• Aucun résultat trouvé

Philosophical magazine

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Philosophical magazine"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238201

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238201

Submitted on 1 Jan 1884

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Philosophical magazine

B. Élie

To cite this version:

B. Élie. Philosophical magazine. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.149-154.

�10.1051/jphystap:018840030014902�. �jpa-00238201�

(2)

l3eetL l’avait déjà fait remarquer (1), la variation observée est du même ordre de grandeur que celle que l’on devrait attendre, par suite du changement de dimensions résultant de l’aimantation, si la conductibilité électrique demeurait invariable.

E. BOUTY.

IGN. CANESTRELLI. 2014 Sulla graduazione dci galvanometri (Sur la graduation

des galvanomètres); Reale Accademia dei Lincei, 3e série, t. VI, juin 1882.

L’auteur a gradué avec le plus grand soin une boussole de Wiedemann antérieurement étudiée par M. Blaserna. En appli-

quant la méthode qui avait été employée par ce physicien, il

trouve que la Table de la boussole, dressée douze ans auparavant, n’est plus rigoureusement applicable : il ne suffit donc pas, pour les recherches de haute précision, de graduer une boussole une

fois pour toutes : ces mesures doivent être répétées de temps en temps.

La comparaison de la boussole de Wiedemann à une boussole de Gaugain construite par Ruhinkoifi a montré que cette dernière s’écarte sensiblement de la loi des tangentes. L’intensité du cou- rant doit être calculée par la formule

l’influence du terme en tang5? est loin d’être négligeable pour des déviations qui atteignent 45°. E. BOUTY.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE.

Tome XV; 1883.

EDLUND. - Recherches sur le passage de l’électricité dans les gaz raretés,

p. 1- 2 2.

D’après M. Edlund, la résistance au passage de l’électricité dans les gaz est la somme de deux termes, l’un r, 1 dû à la résistance,

( ) Ueber den Einfluss der J1fagnetisirung auf die Langen und clen Leitungs- widerstand von Eisenstäben (Pogg. Ann., CXXVIII, p. 173; 1866).

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030014902

(3)

150

dans le sens ordinaire du mont, de la colonne gazeuse de longueur

1 et qui décroît avec le degré du vide, l’auure e du à une force

électromotrice développée au contact du gaz et de l’électrode et qui

croît avec la raréfaction. On s’explic.Iuera l’utilité des recherches

expérimentales à ce sujet en réfléchissant aux anomalies que pré-

sentent les gaz lors du passage d’un courant. Ainsi, abstraction faite de l’influence de la pression, on sait que, tandis que, dans les

solides, l’intensité du courant n’est jamais nulle, quelle que soit la faiblesse de la force électromotrice, il faut que celle-ci atteigne

une certaine valeur pour que le gaz livre passage au courant.

Rappelons encore que M. Wiedemann a montré que la chaleur

dégagée était proportionnelle à rt et non à ri2 , et que, pour une même valeur de t, elle était indépendante de la section du conduc-

teur. La force électromotrice nécessaire pour établir le courant s’est de même montrée indépendante du rayon du tube et entre

deux points la différence des tensions électroscopiques, au lieu

d’être proportionnelle à nL, n’a pas varié avec i.

j)1. Edlund pense expliquer ces divergences dans sa théorie

unitaire des phénomènes électriques, dont je ne rappellerai que deux formules fondamentales, à savoir

Elles s’appliquent la première aux solides, la deuxième aux gaz,

et se déduisent de considérations sur l’écoulement d’un fluide dans des conditions spéciales : L est la longueur du conducteur, n

sa section, r la résistance de la portion solide des conducteurs, R

celle du gaz; elles laissent de côté l’induction du courant sur lui- méme, puisque la forme du circuit n’y intervient pas. Dans le cas

d’un courant permanent, la première donne

et la deuxième

C’est l’étude de la quantité R, c’est-à-dire de la contrepression

due aux gaz, que nous avons vue au début de cette analyse devoir

(4)

se composer de deux termes e et rt 1, qui fait l’objet, du Mémoire

actuel.

Dans unc première série d’cxpériences, le courant d’une ma-

chine Holtz est envoie dans un conducteur gazeux shunté par uni

galvanomètre et l’on constate que les déviations sont beaucoup plus fortes que si le courant est envoyé directement dans le galva-

nomètre, du moins à de faibles pressions du gaz. Les fortes dévia- tions donnent la mesure de e

-

1, 1. Dans une autre série d’expé- rinces, un courant d’induction de force électromotrice E parcourt

un circuit contenant le tube à gaz et le galvanomètre dont les dé-

viations mesurent alors E2013(e + r1 l). On sépare ainsi les in- fluences de la force électromotrice e du gaz et de sa résistance r, .

L’expérience montre que l’intensité du courant passe par un maximum pour des pressions gazeuses de quelques millimètres;

puis, la raréfaction croissant, e augmente, tandis que 1, décroît.

SHELFOIID BIDWELL. 2013 Résistance électrique du sélénium, p. ji-35.

Si l’action de la lumière sur le sélenium résultait, comme le veut lVloser, d’une dilatation calorifique qui assure les contacts, la rési-

stance du sélénium devrait diminuer quand on Féchaune par l’ac- tion de la chaleur obscure. Or l’expérience prouve que cette rési-

stance croît d’abord à partir de passe par un maximum et

décroît ensuite jusqu’à i oo°. La théorie de Moser est donc insuf- fisan te.

A. MICHELSON.2013 Évaluation du nombre de vibrations d’un diapason, p. 84-87.

Considérons un diapason muni d’un miroir et entretenu électri- quement à 128 vibrations par seconde et une dérivation du courant

principal contenant un tube de Geissler et un pendule qui ferme

cette dérivation une fois par seconde. Le tube de Geissler paraîtra

illuminé dans le miroir toujours à la même place. Mais, si le dia-

pason fait 128, 1 vibrations, l’image du tube occupera 10 positions

équidistantes.

(5)

152

W. BAILY. 2013 Spectre de diffraction des réseaux concaves, p. 183-187.

GLAZEBROOK. - Réseaux courbes, p. 37’j-38I, et p. 414-419.

L/analyse semble indiquer que lkI. Rowland a atteint dans la construction de ses réseaux une perfection qu’il sera peut-être dif-

ucile de dépasser. Plaçons-nous, en effet, dans le cas d’un réseau

cylindrique dont 0 est le centre. Les ondes émanées de Q, et dif-

fractées en A et P, auront en Q1 la même phase, si l’on vérifie

Posons

il en résulte

et une expression semblable pour Q, P en ii, et ?

Dans un premier mode de calcul, développons QP et Q, P sui-

vant les puissances de w et substituons-les dans (1); on obtiendra,

en négligeant les termes en w3,

c’est-à-dire Inéquation connue

à la condition de rendre nul le coefficient de w2, c’est-à-dire

(6)

d’écrit e

d étant une constante. Ces équations sont en coordonnées polaires

ii et Cf, celles de deux courbes qui se réduisent à un cercle de dia-

mètre AO pour d == 00 . Ce sont ces courbes que M. Bailv étu-

die ; elles sont conjuguées, c’est-à-dire que, la source décrivant

l’une, son image décrit l’autre et réciproquement (1 ).

M. Glazehrook remarqua, de plus, qu’il devait se produire des phénomènes d’aberration dépendant des ter mes en w3, et avec

une intensité telle que l’emploi des réseaux courbes pouvait ne pas être préféré à celui de réseaux plans observés à l’aide de lentilles.

C’est alors que :1B1. Ro-%vland indiqua que, d’après le mode de con-

struction de ses réseaux, les espaces compris entre deux raies devaient être égaux non d’après leur arc, mais d’après leur corde.

Si dès lors on développe QP et Q, P, non suivant w, mais suivant slll w, on trouve, pour les termes successifs,

Si donc l’imaâe et la source se trouvent sur la circonférence

les termes du deuxième et du troisième ordre disparaissent.

L’aberration ne dépend plus que des termes du quatrième ordre, qui se réduisent à

1 2nA sin3w tang §;

de plus, en vert u de n o ==a sin w, les termes du premier ordre

s’écriven t

(’ ) Yoir à ce sujet Journal cle Ph)’sique, 2e série, t. Il, p. i, 88b,; MASCART,

Réseaux métalliques.

(7)

154

expression indépendante due 11 (o étant la distance de deux traits)..

F. B.rIRRETT. - Des lueurs émises par un champ magnétique, p. 271-275.

Certaines personnes, après quelques moments de séjour dans

une chambre noire, sont impressionnées par un champ magnétique

intense.

A YHTON. - Résistance de Farc électrique, p. 346-352.

La distance des charbons restant constante, la force électrolllo- trice nécessaire pour maintenir l’arc n’est pas tout à fait indépen-

dante de l’intensité du courant, mais croît avec elle. Cette force électromotrice est proportionnelle à la longueur de l’arc augmentée

d’une constante. B. ÉLIE.

NATURE.

Tome XXVII (Suite).

A. STRAHAN. 2013 Les mouvements de l’air clans les fissures et le baromètre, p. 375.

On remarque à l’entrée de certains puits des mouvements d’air dans un sens ou dans l’autre suivant que la pression atmosphérique

augmente ou diminue : la quantité d’air déplacée est souvent

considérable. On constate facilement le passage et le sens de ces courants en fermant l’orifice par un couvercle muni de deux tuyaux de hauteur différente qu’on entend assez bien lorsque l’air

entre ou sort.

Ces courants d’air correspondent à des variations de pression

très faibles ; on ne les a observés jusqu’à présent que dans des puits

creusés dans les grès et dans lesquels on remarque soit au-dessus,

soit au-dessous du niveau de l’eau des fissures qui doivent commu- niquer avec des cavités considérables.

Le dégagement de grisou dans les mines est un phénomène,

analogue, cependant on n’a jamais constaté que la sortie du gaz.

Références

Documents relatifs

L’auteur montre que si l’on introduit dans le calcul des tensions les termes relatifs à la pesanteur, il ne faut pas considérer ces tensions. comme purement élastiques,

Pour la vapeur d’iode dont on obtient le spectre de fluorescence dans les mêmes conditions, la radiation excitatrice choisie est la. ligne verte très brillante

Le cas étudié par l’auteur est celui ou les oscillations sont excitées dans un circuit secondaire par rupture brusque du courant dans un.. circuit

Il La force électromotrice qui provient de ce que, dans le cas gé- néral, la concentration, qui décroît avec la hauteur, n’est pas la même au contact de chaque

- On the determination of chimical affinity in terms of electromotrice force (Variation de la force électromotrice des piles à deux liquides); Philo- sophical Magazine, 5e série,

si la tenlpératllre change; dans le systènze hexagonal ou tétra- gonal, ceci n’est vrcci que pour les droites perpendiculaires ou parallèles it l’axe de symétrie dit

le passage mécanique du chlorure d’une branche dans l’autre, ce qui produirait une diminution passagère de force électromotrice. Il faut aussi, quelle que soit la

La surface d’un métal se conduit donc comme la surface d’une.. Blondlot a trouvé de plus que, pour les solu- tions aqueuses diverses, P était la même fonction de