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On s'abonne à tous les bureaux de poste Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

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Texte intégral

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Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Troisième année. — N

cs

1 et 2 Vendredi 4 janvier 1889.

.

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Uniim postale . 12 » 6 »

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 55 j » Minimum d'une annonce 50 centimes

On s'abonne à tous les bureaux de poste Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annoiia!S s6

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aifint

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d avance O r g a n e î l e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o u a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x

• • • • • · ' "J ι .

e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

d e c o n t r ô l e

P r i x du n u m é r o 1 0 c e n t i m e s B u r e a u x : R u e d e l ' U n i o n , 2 Société intercantonale des industries du

Jura.

CIRCULAIRE AUX SECTIONS.

Monsieur le Président et Messieurs, Le bureau soussigné de la Société in- tercanlonale des induslrics du Jura; dans le but d'associer les sections d'une ma- nière plus intime aux travaux et au but que poursuit la Société, a l'honneur de vous soumettre les modifications suivan- tes au régime suivi jusqu'ici dans les rapports entretenus par Ie bureau du comité central avec ce comité lui-même, formé des délégués des sections.

Des circonstances indépendantes de notre volonté et touchant surtout à la question financière ont peu à peu modi- fié l'organisation intérieure de la Société inlercantonale et la composition de son comité central. Ces modifications, impo- sées par kwbree des choses, ont eu pour conséquence un certain relâchement des liens qui unissent les sections au comité central. Qaelques sections, continuant les traditions acquises, ont maintenu un dé- légué attitré au Comité central, d'autres y ont envoyé des délégués occasionnels, trop souvent sans mandat précis et ne pouvant prendre aucune responsabilité pour leurs mandants dans les voles qu'ils émettaient.

Nous voulons actuellement revenir aux principes posés à la base de notre Société lorsqu'elle a été fondée et desquels nous ne nous sommes éloignés que parce que nous ne pouvions, pendant une certaine

S ériode, suffire à nos charges financières, lolre position s'étant aujourd'hui nota- blement améliorée à cet égard, nous nous empressons de reprendre les an- ciennes traditions.

Voici les dispositions des statuts aux-

• quelles nous faisons allusion :

« Article premier. But de la Société.

« Etablir un lien permanent entre les

« diverses socié

1

es locales ou cantonales

« et leur servir d'organe auprès des aulo-

« rites fédérales et cantonales et des au-

« très sociétés. »

Et l'article 7 prescrivant^l'organisation centrale, composée d'un comité central formé d'un membre désigné par chacune des sections et dont les frais de déplace- ment doivent être payés par la caisse centrale.

Nous prions nos sections de bien vou- loir:

4° Nous faire connaître le nom de leur délégué au comité central pour l'an- née 4889. — Si ce délégué est empêché d'assister à une assemblée pendant l'an- née où il est en fonctions, il pourra se faire remplacer par un suppléant, qui sera accrédité par un pouvoir signé du comité de la section qu'il représente ;

2° Donner chaque fois au délégué les instructions nécessaires pour que les votes qu'il émettra sur les objets mis 5 l'ordre du jour soient l'expression de la volonté de la section et que celle-ci soit dès lors engagée par le vole de son délé- gué;

3° Prendre note que la caisse centrale paiera une indemnité comprenant tous les frais du délégué ou de son suppléant pour chaque assemblée ou commission régulièrement convoquée. — La caisse centrale ne paiera qu'une seule indemnité par section, soit celle du délégué officiel, mais il est loisible aux sections d'envoyer autant de délégués qu'elles le désirent ; ces délégués supplémentaires seront aux frais des sections qui les envoient. Le délégué officiel a seul droit de vote pour la section, laquelle n'a qu'une voix, quel que soit le nombre de ses délégués.

Le système que nous proposons diffère essentiellement de celui suivi dans ces dernières années en ce cju.il rétablit un délégué officiel et responsable pour cha- que section et met, comme antérieure- ment, ses frais de déplacement à la charge de la caisse centrale. Ce mode de faire aura pour conséquence heureuse de pouvoir élargir l'initiative de notre So- ciété, en ayant un comité central homo- gène et suffisamment nombreux pour représenter toutes les fractions de notre collectivité horlogère.

Veuillez, Monsieur le Président et Mes- sieurs, procéder à la nomination de votre délégué en temps utile, pour qu'il puisse assister à la réunion du comilé central, que nous convoquons pour le jeudi 7 février i889, à l'Hâtel-de-Ville de Neuchâtel, h il heures très précises du malin, avec l'ordre du jour suivant :

1. Plan d'activité de la Société inter- cantonale pour 1889.

2. Réunion des matériaux pour le rapport de 1888.

3. Projet de réforme du Bureau de renseignements,

4. Budget.

A cet effet, veuillez donner à votre dé- légué les renseignements nécessaires pour discuter ces traclandas et prendre les décisions qu'ils comportent. Le secré- tariat est à votre disposition pour tous renseignements préliminaires dont

NOUS

pourriez avoir besoin.

Agréez, Monsieur le Président et Mes- sieurs, l'assurance de notre considération distinguée.

La Chaux-de-Fonds, le 1er janvier 1889.

Bureau de la Société Intercantoaale des industries du Jura ι

Le Secrétaire, Le Président,

James

PERRENOUD.

H.

ETIENNE.

(2)

2 LA FEDERATION HORLC3ERE SUISSE L ' o u v r i e r h o r l o g e r

A PROPOS DE LA LIBERTE DE L'INDUSTRIE.

Tel est le titre d'un journal destiné à être l'organe spécial des ouvriers horlo- gers et dont le numéro spécimen vient de paraître à Bienne.

Nous lisons dans un premier article.

<t Le besoin d'un tel journal s'est déjà fait sentir dès le commencement du mou- vement qui s'accomplit depuis trois ans, et se fait toujours plus sen-tir, à mesure que l'on se convainc que ce n'est que par une union sincère et un Î bonne organi- sation qu'il est possible d'opposer une digue à l'avilissement constant de notre industrie. »

« Jusqu'à présent les ouvriers horlo- gers n'ont pas encore possédé d'organe défendant leurs intérêts. La Solidarité horlogère, fondée il y a juste deux ans à La Chaux-de-Fonds , fusionna peu de temps après son apparition avec la Fédé- ration horlogère suisse, paraissant à Bienne, laquelle, sans nous être précisé- ment antipathique, n'était cependant pas en situation de défendre avec succès nos intérêts. »

« Loin de nous l'idée de faire un re- proche quelconque à la rédaction de ce journal; mais il est certain qu'on ne peut

servir deux maîtres à la fois. »

Nous avons toujours envisagé que les intérêts généraux de notre industrie trou- veraient leur meilleure sauvegarde dans la solidarisalion intime des intérêts par- ticuliers des groupes patronaux et ou- vriers qui la composent. C'est au service de ce principe supérieur que nous, ncus sommes mis, nous conformant ainsi aux idées de conciliation et d'entente qui ont inspiré les promoteurs de la Fédération horlogère.

En souhaitant la bienvenue à l'organe qui entend se consacrer à la défense des seuls intérêts ouvriers, nous exprimons l'espoir qu'il n'en résulte aucun affaiblis- sement des liens crées par la Fédération horlogère et que cette tentative parlicu- lariste n'ait pas pour conséquence de rouvrir l'ère des luttes professionnelles heureusement appaisées.

Ge qui manque aux groupements ou- vriers, c'est la force du nombre, force sans laquelle les meilleures intentions et les plus louables efforts sont frappés d'impuissance. Cette cause de faiblesse, nous l'avons maintes fois signalée, en encourageant vivement les Comités ou- vriers à vouer la plus grande partie de leur activité à augmenter l'effectif des sections.

Si L'ouvrier horloger réussit à faire entendre sa voix et contribue à rallier au drapeau fédéralif les dissidents et les in- différents, il aura bien mérité de la Fédé- ration.

Le Patjs, de Porrentruy, publie dans son numéro du 27 décembre, la corres- pondance suivante :

« Si tous les ouvriers horlogers voient avec plaisir que l'on prend des mesures pour chercher à maintenir de hauts prix pour les divers produits en ébauches et montres, quelques-uns éprouvent quelque appréhen- sion devant certaines tentatives.

Ainsi, vous annoncez dans votre dernier numéro que les fabriques d'ébauches vont promettre de n'employer aucun ouvrier ve- nant des fabriques dissidentes (soit de celles qui ont préféré garder leur liberté plutôt que de se soumettre aux règles d'un syndicat — régies que nous ne voulons ni ne pouvons discuter ici) ; — mais en exigeant de tous leurs ouvriers l'engagement de ne jamais travailler dans ces fabriques dissidentes.

Si maintenant, sans le publier, les fabri- ques syndiquées s'obligent entre elles à ne pas occuper les ouvriers qui seraient ren- voyés par l'une d'elles, que deviendra la li- berté et l'indépendance de l'ouvrier*?

Il est à craindre que celui-ci devra partout se laisser imposer des baisses continuelles, qui rendraient sa situation de plus en plus misérable. Car, étant civilement obligé à ne pas entrer dans une fabrique dissidente — qui peut-être aurait déjà une trop plein — il devrait subir dans les autres les conditions du syndicat.

En tout ceci que devient la liberté d'indus- trie? Et sous prétexte de rechercher le bien- être do/tous, ne poursuit-on pas simplement son propre intérêt :

Soit en "baissant toujours le salaire de l'ouvrier, soit en exploitant le fabricant d'hor- logerie qui a besoin d'ébauches?

Veuillez livrer ces quelques réflexions à l'attention des intéressés.»

Il est facile de reconnaît!*, aux idées exprimées dans la correspondance ci- dessus, que son auteur est un adversaire des groupements syndicaux de l'industrie horlogère; nous n'en sommes pas moins heureux qu'il nous donne l'occasion de relever certaines e r r e u r s d'appréciation qui, paraît-il, ont c o u r s , relativement à la question de l'application du travail ré- ciproque dans la partie de l'ébauche.

Tout d'abord, l'initiative de la mesure proposée maisnon encore décrétée, comme semble le croire le correspondant du Pays, vient du syndicat des ouvriers de l'é- bauche et non pas du syndicat des fa- briques.

Cette atteinte portée à l'indépendance des ouvriers n'est pas réelle, puisque ce sont les ouvriers eux-mème, qui offrent de s'engager à ne travailler que dans les fabriques syndiquées, sous la condition toute naturelle, que les fabriques syndi- quées s'engagent, à leur tour, à n'occuper que des ouvriers syndiqués et ne sortant pas des fabriques dissidentes.

Le point de vue auquel se placent les ouvriers est Ie suivant :

Jusqu'au moment où le syndicat des fabriques d'ébauches a été constitué, les prix de l'ébauche avaient subi des baisses continues et étaient à la veille d'en subir de nouvelles. Si ces nouvelles baisses s'étaient réalisées, les fabriques, qui étaient

arrivées à livrer leurs produits sans béné- fice appréciable, eussent dû retrouver, sur le gain de leurs ouvriers, toute ou partie de la perte qui allait résulter pour elles d'une concurrence basée sur l'avi- lissement des prix.

La constitution du syndicat a permis aux fabriques d'élaborer et d'appliquer des tarifs d'unification el d'asseoir leur production sur des bases normales.

Le premier résultat a été pour les ou- vriers, le maintien de leurs salaires.

Les ouvriers ont donc un intérêt de premier ordre à la bonne marche et au développement du syndicat des fabriques.

Hs l'ont parfaitement compris et c'est pourquoi ils lui ont fait l'offre spontanée de leur concours.

Il n'y a donc aucune tentative d'atteinte à la liberté de l'industrie, ni aucun dan- ger d'avoir à subir des conditions désavan- tageuses du syndicat des fabriques, bien au contraire; et s i , comme nous l'espé- rons, la mesure proposée par les ourriers peut être mise en pratique, elle consti- tuera tout simplemen', une entente libre- ment conclue entre oatrons et ouvriers, pour le plus grand bien de leurs intérêts particuliers et des intérêts généraux de leur industrie.

BREVETS D'INVENTION

LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS c o n c e r n a n t l ' i a d u e l r i e h o r l o g è r e . Cl. 423, n° 82. 17 nov. 1888, 8 h. — Nouveau

système de raquette-coqueret pour mon- tres de tous calibres. — G r a n d j e a n , F u g e n e , F r a n ç o i s , Γ,οιιΐκ, Bienne (Suisse). Mandataire: Imer-Schneidei\ E., Genève.

Cl. 123, n° 83. 17 nov. 1888, 8 h. — Perfec- tionnements apportés à Ia construction des montres de tous calibres. — F a b r i - q u e d ' h o r l o g e r i e d e F o n t a i n e m e - l o n , Fontainemelon, Neu hâtel (Suisse).

Mandataire : Imer-Schneidcr, E., Genève.

Cl. 123, n° 84. 17 nov. 1888, 8 h. — Perfec- tionnement apporté dans la construction des mécanismes de remontoir des mon- tres de tous calibres. — F a b r i q u e d ' h o r l o g e r i e d e F o n t a i n e m e l o n , Fontainemelon, NeuchAtel (Suisse). Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n° 85. 17 nov. 1888, 8 h. — Perfec- tionnements apportés à la construction des montres de tous calibres. — J e n n - n e r e t et f r è r e * , AlIi., fabricants d'hor- legerie, usine à vapeur lu Parc, St- Imier (Suisse). Mandataire Imer-Schnei- der, E., Genève.

Cl. 123, n° 88. 19 nov. 1888, 8h. — Nouvelle disposition du mécanisme des montres de toutes dimensions, particulièrement appli- cable aux montres-bijoux et anx montres marchant huit jours et plus. — l u b r j - , I r é n é e , horloger, Saignelégier, Jura bernois (Suisse). Mandataire : Imer- Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n° 102. 23 nov. 1888, 9'A h. — Per- fectionnements apportés à la construction des mécanismes de répétion pour montres de tous calibres. — R e b e r , B e r n a r d , Locle (Suisse). Mandataire : Imer-Schnei- der, E., Genève.

(3)

LA ΓΕΕΕΓ.ΑΤΙΟΝ HORLOGERE SUISSE 3

Cl. 123, ii° 103. 24 nov. 1888, 9V4 h. — Per­

fectionnements apportés à la construction des chronographes-compteurs. — C o u r - v o i s i e r , F r i t z , fabricant, Buttes, can- ton de Neuchâtel (Suisse). Mandataire . Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n° 108. 23 nov. 1888, ll3/4 h. — Nou- veau mécanisme de chronographe avec compteur à minutes. — I K u g u e n i n , A r n o l d , fabricant d'horlogerie, Rue du Progrès, 45, Chaux-de-Fonds (Suisse).

Cl. 123, n° 114. 24 nov. 1888, 9</4 h. — Mé- canisme de remontoir de montre à com- mande horizontale. — lieeoultre, M a - r i u e , fabricant, Genève (Suisse). Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n° 142. I " déc. 1888, 9'/4 h. — Per- fectionnements au mode de fixation des bélières au pendant des montres à remon- toir et autres. — A s c U w i n , J o l i n ; L a w r e n c e , P l i i l i n p - I I e n r y , et T u r - n e r , F r é p . , U e i v e l l j n , Birmingham (Angleterre). Mandataire: Miter, A., Bille.

Cl. 123, n° 151. 3. déc. 1888, 8 h. - Montre mystérieuse. — S c h w o b e t f r è r e , A r - m a n d (société), négociants, 19, Bonne- Nouvelle, Paris (France). Mandataires : Blum et Oie., E., Zurich.

C M S S1 n 0I S S . 15 nov. 1888, 8 h. — Nou- veau système de glaces de montres. — B a e t a r d Λ* R e d a r d , J . , 21, Quai des Bergues, Genève (Suisse). Mandataire : Imer-Schneider, E , Genève.

Cl. 123, n° 156 14 déc. 1888, 2'/2 h. — Mon- tre Bessire-Marie, chronographe enre- gistreur d'une demi-seconde jusqu'à cent vingtheures. — B e s s i r e - H a r i e , A l b î n -

Brnettt, Péry, Jura bernois (Suisse).

Cl. 123, n° 163. 4 déc. 1888, 3a/, h. — Per- fectionnements apportés anx montres mu- nies d'un seul barillet et d'un seul corps de rouages avec mécanisme de chrono- graphe et de foudroyante.—IJecoiiItre- P i g n e t , A m i , Brassus (Suisse). Man- dataire: Imer-Schneider, E., Genève.

CI. 123, n" 166. 7 déc. 1888, 8 h. — Perfec- tionnements apportés dans la manière de fixer l'anneau au pendant des montres à reinonloir et autres. — P l a t n a n e r , IJOISÏW, St-Paul Square, 1, Birmingham (Angleterre). Mandataire : Bourry-Séquin, Zurich.

Cl. 123, n" 167. 10 déc. 1888, 8 h. — Nou- veau mécanisme de grande seconde indé- pendante s'adaptant à des montres ayant un seul barillet et un seul corps de rouages. — B e r g e o n g F r è r e s , Locle, canton de Neuchâtel (Suisse). Manda- taire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n" 171. 11 déc. 1888, 3:>/, h. — Mon- tre double tour d'heures et minutes, re- montoir au pendant avec deux mises à l'heure. — C o i i l « r u - V I e u r i , C l i u r l e * , fabricant, Rue Neuve,-9, Chaux-de· Fonds (Suisse).

Cl. 141, n° 130. 26 nov. 1888, 8 h. — Sys- tème de moteur électrique pour pendules et horloges de tous genres. — S o c i é t é d ' h o r l o g e r i e B r e i t e n l m v h , Breiten- bach, canton de Soleure (Suisse). Man- dataire: lutter, A., Bàle.

Cl. 224, n» 135. 27 nov. 1888, 9'/a h. — Nou- velle disposition de pommeau de canne,

cravache, parasol, etc., contenant une montre se remontant sans clef. — B e r - t h o l e t , A l b e r t et B u r r j - I I a l d y , Iis, Bienne (Suisse). Mandataire : Imer-Schnei- der, E., Genève.

— . > • » » • • .

ONIFICiTIOS DES TAXES DES CHEMINS DE FER.

Le mouvement qui est dans la nature en- traine l'homme à la poursuite d'un idéal tou- jours nouveau. Pour ne parler que des voies de communication et des moyens de trans-

port, il est vraiment prodigieux de constater non seulement le développement qu'ils ont pris, mais aussi les perfectionnements ap- portés dans leur exploitation et les simplifi- cations de tarifs introduites.

Cela semble tout simple maintenant, et pourtant, lorsqu'on se reporte à quelque trente ans en arrière, au temps des rayons pour les postes, etc., on est surpris de tout le chemin parcouru.

L'introduction des timbres-poste fut une révolution éionomique qui compléta l'uni- fication des taxes pour les envois confiés à la poste aux lettres. Les télégraphes suivirent l'impulsion donnée. Aujourd'hui le tour pa- rait devoir être aux chemins de fer.

Ce n'est pas que la question de l'unification des taxes pour les transports par chemins de fer soit récente. Depuis 10 ans, en effet, des économistes, en Allemagne plus particulière- ment, défendaient cette idée par des publi- cations qui ne paraissaient guère devoir obtenir autre chose qu'un succès d'estime.

C'est qu'aussi en matière de chemins de fer, l'unification des taxes présente des difficultés autrement importantes que celles qu'on ren- contre dans le domaine postal. On ne soulève pas d'objection biengrande chez les personnes qui doivent affranchir par 10 centimes une lettre ayant à effectuer un court trajet, disons:

Bienne-Soleure par exemple, alors qu'il n'en coûterait pas davantage pour faire parcourir à la même lettre toute la distance qui sépare Genève de Schaffhouse. Mais il en serait autrement s'il fallait payer le même prix dans les deux cas pour le transport d'une personne par chemin de fer. Ici le prix moyen, très favorable pour le parcours le plus long, ne manquerait pas de paraître fort exagéré pour le trajet le plus court.

Voilà ce qu'on n'a pas manqué d'alléguer contre l'innovation proposée. Ses partisans ont répondu que l'augmentation vraisemblable du trafic permettrait de se contenter de taxes très modérées établies par rayon d'une cer- taine étendue. Ils est ment d'ailleurs que l'augmentation du nombre dos voyageurs aura pour conséquence un accroissement très sen.-ible du mouvement des marchandises et que ces deux éléments de recettes assureront sinon un meilleur rendement, tout au moins un rendement égal à celui produit par le système ancien.

Ces arguments n'ont pas encore paru avoir touché les compagnies de chemins de fer, mais il en est autrement de certaines lignes d'Etat qui n'ont pas à satisfaire des action- naires. En Prusse, on no paraît plus très éloigné de tenter un essai. Mais c'est en Hongrie que l'idée nouvelle semble avoir le plus de chance de réalisation prochaine.

En efiet, si nous en croyons certains ren- seignements, le ministredes communications de Hongrie serait à peu près résolu de tenter un essai dans la direction précitée à partir de l'été prochain. Cette nouvelle a d'autant plus d'importance que les lignes d'Etat hon- groises ont une longeur de 4641 km parcou- rus par 639 locomotives, 1220 wagons à voyageurs et 29,580 véhicules à marchandises.

L'essai aura ainsi une ampleur sutfisante pour permettre d'asseoir un jugement rai- sonné. On en souhaite ardemment le succès qui ne manquerait pas d'exercer une in- fluence considérable sur le développement industriel du pays.

Il sera bon de ne pas perdre de vue une révolution économique de cette portée.

Le sweating System.

Une commission d'enquête du parlement anglais s'occupe activement des plaintes sou- levées par ce qu'on appelle le sweating Sy- stem. Ces deux mots signifient littéralement:

le système de la sueur. Hs désignent l'exploi- tation des ouvriers par des sous-patrons.

C'est le travail en chambre et dans de petits ateliers, mal rémunéré par des entrepreneurs qui, ayant traité avec les grands magasins pour une fourniture à un prix avantageux, font fabriquer la fourniture au rabais, ce qui leur laisse un gros bénéfice : en résumé, ils boivent la sueur du peuple, tel est le sens de l'expression énergique appliquée à leur in- dustrie.

L'enquête a mis au jour des faits absolu- ment navrants. Dans une seule pièce étroite et malsaine cinq ou six ouvrier travaillent seize heures par jours, ils y couchent et y font la cuisine ; le plancher n'est jamais lavé, on ne le balaye même pas et l'on y laisse les détritus des repas. Le prix de la façon, pour un vêtement complet, jaquette, pantalon et gilet, est de 2 fr. 50 ; pour presser 40 panta- lons, labeur d'une journée entière, l'ouvrier reçoit60centimes; une femme qui peut faire 4 gilets par jour reçoit 50 centimes par gilet, soit 2 francs ; on pays 30 centimes la fabri- cation de douze boutonnières ; une chemise, avec col et manchettes, 12 boutonnières, qui se vend 10 fr , coûte 1 fr. 25 de façon.

Les presseurs de drap, qui gagnent de 1 fr. 25 à 2 fr. 50 par jour, ont à lever 36,000 fjis, en 15 heures, un fer pesant 18 livres.

Les femmes et les enfants, qui fabriquent les boites d'allumettes, en font une grosse, c'est à-dire douz ι douzaines, pour 25 centimes.

La façon d'un manteau imperméable pour dames est payée à l'ouvrière 1 fr. 50 ; le sous- entrepreneur, sur cette somme, garde 50 centimes ; tous les salaires sont à l'avenant Voici maintenant le prix d'un repas pour une famille de quatre personnes : 10 centimes de charbon, 5 centimes de thé, 2 centimes et demi de lait et 12 centimes de pain. Les fa- milles moins malheureuses ont un menu plus substantiel, mais qui ne varie presque jamais d'un bout de l'année a l'autre : 30 et.

de pieds de mouton, 10 centimes de pommes de terre et autant de carottes.

Les tailleurs gagnent entre 5 et 6 fr. par jour, mais ils travaillent 17 à 18 heures ; les femmes ne gagnent pas plus de 2 fr. Il est bien entendu que les entrepreneurs ont un bénéfice sur tous les travaux qu'ils font faire et que les prix qu'ils abandonnent aux ou- vriers ne sont pas ceux qu'ils reçoivent. Ce qui est assez extraordinaire, c'est que beau- coup de ces objets sont confectionnés pour le compte du gouvernement, lequel n'a pas assez d'inspecteurs pour surveiller l'exécution de la loi qui interdit le travail après huit heures du soir. S'il fallait empêcher de man- ger dans un restaurant après minuit 20 mi- nuites, ce serait durèrent; il y a chaque soir à la porte de ces établissements trois ou quatre eonstables qui veillent soigneusement à ce qu'un morceau de viande froide ne soit point servi à un consommateur respectable=

mais affamé.

Pour M. Arnold White, auteur d'un ouvrage intitulé le Problème d'une grande ville, le Sweater, celui qui boit la sueur est un indi- vidu qui écrase le pauvre et qui est sans capital, sans habileté. Sur une douzaine de patres de bottes dont la façon est payée ο fr., le sweater garde 2 fr. 50 pour lui. Ainsi, passant un contrat de 25 douzaines de paires de bottes au prix de 200 fr., ces bottes devant être livrées dans une semaine, il prend pour lui 100 fr., sur lesquels il paye pour le loyer 5 fr., pour le gaz 3 fr., pour les outils et four- nitures environ 15 fr. Le sweater fournit aussi h ses ouvriers le café pour un repas dans la journée, mais ce n'est point par humanité, comme on pourrait le supposer, c'est uni- quement pour que l'ouvrier ne quitte pas son tabouret.

(4)

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T E L I E I P D B I O I s r E !

A S S E M B L E E G E i Y E R A I i E des p a t r o n s m o n t e u r s de b o î t e s d u d i s t r i c t d e P o r r e u t r u y

Dimanche 6 janvier 1888, à 2 heures du soir, dans la salle du haut du Restaurant du Mouton

ORDRE DU JOUR :

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Références

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