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Philosophical magazine ; t. XXIII; mars 1912

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(1)

HAL Id: jpa-00241763

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241763

Submitted on 1 Jan 1912

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

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H. Vigneron

To cite this version:

H. Vigneron. Philosophical magazine ; t. XXIII; mars 1912. J. Phys. Theor. Appl., 1912, 2 (1),

pp.398-401. �10.1051/jphystap:019120020039801�. �jpa-00241763�

(2)

KvRiLLE POPOFF. - Influence des divers procédés de mesures photométriques

sur l’estimation des grandeurs stellaires.

-

P. 925.

Théorie montrant l’influence de la luminosité de la région explo-

rée, influence différente pour les divers procédés.

ALBERT Sur les singularités de certaines vérifications

en chimie physique (1).

-

P. 933.

G. BOIZARD.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE ;

T. XXIII; mars 1912.

J. ROBERTS et C. ME1GII.

-

Sur l’instabilité des jets gazeux. - P. 368-375.

On sait que si la pression qui détermine l’écoulement d’un gaz à travers un orifice étroit est légèrement augmentée, au delà d’une certaine valeur le jet devient irrégulier; de même, dans certaines

circonstances, le jet présente une sensibilité particulière pour les vibrations sonores. La sensibilité est d’autant plus grande que le tube à travers lequel s’écoule le gaz est plus court, et par suite on a intérêt à utiliser comme ouvertures des trous d’épingles dans des plaques métalliques excessivement fines.

La hauteur du son qui peut perturber le jet gazeux varie dans d’assez grandes limites avec les caractéristiques du jet gazeux. Cer- tains jets sont sensibles à des sons dont la hauteur est voisine de la limite supérieure des sons perceptibles à l’oreille, d’autres, au con- traire, ne sont impressionnés que par des sons très graves.

Les auteurs ont fait diverses expériences en modifiant l’épaisseur

des plaques, la vitesse d’écoulement, etc.

C. TOI,MAN. - :Mécanique non newtonienne; hlasse d’un corps

en rnouvement. - P. 3î5-380.

Mémoire mathématique dans lequel l’auteur reprend les raisonne- (1) Voir Société de Physique, résumé des communications, 19 avril 1912.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019120020039801

(3)

ments, faux d’après lui, de M. Campbell, qui dans un article anté-

rieur avait cherché à prouver, en considérant une collision longitu- dinale, que la masse d’un corps en mouvement n’était pas donnée par la formule classique d’Einstein.

Ii. SCHEEL et W. HENSE. - La dilatation du mercure. Remarques à propos d’un mémoire de Callendar et Moss.

-

P. 412-4t?.

Les auteurs critiquent les expériences de Callendar et lB’Ioss et

comparent les résultats des divers expérimentateurs, Chappuis, Thiesen, Scheel et Sell.

GEIGER et NUTTALL. - L’émission de particules « par l’uranium. - P. 439-445-

Au cours d’expériences sur le parcours des particules « émises

par les différentes substances radioactives, Geiger et Nuttall ont signalé qu’il existait une relation quantitative entre la pénétration des particules oc et la constante de transformation du produit dont elles sont issues. En prenant les logarithmes de ces deux norribres et tra-

çant la courbe, on obtient une droite.

Une certaine difficulté se présentait pour l’uranium qui émet deux particules ce. Gei ger et Nuttal ont fait des expériences par la méthode de Brogg modifiée desquelles il résulte qu’il existe deux produits de longue période impossible à séparer par les procédés chimiques.

L’uranium I, dont la période est de 5 X 109 années, donne des par- ticules ce de parcours 2’0152,3 à la pression atmosphérique de et dans l’air, et est suivi par un produit, l’uranium 11, de près de 2 X 106 années, émettant des particules « de portée

H. VIGNERON.

BURTON. - Le 111icroazimut-mèlre, instrument pour mesurer les très petits déplacements angulaires.

-

P. 385-400.

L’appareil permet de déterminer l’azimut d’un miroir de petites

dimensions (quelques millimètres) avec une erreur maxima de

0,1 seconde d’arc. Le système comprend une source lumineuse F

dont on concentre la lumière au moyen d’une lentille L sur une fente

verticale S très étroite. Le miroir 31 dont on étudie les déplacements

(4)

angulaires est conjugué de S par rapport à une lentille achroma- tique 0. Les rayons réfléchis par 1~2 retraversent 0 et viennent former en S’, symétrique de S par rapport à l’axe principal de 0,

une image des franges de diffraction produites par S. On observe

ces franges avec un oculaire micrométrique dont on choisit le fil

vertical de telle façon qu’il couvre la partie médiane de la frange

centrale blanche, ne laissant de chaque côté qu’une bande résiduelle très étroite. On règle le fil de manière que les intensités des bandes résiduelles B et B’ soient les mêmes.

Lorsque cette condition est réalisée, un déplacement très petit du

miroir produit une inégalité très marquée dans l’intensité des bandes B et B’.

L’auteur indique ensuite comment il a réalisé expérimentalement

le dispositif théorique précédent et donne une théorie approximative

de l’appareil.

FERGUSON. - Mesures photographiques effectuées sur des gouttes liquides suspendues. - P. 417-430.

Dans deux mémoires sur les gouttes liquides suspendues, M.

thington a montré comment on pouvait évaluer la constante capil-

laire A d’un fluide en traçant sur du papier quadrillé l’image amplifiée

d’une goutte de ce liquide. M. Ferguson substitue la photographie

au dessin. Sur les clichés figurent non seulement le contour de la

goutte suspendue, mais aussi la surface libre S du liquide, de sorte

que la distance d’un point quelconque de la goutte à S est connue.

Les résultats de ce travail sont les suivants :

1° Dans le voisinage du sommet de la goutte, le contour apparent peut être représenté par une équation de la forme :

2° Les coefficients b et c se déterminent facilement ; connaissant

leurs valeurs on en déduit A ;

.

3° Cette méthode est très générale, elle est applicable au cas les

gouttes se forment à l’intérieur d’un autre liquide.

(5)

LORD RAYLEIGH. - Sur les lois de Fresnel relatives à la réflexion.

-

P. 431-439.

Les travaux de Jamin ont montré que la lumière réfléchie par le diamant est loin d’être complètement polarisée, quel que soit l’angle

d’incidence.

Les premières expériences de lord Rayleigh, faites en 1907,

avaient pour but de rechercher si cette anomalie peut être attribuée

à une couche superficielle de substances étrangères, comme cela se produit dans le cas de l’eau. Les nouvelles expériences de l’auteur

-sur le verre et le diamant montrent que cette hypothèse présente

une grande part de vérité et que cette couche doit intervenir dans d’autres phénomènes de réflexion.

AUBERT.

ANNALEN DER PHYSIK ;

T. XXXVII, nos 3, 4 et 5; 1912.

1~I. OWEN. - Recherches magnétocbimiques. Propriétés thermomagnétiques

des éléments. II.

-

P. 657-699.

Ce nouveau travail du laboratoire Bosscha complète celui de K.

Ilonda (1). Honda avait étudié les propriétés magnétiques de élé-

ments à la température ordinaire et aux températures élevées ; les

mesures de Owen se rapportent à 58 corps simples, dans un inter-

valle de température compris entre

-

190, et + 1.1000. Les éléments

non étudiés sont les éléments gazeux, les métaux ferromagnétiques

et 1~ métaux du groupe des terres rares inconnus à l’état métallique.

Les déterminations ont été faites par la méthode de Curie. L’em-

ploi du nouvel électro-aimant de H. du Bois a permis d’utiliser des

.champs plus puissants que dans les recherches antérieures (à la tem- pérature ordinaire, on pouvait atteindre 26.000 gauss) ; l’importance

des erreurs dues aux impuretés ferromagnétiques est par cela même diminuée.

Les résultats de Oven concordent avec ceux de Honda. La varia- tison de la susceptibilité magnétique avec le poids atomique, à la

(1) K. Ans. d. XXXII, p. 1027; i910.

,

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