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Il nuovo cimento ; - Série 5. t. VII: 1 semestre 1904
Charles Touren
To cite this version:
Charles Touren. Il nuovo cimento ; - Série 5. t. VII: 1 semestre 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.357-366. �10.1051/jphystap:019060050035700�. �jpa-00241116�
357
IL NUOVO CIMENTO ;
Série 5. t. VII: 1 semestre 1904.
1.1. LÀ POSA. 2013 Sulle correnti di Duddell (Sur les courants de Duddell,. - P. 5.
L auteur rappelle l’hypothèse de :B1:B1. Ascoli et Manzetti ,’j et les
travaux de :B1. Corbino (2~. Il cherche à vérifier ce résnltat de 1I. Cor- bino que le courant alternatif dans le circuit dérivé a une forme sinu- soïdale. - En modifiant les diverses circonstances du phénomène, il
arrive aux résultats suivants : l’amplitude des vibrations dans le circuit de Duddell est indépendante de la résistance; elle n’est pas reliée par une loi simple avec l’inductance du circuit dérivé, mais elle croît quand celle-ci diminue, et ses variations, pour une varia- tion donnée de l’inductance, sont d’autant plus petites que la capa- cité est plus petite et l’intensité principale plus grande ; quand cette
dernière est petite, l’amplitude tend à varier en raison inverse de la racine carrée de l’inductance. - L’amplitude n’est pas liée non plus
par une loi simple à la capacité, mais elle croît avec elle ; quand
l’intensité principale est faible, cette arnplitude tend à varier pro-
portionnellement à la racine cubique de la capacité. ’
C. ~’~t.ICIAiVI. - Conduttività termica deH’ipoalotille (Condndihil1tf’ thf’I’IJliquc du peroxyde d’azote . - P. 1 ~.
MM. Magnanini et 10 7~unino ~1) ont étudié la variation de la con-
ductibilité du peroxyde d’azote, comparée à celles de l’hydrogène,
de l’air et de l’anhydride carbonique; ils ont t ~~~ ~m ~~ que cette varia-
tion diffère essentiellement de celle des gaz non dissociables, puisque, au lieu de croître constamment avec la température, elle présente un maximumvers 7()O, température correspoiidant aux plus grandes variations de la dissociation.
~1. Feliciani reprend ces expériences par la n1(~thtldl’ iu 1>li>,1lis- sement, pour déterminer le coefficient de conductil)llltt- Jans l’ititer-
--
(1) Rendic. des I i~ttiei, tt)02, 2e sem., rase. i : - J. de Phys., s. S, t. III. p. 81.
(’~) Atfi .1.,,,>.. E~//~~-/~. Ifttl . ~ vl. VIL 1 1" ’1’7: 1~H)~: - .I. tlE’ l’fi,/,., 4’ série, t. l I I, ji :;j1. 1~~~~ ~.
(3) ~(lvr’~fP t’%ttl~rrr~ttr’ tlrr%tPrttlr’. 1~’)". 1~~. 11 -il! 1
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050035700
358
valle de température où a lieu la dissociation, et pour établir une relation reliant les deux phénomènes. Il retrouve l’allure anormale de cette conductibilité, qui déprend d’ailleurs de la pression, de la température, et qui est plus grande que celle de tous les gaz non dissociables ; enfin le coefl’icient de conductibilité est approximative-
ment proportionnel au coefficient de dissociation.
Q. il.lJ ~ ~ It .1 ~ .~ . - Su el 1 iina proprieta caustica delle fiamne manometriche (Sur une propriété des flammes nianométriques). - P. 35.
Une flamme manométrique convenablement utilisée peut provo- quer des vibrations dans l’air ambiant et reproduire le son qui cause
ses variations d’intensité; il suffit de faire agir sur elle un courant
d’air, par exemple en soufflant avec la bouche ou avec un cllalumeau.
Ce phénomène est comparable à celui de l’arc chantant.
F. GARELU et P. FALCIOI,~. - Ricerclie crioscopiche sopra soluzioni di gaz in liquidi (Recherches cryoscopiques sur les solutions des gaz dans les liquides).
- P. 37.
1B1. Raoult a indiqué que tout gaz dissous dans un liquide en
abaisse le point de congélation ; mais on n’a pas fait d’expériences à
ce sujet. Il n’est pas facile d’obtenir l’abaissement maximum, qui correspondrait à la solution saturée de gaz à une température très
voisine du point de congélation du dissolvant : comme on a deux
composants indépendants (dissolvant et corps dissous) et trois phases (glace, solution et mélange gazeux), l’équilibre est monovariant;
pour avoir un point multiple, c’est-à-dire un abaissement maximum, il faudrait une quatrième phase, séparation du gaz solidifié ou liquéfié,
ou séparation d’uu composé du gaz et du dissolvant (hydrate).
Les auteurs se sont limités à maintenir le liquide à une température
constante, proclle de son point de congélation, à saturer alors le liquide de gaz, et à mesurer l’abaissement du point de congélation puis, avec des solutions plus pauvres en gaz, ils ont étudié l’allure du phénomène aux diverses concentrations ; ils donnent à chaque
concentration l’abaissement obtenu, le coeflicient d’abaissement,
l’abaissement moléculaire et le poids moléculaire coi,resp>ndant. -
Ils ont ctu’H’’ les solutions du gaz sulfurique’ dans l’eau ,,assez peu
dissocie), du gaz carbonique dans l’eau assez peu dissocié), du gaz
359
carbonique dans le benzol ;non dissocie , de 1 acétylène dans le
benzol.
Quand un gaz se dissout dans un liquide quelconque avec le poids
moléculaire
théorique,
de l’abaissement maximum 3 du point de congélation il sera facile de déduire la concentration c par la for- mule :,,~ étant le poids moléculaire du gaz, et k la constante cryosco-
pique du dissolvant. Si le gaz se dissocie, on substitue à la valeur
théorique du poids moléculaire sa valeur réelle. Les auteurs étudient les solutions de divers gaz BS02, C02@ C21¡:~, Az~O dans l’eau, le benzol, les acides acétique et formique, etc. - Les résultats obtenus pour le coefficient de solubilité sont d’accord avec ceux des auteurs
qui les avaient déterminés par les méthodes ordinaires.
F. FLORIO. - Un distillatore per mercurio. un sifone ed akune pompe
(Un appareil à distiller le mercure, un siphon et quelques pompes). - P. 48.
1,. MAGRI. - ltelazioni fra l’indice di rifrazione e la densité 1>ll’aiia
(ltelations entre l’indice de réfraction et la densité de l’air). - p, ~ 1.
L’auteur rappelle les nombreuses recherclies faites pour établir
une relation entre l’indice de réfraction d’un gaz et sa densité, ainsi
que les trois lois proposées :
dérivant directement de la théorie de l’émission ;
donnée expérimentalement par Béer, puis par Gladstone et 1)ale ;
, tirée de la thl10ric électromagnétique de la lu-
mière simaltanément par (~. Lorenz et Il.-A. Lorentz. Les résultats trouvés jusqu’ici sont assez discordants.
M. ~lag’l’Ï a étudié la rél’raction de l’air sous diverses pressions. Il
mesure 1 indice par la méthode interférentielle et la densité par la méthode de Gale (1). Voici tes résultats :
Il 1,’indice de réfraction de l’air sous des pressions croissantes (1) 1’1/1/B, lt>1’., l1’, ~~ 1 : 1%~.
360
croît beaucoup plus rapidement que ce que l’exige la première loi;
2" La quantité
~~ ~! 1
croit aussi avec la pression, mais moins que la quantité -:1 I,~1 quantité semble au contraire se maintenir suffi-
sanment constante, si on excepte les valeurs obtenues au-dessous de 30 atmosphère, valseurs qui ne peuvent avoir la précision des
autres, parce qu’a 1(~ si petites pressions le densimètre n’a pas une
grande sensibilité.
’
E. DA~IELE. 2013 Sulla teoria nieccanica dell’attrito (Sur la tlléorie mécanique
du frottement). - P. 109.
Contribution à l’étude de la nouvelle théorie du frottement, inau- gurée par M. Painlevé dans ses leçons sur le frottement.
i’ rBBToBp - Sulle recenti ricerche di elettrostri;ione
~
~~~~Imnchas récentes d’électrostriction). - P. 126.
L’auteur rappelle d’abord les premiers travaux de M. More, déjà
discutés dans ce journal par Nl. Sacerdote (1). Puis il discute succes-
sivement les expériences de:B1. Shearer (B 2), les nouveaux travaux de M. 310re (3). qu’il trouve insuffisants, enfin les recherches de 1B’1 M. et :B 1 a x B B" i e n ( " ) .
l.lCLB.BU UULAXDO. 2013 ëupra atcuni 111’«bleI111 di ~quilihri() elastico (Sur quelques problè[ne.... 1’>jiiilil>i>e e[;~th)u’ . 2013P. lui.
(:, ... B1 y 1° >RNAI?I. - S>ji>«i 1 L’,!)t’I’lell¡.l ~lel 1~’m~~~v w t’mler (Sur l’expérience
ic B1’lIg....,’hBBender,. - p, itW .
M. Fornari répète l’expérience de i~Ieugschw-ender(°y. Il trouve
que les dépôts électrolv tiquas sont formés d’un nombre prodigieux
(1) J. de l’1~~~,~., 3° s., t. X. p. 200 : 190i.
~ ’ T IcP e l’!c ~~.,~~ fil liet’ir~w. t . 1I ~’, h. ~:a : - .l. rie /’/"/B,. Í "". t. l. P ?12ti : l’Iùù.
l’l~~l~>"~j~lrt{ ,~l 11~c~~,mrne. ~~ ~ . t. I I. (i. ’~-_’ ~ : - .I. ~1~’ l’%‘ , ~ . ~ ~ . t 1 , j> 1) Il,’,~ Iqo~.
I~, rt‘1,·. t"~"rl, ~~ t t B).p. 1~1~: !’’o2: t.Bt, p.~i’.: l’u.. ’ . , ,
«~ , t I i j, 1 t ~a ; . l~~na.
t , 11 mil _I~,~c.. t 1,X’"11 ’~"’ - .1. de l’l~lr,., :3" "’., t. B"Ill. p. - ’IJ 1 ’.
361
de particules métalliques infinitésin1ales: tant qu’elles ont humides,
on peut facilement renouveler les alternatives d’augmentation t-t de
diminution de la résistance : i ceci devient impossible dès qu*elles
sont desséchées. L’action thermique des ondes électriques est suffi-
sante pour vaporiser cette eau. d’ou l’augmentation de résistance.
Dès que les ondes cessent, le liquide recommence à s*insitiuer dans les intervalles des particules métalliques, et la résistance diminue de
nouveau.
A. ~TE1.1~1BI et 1.. MAGRI. - Alione del radio siilla scintilla elettrica
(Action du radium sur h-tincetle électi1ju« . -- il. i-~0.
Les auteurs étudient les systèmes d’électrodes formés de deux
pointes, de deux petites sphères, d’un disque et d’une sphère, et
enfin d une pointe et d’un disque. Si la décllarge a lieu entre deux petites sphères, ou entre une splière ou une pointe positive et un disque négatif, elle sera facilitée par l’action du radium pour de
petites distances explosives, empêchée pour des distances plus grandes. Si la sphère ou la pointe sont négatives et le disque positif,
on a seulement empêchement pour les petites distances explosives
dans un intervalle étroit, l’action étant généralement nulle. Entre la pointe ou la splière et le disque, on peut avoir une longueur d’étin-
celle telle que l’étincelle soit facilitée pour la pointe ou la sphère positive et empéchée en intervertissant les pôles.
G.-f t~ i~111.tt,l)1 r’t C. ACCOLLA, - Sûpra un apl’arl’t’f’lli" peI’ la iiiiurt di pic-
cult ailtitigaiiieiiti (Sui- un appareil pour la iiiesure d e~ petits allun !,!’t’Illf’ n t ~).
- P. 202.
Les auteurs emploient un appareil fondé sur la méthode du miroir tournant., analogue à celui de Nagaoka ~,’ j, et d’une t nt’~ grande sen-
sibilité.
(, il 1,lilB1 B 1.111 >1 (,..BCCOLLA. - Influenta d!.llt’ ,ii,1 (,1. iti i>lit> t’ .11,1 Illagne-
tlSlllO suli I~t~I’~’~1 l’11;;;ti,’,1 dE’I ferru ’Int1Ut’lle’" l>, «ii>1>; 1»> Il B11’11’’’ f’t du ina-
~tlt·tl~tl7e sur 1 lip.,i 1"--1’ . l i:tulu~’ du l’iri - l’. d1 1.
Lardon des ondes électriques sur l’lm ~t~’m’sis (111 !(-1-
(~ j Pjcilosophical .’~~ar~azi~ze, ~° s., t. :1‘~1’~’1 l, p. i3i ; -J. rle Phys., ~° s., t. 1 V. p’. 32;
i90â..
362
a conduit les auteurs à étudier leur action sur son lwstérésis élas- tique. lls ont étudié avec l’appareil précédent un cycle unilatéral de traction produit par des charges assez grandes, en éliminant soi- gneusement les causes d’erreur secondaires. Les expériences démon-
trent que dans un fil de fer recuit l’aire du cycle d’hystérésis élastique
diminue sous l’action des ondes électriques, cette diminution arri- vant dans certains cas jusqu’à 20 0 0.
Ils ont examiné aussi les variations de cette aire par l’aimantation dans un champ uniforme; les mesures réussissent moins bien à cause
de réchauffement produit par le courant magnétisant; on a encore
une diminution de l’aire, mais notablement plus petite. Cette dimi- nution est en relation avec les variations du module d’élasticité du fer par l’aimantation et avec la variation du décrément logarithmique
des oscillations du fil soumisà une torsion dans un champ magnétique.
E11ILI0 C1I)D(BE. - Pf’f l’estensione di un1 legge acustica (Poui 1 extension d’une loi a.coustique). - Il. 209.
On sait que, dans mn ébranlement périodique de l’air produit d’une façon quelconque, se produisent, outre la vibration de l’air de la même
période, une série de vibrations larmoniques plus rapides. Cette
loi cl’Helmholtz, vérifiées pour l’air, les fluides, les cordes et les lames vibrantes, n’a pas été étudiée pour des solides indéfinis. L’au- teur se propose de le faire ; il prend pour solide iiidélini la terre, les ébranlements étant produits par les secousses terrestres, et les sis- momètres servant de résonateurs. Il croit pouvoir affirmer l’existence des harmoniques et l’extension à ce cas de la loi d’Helmlloltz.
G. B!AH HM;LL!. 2013 EI"ttl’l//:tIlltJlI’.]1 :B1, Illii -tietcttrici amorti 111PI}janl,’ fcmpres
~1.’1I1 lâlrwtri~a(i~m de ynelynf~. lit>1> tiijii«, «iiii«ij>hu> par la ’’«mprc-’-ion).
- 212
L’auteur étudie diverses wwir~tt~s (te caoutchouc. le verre, le soufre, la paraflillll, LI g’BJllllllt’ 1,1j>it>i il produit soit une compression bru~u’’ {’.! 11 ,liiit> d’un punis, soit une compression gralii>11> par
un jet l rapide 1 df Illt’tWmw 1 tombant dans un vase placé sur le diélec-
trique. Il trouve hur la face pre:~st~~~ du diélectrique une charge de signe déterminé, propre a chaque diélectrique, et une charge de
363
signe contraire sur la face opposée. Les charges croissent avec la
surface comprimée et avec la force de compression.
P. (~ARDAM. 2013 Sulla dispersione elettrica pi-oclotta dai raggi del Rôntgen
;~ur la dispersion électrique produite par le~ rayons de Rônt-en,. - P. 241.
Le but de ces recherches est l’étude de la dispersion électrique
par les rayons Rüntgen par rapport aux divers éléments desquels dépend la décharge qui est la cause excitatrice de ces rayons.
L’auteur emploie la décharge de condensateurs en cascade, et il
mesure la dispersion électrique par iin électromètre Mascart. Il étudie les relations entre la dispersion et le nombre des décharges,
entre la dispersion et la pression, entre la dispersion et la différence
de potentiel aux électrudes du tube, entre la dispersion et la capa- cité. La dispersion électrique pour des capacités peu élevées croît
proportionnellement au carré de la différence de potentiel entre les électrodes, et pour les différences de potentiel peu élevées propor- tionnellemeut à la quantité d’électricité qui prend part à la décharge ~ donc, en somme, elle croit proportionnellement à l’énergie disponible
entre les électrodes du tube. -- La quantité d’énergie qui, transportée
par les rayons X, est dépensée dans l’ionisation de l’air traversé,
croît proportionnellement à cette énergie.
Pour obtenir dans un tube Rontgcn les conditiuns les plus favo-
rables à l’émission des rayons X par les décharges des condensa-
teurs, il faudra réduire la pression à la valeur pour laquelle la décharge ne donne pas de luminosité dans le tube, employer les
différences de potentiel le plus élevées possible et envoyer à travers le tube la plus grande quantité d’électricité. - L’auteur a enfin
vérifié, par des épreuves photograpliiques, la proportionnalité entre
la dispersion et les effets photographiques, déjà obtenue par l{lgl1i, Donati, etc.
« 1°1 1’ 1.B 11. -- :""ldI111!1IIt’II/a d4’Í (hek’tt!’t’’t suthii ~ut ,iij>> m,~;~m~im~~ n’ 111’1 it>
1;ii l,i "nvexiunc eictirica (B~ll1’ l’ult1uellt’t’ des lit>1. W ~lmw , >li1, "111’11’B’11 ~ml~
mw~n~~tnluc entendre partacorivecHon l’let"ll’lt[lll’ , - P. 1’>1.
1.: a Il t f’ U rra p pl’ il e d’abord les tl’ a B’ a U x ~ i 1111 d t allt ’ s de 1 B LB 1. iB’nder et et ceux de M. y, 1B a (’ pl’ J}. l~’ e s l à l’expéncnrc ,~ ci 1 . , ï dl’ r
quelle est la cause des résultats négatifs de :B1. Cl’lllnieu, Mais on
364
peut étudier la question théoriquement, en déterminant quelle alté-
ration produira. dans le champ électromagnétique dû à la translation uniforme d’une charge électrique parallèlement à un plan conduc- "
teur indéfini, la présence d’une couche mince d’un diélectrique
solide d épaisseur constante étendu sur ce plan. On peut donner de ce problème une solution approchée, qui diffère de la solution rigou-
reuse par des quantités absolument négligeables au point de vue pratique. On est alors conduit au résultat suivant : cette couche de
diélectrique n’apporte pas d’altération sensible au champ électroma- gnétique de la charge en mouvements, quand on néglige les termes
en (t’2, 1 ’’tant le rapport entre la vitesse de la convection et la vitesse de la lumière: c’est précisément la conclusion de :B1. Vasilesco Karpen.
F. ()Dla(1B~. - Per Io studio della tf>1l1ppratura dell’aria alla sommité (le] monte Posa (Pour r’’tude de la tpll1¡It’I’,tllll’l’ de l’air au sommet dti 11111111 H’se . 2013 P. 280.
L’auteur étudie les variations présumées de la température de
l’air à la station du sommet du mont Rosé. On a trois moyens de
prévoir la température moyenne pour chaque mois de rainée, soit
en partant de la température au bas du mont et appliquant la for-
mule reliant la température à l’altitude, soit en se servant des obser-
vations thermométriques pendant des ascensions aérostatiques à des
aitittides analogues, soit en se servant des températures rapportées
dans diverses relations d’alpinistes. 1B1. Oddone discute la variation
journalière et la variation annuelle, la moyenne annuelle, les
minima et maxima absolus, l’amplitude journalière et l’amplitude
annuelle (différence des moyennes extrêmes).
zi)B l’ B . - Su lm spdtro emt~-s~r 1,ii tubi (h l~ei",sler nel campo magnetico
.‘’‘t1I’ te spectre Pillis par If’--. tubes de Geissler dans le ’’hamp ttl~Z!,’I1~’tlytlt’~’. -
p, ;j:! l.
L’auteur reprend ! examen de cette question, pour savoir s’il
s’agit d’une action ~p·’~~ifi~lm~ ~iu magnétisme: il étudie l’hydrogène,
le (’hIe >1>, le brome, l’iode, le chlorure d’étain, le chlorure de silicium et 1 azutc. - Il a cherché à résoudre la question suivante : étant donné le spectre produit par le champ magnétique dans un tube à vide, est-il possible de le reproduire en en1ployant ‘t’ulfmmnt des
365 condensateurs? La réponse est affirmative : on n’a donc pas affaire
avec une action spécifique du magnétisme ; ce pliéiioniàne n’a rien
de commun arec le phénomène de Zeeman.
C. SCOTTI. - Su la risonanza ottica (Sur la résonance optique). - P. 334.
~I. Scotti rappelle que :B1. Garbasso ,~~) a montré qu’un système de
résonateurs de Ilertz jouit de quelques-unes des propriétés optiques
les plus importantes des corps matériels ; il résume les travaux de Iliibens et Michels (2 ) et ceux de Ài’ood ,3 > ; ce dernier, s’occupant
d’études sur la dispersion anomale et l’absorption des vapeurs des métaux alcalins, trouva sur les parois des ballons refroidis des
dépôts métalliques qui, au microscope, se montrèrent formés de noyaux dont les dimensions était reliées simplement à la longueur
d’onde des rayons réfléchis ; -, et il répéta avec eux les expériences
de Garbasso. - Puis M. Kossonogoff ( ·) retrouva des résultats ana-
logues avec le résidu du séchage de gouttes de solutions de dérivés de l’aniline, et 1B1. Bock- fit des expériences relatives aux gouttes dans un jet de vapeur d’eau.
L’auteur distingue les premiers travaux, relatifs à des corpuscules métalliques isolés, et les derniers, où il n’y a que des particules dié- lectriques ; MM. Kossonogoff et Bock leur appliquant des raisonne- ments qui n’ont de valeur que pour les conducteurs. Il reprend donc
ces derniers travaux, et il conclut que les résultats trouvés sont
l’expression de circonstances purement fortuites.
G. I’1C(~l.’~1’l. - Flusso di enerfrin c radiazione nel campo elettruIIlI!.2llf tif Il ~f n’ - rato dalla convezione eletti-i(-~-i Ftux d’énergie et radiations ~l iii- 1,~ B 1,,iiii) électromagnétique produit par ta ollvection électriquc). - l’ »1 Í
Étude théorique de l’induction électrodynamique produite par une
charge électrique se déplaçant d’un mouvement plan dans un di"- lectrique indéfini, impolarisable, en repos.
’ ’1’ ’~ ~~~
B1~’lll, ~~6. ~ii~ : 1893; - J. dt’ l’lc!/s...3° ":., t. Il 1 =’ ’ ’ ’ ’ ’ ? ’1
, ’II 1
1 l ’r - 1 f 1 B. i d,: t ~q~ ,
, /’/~/~.~A 1I ~F, . I I ] ;’11,. ell i ’’c’l~~t,
1 B ,~ 1 >« 1
~w7~r r~l. f · , ~ ~ ~. l~)04 1 -~ F~e.~(sc~lc~ r~’t
,
~ n. 1. ~9 et illi 19U3.
366
L. OI~I,~~DO. - Sulla deformazione dL un sulido isotropo litmitato da due piani paralleli Sur la 1>foruiati>n d’un ~ulide isotrope limité par deux plans paral- lèles ) . - P . 1 4 1 .
A. t3EliB 1 ~ 1 - ~-;tilla tnagnetL/zazione di alcuni metail i alcalini (Sur 1 .uni~ntatton de quelques métaux alcalin" - P. 4.H.
~1. Bernini étudie 1"almantation du potassium, du sodium et dit
lithium à l’aide d’un appareil analogue à celui qui a servi à ~1BI. Cu- rie et Chencvau pour déterminer les constantes magnétiques des
sels de radium. Il trouve, comme l’avait trouvé autrefois Lamy (t) pour les deux premiers métaux, que ces trois métaux sont faiblement
magnétiques ; leurs coefficients d’aimantation sont respectivement égaux à :
o , 5438 . 10-6, 0,632 . t0-r~, 0,3836 . 10-5;
enfin ces coefficients diminuent avec la température, et ne subissent
pas de variations brusques au changement d’état.
CHARLES TOUREN.
X. - lelinek’s Anleitung zur Ausführung, meteorologischer Beobachtungen nebst
einer Sammlung von Hilfstafeln (Erster Teil, Stationen I bis IV Ordnung) (Instructions d’Ielinek pour la conduite des observations météorologiques,
avec des tables ; 1re partie, stations du 1er jusqu’au IVe ordre). - Imprimerie de
la Cour, Vienne, 1905, et en dépôt chez Wilhelm Engelmann, Leipzig.
Cette nouvelle édition des instructions météorologiques est desti-
née aux services de l’Autriche. Elle comprend, en plus d’une cen-
taine de pages, la description détaillée de tous les instruments, leur
mode d’observation et un appendice sur certains phénomènes spé-
ciaux. A. GALLOTTI.
F. PIOLA. - Condi di massimo effetto nel detector Marconi (Conditions du
maximum d’effet dans un detecteur Marconi).2014 Elettricista, vol. XIV, fasc. 4 ;
1905.
Rappelons qu’un d.t-ch’ur Marconi est constitué essentiellement par une substance magnétique qui parcourt un cycle déterminé sous
~~) A~t~r. ~l~ ~’lciot. Pt ~le l’lr~~~.. :.~ ~.. t. I.l. ~. :~~~ ~ 1