

identiques

à ceux

employés

par M. E. Wiede- mann, dans l’étude de la chaleur

spécifique

du gaz

(Journal

de

Physique,

t.

V,

p.

3I8),

à cela

près

que le bouchon

qui

réunissait

les deux

appareils

est

remplacé

par un tube court en maillechort.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01878007009701

(3)

98

Entre le calorimètre et la pompe

d’épuisement ( pompe

à eau

d’Arzberger),

on intercale: 10 un

vase

refroidi et un flacon conte- nant de l’alcool ou de l’acide

sulfurique,

destiné à condenser et à

absorber les vapeurs ; un flacon de

7lit qui régularise

la

pression.

Cette

pression

est mesurée par un manomètre

adapté

à l’extrémité du

serpentin.

On

pèse

le

générateur,

on fait le vide dans les autres

parties

de

l’appareil,

on observe

pendant cinq

à dix minutes la

température

du

calorimètre, puis

on fait passer le courant de vapeur.

Lorsque

le

calorimètre est suffisamment

écl-iauffé,

on ferme les

robinets,

on

observe le refroidissement et l’on

pèse

de nouveau le

générateur.

La

marche

régulière

des lherillon’lètres montre

qu’il n’y

a pas de con-

densation de vapeur dans le calorimètre.

D’après Regnault,

la

quantité

de chaleur nécessaire pour échauf- fer un gaz de zéro à t" est

la chaleur

spécifique

vraie à t0 es t donc

Voici les résultats bruts de

plusieurs

séries

d’expériences

très-

concordants :

(4)

99 Les formules déduites de ces

expériences

sont:

Pour comparer ces résultats à ceux de

Regnault, lequel

n’a pas étudié la variation des chaleurs

spécifiques

des vapeurs, il faut cal-

culer,

au moyen des formules

précédentes,

la chaleur

spécifique

moyenne entre les limites de

température

réalisées dans les

expé-

riences de

Regnault.

Soit C la chaleur

spécifique

moyenne de ti

à t,

la

quantité

de chaleur nécessaire pour échauffer la vapeur

entre ces limites est

C(t12013t);

elle est

égale

à la différence des

quantités

de chaleur nécessaires pour l’échauffer de zéro

à l’

et de

zéro à t", c’est-à-dire à

d’où l’on tire

Le tableau suivant donne les résultats de cette

comparaison :

Ces différences très-faibles

peuvent

être attribuées à la difficulté de se procurer les substances

organiques complétement

pures.

Si l’on compare les chaleurs

spécifiques

des vapeurs à celles des mêmes corps à l’état

liquide,

on remarque

qu’en général, plus

la

chaleur

spécifique

d’un corps est

grande

à l’état

liquide, plus

elle

(5)

I00

est

grande

à l’état de vapeur et que les variations de la chaleur

spécifique

avec la

température

sont du même ordre de

grandeur,

et dans

beaucoup

de cas sont

égales

pour le

liquide

et sa vapeur.

Les chaleurs

spécifiques

des vapeurs

rapportées

à l’unité de

volume sont données dans le tableau

suivant,

dans

lequel

03B1’ est la

quantité correspondant

à a de la formule

précédente,

c’est-à-dire la moitié de la variation de la chaleur

spécifique.

Les valeurs de cz’ sont en

général

d’autant

plus grandes

que le nombre d’atomes contenu dans la molécule est

plus grand.

C. DAGUENET.

C. KEUMANN. 2014 Ueber die Anzahl elektrischer Materien (Sur le nombre des élec-

tricités); Ann. de Pogg., t. CLIX, p. 20I ; I876.

Il est inutile de

rappeler

au lecteur comment on

peut

démontre

clu’un

aimant

cylindrique

tournant autour de son axe

peut

induire

une force électromotrice dans un conducteur

(1) .

Ce fait est en con-

tradiction avec toute théorie dans

laquelle

les

phénomènes

élec-

trodynamiques

sont attribués aux actions

réciproques

des mollé- cules d’un fluides

unique

dont le mouvement constituerait les

courants

électriques.

En

effet,

on est autorisé à

remplacer

l’ai-

(’) Un aimant cylindrique est recouvert d’une cloche métallique, et un fil métal- lique relie un point de la cloche à son sommet : ces trois pièces sont mobiles indé-

pendanlnlent l’une de l’autre; on constate que, lorsque l’appareil est en mouvement le fil est traversé par iin courant induit qui ne dépend que de la différence des vitesses angulaires du fil et de la cloche, et qui est indépendant de la vitesse de l’ai- mant. Teille est l’expérience de Plûcker, souvent citée par les auteurs alleniands.

Références

Documents relatifs

Avec ces alliages, les auteurs ont déterminé dans le même four les températures de fusion d’un certain nombre de

- Ueber die Reibung der Dämpfe (Sur le frottement des vapeurs); Kaiserliche Akademie der Wissenschaften in Wien,

ramène le calorimètre, y compris le corps, à la température ini- tiale, on le fait repasser par toutes les tenlpératures observées dans la première expériences,

Pour cela, ils comprirent la vapeur et mesurent le volume et la pression correspondants, puis le volume sous la même pression en laissant la vapeur se dilater :

dont on évalue les déplacements relatifs par la méthode de Poggen- dorff ; mais elle s’approche beaucoup plus de l’être avec des fils de cuivre qu’avec des fils

- Ueber die specifische Wärme der Gemische von Essigsaüre und Wasser (Chaleur spécifique des mélanges d’eau et d’acide acétique) ; Annalen der Physik und Chemie, nouvelle

- Ueber die Beziehung zwischen der Wärmestrahlung und der Temperatur (Sur la relation entre le rayonnement calorifique et la température); Sitzungs berichte d... 2014 Ueber die

Wüllner calcule la chaleur perdue en prenant la surface rayonnante totale du calorimètre, y compris la surface de l’eau, et représentant par E le pouvoir émissif