active), des noirs du Libéria et des Kroumen. Mais tout cela ne donne que des centaines, tan- dis qu'il faudrait des milliers de travailleurs. C'est pourquoi, aujourd'hui, l'on songe
fournir aux ouvriers des maisons, des ma- gasins d'alimentation, des caisses de toute nature, etc., mais à leur fournir des ate- liers où la sécurité, la propreté, l'hygiène,
Du Monde économique. Avant la loi de 1889, l'assurance contre la maladie était réalisée par des Caisses spéciales, et l'assurance contre les accidents fonctionnait au moyen
membres les plus appréciés de l'Association de l'Industrie et de l'Agriculture françaises, M.Vil- letle, industriel à Lille, vient de prendre dans tous les pays un brevet pour
Un négociant qui a eu, à diverses re- prises, l'occasion de voir de près ce qu'il décrit, écrit à la Chambre cantonale du commerce, à la Chaux-de-Fonds, ce qui suit. Les
Elle expose que l'échelle des taxe est contraire à l'espril de l'article 7 du traité britannfque de 1902 qui stipule que la taxe perçue pour l'enregistrement des marques de
vaises récoltes de tous les produits agricoles du p a y s , surtout du maïs. De là-j slognation des affaires en général, qui, dans le second semestre, devenait si intense
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