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Comptes rendus de l'Académie des Sciences; - T. CXLI ; 2e semestre 1905

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HAL Id: jpa-00241111

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241111

Submitted on 1 Jan 1906

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences; - T. CXLI ; 2e semestre 1905

Boizard

To cite this version:

Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences; - T. CXLI ; 2e semestre 1905. J. Phys. Theor.

Appl., 1906, 5 (1), pp.288-304. �10.1051/jphystap:019060050028801�. �jpa-00241111�

(2)

inclinaison plus g rande, il se produisait une réilexion des ondes qui

troublait complètement le phénomène. Les erreurs d’expérience

étaient inférieures à 10 U n et, dans ces limites, la concordance des résultats du calcul avec 1 expérience s’est montrée satisfaisante.

1I’t~ NI. PETROWA. - Sur la tension superficielle du mercure solidifié.

P. 203-206.

~’~Ile ~etro~~-a a photographié l’imagc amplifiée sept fois d’une goutte de mercure reposant sur un plan de verre. I_a superposition

des photographies d’une mème goutte prise avant et après sa soli-

dification (au moyen d’un mélange de neige carbonique et d’éther)

n’a montré aucune différence appréciable.

lV, l~EliN.~@rzk Y. - Appareil pour délnontrer la coitiposition de deux rotations et destiné a l’explication de la théorie de la polarisation rotatoire de Fresnel.

.

- P. 20~12.

P. KLEIN.

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CXLI ; 2e semestre 1905.

A. 1£11 >1.1. - 811r le pouvoir inducteur spécinque des métaux dans le l’z~

des ondes et lUI11ineuses.- P. 2Í-.

L’auteur montre que l’hypothèse qu’il a faite d’un pouvoir induc-

teur spécifique considérable pour les métaux n"est pas plus en désac-

cord aver l’optique des métaux que l’hypothèse de Planck ce pouvoir inducteur est nul.

(;. ~ W 11:LB1111 1.1B-..., - B1,1~ de iiie-tii@e (lu- f;u,teul’s pénétration et qllantlk de i-aN-~)ns X. ,,-,1 tlll;¡B¡~ellr raJiul’h4dpIlll’tl’ique (1). - P. 26,

Description et usage de l’appareil.

B1) Voir ~./.,t.CXBXiB~.. 6i~: 1UU2.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050028801

(3)

289

1. Il~~t (.1 ~:~-inC-E et lI. I’~~~ ~ - i’w~i~ri·~t·~~ m~~.~~~t~t,·_r~~t~,-I~le_ E1n ff~x.

i ’ Ill, Il’ l t -Il B Ill" - 1’. à.’.

On sait que les lames transparents de fer, placées dans un champ magnétique normal à leur plan, transforment une viLratill1l recti-

ligne en une elliptique dont le grand ~tx~~ r’ll’n1e un certain aii-

la vibration incidente. Cet an,~le varie avec le champ, mais nuii l Ji ’-’-

portionnellen1l’ll t. ~-t lL>ii1 iinelimiteau voisinage de30.0()0 gauss.

Il en est de même pour le rapport des deux axes de l’ellipse. Le fer ionoplastique semble avoir le même pouvoir rotatoire maximum que le fer é 1 e c l ro 1 y t i que, nl ais il l’atteint moins vite, de même qu il atteint t

aussi moins vite sa saturation magnétique.

F. MOXPH.LÀRD. 2013 Méthode pour établir des écrans ~v~l~~rr~~ destinés a isoler certains groupes de radiations spéciale~. - il. :~ 1.

Si on recouvre une plaque de verre d’une couclie d’épaisseur variable

d’une solution formée par la dilution d’un poids connu dll mat i>1>

colorante dans un volume donné d’une solution aqueuse de gélatine,

le poids de 111alitBre colorante par unité de surface en un point sera proportionnel à l’épaisseur de la couche en ce point. La 1>«li>1 1«> 1

au spectropliotomètre de 1 endroit de la couche présentant 1 absorp-

tion maxima pour la radiation étudiée et la mesure de l’épaisseur correspondante permettent de déterminer facilement J’épaisseur a

donner aux écrans colorés que l’on désire utiliser.

J., tll 11.LL1’, - 1>r>piiét>, dl’’’’ a’i>1, ;1 1 aliiiiiiniiiiii. - l’ ,

1,’aluminium n’a pas d’action importante siir les p! op! h’t s iii’ii- niques des aciers tant qu’il ne dépasse pas li U u.

A 7 î t) U, les aciers sont extrêmement fragiles. Pour les hautes teneurs, on y rencontre de la martensite libre, et l’intluence de la

trenipe est d’autant plus grande que la température est plus élevée.

(4)

Pu. I ’ "~"~ > l ,1 . ~1BTZ~~. - Densités lv }’anhBdr}de carbonique.

’!nm"ut.’.’’(’tdupr’."By’}ed’axjte.2013P..’JiL

f’~~.- ~. ~ ~ i 1 1_ ~-~ ~ .~~ i 1 > 1 N 1 1,,1 . - Densité de l’oxyde azotique. - P. 826.

Les auteurs ont trouvé pour le poids d’un litre normal de gaz :

d’où ils déduisent que le poids atomique de l’azote est compris

entre 14,006 et 14,010, le nombre le plus probable étant 14,009.

Ilr~ ~~cl (B:C:~ IL~E(~1~:(,. ® Sur quelques expéi,ienc(~, relatives a l’act-ivatton

!I:11’ 1’1lraniuIJl. - 1>, 81.

1,’auteur a déjà montré(’) qu’un sel soluble de baryum, mélangé à

une solution d’un sel d’uranium et précipité à l’état de sulfate,

donne un précipité plus actif que l’uranium, mais dont l’activité di- minue de moitié en 20 jours environ. Le phénomène est indépendant

de la température. Le sel d’uranium resté en solution est moins actif

qu’auparavant, mais reprend avec le temps son activité première. --

L’eau activée par un sel de radium devient inactive, après précipi-

tation du sulfate de baryum. Enfin, dans une solution de sel d’ura-

nium soumise à l’émanation du radium, les deux émanations se

comportent indépendamment l’une de l’autre vis-à-vis du précipité.

Le noir de fumée fixe aussi l’émanation de l’uranium. Calciné, il

reste encore actif, et sa combustion ne peut être complète.

1". BJ E~ 1.1" - Mesure de coefficients d’aimantation et étudie du champ magnétique (2). - P. 102.

Discussion de la méthode employée et des résultats qu’elle peut fournir.

1 ) ~’. li.. L CXXX et 511i"ant’ 1400.

- N ,ir 1 . li , t, lXl,, jiiin l’i>5,

(5)

~ 1 1~~11 )~ t~ .~f l , ’ , 1) T B 1 . 1 B _ ( .. t, ="r. _ ,i> ’ " ... - l , ,n ,,11 ,f.> n ~... " ~... i ÎI n

Les ti~’n’~"~ ’le pression ou de percussion sont en générai earacté- ri---ti’ltle... de l’orientation cristallographique d’une coupe donnée au I11t"lll!l ht!’- que les figures de corrosion, et dépendent comme clips

de !L~ ~~ lllt’tI’le du cristal et de sa structure intime. Elles peuvent ’ .~stl~f~

la base d’une méthode générale d’élude des cristaux.

L. TEÏSSERENC nu HOHT. 2013 Bï’l’ifh’:1fion d(., ;ltiliilr, 1.>, >,, t ;ijucs

par 1~~, visée directe ilr, 1itll,,ii;-,,iili>,, - 1> 1

De la comparaison des altitudes calcult’L’--- Il’yll’1~~ 1>, illdi"ati(1I1""

du baromètre et celles plus sures déterminées par triangulation, il

résulte qu’un grand nomlre de baromètres présentent un retard

dans les indication-, provenant de 1’’lii;ti.il> imparfaite d’’ lu 111)1tl’

métallique formant baromètre; il y a nécessité à employer nl a i Id t’II il Il t

des instruments plus précis.

Ni 1, ii.i""1’. 2013~souB’eHo lllt,tlHHle pour la lt’termmati"n liic.t,> ~I1~ 1;1 1.li~,i l i,>ii

¡’l tuutes le~ llauteurs. - Il. 1 u î et ~_>~~.

Description et discussion complète de la métllode.

Cn. ANDRÉ. 2013 Appareil à éclipses partielles de ~uleil. - 1>. 168.

Description et usage de l’appareil, qui, braqué sur le soleil, permet

la représentation des diverses phases géométriques d’une éclipse.

G.G~’lU’-;)~B’!LtJ~U~Ti;r.2013(:..ntti!.unun.ttB-tn.!-d-d!ct.~hh)u(-s

lijii1%, - P. i-¡q,

Étude sur le pétrole et l’huile de paraffine de du poten-

tiel de charge et de la durée de la charge, l>iii>1>e; l’y~t~t~~mntatll’~.

Aucune charge appréciable n’a été constatée dans lt’ ~11~’ll~l~tnilylt’

liquide une fois soustrait à l’action du cliainp. Il semble que la pro-

pagation des charges soit, chez ces liquides, comparable a cclle qui

s’ebt effectuées à travers les corps cristallisés.

(6)

Une membrane placée eii 1 dans la chaîne 1 i q n i ù e :B Il -t 1 1120 ¡ 1B1 R

1

,

donne nai~~allct> et tin., force électromotrice, si 311t est ly ~I~‘ol~Tsable.

(lclle-ci J0penJ : 1 1,~ la nature du la Inelnbrane et ÙI’" ~n~5tances

ayant iizi i antérieurement sur elle; ~" ~lt~ ’1 Il et de substances

étrangères runtenues dans la dissolution 1I1~ ; :~ ’ de la position rela-

tive (h’ la membrane et des liquides INIII, lI2().

Elle peut s’expliquer par la formation, aux dépens de l’électrolyte,

d’une couclie double électrique au contact de la membrane.

~:n. I.EI~B11.11i1t-I’. - :~ar l ~ wt·w.u 1 e cristallisation des solutionw sursaturées.

p, 18S.

Les solutions sursaturées présentent le même phénomène que les.

corps surfondus étudiés par Tammann. La vitesse de cristallisation,

par abaissement de température, augmente d’abord, atteint un mai-

mum. reste constante pendant un intervalle de 30 à 40’’, puis diminue rapidement et tend vers zéro; c’est ce que l’auteur a constaté sur le

sulfate, 1‘acétate et l’hyposulfite de sodium. Il a reconnu de plus que la diminution de la vitesse de cristallisation est proportionnelle à la

racine carrée de la quantité de sel anhydre dissoute dans une méme

quantité de sel cristallisé, loi que I~1. von Piekardt avait obtenue en

dissolvant un corps, en quantité variable, dans un autre corps pur surfondu.

L. Il 1 (". l~’,i )N. - W r un ...IL’I’I"’’’’’’’’¡It’ dlèelre Ù, grand champ, à nliroir hissecteur, 1>, 2il I.t 31:L

L’appareil fermé présente le méme aspect qu’un atlas. Quand on l’ouvre, les deux panneaux extérieurs reçoivent : le droit, 1 épreuve droite; le ~al1l’llP. l’épreuve g-aurhe. Ils forlnent un angle optimum

de i 10" poui 1,; grandes épreuves, de 1800 pour les plus petites, t’n

panneau nll’didll, articull) de façon à être toujours le bissecteur du dièdre 1>rii>> par les deux autres, porte un miroir de glace argenté

ou un prisme à réflexion totale. I.’t~il droit visant directement

répreu e droite et l’0153il gauche visant dans le miroir l"épreuve

(7)

293

gauche, on a la vision stéréoscopique, avec le champ de l’oeil libre

beaucoup plus étendu que celui des instruments d’optique.

L’appareil permet aussi d’effectuer diverses expériences relatives

à la vision binoculaire, et en particulier d’aborder l’étude et le trai-

tement des diverses formes du strabisme.

P.GARRIGOU-LAGRAXGE. 2013 Les mouvements généraux de l’atmosphère

en hiver. - P. 283.

En toute saison, l’liémisphère est ordinairement partagé en quatre régions inégales, mais symétriquement placées, deux le baro-

mètre est bas, deux il est élevé. Les principaux mouvements qui

se produisent sont des mouvements de jonction qui réunissent à certains moments respectivement entre elles les aires de haute et de

basse pression, de façon qu’il n’y ait plus qu’un seul maximum et un

seul minimum. Les seules différences entre les saisons proviennent

de la circulation générale, qui change la position des aires et les modes de jonction.

G. FERRIÉ. - Le détecteur électrolytique à pointe métallique. - P. 31 ~.

L’appareil se compose d’une pointe de platine, de

i

de milli- 100

mètre environ, pénétrant dans un électrolyte (acide sulfurique par exemple) d’une longueur à peu près égale à son diamètre ; l’électro- lyte et le fil sont mis en communication, d’une part avec un télé- phone, de l’autre avec le circuit sont produites des oscillations de faible énergie. Chaque train d’ondes produit un son dans le télé- plone; il peut méme, si l’énergie des oscillations est suffisamment

grande, faire dévier un balistique. La déviation étant toujours de

même sens, le détecteur agit donc comme soupape, arrêtant les alternances positives.

On augmente la sensibilité de l’appareil en intercalant dans le circuit du téléplone une force électromotrice trop faible pour pro- duire l’électrolyse et dont le pôle positif est relié à la pointe de pla-

tine..

(8)

G. LAUDET et L. GA[~10~T. - Sur un mégaphone. - P. 319.

Description de l’appareil, dont le principe consiste à transmettre les vibrations, dont il s’agit d’amplifier l’intensité acoustique, à une

flamme convenablement agencée.

G. BERTRAND et J. LECARME. 2013 Sur l’état de la matière au voisinage

du point critique. - P. 320.

C. RAYEAU. 2013 Reniarques. - P. 349.

Si l’on chauffe jusqu’à la température critique une solution de

bichromate de potassium dans l’eau ou d’alizarine dans l’alcool

absolu, dans un tube fermé rempli au tiers environ, on constate qu’au point critique, non seulement le ménisque disparaît, mais encore que la matière colorante, confinée presque en entier dans la partie liquide,

se répand peu à peu jusqu’au sommet du tube, qui devient bientôt

uniformément coloré. Si le tube n’est pas rempli au tiers, le liquide

se vaporise totalement avant la température critique, et les colorants

se déposent au fond du tube. La vapeur ne les dissout pas. Il semble donc qu’au voisinage du point critique la matière existe à la i’ois à l’état liquide et gazeux, formant une couche de solution de vapeur dans le liquide et une couche de solution de liquide dans la vapeur, les solubilités augmentant avec la température de manière à former

deux couches identiques à la température critique; au delà, une par- tie du liquide subsisterait encore. Cette llypothèse paraît trop hardie

à M. Raveau.

~1. JOUGUET. 2013 Sur la similitude dans le mouvement des fluides. - P. 346.

Dans les mouvements des fluides se faisant avec de très grandes vitesses, la compressibilité joue un grand rôle, mais la conductibilité et la viscosité sont négligeables. L inverse a lieu pour les très petites

vitesses.

F n~BtoB!) et Cil, I~ It 1:·ItW1’ - Les propriétés mécaniques du fer

en cn-~anx isolés. - P. 361.

Ces propriétés sont fonction de l’orientation cristallographique

par rapport à la direction de l’effort.

(9)

La fragi 1 itt’l, tifs grande suivant les plans de clivage, est associée, contrairement à ce qu’on croit encore, à une plasticité très grande

suivant les autres directions; elle n’apparaît pas dans les essais

statiques,

Il, DLSLA~DRES. 2013 Étude de l’atmusphère solaire autour des taches, P. 317.

L’étude des raies H et K conduit aux conclusions suivantes : Au- dessus du noyau d’une tacl~e, les chromosphères basse et moyenne manquent ; dans la pénombre, elles réapparaissent progressivement;

tout autour de la pénombre, dans une zone de la f’acule que l’auteur

appelle zone moyenne, la chromosphère moyenne est intense et la

supérieure peu épaisse; enfin, dans la zone extérieure, il y a une

augmentation considérable d’épaisseur de la chrolno~phl’re supé-

rieure.

A. DEBIERNE. - Sur les âaz produits par l’actinium. - P. 38:~.

La solution actinifère dégage d’une manière continue du mélange

H2 + 0 en assez grande quantité, et, à activité égale, comparable

à celle donnée par le radium. Ce mélange, traité de la même façon

que celui qui provient du radium, donne de l’liélium ; ce gaz semble donc bien résulter de la présence des corps radioactifs.

. DESLAXDRES. 2013 Spectres ultra-violets de la couch’’ 1«ii;ersante pendant l’éclipse total> du -?8 mai 1900. - il. illll,

On sait que la couche renversante est la couche de vapeurs qui

repose directement sur la surface même du Soleil et donne naissance à la plupart des raies solaires. L’auteur a prolongé l’étude du spectre

d0 cptte couche jusqu’à A ~ 3.000 et a constaté que le spectre était iwiii ,>iiil>1;ible au spectre du titane dans l’arc électrique.

A. TURP.B 1’B - sur une méthode propre il l’dulie d’un [d)’’’n!)in’’nt- 11¡Jllill, IIX d’intenbit~- varï;~,Lleavec le temps. Applicatilln a ta dch rnnuahun de I B it, ...e

instantanée d un titir,-ir tournant E~1 a t’t tii>1 due 1’,tiii,cll; de Hertz, - P. i12.

La t~u~~tlmcie consiste a placer normalement à deux droites rectan-

(10)

gulaires d’un plan respectivement une plaque photographique et un

miroir plan, puis au point d’intersection des deux droites un miroir tournant, d’axe perpendiculaire au plan. Le phénonlène lui-

neux sera produit entre les deux miroirs, et donnera sur la plaque

deux séries d’impressions, l’une provenant de la réflelion directe sur

le miroir tournant, l’autre prov enant des deux réflexions sur le miroir fixe et le miroir tournant. Ces deux séries permettent sépa-

rément la mesure de la vitesse instantanée du miroir et l’étude de la périodicité d’un phénomène, par exemple l’étincelle de Ilertz.

11. 11,1"(’»,,)t*EREL. - Sur quelques propriétés des rayons a du radium. - P. 485.

L’auteur a montré (’) que les rayons x du radium se comportent

comme des particules douées toutes de la méme déviabilité par un

champ magnétique et présentant comme trajectoire une courbe dont le rayon de courbure va en croissant avec la longueur de cette tra-

jectoire ; ceci s’explique en supposant

que ~y2

e augmente probablement

par accroissement de la masse ln qui pourrait recueillir sur son par-

cours des particules matérielles. Cette hypothèse n’a pas été adoptée

par Bragg et lileeman (2) , Rutlierford (3), qui supposent que l’ab-

sorption ralentit les rayons a. L’auteur montre que cette interpréta-

tion n’est pas conforme à l’expérience ; il montre aussi que la scintil- lation est un effet de clivage et non l’effet de la recombinaison des ions libérés par les rayons x, comme le suppose encore Rutlierford.

B. BRUXHES. 2013 Sur la direction de 1 .uni station permanente dans une argile métamorphique de l’untlarclll ~Cantal). - P. 561.

1/étude de l’aimantation de cette argile permet d’affirmer que l’inclinaison magnétique a pu, dans le passé, tetre négative en

Europe, comme l’avait déjà supposé Folgheraiter.

(~) C. ll.y t. t._1 1 B ~ 1 l’II 1 , (=) Phil. :li~ ~~ .. t B I 1 I . 1 ‘ ~ ~~ t

(3)P~.AfÏ~..tB.l~..

(11)

297

L. HOTCH et L. TEISSERENC IIF BORT. - Sur le, preuves directes de l’existence du cuutre-alizé. - P. 6Ui.

Vérification par la méthode des ballons-sondes.

E. ROGOYSKY. 2013 Sur un phénoméne de refroidissement (10:" n t’ 1;in, ks fils d’argent plongés dans l’eau et parcourus par des courant" ulectriques. -

Il. ’ù4 >

L’auteur a montré (’ ) que la résistance des fils plongés dans l’eau

diminue d’abord quand l’intensité du courant qui y passe grandit, puis augmente ensuite. En effet, à cause de 1"écliauffement produit

par des courants très faibles, avant que la chaleur dégagée par eux devienne suffisante pour arracher la couche d’eau adllérente, les fils

sont à une température supérieure à celle du liquide ; en sorte que,

pour obtenir les valeurs exactes de la résistance des fils dans un

liquide, il faut les extrapoler d’une série d’observations faites avec

différentes intensités de courant.

F. BE AULARD. - Sur le pouvoir inducteur spécifique de la benzine et de l’eau.

P. 65fi.

La méthode de mesure consiste à observer la déviation d’un

ellipsoïde de verre rempli du liquide étudié, et soumis à 1 action d’un champ électrique qui est le champ hertzien. On sait, en effet, qu’un diélectrique placé dans un champ électrostatique uniforme, dissymétriquement par rapport aux lignes de force, subit une rota-

tion qui tend à disposer la plus grande dimension du corps dans la direction du champ. L’auteur trouve ainsi pour la 1 > >ii % i ii> li 1 ,t)~)"j,

et ponr l’eau K = 11,04~ la longueur d’onde utilisée était J’ellvi-

ron ~0 mètres.

P y B11.1. B B’1’ - ~111’ 1’1 .lialeur ~péciliyue des solulÍ4In... d(> ~l1lfat(’ de f’uÎB’re.

p, tj:I~L

La clialeur spécifique du sulfate dissous croit J’abord rapidement

avec la concentration, puis passe par un maximum ; le sulfate

(t) ~. ~., t. cx xxv 1 i903.

(12)

semble exister dans la solution à l’état d’hydrate SO"’Cu,5H20, qui passerait à un état d’hydratation plus faible aux fortes concen-

trations.

13. I3I~L’~ IIF~ et -~. f3 BLIIIT - ~lll’ la di-’C;:Ylllétrie de la déperdition électrique

. en pays de en pays de montagne : montagne : rÔles rôles coiiiparés de l’altitude comparés de 1 altitude et et du relief. du relief. - 2013 P. 693.P. 693.

Les auteurs arriBent aux conclusions suivantes : 14 Jusqu’à

1.500 nuiras, c’est le relief qui juue le rôle fondamental, et non l’altitude, dans la dissymétrie (lui s’accuse entre les deux déperdi-

tions au voisinage du sol, quand on passe de la plaine ou du plateau

à la montagne ; - Si on opère toujours en rase campagne, rexa-

gération de l’intensité du champ électrique au voisinage des som-

mets réduit la déperdition positive beaucoup plus qu’elle n’accroît

la déperdition négative.

Ni. COSTE. 2013 Sur 1:1 ~~~n~lm~fil~ilit~e r’terh-iqup du sélénium. 2013 P. ’7i5.

L’auteur montre que, suivant les méthodes employées pour la

préparation du sélénium, la résistance de celui-ci varie dans de

larges limites. Il y a avantage à le fondre, non pas entre lames

métalliques qui donnent des séléniures ou une dissolution du métal, mais entre électrodes de charbon. La variation de résistance avec la

température n’est pas non plus la même pour le silicium compact et

celui présentant une texture à géodes. En particulier, pour avoir du sélénium très sensible à l’action de la lumière, il faut l’obtenir à l’état

métallique aussi peu compact que possible.

,l. T Il n L 1B 1 . ---- hrtrnnm d III n ’te 1. t t Il n d 1B, ’t dl11 11 CI, .~lurili~luu. - P. j l j ,

La détermination de la vitesse de diffusion de la chalenr peut se

ramener :1 une 1~1(’~I11 ~‘ tic 1>iig.iieiir et le temps; en parti(-till(~i-, U1

pourra utiliser une niasse prismatique ou cylindrique dont une cxtré-

1nit,. est ii une température plus élevée que l’autre. L auteur (tonne

un exemple de détermination et montre qu’on pourra facilement réa- liser les cc~nditit~I~~ ;ui;iiit> : très faible différence de températures

initiales et trB’..., grande rapidité de l’expérience.

(13)

299

A. KREBS. 2013 Sur un frein dynan10nlétrique destiné à la mesure de la puissance

des n>7tvur, qui permet 1 utilisation, sous forme électrique, de la majeure partie du travail développée. - P. 57.

L induit d’une dynamo est relié directement à l’arbre de la machine à étudier, les deux axes étant dans le prolongement l’un de

l’autre. L’inducteur, portant les paliers de l’arbre de l’induit, peut osciller autour de l’axe de l’induit; un levier lui est fixé, perpendi-

culairement à l’axe tournant, et est maintenu entre deux butoirs à l’aide d’un poids convenable. L’équilibre est très facile à obtenir, et

la mesure du poids, du bras de levier et du nombre de tours par seconde permet alors la mesure du travail. Un tel dispositif

a du reste déjà été employé par M. Marcel Deprez en 1889, et

par M. Miculescu dans sa mesure de l’équivalent mécanique de la

calorie.

1i. CII,iN0Z. - Sur le phénomène électrique créé dans les nhaine. liquides symétriques pour les concentrations, par la formation d une surface f’r;~u lie de contact. Recherche de la pureté des électrolyte::" - P. 10B) et ~x 1.

Dans les chaînes liquides symétriques pour les concentrations MR 1 M’R’ MR, un phénomène électrique lié à la présence d’une

surface fraîche de contact apparaît :

Il Quand on oppose à 112 0 des électrolytes impurs ou des sels

subissant l’hydrolyse, le sens et la valeur de la force électromotrice constatée renseignant sur la nature et la quantité de ces impuretés

ou sur le degré d’hydrolye ;

~?° Quand on oppose des concentrations différentes d un mélange

ou d’un sel hy ciroly sé ;

Quand on oppose entre eux : des acides différents, les acides et 1,’-" 1 >,ih.s, les sels aux bases ou aux acides, les sels aux sels donnant 1,, j>1>,ipités membraneux.

J. RE~’. - ~ l ’ilS d électricité atmosphérique sur la terre de Graham.

P. 851.

La valeur moyenne du champ électrique à la surface du sol a été truu~-~~: de t,H’, 1 par mètre, et l’amplitude moyenne de la variation

Références

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