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Il nuovo cimento ; - 5e série, t. VIII : 2e semestre 1904 (suite)

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00241176

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241176

Submitted on 1 Jan 1906

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Il nuovo cimento ; - 5e série, t. VIII : 2e semestre 1904 (suite)

Charles Touren

To cite this version:

Charles Touren. Il nuovo cimento ; - 5e série, t. VIII : 2e semestre 1904 (suite). J. Phys. Theor.

Appl., 1906, 5 (1), pp.785-788. �10.1051/jphystap:019060050078501�. �jpa-00241176�

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r est le volume en litres) correspondallt a une molécule-gramme

de l’acide. Pour les huit acides organiques étudiées, la constance du nombre ,12~1 est très nette, de sorte que la loi d’Ostwald est parfaite-

ment applicable. - L’ordre dans lequel se suivent les acides faibles

quant à la grandeur de la conductibilité moléculaire pour les dilu- tions finies est différent pour les solutions alcooliques et pour les solutions aqueuses ; de même pour l’ordre des constantes de disso- ciation.

Pour les solutions dansles mélanges d’aluni éthyiïqup t’t 1’>aii, la courbe représentant les conductibilités m,-txlitizi t~ii fonction 1 u tant t

pour cent d’alcool passe vers 70-80 0, 0 par url iiiiiiiiiitim. La loi d’Ostwald est toujours vérifiée ; la constante ~1~~ di>; >~i;i i 1 >ii diminue

quand la proportion d’alcool augmente, d abord ti-(~s lentement, puis

à la fin extrêmement vite.

Enfin M. Go d 1 eBv ski a étudié les solutiuns d’acide acétique (1 ans

l’alcool amylique : la conductibilité moléculaire diminue quand la

dilution croit, jusqu’à être minilna à la concentration O,~). La cons-

tante diélectrique de la solution augmente toujours pourles dilutions

croissantes.

Charles TOUREN.

IL NUOVO CIMENTO ;

5e série, t. VIII : 2e semestre 1904 (suite).

A. _~1IEI~It - B~tm-~ ~i~~utwfm ~uil ~ la_~~,~, ~I~ I)r;il~~~r B~utwll~ ~ ~~e lmo i.~~,

~ur 1 al" 1 d t’ 1> r B l Il e l’ 2013P.:n;J.

Draper a énonce la loi suivante : tous les corps solides et proba-

blement aussi les métaux fondue deviennent lumineux à la 111"’111"

température, qui est envi ron 3~5°. (~, 11 i l~u I t 1 m ff a trouva 1 m ~ ~ ~ ~ ~ ( t t j loi un appui pour sa théorie sur la relation entre 1> pouvoir absur-

bant et le pouvoir émissif. - L’auteur rappelle et (’(’itl’lue les expé-

riences faites sur la loi de 1>1,ij,«1. puis il en reprend 1 t’tudc ,;j,’- rimeiitale ; il arrive aux résultats suivants : la 1,>1 il, 1)i~;ij,,i~ tn~~‘t

pas valable: les corps deviennent visibles à une t’Hih’rdnrt’ dan

tant plus petite que leur pouvoir t’nn~if est plus grand. 1 >iii,,jiie le

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050078501

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pouvoir émissif d’un corps dépend de la température des corps an1biants. mais que la variation de ce pouvoir est insensible jus- qu’à 300°, on peut dire que les températures précédemment trouvées

sont celles où les métaux deviennent lumineux dans un espace libre.

Le~ expériences démontrent enfin que, dès qu’un corps devient lumineux, dans son spectre existent des radiations de la partie

visible.

A. GARBASSO. 2013 1.~~ ~’ .u’i~he o-cillanti nei sistemi di conduttori romplessi e la

teoria elettrolllag-netica dell’ ;iiiali1 ...pettrale Le" ~1~~~~1~ ~r«f~- a~~~illalltf’s dans les systèmet, cle conducteurs ut la tli>«ii« , 1,, t>.>iiwgnutique de l’analyse spectrale . - Deux mémoires, p. :3.~~ et 3’~.

M. Garbasso se propose d’exposer une théorie générale électro- magnétique de l’analyse spectrale, en la rattachant au problème

des décharges oscillantes dans un conducteur complexe ou un sys- tème de conducteurs complexes, dans l’ordre d’idées qu’il a déjà exposé (1). Les deux mémoires actuels ne contiennent que les trois

premiers chapitres de cet exposé, qui comprendra cinq chapitres.

Dans le chapitre i, il établit certaines formules symboliques qui permettent d’intégrer immédiatement des systèmes de cette nature.

Dans le chapitre m, il résout le problème des décl~arges dans un

circuit complexe. Dans le chapitre m, il rappelle les expériences

de M. Cardani et, pour donner un exemple complet de la méthode,

il étudie les lois suivant lesquelles la charge possédée par une capa- cité passe dans le sol par deux fils parallèles. Le chapitre iv con-

tiendra la théorie générale des oscillations électriques dans un sys- tème de conducteurs complexes. Enfin, dans le chapitre w, il étudiera

le plénomène de l’émission de la lumière ; il donnera une théorie

simple des modifications produites dans le spectre par les variations de la température et de la pression, de l’existence des spectres propres des corps composés et de l’absorption différente des molé- cules isomères ; il terminera par l’étude de la structure des atomes matériels.

(l, j, /1 . ;.r., t 1B., pp. 8i8, 8i9. ~ ~~~ : 1">’.

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11 t~~I,~tlj~l’1! r·i IJ ( 1: r.... 1 B B 1 -.... 1 JI l Il , t t l’ 1" t ,il "! 1.’ ..!,. 1 il 1 f ’" d,. iI:t n 1 f ’LI t i n il

111 InlS"ll~_di dl «° jii , :t ii d.-~t’~ih~-~ :"’111’ It> III/!IBoir l’il~~~tllll’f’

lll~ llela ni!’Wtlllt‘ rÎf- ,plfr· rÏ tll~ rit ~ III~ i iIl_’ ~ rΑt’tll t’t f~~;llt‘mffj ~ tt1Bllyll£’ .

j65.

Les auteurs ont voulu étudier le pouvoir rotatoire spécifique d’une

substance optiquement active dissoute a llll" concentration déter- minée dans un mélange homogène de deux liqiii,1«, illdl’1 if" ,i des

proportions variables, afin de snivre la v ariation (lit t’dntoire

d’une même substance dans une successioll (It- 1 1,>>1,-1 ii t, 1,, divers

mélanges) dont les propriétés physiques v m~i~~»t d’une n1aniilre con-

tinue. Ils ont pris la nicotine dissoute à t"unc(’lltration rwn~t;mtc dans des mélanges variables d’eau et d’alcool.

Ils trouvent que les valeurs du pouvoir rotatoire sp’ ritiqu’ 1. la

nicotinedissoute dansles mélanges sont toutes infériemchn (’1,11 t ’" du

pouvoir rotatoire spécifique de la même substance dans l’ly l~~i·tlu~~~

que chaque composant du mélange exerce sur la substance active

une action proportionnelle à sa proportion en poids dans le mélange ;

les différences entre les valeurs expérimentales et les valeurs cal- culées dans cette hypothèse augmentent avec la clmmtitt~ d’f’,111 d partir de la solution dans l’alcool pur, arrivent à un maximum, 1> u i ‘

donnent une courbe presque rectiligne. Peut-être y a-t-il lit,il de tenir compte de l’action des hydrates d’alcool m srnts dans le mélange.

L. aillADU7Zt. - Di alcuni fenomcni osscrvati netht ""’:11’11’.1 fli nu t’u h’ th’ 11 Huhn1korU’ (De quelques phénoiiiéiies ubservés dans la utûrlr:~r~tr~ d’IIJB{> 1> >1»ii, de Huhmkor~’). 2013 P. 42~.

Dans le primaire de la bobine se trouvant Illlt_’ ~f’lI~-tIIil1[~’tlun~ un rhéostat à sulfate de cuivre et un interrupt « ii i BB t’hnelt; le secondaire porte un excitateur à électrodes de formes variées. 1/auteur étudie alors la variation d aspect de la décharge quand 11 l’t’--’I,,-L111(’’’ (d la self-induction du primaire varient, et surtout constat-- 1 ;1,«ii;« de toute décharge pour certaines valeurs déterminées (li- e’’~ deux

quantités,

L. Pl"LLLBBTI. - ~Ull.l t1U(ll’l’’’’B’,’Il¡d d,’B B.I(I.’I’f’ dl ""Idl" .~IBr la 111 >

de la vapeur de s"dnnn . - P. 4~’!.

I.es expériences faites mettent hors de doute 1 exist’ h dl" i, 1,,

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D le spectre de tluorescence de la vapeur de sodium,

t’,," ~ -tée par ~I. "-moa. La lumière excitatrice de laquelle

elles proviennent est justement celle des mêmes raies : mais, dans

le petit intel’valle spectral occupé par elles, la lumière d’une cer-

taine longueur d’onde peut exciter aussi l’émission de lumières de lt~pm~ar· d onde différentes.

A. P ( )( : B1 ET TI,’ ( 1 2013 ~ul!~ catiui~t-(mnine~~’k’I1Z~ Il e i ~nsta-m i Sm la IllI1111l"...,’(’!ll cathudique 1’, métaux . - p, .:H~.

Cliaque minéral capable de devenir lumineux sous l’influence des rayons cathc~fl~fylt~5 émet une lun1Îère d’une couleur caractéristique, lajii>11>, j> >iii° 1>, mim~r~cllt appartenant à la même espèce, est indé- pendante delà couleur naturelle du cristal étudié; la durée de cette luminescence, après que les rayons cathodiques ont cessé, est va-

rial.le ~ elle n’est complètement polarisée dans aucun des corps

étudiés ; 1 orientation du plan de polarisation est aussi variable.

Une anisotropie produite artificiellement dans un corps amorphe

amène une polarisation partielle de sa luminescence cathodique.

P. GAMBA. 2013 [nt1Uf’nza dol Illfldll di pr/H’t’llI-ri’ Il(’Ila defuflllrl/Í’Hll’ ~ul1(’ proprietà

elasticW nel mat’tin’ jInllii,>ii>. du i»,,1> de productum de 11 dtdormation sur

le, j>1,,j>ii.i>, (Iii liioll’hl’l’ , -- l~. 416.

L’auteur a été ~ >ii 1 ii 1 1, par ses recherches précédentes (’), à penser que la déformation moyenne du n1arbre varie avec la manière dont on

li> déforme. Il applique successivement à la même lame, en la rame-

nant chaque roi..., a 1°>1it iiiitial. 11I1 poids, puis des fractions de ce

poids successivement à intervalles donnés, de manière que l’ac- tion de ces poids fractionnaires et celle du poids maximum aient la même durée. Il trouve que les déformations obtenues varient avec la manière dont sont appliquées le, 1°>1,.>s agissantes ; elles augmentent quand on fractionne le poids maximum.

Charles TOUREN.

1 11, ; -. 1 . 1 B 111, p. 693 ; 1899 et t. 1 Y, p. 4UG ; f ~1U0.

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