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Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

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Deuxième année. — N0 90

1 pa M. Jules Gfeller, au Palais f é d é ' r a T ^ "

Mercredi 14 novembre 1888.

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Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

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P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s B u r e a u x : R u e N e u v e 3 8

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L e s g r o u p e m e n t s o u v r i e r s à l a C h a u x - d e - F o n d s . On se souvient qu'au Congrès de délé- gués des sections ouvrières de la Fédéra- tion horlogère, du 5 février écoulé, la section des repasseurs et remonteurs de la Ghaux-de-Fonds avait, par l'intermé- diaire de ses représentants, fait pressentir sa sortie de la Fédération et qu'une fois cette sortie notifiée au Comité central, les sections d'autres corps de métiers de cette localité avaient suivi l'exemple donné par les remonteurs. '

Cette grave détermination des sections de la Chaux-de-Fonds, survenue dans un moment où les ouvriers des autres régions horlogères venaient de consacrer leur existence collective par l'adoption de sta- tuts régissant leur organisation particu- lière, avait été accueillie avec d'autant plus d'étonnemenl que les motifs invo- qués ne paraissaient pas avoir une valeur qui justifiât une altitude aussi peu con- forme à l'esprit de solidarité qui règne généralement dans les associations ou- vrières.

Les statuts adoptés le 5 février par les délégués ouvriers prévoyaient la nomina- tion d'une commission executive de cinq membres nommés dans une même loca- lité et posaient le principe de la création d'une caisse contre les risques de chô- mage, qu'une commission spéciale devait organiser après en avoir élaboré Ie règle- ment. C'est sur la création de ces deux rouages de l'organisation ouvrière que la section ouvrière des repasseurs et remon- teurs de la Chaux-de-Fonds se basait pour expliquer sa sortie de la Fédération hor- logère.

Nous avions déjà, au moment où les faits relatés plus haut se sont passés, réduit à leur valeur exacte les arguments donnés pour expliquer la défection des ouvriers de la Chaux-de-Fonds. En effet, la nomination d'une commission execu- tive ouvrière avait été décidée déjà au

Congrès ouvrier du 5 juin 1887, où la grande cité était très largement repré- sentée et cette localité avait même été désignée comme siège de cette commis- sion. De plus, le règlement de la caisse de chômage donnait à celte création un caractère absolument facultatif, ce qui permettait aux ouvriers de la Chaux-de- Fonds de n'y |pas entrer ou d'en consti- tuer une pour leur propre compte, ce qu'ils tentent dans ce moment même.

Les sections dissideiftês n'en avaient pas moins persisté dans leur altitude et l'on se demandait s'il ne fallait pas voir là, non pas le résultat d'un désaccord sur des questions d'ordre intérieur, mais plu- tôt le résultat d'une tendance particula- riste poussant les ouvriers en cause à s'organiser pour leur propre compte et à vivre de leur vie propre, en rompant

toute solidarité avec les groupements si- milaires des au 1res régions.

Ce qui se passe dans ce moment laisse supposer que la sorlie des sections de la Chaux-de-Fonds a été toul simplement le résultat de leur propre désorganisation.

Nous avons reproduit dans notre der- nier numéro, d'après le National suisse, un pressant appel adressé aux ouvriers remonteurs par quelques-uns de leurs confrères pour les engager à secouer leur torpeur et à signer les listes d'adhésion au Syndicat. Le National a publié à ce sujet un article de fond qui caractérise fort justement la situation et que nous reproduisons dans son entier :

On sait qu'il s'est formé à la Chaux-de- Fonds un comité ayant en vue la constitution d'une association, d'un syndicat si l'on pré- fère, des repasseurs et remonteurs de la grande localité. Cette partie est l'une des plus atteintes par la baisse des prix; d'un autre côté, elle compte à elle seule, à la Chaux-de-Fonds, de 900 à 1000 ouvriers.

Selon le comité d'initiative, le syndicat aurait pour buts l'arrêt de la baisse des prix, leur relèvement dans la mesure du possible, la création d'un fonds destiné à venir en aide anx ouvriers sans travail, l'organisation d'un bureau pour la surveillance des apprentis-

sages, l'établissement d'un bureau de place- ment, enfin la réintroduction de l'horlogerie de gros volume à la Chaux-de-Fonds, pour occuper les ouvriers syndiqués momentané- ment sans place.

Toutes ces diverses questions ont été lon- guement examinées et discutées ; elles ont fait l'objet d'un intéressant rapport de M. Jules-Auguste Dubois et ont pris corps dans un projet de statuts.

Le comité, en prenant l'initiative de ce syndicat, n'a eu en vue que l'amélioration de la situation faite par les circonstances ac- tuelles à un grand nombre d'ouvriers; il veut uniquemeut sauvegarder l'avenir d'une classe nombreuse de travailleurs en même temps que celui d'une des branches essentielles de l'horlogerie ; il a élaboré son projet en tenant compte des expériences faites, des idées en cours et des besoins du moment.. Eh bien ! malgré toutes ces considérations, il n'a pas rencontré l'appui auquel il a droit, il n'a pas recueilli les adhésions sur lesquelles il croyait pouvoir sûrement compter.

Un communiqué un peu désespéré que nous avons publié hier, explique ce fait par l'indifférence des ouvriers pour tout ce qui sort de leurs occupations immédiates et jour- nalières.

Cette explication est parfaitement juste.

Beaucoup, qui savent cependant se plaindre amèrement de leur sort dans les conversa- tions particulières, sont incapables du moin- dre effort pour y remédier ; ils reconnaissent que l'association est le levier le plus puissant, le plus efficace, que l'on puisse mettre entre les mains des ouvriers, mais ils veulent laisser à d'autres le soin de pendre des ini- tiatives, de préparer des projets, de fonder des syndicats, sauf à s'en faire recevoir plus tard s'ils voient que tout marche selon leurs désirs.

L'indifférence, qui est la grosse plaie de notre vie politique, a envahi tous les autres domaines ; elle couvre tout de son voile et, par sa nature même, paralyse les initiatives, étouffe les plus généreux efforts et nous condamne tous à un immobilisme regret- table. C'est l'indifférence qui annihile en quelque sorte, et pour ne parler que de ce qui touche le plus près à notre industrie na- tionale, les résultats de la Fédération horlo- gère suisse ; C'est elle qui arrête le dévelop- pement des divers syndicats professionnels créés ces dernières années, qui en a fait tomber quelques-uns, qui en empêche la for- mation de nouveaux.

Nous voudrions pouvoir indiquer le moyen

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412 LA FEDERATION HORLC 3ÈRE SUISSE

de lutter contre ce fléau ; malheureusement nous ne le pouvons pas. Nous devons nous borner-à conseiller aux initiateurs des grou- pements professionnels de persévérer coura- geusement et à attirer une fois de plus l'atten- tion des ouvriers sur le seul moyen vraiment efficace d'améliorer leur sort. Une heure viendra, nous l'espérons, où les premiers verront leurs efforts récompensés par le succès, où les seconds secoueront leur tor- peur et comprendront la vérité de ce pro- verbe : Aide-toi, le ciel t'aidera !

*

Dans son numéro de dimanche, l'Im-

partial publie la pièce suivante:

Il y a réellement lieu d'être écœuré en con-"

statant le déplorable résultat obtenu sur les listes d'adhésion concernant le syndicat des démonteurs et remonteurs de La Chaux-de- Fonds.

La question a cependant une importance si considérable que nous voulons tenter un der- · nier effort afin de savoir si définitivement les ouvriers se désintéressent aussi complète- ment de leur sort et de celui de leurs familles, qu'ils n'ont pas même la force de prouver leur existence.

Voyons camarades, un peu de courage ! ne sentez-vous pas que vous vous embourbez toujours davantage, et qu'il est impossible d'en sortir sans l'union de tous.

Quelques citoyens qui ne désespèrent pas encore de votre bon sens vous proposent comme dernier moyen de réussite, de faire une tournée à domicile chez tous nos collègues afin qu'on sache à quoi s'en tenir.

Dans ce but nous invitons, de la façon la plus pressante, les collègues qui auront assez d'énergie et de dévouement pour nous secon- der à se rencontrer mardi 13 courant à 8 Y2

heures du soir à l'Hôtel-de-Ville, salle du 1e r

étage, afin d'organiser et de répartir par quartiers la besr gne des collecteurs de signa- tures.

Espérant que cet appel sera entendu et que tous comprendront la nécessité impérieuse de se grouper sans retard, nous avons le droit de compter sur votre esprit de solidarité ; s'il n'en était pas ainsi, qu'on ne vienne plus se plaindre, puisque nous aurons ce que nous cherchons.

t Un groupe d'ouvriers démonteurs et remonteurs, κ

*

Cet appel presque désespéré adressé à

leurs camarades par quelques ouvriers dévoués et courageux sera-t-il entendu ? Nous l'espérons vivement, car un réveil de l'esprit de solidarité dans notre grande cité industrielle déploierait d'heureux effets dans les autres régions, où l'on sent bien que l'entente doit être générale pour pouvoir déployer de durables effets pour la classe ouvrière.

Depuis longtemps déjà, on constate, de la part du plus grand nombre des ci- toyens, une tendance toujours plus accen- tuée à l'apathie et à l'indifférence en matière de votations ou d'élections politi- ques. On l'expliquait en disant que les questions politiques étant pour la plupart résolues chez nous et l'apaisement s'étant fait entre les partis, les masses devaient nécessairement apporter moins de passion et d'intérêt à l'étude des questions d'affai- res ou de ménage qui forment le fond des débats de nos assemblées législatives.

Et puis, les difficultés toujours crois- santes de l'existence, la diminution cons- tante des salaires et des gains, l'incerti- tude du lendemain, les perspectives peu rassurantes d'un avenir incertain, impo- saient à l'ouvrier des préoccupations d'une nature toute particulière et diri- geaient ses pensées vers les questions d'ordre économique et social dans la so- lution desquelles il devait trouver une amélioration de son sort. Pour celte lutte, il devait déployer toute sa force, toute son énergie et toute sa persévé- rance.

Faudrait-il croire que l'on se trompait?

Et de ces défaillances que l'on constate dans certains milieux ouvriers, faudrait-il conclure que ce magnifique élan qui a donné naissance aux groupements ou- vriers — premières phalanges de la Fédé- ration horlogère — était la dernière ma- nifestation collective de notre population industrielle pour la défense de ses intérêts les plus pressants et les plus chers ?

Si l'on peut dire, en politique, qu'un peuple qui se désintéresse de ses affaires marche tout droit à l'esclavage, que dire d'une population ouvrière qui ne veut pas même donner son concours à ceux qui veulent travailler avec elle et pour elle, à opposer une digue au flot montant de la misère?

Certes, il y a de belles et nombreuses exceptions et nous pourrions citer maints ouvriers qui ont sacrifié leur temps et leur repos à l'œuvre de l'organisation ou- vrière et qui, malgré les déceptions et les critiques, demeurent sur la brèche, se trouvant suffisamment récompensés par le sentiment du devoir accompli.

Mais des milliers restent dans une in- différence qui contraste singulièrement avec les nécessités de l'heure présente ; et, tandis que les plaintes et les lamenta- tions s'exhalent de toutes parts, tandis que l'on accuse le ciel et la terre des ri- gueurs d'une situation que l'on a contri- bué à créer, les besoins augmentent, les gains diminuent et la misère, misère rela- tive pour les uns, absolue pour les autres, en perspective pour le plus grand nombre, s'avance avec son cortège de privations et d'humiliations.

Que les ouvriers de la Chaux-de-Fonds ne l'oublient pas ; la tentative qui est faite pour reconstituer leur groupement sur de nouvelles bases est suivie avec une anxieuse attention dans toutes nos locali- tés horlogères et son résultat pourra exer- cer une influence sérieuse sur le dévelop- pement et l'avenir même des sections ouvrières de la Fédération horlogère. En ne répondant pas à l'appel de ceux de leurs camarades que l'apathie ou le dé- couragement n'a pas gagnés, ils assume- raient une bien lourde responsabilité.

Les ouvriers doivent comprendre qu'ils ont le devoir de contribuer de tout leur pouvoir à la réussite des efforts qui sont

tentés pour améliorer la situation géné- rale de notre industrie, puisque de celte amélioration dépend le relèvement des gains et des salaires, qui est leur objectif immédiat.

Et, en admettant même que les syndi- cats patronaux puissent, sans le concours des ouvriers, mener à bonne fin l'œuvre de relèvement pour laquelle Ia Fédération horlogère a été fondée, il importe que les syndicats ouvriers demeurent debout pour être en mesure de faire entendre leur voix, le jour où de réelles améliorations auront été obtenues.

l i e m i c r o s c o p e a é r i f è r e . — Ge micros- cope a sur ceux montés en corne ou en liège l'avantage d'éviter la buée qui se produit sur l'objectif par suite de la différence de tempé- rature intérieure et extérieure du micros- cope. L'air, enfermé entre l'œil et l'objectif, s'échauffe très rapidement et l'œil se trouve, par cette circonstance, placé dans les plus mauvaises conditions.

Le micrscope A. Portai, formé d'un treillis métallique, fait disparaître ces graves incon- vénients. Par la forme et la légèreté de sa monture, il s'adapte facilement à l'œil et s'y maintient sans fatigue, permettant à l'air de circuler librement. L'œil, cet organe si déli- cat et si précieux pour l'horloger, se trouve ainsi placé dans des conditions d'hygiène moins défavorables.

L'usage trop fréquent du microscope amène un affaiblissement de la vue. Nous conseil- lons aux jeunes horlogers de ne se servir du microscope que pour l'examen des pièces microscopiques et délicates, pour voir la fonc- tion d'un échappement, d'un engrenage, etc., et de ne pas contracter la funeste habitude qu'ont certains horlogers de ne rien voir et de ne rien faire sans microscope.

« C ' f > i i S »

NOUVELLES DIVERSES

B u r e a u d e c o n t r ô l e «le IA Π ι ι ι ι ι χ - d e - F o n d g . — Hier au soir, vendredi, a eu lieu à l'Hôtel-de-Ville, l'assemblée générale des intéressés au Bureau de contrôle. L'ordre du jour portait: «Agrandissement du Bureau de contrôle ».

Après discussion, l'assemblée a été una- nimement favorable à l'achat des maisons Ducommun-Huber qui portent les nus 18 B, 18 G, 18 D de la rue Léopold Bobert, ainsi que du terrain qui en dépend. Les deux der- nières seraient démolies et à leur place, — mais dans l'alignement de la pharmacie Parel,

— on construirait pour le Contrôle une dé- pendance dont il a le plus grand besoin.

Cette décision démontre l'importance que prend le Bureau de contrôle de notre loca- lité et la prospérité de ses affaires. On verra avec plaisir disparaître ces petites et vieilles maisons et la rue Saint-Pierre s'élargira de- vant le Bureau de contrôle actuel, ce qui sera fort appréciable.

P r o p r i é t é i n t e l l e c t u e l l e . — Le bureau fédéral de la propriété intellectuelle, créé au département des affaires étrangères lors de la promulgation de la loi fédérale sur les brevets d'invention, s'ouvrira le 15 novembre courant. Son champ d'activité comprend pour le moment toutes les affaires relatives aux brevets d'invention, aux marques de fa- brique et de commerce, à la propriété litté- raire et artistique. Plus tard, c'est-à-diré lorsque le projet de loi sur les dessins et modèles industriels, actuellemet pendant der

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LA FÉDÉRATION HORLOGÉRE SUISSE

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vant les chambres fédérales, aura été trans- formé en loi définitive, les affaires concer- nant cette matière rentreront également dans le cadre des travaux du bureau fédéral de la propriété intellectuelle.

A la suite d'un concours, le Conseil fédéral a procédé, dans ses dernières séances, à la constitution du personnel du nouveau bureau.

Ont été nommés : Directeur : M. Frédéric Haller, ingénieur au bureau topographique fédéral, à Berne; adjoint administratif:

M. Jules Gfeller, traducteur à la division du commerce du département fédéral des affaires étrangères ; adjoint techniqne : M. Hans Orelli, secrétaire du bureau fédéral des mar- ques de fabrique ; préposé aux registres : M. Arnold Brosi, intendant et teneur de livres du dépôt des munitions à Thoune ; commis technique : M. H. Oberlin, ingénieur-mécani- cien, à Soleure ; commis pour le service administratif: M. J. R. Gally, commis à Berne.

L'organisation du bureau fédéral de la pro- priété intellectuelle n'a été terminée qu'après la discussion du budget de 1889. En consé- quence, le Conseil fédéral soumet aux cham- bres fédérales le budget suivant pour ce bureau en 1889. Recettes : 1° Brevets d'in- vention, 50,000 fr. ; 2° Marques de fabrique et de commerce, 11,700 fr. ; 3° Œuvres litté- raires et artistiques, 300 fr. ; 4° Dessins et modèles, 4,000 fr. ; Total, 66,000 fr. Dépen- ses : 1° Traitements, 28,800 fr. ; 2° Service et travaux auxiliaires, 3,200 fr. ; 3° Impression des brevets, 30,000 fr. ; 4° Autres travaux d'impression, 1,500 fr. ; 5° Frais de bureau, 3,000 ; 6» Ports et divers, 50 fr. ; Total, 67,000 fr.

Jjol Km· l e s p o u r s u i t e s e t f a i l l i t e s .

— La commission spéciale chargée de la ré- daction définitive du texte de la loi sur les

poursuites et faillites siège depuis quelques jours à Berne sous la présidence de M. le conseiller fédéral Ruchonnet. Il paraît qu'elle trouve la tâche plus difficile qu'on ne l'ima- ginait, notamment quant au texte français dont on se voit forcé de remanier presque chaque article. C'est qu'au Conseil des Etats qui avait la priorité pour ce tractandum, on ne s'était pas beaucoup occupé de la rédac- tion ; on avait surtout en vue la matière, quitte à donner plus tard à la loi la forme convenable. Le Conseil national, de son côté, trouvant un texte tout prêt, a négligé la forme.

Or, il est maintenant nécessaire de consacrer deux ou trois semaines à revoir la rédaction de cette loi. Il faut employer le langage juri- dique et purger le projet de toute expression vague ou ambiguë. Les textes allemand et italien donneront moins de travail.

M o n o p o l e d e l ' a l c o o l . — Sur la de- mande qui lui en a été adressée, le Conseil fédéral a répondu au gouvernement du can- ton du Tessin qu'il admet aussi que les can- tons ne sont pas tenus d'employer à combat- tre l'alcoolisme les 10 °/o sur les recettes brutes du monopole de l'alcool qu'ils reçoi- vent comme indemnité pour la suppression, résultant de la loi fédérale du 23 décembre 1886, de leurs droits d'entrée sur les boissons spiritueuses, mais qu'ils n'ont d'obligation d'employer ce montant, dans le but indiqué, que sur les recettes qui leur reviendront après la fin de 1890, en proportion du chiffre de leur population.

N o u v e a u p a r t i . — Samedi soir, une nombreuse réunion d'ouvriers de Berne et des environs a décidé d'accepter que Berne soit le siège central dn nouveau parti socia- liste-démocratique suisse. Un comité d'exé- cution de sept membres a été nommé, parmi lesquels deux femmes.

IJe t r a i t é d e c o m m e r c e avec l'Allema- gne a été conclu hier et signé à Berlin.

C o n t r e b a n d e . — On annonce de Côme qu'une quantité assez considérable de mon- tres aurait été saisie par les douaniers. Il paraît donc que malgré l'abaissement des droits d'entrée, qui ne sont plus que de 50 centimes sur les montres argent et métal et 1 franc sur les montres or, la contrebande sévit toujours.

Q u e s t i o n s s o c i a l e s . — Les évêques suisses ont, dans leur dernière conférence annuelle à Schwytz, pris position relative- ment à la création de sociétés ouvrières ca- tholiques, et l'évêque de St-GaIl vient de don- ner un commentaire assez étendu de ce fait, où il s'explique de la manière suivante : «Les évêques suisses, dit-il, ont trouvé que la question ouvrière est digne du plus grand intérêt, mais ils estiment que divers motifs très sérieux plaident contre l'organisation de sociétés nouvelles indépendantes ; il est pré- férable que les associations catholiques exis- ' tantes, avant tout le Piusverein, s'occupent des intérêts sociaux et de ceux des ouvriers, et que les sociétés réellement ouvrières, là où elles sont désirables, soient organisées comme branches, entre autres, des Piusverein locaux, s

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En conséquence, les sections qui n'ont pas encore élu leur Chambre syndicale mixte sont invitées à le faire dans le plus bref délai.

Messieurs les chefs d'atelier et ouvriers sont tenus, dès la date sus-mentionnée, de se conformer en tous points aux règles établies par la dite convention.

Chaux-de-Fonds et Locle, le 11 novembre 1888.

Le Président du Bnrean directeur de l'Association des chefs d'atelier décorateurs, 4 7 5 E u g . I i E I H Z .

Le Président du Comité central de la Fédération des cimiers graveurs et gnillockuis, E1OUiB M A T H K V .

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(6)

416 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSB

S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E -Concours des chronomètres du 2 janvier au Si mai i888 (1)

A Ecart maximum des marches à la température ambiante. Limite 2S5.

B C F

I E

N Nombre dp Id Id Id Id Id

successives. Limite ls.

au chaud (30° environ). Limite 2S5.

au froid (0° environ). Id. 3S5.

aux petites amplitudes. Id. 3S0.

aux positions sur XII et VI, ou sur III et IX. Limite 6S0.

425

* " · " " Λ J , V » » . 1 . . « H U O U1 I U l ^ V . 1 , V,U O U I 1 1 1 U · 1 Λ . U l U l I l O W V / .

bassement [égal à A, plus B, plus y2 I, plus le plus grand d e C ou de '/2 F ] ( 2 ) .

Construc- teurs Classés Delépine Delépine Lsroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy L roy&fils Leroy Leroy Leroy.

Leroy Thomas Leroy Leroy Non classés

Leroy Leroy Lerov Rousseau-

Lecocq Cahier

Nos des Chrono-

mètres

1505 1468 695 669 684 654 1508 663 681 146 664 706 680 64J

•2 688 658 692 659

• 682 5 575

• A

0,42 0,67 0,66 0,97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2,63 1,72 2,65 2,86 . 2,38

B

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0,29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 1,10 1,66 0,64 0,78

C ou y2 F

0,33 0,97 1,21 0,80.

0,82 1,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29 •

V

2

I

0,94 0.49 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0,87 1,49

E .

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 · 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

N

1,99 2,53 2,56 2,93(3) 3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,76 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,73(3) 5,83 6,94

Détails

Bal. cire.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

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Id.

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Bal. cire.

Id.

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Id.

Id.

de construction

spiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id- id. id.

id. id.

id. id.

id. acier id. palladium id. id.

spiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. acier (1) Nombre des chronomètres présentés : 4 3 . Classés, 1 7 ; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec

résultats incomplets ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a d e - mandé au Ministère l'acquisition d e s six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans le Journal suisse d'Horlogerie, XIm c a n n é e , page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du règlement).

(4) Id. Id. 0,25 Id. ( Id. ).

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sera donnée, après jugement rendu, à toute personne qui fournira à la maison sus-nommée, des renseignements exacts et précis sur les

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lité exigés. 474

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Références

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