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Ondes et photons - II. Approximation de Pauli

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Ondes et photons - II. Approximation de Pauli

Al. Proca

To cite this version:

(2)

ONDES ET PHOTONS

. II. APPROXIMATION DE PAULI Par AL. PROCA. Institut Henri-Poincaré, Paris.

Sommaire. 2014 L’auteur examine la première approximation d’une mécanique quantique des photons dans l’espace de configuration, fondée sur les principes indiqués dans un précédent article (Journal de Phy-sique, 1934, t. 5, p. 6).

L’approximation consiste à décrire le photon par une fonction d’onde à deux composantes seulement. On obtient l’expression des composantes du champ électromagnétique, qui satisfont aux équations de

Maxwell et se transforment correctement. On trouve qu’un photon d’énergie et de quantité de mouvement

bien

définies correspond à une lumière polarisée circulairement dans un sens déterminé.

Pour le problème général de la signification des

énergies

negatives, ces résultats conduisent à l’interpré-tation suivante, à vérifier :

L’énergie d’une particule est par essence une quantité

positive;

son signe n’indique que le sens de

rotation,

droit ou

gauche,

de certains champs attachés à la particule, et

qui

se

confondent

avec le champ

electromagné-tique

de Maxwell si la

particule

est un corpuscule de lumière.

i. Introduction. - Dans un

précédent

article

(1)

nous avons tenté une

synthèse

entre la théorie

quan-tique

d’une

particule

de

charge

et de masse nulles et la théorie

électromagnétique

de Maxwell. Nous avons vu

qu’étant

donnée la fonction d’onde de de

Broglie

~.~

de la

particule

dans

l’espace

de

configuration,

il

était

possible

de trouver certaines fonctions e,

h,

qu’on

pouvait regarder

comme le

champ électromagnétique

accompagnant

le

photon,

parce

qu’elles

satisfaisaient

aux

équations

de

Maxwell,

se transformaient correcte-ment et conduisaient à la valeur exacte de

l’énergie.

Nous nous sommes

cependant

bornés à

l’approxima-tion de

Schrôdinger,

c’est-à-dire que nous avons

sup-posé

le

photon

décrit

par l’équation simple

La théorie

qui

en résulte n’est pas

satisfaisante,

pour

les mêmes raisons

qui

font

qu’il

n’est pas

possible

d’établir une

mécanique

relativiste de l’électron en par-tant d’une

équation

du second ordre.

IL est même difficile de

regarder

cette théorie comme une véritable

première

approximation;

en

effet,

la

mé-canique

de

Schrodinger (dont

la

précédente

n’est

qu’un

cas

particulier

pour »1 =

0),

n’est

applicable qu’aux

particules

de vitesse réduite, condition que ne

rem-plissent

certainement pas les

photons.

Avant de passer à la théorie

exacte,

nous allons examiner un autre

traitement,

qui

constitue cette fois-ci

effectivement une

première

approximation

et que nous

appellerons

« de Pauli », parce

qu’il

n’introduit que deux fonctions d’ondes pour décrire la

(1) Journal de Physique, 19:H, t. 5, p. 6. Xous désignerons cet

article par I ; voir aussi Corllptes 1933, t. 197, p, 1 123 et

Hl34, t. 198,

p.

54.

particule,

au lieu des

quatre

qu’exigerait

la théorie de Dirac.

Considérons un électron de

Dirac,

en absence de

champ ;

son mouvement est

gouverné

par les

quatre

équations

suivantes que nous écrirons en

employant

le

symbolisme

des

spineurs (1) :

Si ces

équations

sont exactes pour une

particule

quel-conque, il

faudrait,

pour

pouvoir

assimiler cette

der-nière à un

photon,

admettre d abord que sa

chargée

et

sa masse soient

nulles;

on aurait donc

simplement

Ensuite,

il faudrait

s’arranger

pour le

spin

de la par-ticule que nous assimilons à un

photon

soit nul ou

égal

à Nous discuterons en détail cette

question

du

spin

dans un article

prochain,

consacré à l’étude de

,1’approximation

de Dirac. Nous verrons

cependant plus

loin

qu’à l’approximation

de

Pauli,

traitée

ici,

le

spin

du

photon

est

nul,

en vertu de la manière même dont

on choisit cette

approximation.

La difficulté est ainsi

éludée ;

nous la retrouverons entière dans la théorie exacte.

2.

Décomposition

fondamentale. - L’idée fon-damentale que nous avons utilisée dans nos

précédentes

(1) Cf. p. ex. IMPORTE et UIILE--IBECK, Illiyçtcal 1930. 37, p. 1380.

(3)

122

publications

est la suivante.

L’impossibilité

de

réali-ser la

synthèse

entre la théorie de Maxwell et la théorie de

Dirac,

vient du fait que la

première peut

être

déve-loppée

sans faire aucunement

appel

à des

spineurs,

tandis

qu’il

n’en est pas de même pour la seconde. Si donc nous voulons relier d’une

façon

ou d’une autre les

spineurs qui

définissent le mouvement d’un

photon

aux

composantes

du

champ

électromagnétique

e, h, il

faudra nécessairement utiliser d’autres

spineurs

qui,

combinés avec les

premiers,

fourniront des

grandeurs

se transformant comme e et h. Cette seconde

catégorie

de

spineurs,

nous la trouverons

en décomposant

le vec-teur d’univers

Tout comme la théorie de

Dirac,

basée sur la

dé-composition

d’un

scalaire,

celle

qui

suit est fondée sur la

décomposition

du vecteur

(4).

La théorie de Dirac nous

donne

l’exemple

d’une

décomposition

de ce genre : les

composantes

du courant

se

présentent

comme des fonctions

quadratiques des ~ ;

les formules

(5)

réalisent une certaine «

décomposi-tion » du

vecteur i,..

Il

s’agit

de trouver une

décom-position analogue

pour le cas du vecteur

(4).

Nous traiterons le

problème général

dans un

pro-chain article. Pour

l’instant,

nous remarquerons

qu’ici

le

problème

semble se

simplifier

du fait que, m étant

nul,

on a

toujours, quel

que soit

Ç,

ou )t), :

soit

Nous admettons en outre que les

opérateurs

en

les-quels

on

décompose

le vecteur

(4)

doivent tous ètre commutables entre eux et avec les

composantes

(4).

Comme dans

I,

nous devons d’abord obtenir de tels

opérateurs

et les utiliser pour former de nouvelles fonctions

qui

décrivent le

champ ;

nous aurons ensuite à prouver que ces fonctions

jouissent

bien des

pro-priétés

que nous leur avons

supposées.

3. Théorie à deux

composantes. -

Considérons

d’abord un vecteur d’univers Ar

(r

= 1, 2,

3,4)

réel,

ordinaire

(c’est-à-dire

qui

ne soit pas nécessairement un

opérateur)

et satisfaisant de

plus

à la condition

Soit a~~ le

spineur qui

lui est attaché comme

d’habi-tude,

au~moyen

des formules

Les ai2 et a-, sont

imaginaires conjuguées ;

a;~ azz

sont réels.

La

décomposition

la

plus

simple

et t la

plus

immé-diate de ce

spineur

a,? s’obtient évidemment au moyen

d’un seul

spineur

inconnu

us, donc de deux

fonctions Ut

et u2. Elle consiste à poser

Cela

exige cependant

que

soit

qui

n’est autre que la condition

(7) ;

c’est cette condi-tion

qui

nous

permet

la

décomposition simple

~9).

Un seul

spineur us,

signifie

quatre

composantes

réelles;

or, on ne se donne que trois

quantités

indé-pendantes (à

cause de

(7) );

nos formules finales

com-porteront

donc une arbitraire. Posons

alors,

pouravoir

des formules

symétriques

donc

ce

qui

impose

condition assurée si tous les ~r sont

positifs.

Posons (?

= a.

--- ~3;

on a

Appelons

a-un

angle

arbitraire et écrivons

On en déduit

Nous avons fait entrer le double

signe

devant le radi-cal dans l’arbitraire eÚ.

Remarquons

encore que ces formules ne sont valables que si

(11’)

est

satisfaite,

ce

qui

est d’une

importance capitale;

nous reviendrons au

paragraphe

7 sur ce

point.

(4)

et faisons en outre le

changement

de variables

Nous aurons finalement

Nous attribuerons aux

symboles d ,

... le même

ôg

sens

(dérivées

d’ordre

fractionnaire)

que nous avons

introduit dans I.

4.

Application. -

Considérons une onde

plane

de la forme

(17)

avec la condition W >

0,

sans

laquelle

les formules

(13)

ne seraient

plus

applicables.

On

peut

écrire :

()n a, alors

en choisissant la même détermina,tion pour

Quant

à

l’opérateur

ei on

peut

lui

appliquer

tout ce que nous avons dit dans 1

(Paragraphe 7),

sauf ce

qui

concerne son

interprétation physique.

5

Expression

des

composantes

du

champ.

-Considérons maintenant une

particule

de

charge

et de

masse au repos

nulles;

une telle

particule

sera décrite

en

mécanique quantique,

par les

équations

déjà

men-tionnées

Si cette

particule

est assimilable à un

photon, quelles

seront les valeurs du

champ électrornagnétique

de la lumière

correspondante? D’après

le

procédé

utilisé dans

I,

nous devons obtenir ces valeurs en combinant

convenablement les

composantes

us, fournies par la

décomposition

du

vecteur ,

et les

spineurs ,;., zi.,

qui

décrivent le

corpuscule

de lumière

dans l’espace de

con-figuration.

Il suffira de trouver un

spineur symétrique

du second

rang, de la forme

9;.’s;

les valeurs des

composantes

du

champ

s’en déduiront par les formules

indiquées

par Uhlenbeck et

Laporte

(loc.

cit. et aussi

1934,

t.198,

p.

452).

Or,

la manière la

plus simple

de former un

pareil

spineur

du second

ordre,

consiste évidemment à pren-dre

I.À

identiquement

nul

et à utiliser

’f~

pour former

Ce

gr;;

(donc

le

élect?oi>ia,q>iétique

correspon-dant) satisfait aux équations

de Maxwell

satisfait

celles de En

effet,

les

équations

cle Maxwell

s’écrivent

(Cf. Laporte

et

Uhlenbeck,

loc.

cit.)

et l’on a, à cause de la commutabilité des

1. ,

le second terme étant nul en vertu de

l’équation

de Dirac

(3)

et le

premier

à cause de l’identité

fondamen-tale du calcul des

spineurs

Cela nous conduit donc à définir un

photon

par les

équations quantiques (20)

et

(3),

photon

dont le

champ

électromagnétique

est

(,21)

ou,

mieux,

à dire que le

champ

n’est défini que par les deux

composante s,,.I., ,

-satisfaisant au

système unique

- 0.

Ecrivons d’une

façon

explicite

ce

champ.

On a en

général

les relations suivantes entre g;’8 et le

champ :

(5)

124

On a donc

simplement

t

et il suffira de

prendre les

parties réelles

et

imaginaires

des seconds membres pour avoir les valeurs

(réelles)

des

composantes

du

champ électromagnétique.

Etant donné que

ou

peut

écrire

Un voit

qu’en

vertu de

(20)

le du

photon,

défini

comme en

mécanique quantique

par

est nul : la lumière est

dépourvue

de

spin

à

l’appro-(nation de Pauli.

6. Polarisation. - Si la lumière n’a pas de

spin

clle

possède

par contre une

polarisation.

Pendant un

certain

temps,

on a cherché à mettre en

parallèle

le

soin

des

particules

et la

polarisatiun

des ondes

électro-magnétiques

et à réaliser des

expériences

sur le

spin

électrons

qui

soient

l’analogue

des

expériences

de

polarisation

lumineuse. Du

point

de vue

auquel

nous oous

plaçons

ici,

cette manière de faire

apparaît

comme

une erreur. La

présente

théorie

sépare

nettement la notion de

spin

et celle de

polarisation

et

explique

l’ia-succès des tentatives

expérimentales mentionnées ;

elle

suggère

une autre direction dans

lacluclle

ces dernières devraient

s’engager.

Considérons un

photon d’énergie

et de

quantité

de mouvement bien

déterminées;

il sera

représenté

par

une onde

plane

et nous ne diminuerons en rien la

géné-ralité en

supposant

que celle-ci se propage le

long

de l’axe Ox. La fonction d’onde du

photon

sera

Un doit

avoir -

=

ï)2

et les

.1,

doivent satisfaire

c

aux

équations

de Dirac

qui

s’écri;ent ici

Puisque

0,

on doit

prendre

donc

-41

=

li

reste arbitraire. Posons

-1,

_ ~

Cela

étant,

calculons les

champs

au moyen des

for-mules

(~3’)

et

( 19)

en

admettant,

comme dans

I,

que E

désigne

l’opérateur

«

multiplication

par un nombre e ".

On a facilement

soit avec :

On voit

qu’à

l’encontre de

l’angle

arbitraire a

qui

s’introduit à

l’approximation

de

Schrôdinger

et

qu’on

devait

interpréter

comme

un angle

de

polarisa lion,

l’an-gle

E n’a aucune influence sur la valeur des

composantes

des

champs.

L’arbitraire E

qui

provient

des

opérateurs

u; se fond dans celui

qui

a pour

origine

le fait que les

~

ne sont déterminés par les

équations

de Dirac

qu’à

un facteur de

phase près.

Cela fait que la lumière

cor-respondant

à un

photon

déterminé a une

polarisation

définie et nullement arbitraire.

Les formules

(28)

montrent

qu’un photon

décrit par

correspond

v une lumière se

propageant

dans la même direction que le

photon,

à savoir

Ox,

et

ayant

risation circulaire droite.

Les

composantes

des

champs

ne sont déterminées

qu’à

un facteur

près,

dont le module

peut

être fixé par la condition que

l’énergie

du

champ

lumineux soit

égale

à celle du

photon;

il reste encore un facteur de

phase qui, lui,

est arbitraire.

7. Problème des

énergies négatives. -

Un

photon d’énergie positive

représente

donc une lumière

(6)

ce résultat est établi d’une

façon

certaine à

l’approxima-tion de Pauli et il subsiste

également

dans la théorie exacte. Il est naturel alors de penser que,

probablement,

un

photon dléjïei-gie négative

représentera

une

polarisée

circulairement en sens inverse.

Nous verrons dans la théorie exacte

qu’il

en est effec-tivement

ainsi;

mais les

développements précédents

ne nous

permettent

pas de vérifier l’exactitude de cette

suggestion;

l’approxi»iatioii

de Pauli 1le

suffit

pas

pour cela.

En

effet,

nous n’avons pas le droit de conclure à

par-tir du

paragraphe précédent

que, si un

photon

d’éner-gie positive représente

une lumière

polarisée

circulai-rement dans un certain sens, un

photon

d’énergie

néga-tive

représentera

une lumière

polarisée

en sens

contrai-re. La

décomposition (13)

ne serait

plus

valable dans le

cas où

parce que nous tomberions sur le cas

que nous avons

expressément

éliminé;

la dernière des

équations

(8)

conduirait à une

impossibilité.

Nous pouvons

évidemment,

dans le cas A’ -

0,

obtenir une autre

décomposition

en

changeant

le

signe

des seconds membres des deux dernières

équations (8).

Les formules

obtenues,

qui

sont différentes des

précé-dentes,

s’appliqueront

alors exclusivement aux

parti-cules du

type

(29)

à

énergie négative,

auxquelles

cor-respondraient

des

champs

tournant en sens inverse des

précédents.

En

résumé,

les calculs que nous avons

développés

ne sont

applicables

que pour les

énergies comprises

entre 0 et

+ 00;

des formules

analogues,

mais non

identiques,

permettent

d’examiner le domaine de 0 à mais il n’est pas

possible,

à

1"approximation

de

Pauli,

de donner des formules

uniques

pour tout l’in-tervalle -

--~

oc .

Cela montre en

quel

sens la théorie

précédente

est

une

approximation

et les conditions dans

lesquelles

elle est

applicable.

Cela prouve aussi le fait connu

(1)

qu’une

(1) W. PAULi, Handbucla der

Physik,

1933, t. XXIV-1, p. 226.

théorie relativiste à deux

composantes

n’est pas réali-sable. Il faut donc passer à

l’approximation

de

Dirac,

ce que nous ferons dans l’article suivant.

Les résultats

précédents

suggèrent

une nouvelle

ligne

d’attaque

du

problème

des

énergies négatives

d’une

particule

quelconque,

photon

ou électron. Dans toute théorie comme

celle-ci,

basée sur les

équations

de

Dirac,

il semble

qu’on

doive se heurter inévitablement

à un certain moment à une difficulté

insurmontable,

constituée par

l’apparition

des

énergies négatives.

Or,

pour le cas du

photon,

cette

circonstance,

loin de cons-tituer une

difficulté,

est au contraire un élément

indis-pensable

à toute théorie

correcte;

en

effet,

il est

indis-pensable

d’avoir des

champs

tournant dans les

deux

sens pour

pouvoir

réaliser une lumière

polarisée

liné-airement. D’autre

part,

on sait que dans la théorie de

1-’électron de

Dirac,

on ne

peut

également

pas se passer

de la considération des

énergies négatives.

En aucun

cas, nous ne pouvons les

éliminer;

nous sommes donc

obligés

de les

interpréter.

Or,

les

développements précédents

nous

suggèrent

l’interprétation

suivante :

La notion intuitive que nous avons de

l’énergie

d’une

particule quelconque

ne nous

permet

pas

d’attri-buer un

signe

au nombre

qui

la mesure;

l’énergie

ne

peut

être pour

noues,

au moins avec nos habitudes

d’esprit

actuelles,

qu’une

quantité

essentielleine>it

posi-tive,

égale

à la valeur

absolues

1

1

de ce nombre. Nous pouvons

cependant

attribuer une

signification

intuitive aux

signes

+ et

-

dont est affecté ce

nombre : ces

signes

indiquent sinlplement

le de

rotation droit ou

gauche

de certains attachés

à la

particule.

Si la

particule

est un

photon,

ce

champ

sera le

champ électromagnétique

de la

lumière;

un

photon d’énergie positive représentera

une lumière

polarisée

circulairement à droite et un

photon

d’éner-gie négative

une lumière

polarisée

à

gauche.

Si la par-ticule est un

électron,

nous devons chercher

quels

sont les

champs qui

jouent

ce rôle et

qui

permettent

ainsi une

interprétation

des

énergies négatives;

les considé-rations

précédentes

montrent leur

importance

et lais-sent

prévoir

que la

comparaison

avec la théorie des trous de Dirac

pourrait

être très fructueuse.

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