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Il nuovo cimento. (Suite et fin)

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237504

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237504

Submitted on 1 Jan 1879

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Il nuovo cimento. (Suite et fin)

Duclaux

To cite this version:

Duclaux. Il nuovo cimento. (Suite et fin). J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.180-182.

�10.1051/jphystap:018790080018001�. �jpa-00237504�

(2)

I80

taux

n’exerce

aucune

influence

sur ces

quantités. Avec les disso- lutions d’alun de chrome, de sulfate

et

d’azotate de nickel, la di-

rection du

courant

peut s’intervertir quand

on

élève la température ;

d’autres fois, par exemple

avec

le bromure de nickel, l’intensité atteint

un

maximum, pour

une

température déterminée.

L’auteur pense qu’on

ne

peut attribuer les

courants

qu’il

a

étudiés, ni à des actions chimiques ni à des modifications dans la cohésion

ou

l’adhérence du liduide ;

ce sont

de véritables

cou- rants

thermo-électriques

sur

lesquels l’action chimique du liquide

exerce une

grande influence, puisqu’en général les acides

et

les

bases

se

comportent d’une manière inverse.

Les résultats

sont

d’accord

avec ceux

obtenus par Pfaff, Buff,

Pictet,

etc.

C. DAGUENET.

IL

NUOVO CIMENTO.

(Suite

et

fin.)

Tomes III et IV. - Année

iS78.

A. NACCARI et M. BELLATI. - Sur l’intensité de l’effet Peltier à diverses

tempé-

ratures, p. II5- I23.

L’effet

va en

croissant de i 8° à 1600

avec un

couple cuivre-bis- muth. M. Le Roux avait déjà observé la même augmentation, mais

de zéro à 100°.

A. ROITI. - Sur la détermination des constantes des machines de Holtz et sur les conrants

qu’elles donnent,

p. 123-163.

A. ROITI. - Sur les

décharges

de la machine de Holtz dans les gaz raréfiés.

Réponse

au Dr

Feddersen,

t.

IV,

p. 79-92.

On

trouvera

dans

ce

Journal (t. IV, p. 65) l’analyse d’un

tra-

vail de M. Rossetti, duquel

ressort avec

évidence l’assimilation de la machine de Holtz

et

d’une pile hydro-électrique. L’auteur avait

cru

seulement que l’intensité du

courant

croissait plus rapidement

que la vi tesse de ro tation,

et

avait attribué

cet

effet à

une

faible

diminution dans la résistance intérieure.

Ce

sont ces

deux dernières conclusions que M. Roiti iniirme,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080018001

(3)

I8I en

étudiant les courants,

non

plus

au

moyen de la bouteille de Lane

ou

du galvanomètre mai s

au

moyen d’un électromè tre

Branly à quadrants

en

acier aimanté. Il

montre

ainsi que la force électromotrice

et

la résistance intérieure

se conservent

constantes,

ce

qui augmente l’analogie

avec

les piles. Cependant le

courant

d’une machine de Holtz

ne

peut pas être assimilé à celui d’une

pile. Il n’est

constant

qu’autant qu’on l’envisage pendant

une cer-

taine durée, et, pendant

un

instant très-courte le fil interpolaire

transmet toutes

les décharges irrégulières qui s’échangent

entre

le peigne

et

le disque

tournant.

A. RIGHI. - Sur la vitesse de la lumière dans les corps

transparents

soumis à l’ac- tion du

magnétisme, p. 2I2-235.

Expériences bien faites, desquelles résulte que la rotation

ma-

gnétique du plan de polarisation dans

un

liquide

se

fait,

comme

dans le quartz, par suite de la double réfraction de deux rayons

polarisés circulairement. M. H. Becquerel

a

constaté depuis le

même résultat pour le flint lourd.

Resterait à savoir si le magnétisme agit

en

augmentant la vitesse d’un des rayons circulaires de la même quantité dont il diminue

celle de l’autre,

ou

bien si

ces

deux vitesses n’ont

aucune

relation

avec

la vitesse que prendrait la lumière

en traversant

le même corps

non

magnétisé. L’auteur essaye de décider

ce

point

et surmonte

bien

les nombreuses difficultés expérimentales que présente l’étude de

,

cette

question, mais il n’arrive à

aucun

résultat.

A. RIGHI. - Sur la concentration d’une solution

magnétique

au

pôle

d’un

aimant,

p. 235-238.

F. ROSSETTI. - Sur la

température

du

Soleil,

recherches

expérimentales,

p.

238-257.

Déjà analysé dans le Journal (t. VII, p. ay4)’

e

E. VILLARI. -. Sur la chaleur

développée

par le passage de l’étincelle

électrique

dans divers gaz, p.

270-274.

E. VILLARI. - Sur le

pouvoir

émissif et la nature diverse de la chaleur émise par diverses substances chauffées à 100°, t.

IV,

p. 5-35.

Mémoire intéressant, mais impossible à résumer.

(4)

I82

E. BELTRAMI. - Sur

quelques propositions

de M.

Clausius,

relatives à la théorie du

potentiel, p. 35-53.

E.

STREINTZ,

avec la collaboration de P. STREINTZ. - Les courants induits dans des verges de fer aimantées

transversalement,

p.

53-7o.

F. ROSSETTI. - Sur la

température

des

flammes,

p. 7o-79.

Suite annoncée du Mémoire analysé dans

ce

Journal (t. VII,

p. 61).

A. BARTOLI. - Sur

quelques phénomènes

observés dans le passage d’un courant

électrique

par un voltamètre à eau, p.

g2-io3.

Le passage d’un fort

courant

par

un

voltamètre à

eau

distillée

et

à lames de platine y amène

une

diminution de résistance qui

se

produit

surtout au moment

de l’établissement du courant,

se

continue, mais faiblement, pendant

un

temps très-court,

et se

dé- truit rapidement aussitôt que le

courant cesse.

Sous l’influence de

ce

fort courant, le passage d’un

courant

faible

se trouve

aussi facilité.

E. PADOVA. - Sur

quelques

observations de M. Neumann sur la loi de

Weber,

p. I03-II6.

F. PIERUCCI. - Nouvelle machine

électrophorique,

p.

II6-II7.

G. PISATI. - Sur l’élasticité des métaux à diverses

températures,

p.

I52-I79.

NACCARI et BELLATI. - Sur les

phénomènes thermiques produits

par le passage de l’électricité à travers les gaz

raréfiés,

p.

179-206.

G. POLONI. - Sur le

magnétisme permanent

de l’acier à diverses

températures,

p. 206-232.

A. RIGHI. - Le

téléphone qui

s’entend à

distance,

p.

233-23g.

E. BAZZI et G. COBIANCHI. - Sur le

développement

des courants induits et des extra-courants, p.

239-263.

DUCLAUX.

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