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A. BARTOLI. — Le leggi delle polarità galvaniche (Lois de la polarisation galvanique) ; Il Nuovo Cimento, 3e serie, t. VII, p. 234 ; 1880

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237774

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237774

Submitted on 1 Jan 1881

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A. BARTOLI. - Le leggi delle polarità galvaniche (Lois de la polarisation galvanique) ; Il Nuovo Cimento, 3e

serie, t. VII, p. 234 ; 1880

R. Blondlot

To cite this version:

R. Blondlot. A. BARTOLI. - Le leggi delle polarità galvaniche (Lois de la polarisation galvanique) ; Il Nuovo Cimento, 3e serie, t. VII, p. 234 ; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.218-220.

�10.1051/jphystap:0188100100021801�. �jpa-00237774�

(2)

218

sant varier 1’2

de

on aura,

quand

le son sera

éteint,

d’où

La mesure de la variation de

capacité

revient donc à celle d’une

variation de

résistance, qu’on peut

obtenir avec une exactitude de

i uo’ooo

aisément.

On

peut

du reste accroître indéfiniment la

précision

du

poin-

tage

en

augmentant

l’intensité du courant

(qui

n’a pas besoin d’être

constant).

Dans les

expériences

du

Comité,

il était

produitpar 2

ou

3 éléments Grove seulement. H. PELLAT.

A. BARTOLI. 2014 Le leggi delle polarità galvaniche (Lois de la polarisation galvanique) ;

Il Nuovo Cimento, 3e serie, t. VII, p. 234 ; 1880.

Ce Mémoire renferme

l’exposé d’expériences qui paraissent

con-

sciencieusemeni

exécutées;

on peu t seulement

reprocher

à l’a Liteur

de n’avoir pas tenu un

compte

suffisant des travaux antérieurs aux siens.

Le

problème

que s’est

posé

W. Bartoli est le suivant :

Déterminer

la force

électromotrice

de polarisation eng’endrée par le

pcissage d’un courant

(doiîl l’intensité) qui

peut être

,fonction

dit

tenîps,

est

connue)

clans un

électrolyte donné)

avec

des électrodes

données) pendant

un

temps

très court.

Premiéne Partie. - Méthode de recherche. -

L’appareil

eni-

ployé

se compose de deux

parties :

un

interrupteur

servant à

faire passer

pendant

un

temps

très court le courant

polarisant

à

travers le

voltamètre ;

un

appareil

servant à mesurer la force élec- tromotrice

acquise

par le voltamètre.

L’interrupteur

est constitué par un

poids

dont la chute fait mou-

voir différents leviers établissant et

rompant

le circuit

polarisant.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100021801

(3)

219 La

quantité

d’électricité

qui

a

passé

est mesurée par

l’impulsion

d’une boussole des tangentes.

Voici maintenant comment 31. Bartoli

procède

à la mesure de

la force électromotrice

acquise

par le voltamètre. Le voltamètre est, immédiatement

après

la

polarisation, intercalé,

par un annexe

de

l’appareil

à

chute,

dans un circuit dont la

résistance,

extrême-

ment

grande

par rapport à celle du voltamètre, reste invariable dans toutes les

expériences;

ce circuit contient un

galvanomètre.

:

la durée de la fermeture est extrêmement

petite

et

toujours

la

même dans toutes les

expériences.

31. Bartoli

prend

comme mesure

de la force électromotrice la déviation

impulsive

du

galvanomètre.

Cette mesure est

acceptable

à la condition que la force électromo- trice de

polarisation

n’ait

varié, pendant l’expérience,

ni par suite de la

dépolarisation spontanée,

ni par suite du courant

qui

a tra-

versé le

galvanomètre

pour

produire l’impulsion.

M. Bartoli donne le nioyen de vérifier

expérimentalement

si la

première

de ces con-

ditions est

remplie ;

il n’affirme pas

qu’elle

l’ait été dans tous les

cas, et

je

doute

qu’on puisse

y

compter

pour les forces électro- motrices élevées.

Seconde Partie - Résultats. - 1. La force électromotrice pro- duite par le passage d’une

quantité

donnée d’électricité

dépend

de cette

quantité seulement,

et non de la durée du passage, pourvu que la

dépolarisation spontanée puisse

être

négligée.

II. La relation

qui

relie la

polarisation

P à la

quantité

d’électricité

qui

l’a

produite

est de la forme P =

A (I - 10-xq),

A et vêtant des constantes. Cette loi est

simplement

une

repré-

sentauion

empirique

des

résultats,

et non

l’expression

d’une loi

naturelle. La

capacité

initiale

(définie précédemment

par moi dans le Mémoire cité

plus loin)

est

égale

à

I

Ax

(1).

log10

III et IV. La

capacité

d’un voltamètre

(formé

d’électrodes

égales)

est

proportionnelle

à la surface de celles-ci et

indépen-

dante de leur

forme ;

ces résultats étaient faciles à

prévoir.

Par suite d’un lapstis, kl. Bartoli prend l’itiverse de cette quantité.

(4)

220

V. Pour un même

électrolyte,

les constantes A et x sont indé-

pendantes

de la nature des

électrodes,

pourvu

qu’elles

soient inat-

taquables.

VI. Pour les

six électrolytes suivants,

SO4 H

étendu,

SO i H con-

centré, Az H3, H Cl, H Br,

HI en

solution,

la

capacité

initiale s’est trouvée la même. nI. Bartoli étend cette loi à tous les

électrolytes,

sans toutefois l’avoir

vérifiée ; d’aprés

mes propres

expériences,

cette extension est certainement inexacte. La

température

et les

gaz dissous sont sans influence.

VII. Force électromotrice de chacune des électrodes. -J e crois devoir ici réclamer la

priorité

au

sujet

de la loi énoncée par M. Bar- toli. Dans une Note

présentée

à l’Académie des Sciences le 21

juil-

let

1879, j’ai

donné la loi suivante :

La

capacité

initiale est

indépendante

du sens cle

la polari-

satiotz.

M. Bartoli donne cette

proposition

comme nouvelle. Il est vrai

qu’il

l’étend aux

quantités finies ;

or les

expériences

que M. Bar- toli lui-même

rapporte

à la page

suivante,

sur le

cuivre, l’argent

et les

hydracides impurs,

sont en

pleine

contradiction avec cette

extension;

les miennes le sont aussi. La loi doit donc être res-

treinte à l’énoncé que

je

lui avais donné. L’artifice de la

grande

électrode

appartient

à M.

Lippmann ;

M. Bartoli semble le donner

comme sien .

VIII.

Électrodes

de

surfaces différentes.

- On

peut

calculer

ce

qui

arrive dans ce cas au moyen des lois

précédemment posées.

Enfin,

dans une Note

qui

termine son

jBIén1.oire,

M. Bartoli donne

comme nouveau le

phénomène

si curieux que 31.

Lippmann

a

étudié

depuis longtemps

et si

justenlent désigné

sous le nonl de

demi-décomposition

cle l’eau. R. BLONDLOT.

W. RAMSAY. 2014 On the critical point (Sur le point critique); Proceedings of the royal Society, t. XXXI, p. 194; 1880.

M.

Ramsay

étudie la

compressibilité

de la

benzine,

de l’étlier et

d’un

mélange

à

poids égaux

de benzine et

d’éther,

à des

tempéra-

Références

Documents relatifs

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