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Philosophical magazine - T. XXI; juillet 1911

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(1)

HAL Id: jpa-00241713

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241713

Submitted on 1 Jan 1911

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Philosophical magazine - T. XXI; juillet 1911

A. Grumbach, H. Vigneron, Ed. Salles

To cite this version:

A. Grumbach, H. Vigneron, Ed. Salles. Philosophical magazine - T. XXI; juillet 1911. J. Phys. Theor.

Appl., 1911, 1 (1), pp.665-673. �10.1051/jphystap:0191100108066501�. �jpa-00241713�

(2)

665 et la transformation est totale à 4000; il est d’autant plus petit que l’alliage qui a servi à préparer l’or brun est plus riche en argent.

B. ROUSSI’. - Existence d’une loi géométrique très simple de la surface du corps de l’homme de dimensions quelconques, démontrée par

une

nouvelle méthode. - P. 205.

Figures permettant la mesure du périmètre moyen et de la hauteur

périphérique moyenne totale du corps. Le produit de ces deux quan-

tités donne la surface de la peau de l’homme.

G. BOIZARD.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE ;

T. XXI; juillet 1911.

SIR 0. LODGE. - La conductibilité des gaz illustrée par le fonctionnement des soupapes électriques à vide.

-

P. 1.

L’auteur résume ici les idées auxquelles l’ont amené les recherches

sur les soupapes à vide qu’il a entreprises depuis quelque temps avec

l’assistance de M. Robinson : le courant qui traverse un tube à vide

serait transporté en grande partie par des particules positives qui

cheminent de l’anode à la cathode en contournant les obstacles

qu’elles peuvent rencontrer sur leur chemin, tandis que les électrons

négatifs issus de la cathode ont une trajectoire normale à celle-ci;

ils tendent à obstruer la route des atomes positifs et même peuvent

les ramener en arrière. La charge négative transportée par les élec- trons serait relativement faible, mais ils contribueraient à l’augmen-

tation du courant en ramenant des particules neutres au voisinage de

l’anode où ces particules peuvent donner des ions positifs.

.

De plus, pou,..r que les électrons s’échappent de la cathode, il faut

que la tension 2xG2 atteigne sur celle-ci une valeur critique, c’est-

à-dire qu’il y ait à son voisinage des centres positifs. C’est ce qui explique la lueur qu’on voit aux arêtes et à la pointe d’une cathode;

cette lueur est caractéris t ique du gaz et due à des atomes positifs de

celui-ci. Cette lueur se remarque aussi dans une cathode creuse ou en forme de spirale; c’est que les centres positifs y cheminent sans

obstacle. Pour qu’un tube à vide joue le rôle de soupape, il faut

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100108066501

(3)

qu’une des électrodes soit une spirale métallique soudée dans une partie du tube soufflée en boule pour faciliter l’accès des centres

positifs.

La deuxième électrode sera une tige émoussée placée dans une partie étranglée du tube ; c’est elle qui sera l’anode. Si on essaie de la faire fonctionner comme cathode, les électrons qu’elle émettra

arrêteront les particules positives; le dégagement de chaleur pourra être suffisant pour briser le tube.

1VI. Lodge donne comme exemple une expérience la soupape est munie d’une canalisation latérale à robinet qui fait communiquer la

boule B oû se trouve l’électrode en spirale avec la région A où est

soudée la deuxième électrode; l’espace A est séparé du reste du tube

par un étranglement. Il faut expliquer comment les électrons néga-

tifs ont si peu de part au transport de l’électricité ; l’auteur remarque que l’énergie mécanique dépend du produit nJnu2, tandis que le courant dépend de neu. Il faut de plus distinguer la quantité de

mouvement d’un électron unique et celle d’une agrégation d’élec-

trons.

J.-E. Relation entre la telnpérature et l’action moléculaire. - P. 8! .

L’auteur rappelle d’abord les articles sur l’attraction moléculaire

publiés par M. Kleeman (’ ) dans le même recueil.

En comparant l’équation que ce savant a obtenue en partant de la loi de l’inverse de la cinquième puissance aux résultats expérimen-

taux de Sydney Young et de ses collaborateurs, il conclut que les écarts ne sont pas dus aux erreurs d’observation.

Il rappelle qu’on ne peut guère admettre que la température ait

une action sur l’attraction moléculaire (9).

1B1. Mills reprend la question en partant de l’équation de Diete-

’rici (3) :

7

.

(1) Voir

ce

volume, p. ~142, 3i7, 452.

Arner. Electl’ochern. Soc., XIY, p. 3~ (1908:. Éitude de la réaction : 0 -- H20.

(3) DIETERICI, Ann. d. Pli. (’~), XXY. p. 569 (1908).

R ICHTER, Inaiiquî-al Disse/’tCl t ion. Rostock (1908).

JOU7’lI. AI?2. XXXI. p. 1099 (’1909y.

XX, p. 665 (1910).

Inaiig. Dissertatiora, Kiel (1910).

(4)

667 ou a, est la chaleur interne de vaporisation, R la constante des gaz, d la dens.ité du liquide, D celle de la vapeur saturante, C une quan- tité qui est à peu près la même pour tous les corps.

L’équation est en désaccord avec l’expérience pour les faibles ten- sions de vapeur; les résultats sont bons aux températures élevées.

L’auteur reprend ensuite le problème de l’attraction moléculaire en

partant de la loi de l’inverse du carré des distances. Les molécule s seraient en mouvement même au zéro absolu, la température serait

définie par la plus ou moins grande excentricité de l’orbite.

La relation qu’il en déduit pour le point critique s’accorde bien

avec l’expérience :

-

où d, est la densité critique, Ek la force vive moléculaire, ~.’ la

constante de l’équation :

A. GRUMBACH.

LAREUZ. - L’émission et l’absorption d’énergie par les électrons.

-

P. 66.

Dans cette étude l’auteur étend la théorie de la radiation complète

de Lorentz à toutes les longueurs d’ondes. Il étudie successive- ment : le mouvement perturbé à la radiation, la signification de

la loi de Wien, la forme de l’orbite d’un électron, l’absorption et

l’émission de la radiation. Les électrons négatifs se déplaçant dans

un champ de force conservatif dû aux charges positives, absorbent

de l’énergie empruntée à la radiation extérieure, et lui en restituent

par leur mouvement.

Dans ce mémoire l’auteur suppose, comme Lorentz, que les élec- trons négatifs ne s’influsent pas mutuellement, et que les charges positives sont immobiles. Il admet en plus que la radiation est sim-

plement un champ extérieur, s’ajoutant aux autres forces. Il espère pouvoir lever ces restrictions sans changer la nature des résultats

généraux établis.

C.-H. BERRY. 2013 Sur les ponts de pianos. - P. 113.

L’auteur étudie en détail le mode des vibrations des cordes de

(5)

piano en se servant pour repérer leur mouvement du déplacement ép rouvé par le pont mobile solidaire de la table d’harmonie.

C. B.-IRUS. - Interférences obtenues

avec

les réseaux par réflexion.

-

P. il8.

L’auteur étudie les divers modes d’obtention des interférences en se servant de réseaux par réflexion. Il étudie dans chaque cas la

m arche des rayons, la formation des images colorées, le déplacement

des franges, etc.

LORD RAYLEIGH. 2013 L’aberration dans les milieux dispersifs.

-

P. 130.

On admet généralement à l’heure actuelle que la méthode de la

roue dentée et celle du miroir tournant donnent non la vitesse de l’onde v, mais la vitesse du groupe d’ondes u, u, étant déterminé par

l~ variant comme l’inverse de la longueur d’onde. Dans un milieu

dispersif, v et u sont différents.

Quant aux deux méthodes astronomiques employées, celle re- posant sur l’observation des éclipses des satellites de Jupiter donne

évidemment u, et celle basée sur l’aberration donne, si l’on admet la théorie ordinaire de ce phénomène, la vitesse de l’onde v.

Récemment Ehrenfest a remis en question ce résultat et discuté l’assertion communément admise que l’aberration des étoiles donne

v plutôt que u.

Il a montré que les circonstances ne diffèrent pas matériellement de celles qui se rencontrent dans la méthode de la roue de Fizeau.

Le raisonnement qu’il emploie est assez voisin de celui suivi par lord Rayleigh. Celui-ci fait remarquer d’ailleurs que l’explication classique de l’aberration repose plutôt sur la théorie corpusculaire

q ue sur la théorie ondulatoire et nécessite en plus de supposer l’éther

n on perturbé par le mouvement de la Terre.

Dans le mémoire actuel, lord Rayleigh précise certaines parties

du raisonnement et montre par le calcul comment ii s’introduit sim-

plement dans la théorie de l’aberration à la place de v.

(6)

669

~

J. JOLY. - Sur

une

méthode de détermination de la quantité de radium renfermée dans les roches, minerais, etc. - P . 134.

La méthode classique employée pour déterminer la quantité de

radium contenu dans les roches laisse beaucoup à désirer. C’est une

méthode chimique qui consiste à transformer le corps à étudier en

deux solutions : l’une alcaline résultant du lavage du produit de la

fusion de la roche avec des carbonates alcalins, l’autre contenant en

dissolution dans un acide le résidu insoluble. Cette dernière solution est difficile à obtenir : une trace de précipité montre que le radium n’est pas entièrement dissous, et la libération totale de l’émanation par ébullition est ensuite impossible.

L’auteur a trouvé que l’on pouvait recueillir la totalité de l’éma- nation primitivement contenue dans une roche pendant sa fusion et

sa décomposition par les carbonates alcalins. Il a alors combiné un

dispositif de chauffage par une résistance de platine qui permet très

facilement et très rapidement de faire l’opération. Les résultats ob- tenus sont grandement plus forts que ceux que donne la méthode par solution, les différences atteignant 40 0/0.

C. S W ANN. - Le champ magnétique produit par

un

condensateur chargé

en

mouvement dans l’espace. - P. 150.

Un système de corps chargés se déplaçant avec une vitesse v dans

un éther immobile donne lieu en un point quelconque à un champ magnétique d’intensité P étant la polarisation électrique au point considéré, comptée dans une direction perpendiculaire à la

vitesse v. Rôntgen a cherché à déceler ce champ à l’aide -d’une

aiguille aimantée. Il n’a rien observé, car, ainsi que Larmord l’a montré

ensuite, les charges induites développées sur l’aiguille annulent

exactement le champ magnétique produit en chaque point intérieur

à l’aimant par les corps en mouvement. Il semble à première vue

que si l’on ne peut déceler le champ magnétique par une aiguille aimantée, on puisse espérer arriver à de meilleurs résultats en se

servant d’une bobine d’induction tournant autour d’un axe perpen- diculaire aux deux plateaux d’un condensateur plan.

L’auteur montre d’abord que, si l’espace compris entre les deux

(7)

plateaux est homogène, c’est-à-dire de pouvoir inducteur spécifique.

c onstant, le flux à travers la bobine est constamment nul.

Si au contraire une partie de l’espace entre les plateaux est rem- plie par exemple de paraffine, et l’autre par l’air ou le vide, on doit

observer un flux- magnétique à travers la bobine, pourvu que le pou- voir inducteur spécifique soit une quantité continue dans le milieu auquel il se rapporte.

L’auteur établit ensuite que la théorie des électrons satisfait aux conditions d’un diélectrique de cette sorte, tout au moins en ce qui

concerne le champ extérieur, mais la condition de continuité à l’intérieur du diélectrique n’est pas satisfaite, et il s’ensuit que le flux à travers la bobine sera nul dans toutes les positions. De sorte que l’absence d’effets constatés expérimentalement fournit une preuve de la nature discontinue de la capacité inductive spécifique et montre

que l’action diélectrique doit ètre expliquée par la présence d’élé-

ments de même nature que les doublets électriques, et ne peut être

attribuée à une force mystérieuse de torsion des tubes de force que les diélectriques seront supposés posséder.

H. ViGNERON.

R.-F. GROYTHER. - Sur les tensions dans

une

cellule sphérique pesante.

P. 191-193.

L’auteur montre que si l’on introduit dans le calcul des tensions les termes relatifs à la pesanteur, il ne faut pas considérer ces tensions

comme purement élastiques, et il indique l’importance de cette

remarque dans la théorie de la résistance des matériaux.

LEW’IS. -- Note

sur

la pression interne d’un liquide.

-

P. 193-197.

La pression interne d’un liquide calculée d’après la formule de Van der Waals est beaucoup plus faible que la valeur qe l’on obtient en partant, comme Dupré, des chaleurs de vaporisation. L’au-

teur montre que le désaccord disparaît si l’on admet que I = ç v2 a est

une fonction de la température de la forme :

(8)

671

BIRKELEY

ET

BURTON. - Thermostat pour maintenir constante la température d’une chambre. - P. 2il-21~..

Les auteurs décrivent un dispositif électrique. constitué par un

système de solénoïdes, un fléau de balance et un bras flexible en

alliage invar-laiton, permettant de maintenir constante à

un

demi-

degré près la température d’une chambre où était installé un inter- féromètre.

i

F.R.,tLNcK Sur l’origine des spectres.

-

P. 2i-~-2t9.

En se basant sur les variations que présentent les spectres du mer-

cure qu’il a observés dans l’eau, dans l’étincelle et dans les tubes,

l’auteur est amené à se rallier à l’opinion de BBTien relative à l’ori- gine des spectres.

Les spectres de lignes seraient produits par les vibrations des atomes neutres déterminés au moment de la recombinaison des électrons négatifs avec des restes positifs. Sous l’influence de l’électri-

cité, les gaz sont ionisés et leurs atomes peuvent se trouver dans des

états très différents. A ces états différents correspondent des spectres

de lignes différents.

Les spectres de bandes seraient dus aux vibrations des molécules.

F. CROzE:

E.-C. SNOW. - Note

sur un

mémoire de Rutherford et Geiger

sur

la probabilité

des variations dans la distribution des particules

a.

- P. 9 98-200.

Rutherford et Geiger ont donné, dans le Philosophical Magazine d’octobre, l’accord existant entre l’expérience et la théorie de Bate-

man pour que la probabilité de visibilité de particules x, émises pen- dant un certain temps, soit satisfaite. L’auteur reprend la question au point de vue mathématique, en se servant des calculs de Pearson et des tables de Khund.

En prenant un intervalle d’un quart de minute, l’accord est satis-

faisant, il l’e-st moins pour un intervalle d’une minute.

(9)

H. GEIGER. - Transformation de l’émanation de l’actinium.

-

P. 201---20.

Si l’on étudie le parcours des particules Y. émises par l’émanation de l’actinium, à l’aide de la méthode des scintillations, on trouve qu’il y a trois produits de parcours : 5,1, 5,7 et 6,5 centimètres ;

le premier correspond au dépôt actif, les deux autres aux particules

«

mises en liberté par l’émanation.

L’émanation de l’actinium consiste donc en deux corps : le premier

émet des particules

«

ayant un parcours 5Cm,7 et a une période de

4 secondes, le second des particules ayant un parcours de 6cm,5 et a une période de 1/500 de seconde.

_

J. TOWNSEND. - Charges des ions gazeux. - P. 20~-2i1.

Réponse à un travail de Millikan. L’auteur discute la question

des ions + à charge double. Si l’ionisation est produite par les rayons secondaires prenant naissance par l’action des rayons de

Rôntgen sur une surface polie, on trouve 1,26 et 1,24 1010 respecti-

vement pour les ions -~- et - : mais, si la surface est recouverte d’une couche de vaseline, on obtient pour les deux mêmes sortes d’ions res-

pectivement 2,06 et 1,22 10~°. Avec H et COI, on a des valeurs diffé- rentes pour les ions + de la même façon, et pour les ions

-

les mêmes valeurs que dans l’air. Les ions + à simple charge sont for-

més quand les rayons sont des particules projetées (rayons de Rônt-

gen secondaires non pénétrants), et les ions à charge double par l’ac- tion directe des rayons secondaires les plus pénétrants, ressem blant

aux rayons X, toutefois le processus de l’ionisation par les rayons de

Rôntgen est inconnu. D’ailleurs l’hypothèse de MilUkan, que la

plus grande partie de l’ionisation d’un gaz par les rayons de Rôntgen

est due à l’action des rayons primaires, est contredite par les tra-

vaux tout récents de Beattie et ceux de Wilson. Comme Franck et Westphal l’ont montré, les ions + à charge double ont

un coefficient de diffusion moitié des autres, ils ont un cortège pro- bablement plus considérable, par suite une vitesse d’agitation plus petite, et en conséquence ils auraient moins de cllance de rencontrer

un objet dans le gaz qu’un ion à charge simple. Dans ces conditions.

quelles sont les chances pour que les ions à charge double viennent

(10)

673

se fixer sur la goutte observée par Millikan, dans ses expériences ;

c’est ce qu’il est bien difficile de dire. Quant à l’objection de 31illel;an , que dans les expériences Townsend observe des charges doubles,

c’est qu’il y a des centres de grosseur considérable, ce dernier répond

que, si c’était le cas, les mesures de mobilité par la méthode deZeIeny

en seraient atteintes, en ce que par cette méthode ce serait la mobilité de l’ion le plus gros que l’on déterminerait.

.

A. S. EVE. - Absorption par l’air des rayons B du radium C.

-

P. 8-17.

Les mesures ont été effectuées en approchant une ampoule de

radium d’un éleelroscope dont les parois étaient formées de papier

noirci à la mine de plomb. La loi d’absorption est approximativement exponentielle. Si l’on appelle 1 l’ionisation due aux rayons ~, s la distance, u le coefficient d’absorption des mêmes rayons, lr2 varie à peu près comme e-:.t1’.

Dans la première série d’expériences, le radium était déplacé de 60

à 160 centimètres de l’électroscope, dans la seconde, de 2 à 5 cent- mètres ; ~., dans ces conditions, a été trouvé égal à 0,0033 pour le

premier cas et à 0,00~’~â pour le second.

Le coefficient d’absorption des rayons y pour l’air est entre 0,000021

et 0,000031, si ce gaz absorbe les rayons y comme les rayons ~.

Le parcours effectif moyen des rayons ~ à partir de leur source est

d’environ ~m,~ ; dans les mêmes conditions, celui des rayons y est de 250 mètres.

Des expériences ont été faites pour déterminer la valeur de p avec

le dépôt actif du radium sur une feuille d’aluminium, p a été trouvé

entre 0,012 et 0,013 ; il semble que le radium C émette une propor- tion considérable de rayons ~ lents comparables à ceux du radium B.

Dans le cas du dépôt actif du thorium B et D, p. oscille entre 0,024

et 0,023.

ED. SALLES.

J. de Phys., 5e série, t. L (Août ’1911.)

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