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Paraissant 18 Mercredi et le Samedi à la tax-de-Fonds On' s'abonne a tous loSrbureaux de poste

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(1)

P r i x du n u m é r o : 10 centimes Bureaux: R u e d e l à S e r r e , 58

ABONNEMENTS

Un an Six mois

Suißse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

Union postale » 12.— > 6.—

Les abonnements étrangers se paient d'avance

Paraissant 18 Mercredi et le Samedi à la tax-de-Fonds On' s'abonne a tous loSrbureaux de poste

m-

ANNONGESr

11

suisses 20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats s u i s s e s à l'êtr*nger reçoivent le journal

•• = — > •• : •• • : . . * * . * & ' < —

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Cadrans et aiguilles lumineux à base de masse lumineuse radio-active

Zurich, le 31 janvier 1912.

Monsieur Frilz Huguenin,

président de la Chambre suisse d'horlogerie La Chaux-de-Fonds,.

Les articles de menaces, etc., parus ces derniers temps dans différents journaux et concernant les droits de M. A. Jung- hans et son ayant-droit, la Vereinigle Chren- fabrrRen von Gebr. Junghans & Th. Haller, nous obligent de vous donner ci-bas le. ré- sultat d'une enquête faite par nous et gne

•vous-,pouvez porter à la connaissance des lecteurs de la Fédération Horlogère.

Les brevets que M. A. Junghans a ob- tenus en Suisse, sont-ils valables?

Sur la demande d'un intéressé, notre bureau était chargé d'examiner cette ques- tion au commencement de 1910 déjà.

M. A. Jungbans, possède le brevet suisse n° 425S3 du 2$ janvier 1908, auquel vient encore s'ajouter le brevet n° 52928 du 25 juillet 1910, pris par la maison Vereinigte Uhrenfabriken von Gebr. Junghans &

Th. Haller.'

Le brevet suisse n° 42553 contient deux revendications avec lesquelles M. A. Jung- hans veut comme on le sait réserver à sa maison l'emploi de la substance lumineuse au radium sur des. montres.

Selon la loi suisse sur les brevets, un brevet délivré par l'Office des breveta n'est valable que si l'objet de la demande est nouveau.

Comme on le sait, des essais de munir les cadrans et aiguilles avec de la substance lumineuse pour permettre de voir la posi- tion des aiguilles la nuit, ont été faits il y a déjà 30 ans environ.- Quelques modes d'emploi sont brevetés, voir p. ex. les brevets français n° 122.987 du 4 mars 1878 ol brevet additionnel n° 139831 du 24 no- vembre 1880, les brevets anglais n° 2993-1878, n° 5026-1879, n« 7019-1890 et le brevet allemand n° 5458-1878, etc.) Pour ces montres, on employait la substance lumi- neuse connue à cette époque; sitôt le ra- dium découvert, il fut employé pour la fa-

brication de masses lumineuses et déjà en 1903, un nommé Georgfes F. Kunz deman- dait quelques brevets pour différentes mas- ses lumineuses radioactives aux Etats- Unis d'Amérique du Nord. Deux brevets, n° 789.811 et 789.812 fui-ent délivrés le 16 mai 1905. Dès ce jour, les descriptions de brevets étaient en.ventejdans les librairies et bibliothèques. L'un['de ces brevets, n° 789.812, dit expressément que la nou- velle substance lumineuse tadio-aclive, fa- briquée en forme de poudre ou liquide, peut être particulièrement appliquée avan- tageusement aux montres pour indiquer l'heure, appareils de mesure, numéros des

rues, etc. Dans un autre brevet américain, n° 863.287, demandé le 23 décembre 1903, il est décrit spécialement «l'utilisation de la masse lumineuse radio-active sur cadrans et aiguilles».

M. A. Junghans annonçait son invention seulement cinq années plus tard, le 15 et 18 juin 1907 en Allemagne comme modèle d'utilité, et le 28 janvier, 1908 en Suisse comme brevet n° 42.583. Ensuite de la pu- blication des descriptions des brevets amé- ricains, connue également en Suisse, le brevet suisse est non-valable. En date du l

or

mars 1910, nous écrivions donc à M. A.

Junghans en le sommant de faire radier le brevet suisse n° 42553. Notre lettre fut transmise pour réponse à un agent de bre- vet de Berlin, avec lequel nous avons eu un long échange de correspondance relatif à la validité du brevet suisse n° 42553.

Comme nous demandions une solution dé- finitive, on nous annonça la visite de M. A.

Junghans, mais son fils, M. le D

r

O. Jung- hans, ainsi que son agent de brevet de Berlin se présentaient à Zurich. Dans une conférence tenue le 18 avril 1910 avec ces messieurs, des propositions furent faites à notre mandataire et M. le D

r

Junghans voulut l'engager d'aller à Schramberg, afin de conclure un arrangement. Les négocia- tions échouèrent cependant. Quoique M.

Junghans doive savoir qu'en Suisse on ignore son brevet, il recule devant une plainte en Suisse et cherche par des an- nonces à intimider les fabricants d'horlo- gerie et à leur faire croire que l'utilisation

de masses lumineuses radio-actives consti- tue un procédé punissable. (Voir annonce dans le n° 41 du 25 mai 1910 de la Fédé- ration Horlogère Suisse.)

Afin de délivrer le commerce de mon- tres d'une inquiétude provoquée par un brevet fictif, une demande d'annulation du brevet suisse n° 42553 est faite actuelle- ment et le procès a lieu devant le Tribunal de commerce de Zurich, malgré l'opposition

„de M. A. Junghans qui aurait voulu^porter le procès devant un autre t r i b u n a l , . * ' "

La revendication du deuxième brevet n° 52928 du 25 juillet 1910 est la suivante:

« Procédé pour le fixage de la substance lumi-

«neuse dans les creusures des parties indica-

« trices aux montres, etc., procédé consistant à

«introduire la masse lumineuse dans les' ereus-

« sures et de les couvrir par des petites plaques

«de verre, et dont là masse lumineuse se trouve

«en une telle abondance et où les plaques de

«verre ont des dimensions telles que leurs sur- rt faces ne dépassent pas celles des parties indica-

« trices. »

S J S K * ?1?

/

Au point de vue du droit, ce brevet est contestable; nous laissons à d'autres per-, sonnes plus compétentes que nous de juger s'il possède une valeur pratique. Ce-

pendant, nous nous permettrons d'ajouter encore ceci :

Au moment où la demande pour l'ob- tention d'un brevet allemand correspon- dant au brevet suisse n° 52928 fut faite le 13 janvier 1910, nous avons protesté con- tre la délivrance d'un brevet. En première instance déjà nous avons obtenu ce résul- tat, que l'étendue des revendications fut sensiblement restreinte et nous ne doutons pas que cette demande d'un brevet alle- mand par M. A. Junghans aurait été com- plètement refusée, si nos mandataires avaient porté la chose devant la seconde instance.

Nous envisageons avec certitude que les

fabricants intéressés ne doivent paa se

laisser intimider plus longtemps par la mai-

son Junghans, du moment qu'il est prouvé

d'une manière suffisante que la dite maison

ne cherche qu'à différer le plus possible

une solution, pour tirer à elle seule le gros

bénéfice qui résulte du commerce avec des

(2)

80 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

montres munies de masse lumineuse radio- active.

Avec considération,

EBINGER & ISLER,

Patentanwalts-Bureau.

Les ventes à l'Exposition nationale La question des ventes au détail des montres, à l'Exposition nationale, Berne 1914; a été tranchée par le comité du groupe 28, dans le sens du maintien du droit de vente prévu et encouragé par le

Programme général et organisation,

adopté par la commission nationale.

Dans un rapport du Bureau du Comité adressé à la Direction de l'Exposition, en réponse à la requête des horlogers détail- lants, il a été rappelé que l'enquête faite par le Comité central de la Chambre suisse de l'horlogerie, avait d o n n é comme résul- tat que 11 sections, parmi lesquelles les plus importantes, s'étaient prononcées en faveur du maintien du droit de vendre et q u ' u n e seule avait émis un avis contraire.

• Voici du reste comment se termine la réponse du Bureau du Comité du Groupe 28, conforme à la décision prise par le Comité dans sa séance du 7 courant.

I. Le Programme général et organisation dit que les organes de l'Exposition favori- seront autant que possible la vente des ob- jets exposés.

II. La suppression du droit de vente de- mandée, en ce qui concerne l'horlogerie, par l'Association des horlogers suisses, qui a obtenu l'appui de sept associations d'Al- lemagne et d'Autriche, rendrait nécessaire . u n e revision, sur ce point, du Programme

-général et-organisation, dans le sens de l'in- terdiction de vendre appliquée à tous les ob- jets exposés.

III. Cette interdiction aurait pour consé- quence prévue, en ce qui concerne l'horloge- rie, de diminuer de façon appréciable, le . nombre des exposants, ce qui enlèverait à , l'exposition de notre horlogerie, le caractère d'une manifestation générale et complète qu'elle doit avoir.

O n sera surpris, dans le monde horlo- ger, de l'ingérence abusive, pour ne pas dire plus, d'associations étrangères dans l'organisation de notre exposition nationale et l'on se demandera de quoi il faut le plus s'étonner : de leur m a n q u e de tact ou du . m a n q u e absolu de dignité dont a fait

preuve l'Association des horlogers détail- lants suisses.

La Suisse aux Expositions

La commission suisse d'expositions a décidé à l'unanimité de proposer au Con- seil fédéral que la Suisse renonce à parti- ciper officiellement à l'exposition interna- tionale de Gand en 1913, ainsi qu'à l'expo- sition anglo-latine projetée à Londres pour le commencement de l'été.

O n ne peut q u ' a p p r o u v e r la décision de la Commission qui sera ratifiée par le Con- seil fédéral. Nous devons réserver toutes nos forces pour l'Exposition nationale de 1914. .

Loi sur les fabriques

La commission du Conseil national pour la revision de la loi sur les fabriques se réunira le 19 février à Lucerne. Elle sié- gera une huitaine de jours.

Bureau officiel de contrôle du Locle de la marche des montres

(Suite)

ïi.

Fabricants

Bulletins délivrés

Localités

tr e classe avec sans mention mention

2me

classe Totaux

MM. Ferd. Bourquirif . . . ., . >

L.-A. Chopard '

Numa Guenin .p : . DuBois&Cie J . . . .

Fabriques des Montres Zénith MM. Charles Février'.

Emile Jeanmairet '."

Henry Moser & Cie . . . ' . Maison Ulysse Nardin

M. Charles Pellalon-Pellalon Manufacture « Le Phare »

Madame Veuve de Vj|ctor Perrin La MM. Charles Rosat -V . . . .

Jules Richard. .

Arthur Reichenffils . . • . . . ' . . .

Stauffer Son & ho .- La Charles Slœckl|

Tavannes Watch C o ' . . .

Manufacturées Montres Thermos La S. A. Fabriques d'ho'rlogerie Thommen . .

M. Charles Tissoffils

Ecole d'horlogerie du Locle :

M. Edmotd Buchet '.

Ecole d'horlogerie du Locle M. Walter Frœlicher

M. Georges Pellaton . . . . . . .

> (A suivre.)

A propos du tarif américain sur l'horlogerie

La Correspondance suisse, de Zurich, a communiqué aux j o u r n a u x que «les mon-

« v e m e n t s de montres qui payaient en en- ce trant aux Etats-Unis le droit de 50 % ad

«valorem, seraient dorénavant frappés d ' u n

« d r o i t réduit de 30.?/o> ensuite de l'adop- c( tion de la" loi'U^cfèrwood-PalméK par le

« Congrès. » . . . . .

Disons tout d'abord que, sous le régime actuel, les mouvements de montre sont soumis au tarif suivant et non à un droit

fixe de 50 7° ad valorem. ••;

Mouvements de montres de poche y compris

les compteurs de temps, importées en boites ou détachés, ayant

{

en pierres

pas plus de 7 . . . J la pièce plus de 7 mais pas plus de 11 . . »

» » 11 » » » 15 . . » (Tous ces droits sans addition de droits ad valorem sauf pour les boites, si les mouvements sont emboîtés)

plus de 15 mais pas pfus de 17

Dollars

—.70 1.35 1.85

1.25 plus de 17 pierres

'*

el25°/oadval.

» 3.—

et35°/oadval.

Naples Soleure Le Locle

»

» Porrentruy

Le Locle

• »

»

»

Chaux-de-Fonds » Le Locle

» Les Brenets Chaux-de-Fonds

Le Locle Tavannes Chaux-de-Fonds Waldenbourg

Le Locle Le Locle -

:

»

»

». 3"-vï

Totaux

1 1

— 1 — 1

— 1 59 15

^ - 3 1 — 3 2 1 2

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— — 1 10.

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50

Correspondance particulière

2 1 1

o

84 3

o

1 4 1 41 1 3 1 1 1 2 21 1 10 27 1 4 4 2 221

Paris,-le 8 février 1912.

Monsieur le Directeur .,

de la Fédération Horlogere

Suisse ,

à La Chaux-de-Fonds.

Q u a n t à la loi Ü n d e r w o o d - P a l m e r , au- teur d'un projet portant revision du tarif des douanes des Etats-Unis d'Amérique, elle prévoit, en effet, d'après des nouvelles officielles reçues, une réduction à 30 % du droit sur les mouvements, formule assez vague étant d o n n é i q u e les droits sont va- riables. Mais la loi nouvelle, d'après les mêmes information^, n'est pas encore adop- tée par le Sénat, où] ï è g n e un esprit plutôt protectionniste. J

_

En Mongolie

En raison des difficultés de la situation finan- cière, le gouvernement de la Mongolie a décidé de vendre 5000 chameaux et chevaux apparte- nant à l'empereur de Ghine, d'établir des droits de douane sur le commerce extérieur, de pren- dre à son compte le transport de la poste russe à travers la Mongolie, enfin d'exploiter lui-même les richesses minières du pays.

Je prends connaissance de l'article publié dans votre dernier numéro sous ïe titre Chronomètres

suisses et chronomètres français.

San? l^sislgr_f urj^la ^umjçlqn -que cet article Voudrait•jeter'sur fès-mexh^è¥e|aûr le personnel de l'Observatoire national de Bésançony sans vouloir prendre la défense de Ja Chronometrie française qui désire être appréciée par des juges impartiaux et indépendants, je tiens à signaler à vos lecteurs que 1 argumentation tendancieuse de votre collaborateur manque totalement de base

et n'est étayée que sur des suppositions. :iV-, Afin de répondre à ces suppositions, je vous fir&

v

prie de bien vouloir insérer l'article ci-dessous, dans lequel j'ai employé, intentionnellement, les mêmes phrases que votre correspondant, en changeant seulement quelques mots.

En attendant le tournoi pacifique où la Chro- nometrie suisse et la Chronometrie française pourront se mesurer courtoisement, à armes égales, j'espère que là lutte demeurera loyale et que les adversaires se serviront uniquement de moyens corrects et d'arguments exacts..

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'ex- pression de mes sentiments les plus distingués.

Un fabricant.

Chronomètres suisses et chronomètres français.

L'heureux optimisme du fabricant d'horlo- gerie suisse, qui a rédigé l'article inséré sous ce litre dans votre dernier numéro rencontrera le sceptimisme de ceux qui sont quelque peu au courant des choses de la Chronometrie.

Il n'est pas admissible de comparer la marche de chronomètres qui n'ont pas été observés par le même observatoire.

Chacun sait avec quelle rigueur l'Observatoire national de Besançon applique le règlement.

L'expérience a prouvé souvent que les écarts de marche constatés, à Besançon, pour des chrono- mètres ayant obtenu leurs bulletins dans un autre observatoire, étalent supérieurs à ceux indiqués sur les dits bulletins.

Les fabricants suisses auront le droit de pré-

tendre à la première place lorsqu'ils se seront

mesurés avec les fabricants de Besançon, ce qui

ne s'est pas présenté jusqu'à maintenant. Il ne

faut pas oublier que les chronomètres français

ne sont pas admis aux concours de Genève, pas

plus que les chronomètres suisses ne sont admis

aux concours nationaux de Besançon, ainsi que

leur nom le fait comprendre. Et il est fort possi-

ble que dans une joute pacifique de ce genre, les

chronomètres de Besançon l'emporteraient com-

(3)

;

; ... ;rN

me les:résultais des récents concours suisses et français le démontrent, par comparaison.

A » o i n s de mettre en doute la loyauté et la compétence du personnel préposé à l'observation des chronomètres dans les observatoires, de Ge- ijiêrve et de Besançon on ne saurait prétendre q[ù'un chronomètre primé en première classe dans l'un de ces observatoires n'obtiendrait pas son nulletin de même classe dans l'autre obser- vatoire ou qu'il échouerait a u x épreuves élimi- natoires.

- ':'.-._ Un fabricant.

N o t r e c o r r e s p o n d a n t d e m e r c r e d i d e r n i e r r é p o n d r a à la l e t t r e d u f a b r i c a n t f r a n ç a i s , s'il l e j u g e à p r o p o s . . . à m o i n s q u ' i l n e t r o u v e q u e s a p l a i s a n t e r é p o n s e n ' e n e s t p a s u n e .

Liste des dessins et modèles

D é p o t e .

N° 20310. 3 janvier 1912, 3 7« h . p. — O u v e r t . — 2 modèle«. — Mouvements de montres. — Charles Hahn & Co, Le Landeron (Suisse).

N° 20313. 23 décembre 1911, 6 h . p. — Ouvert.

— 1 modèle. - ^ - M o n t r e de poche. — Israel Goldberg, Czenstochau (Russie). Mandataire : A. Mathey-Doret, L a Chaux-de-Fonds.

N° 20323. 2 janvier 1912, 7 7* h . p . — Ouvert.

— 2 modèles. — Bracelets porte-montre. — E. J. Pearson et Sons, Londres (Grande- Bretagne). Mandataire: A. Ritter, Bàle.

M o d i f i c a t i o n s .

N° 5724. 6 février 1899, 6s/ i h . p . — Ouvert. — 1 modèle. — Calibre de montre. M a n d a t a i r e : E. Imer-Schneider, Genève.

N° 7420. 23 juillet 1900, VJ* h. p. — Ouvert. — 1 m o d è l e . — Calibre de montre. M a n d a t a i r e : A. Mathëy-Dorèt, La Ghaux-de-Fonds.

N°9289. 2 1 janvier 19.03, 6 74 h . p . — Ouvert.

— 5 dessins. — Emballages pour montrés.

Mandataire : A. Mathey-Doret, La Ghaux-de- F o n d s .

N° 10372. 26 décembre. 1903, 8 h. p . — Ouvert.

— 1 modèle. ;rt-AffiçJ^£éfilame. .Mandata ice^

A. Malhey-Doret, La Ghaux-de-Fonds. N N°11024.-9 juillet 1904, 9 h . a. — Ouvert. —

12 modèles. — Calibres de montres.

N° 11366. 19 octobre 1904, 8 h. p . — Ouvert. — 1 modèle. — Calibre de montre.

N° 11521. 5 décembre1904, 8 h. p . — Ouvert.

— 2 m o d è l e s . — Pendants et anneaux de montre. ••: .'•'""'.:."••'

N° 12351. 15 août 1905, 11 h . a. — Ouvert. — 6 modèles. — Calibres de montres.

N° 14082. 22 m a r s 1907, 12 h . m. — Ouvert. — 1 modèle. — Pont d'ancre avec plaque de con- tre-pivot incrustée.

N° 14161- 18 avril 1907, 3 fk h . p. — Ouvert; — 2 modèles.-— Porte-conlrje-pivoL

N° 14210. 6 mai 1907, 9 h . a. — Ouvert. -±

2 modèles. — Calibres denmontres.

N" 16036. 11 novembre 1908,- 8 h . p . — Ouvert.

— 2 modèles. — Calibresiae montres enjtoutes grandeurs. Mandataire: Â.'Mathey-Doret, La Ghaux-de-Fonds. j p

N° 16153. 18 décembre 1908a7'?/» h. p. — Ouvert.

— 1 modèle. — Pont avec contre-pivot et plaque incrustée portant' le trou de pierre.

Mandataire: A. Mathey-Doret, La Ghaux-de- Fonds. >, N° 17378. 5 novembre 1909, 12 7 . h . p. — Ou-

vert. — 6 modèles. — Encliquetage et ressorts . pour encliquetages, plaque de contre-pivot et

calibre de montre. Mandataire : A. Mathey- Doret, La Ghaux-de-Fonds.

N° 18082. 13 mai 1910, 6 ' / » & p. — Ouvert. — 4 dessins. — Emballage, carte, tableau et affi, che-réclame. Mandataire i A. Mathey-Doret- La Chaux-de-Fonds.

N° 18194. 10 juin 1910, 6 7 s | i . p . — Ouvert. — 1 modèle. — Dispositif djattache a u x boites démontres-bracelet. Mandataire: A. Mathey- Doret, La Chaux-de-Fondsf

N° 18396. 4 août 1910,"6V*'ïi. p. — O u v e r t . — 1 modèle. — Gadran-tacriynooèlre. Mandataire : A. Malhey-Doret, L a Chaùjc-de-Fonds. ^ N° 19623. 3 juillet 1911, 6 7*Jh. p. — Ouvert. —

1 modèle. — Porte-montre $vec mbntre^mobile et frein de blocage. Mandataire : A. Mathey- Doret)' La Chaux-de-Forids»~

N° 19668. 14 juillet 1911, 6 ; f e i . p. — Ouvert.

T- 6 modèles. — Porte-monlres avec montre mobile. M a n d a t a i r e ; A. Malhey-Doret, La Chaux-de-Fonds.

N° 19772. 5 août 1911,.57» 8i p . — Ouvert: — 1 modèle. — Boîte d'emballage pour flacons.

Mandataire : A. Mathey-Doret, La Ghaux-de- Fonds. »•

Les 48 modèles et 9 dessins relatés ci-dessus, appartenant à Fabriques des montres Zénith Georges Favre-Jacot & Go, Le Locle (Suisse) ont été transmis selon déclarations notariées du 12 janvier 1912, en faveur de Fabriques de montres Zénith successeur de Fabriques des montres Zénith Georges Favre-Jacot &

Go, Le Locle (Suisse), enregistrement du 15 janvier 1912.

a pensé avec raison qu'il valaitjmieux" retarder d.e quelques semaines la publicial.ion.de-son cata- logue, plutôt que d'indiquer à sa nombreuse clientèle suisse» qui utilise des journaux alle- mands, dés prix qui ne fussent plus valables.'

Ce catalogue parait pour la première .'•fois ;en format grand in-quarto, attendu que'pour, l'ancien formai, le contenu était dévenu trop volumineux.

P o u r le fond, l'arrangement reste le même que par le passé: Après l'agenda très pratique, vient le catalogue proprement dit, lequel esl suivi d'une longue série d'annonces'facililari'i'a.ux clients le choix des j o u r n a u x . Gomme nouveauté, qui sera pour beaucoup une surprise agréable, cette der- nière édition contient des vues photographiques donnant un aperçu extérieur de l'agence Haasén- steîn & Vogler. . -,.' ' - • " * ' . : ' " . . ;

En comparant l'édition de cette année avec celles qui ont paru il y a dix ou^qtrïrize' a n s , on est à bon droit surpris du p r o g r è s ' a c c o m p l i . Aussi sommes-nous certains que ce nouveau ca- talogue sera apprécié par t o u l e ' p e r s o n n e ^ i n -

téressant à la publicité. •',

Nouvelles diverses

TÇgl

Bibliographie

Mieux vaut t a r d que Jamais ! — La 46me édition du catalogue bien connu de Y Agence de Publicité Haasenstein &; Vogler vient de paraître. Nos lecteurs ont appris déjà par les avis parus que ce retard est dû aux éditeurs allemands qui ont négligé de faire connaître à temps les changements de prix motivés c a r le nouveau ta- rif d'impression. La maison Haasenslein & Vogler

Rapports consulaires suisses. — L a Feuille Officielle Suisse du Commerce, a rêiroi dans un fascicule spécial les rapports des consu- lats Suisse, publiés au cours de l'année écoulée.

Elle offre les dits fascicules au prix de fr. 1 l'ex- emplaire. ... ' 7 \ ;r;C1V.

B a n q u e d ' A n g l e t e r r e . — En date du 8 fé- vrier la Banque d'Angleterre a réduit son taux d'escompte de 47o à 3 72,?/6..

Le C o n t r a t d e t r a v a i l d e s e m p l o y é s d e c o m m e r c e e t d e b u r e a u , résumé et commenté d'après le nouveau Gode fédéral dés obligations, par E. Schindler, secrétaire dè'la Société suisse des Commerçants, -r- Ce petit guide, rédigé d'a- bord à l'intention dès employés de commerce, donne des renseignements utiles pour tout com- merçant s u r la portée des'diffêrentés dispositions législatives concernant le contrat de travail : payement de salaire en cas de maladie et de ser- vice militaire, certificats, délai de congé, justes motifs pour la résiliation anticipée, prohibition de faire concurrence, apprentissage, etc. La.bro- chure est en vente, au prix de 40 cls, au Secre- tariat central de la Société suisse des Commer-

çants, à Zurich. fäaüj

" i

Cote de l'argent

du i3 Février iQia

• V-

Argent fin en g r e n a i l l e s Argent fin l a m i n é fr. 2.—

Change »nr P s r l s .

fr. 109 — leteffo

i

par kilo de plus. jSj fr. 1 0 0 : 2 2 ^

m

• . .. C o m m e r c e d e s d é c h e t s j d ' o r e t d ' a r g e n t " ;.

Tableau des opérations d'achat, de fonte et d'essai de déchets d'or et d'argent faites pendant le 4"" trimestre de l'année 1911,

Arrondissements

Acheteurs, fondeurs et

autorisés

Opérations (Bordereaux r e n t r é s )

Oct. Nov. Dec. TOTAL

4

Déchets achetés (valeur payée)

Octobre Novembre Décembre TOTAL

Résumé de l'année 1911 '•'•'

Bordereau Déchets d e l à . %; valeur

• • : • ; ; • - • - . ' : . ;;:> - , '

1. Bienne . . . 2. Chaux-de-Fonds . . . 3. û e l é m o n l . . . , .

" 4. Fleurier . . . 5. Genève

6. Granges (Soleure) . . 7. Locle . .

8. Neuchâtel

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