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Rédaction et administration: Route de la Glâne 31 Case postale Fribourg Tél

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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A ömmaire

10 mai 2001 N° 9

Iii;!

R'-é

De saison

4-7 Fête des mères 18-19 Super concours 20-21 Flashes

41 Des paysans solidaires

Société

10-11 Hors les murs 11 Prise d'armes des

grenadiers

13 Le patê d'intche-no 24-33 Commune de

Hauterive (FR) 39 L'amour des chats

Arts et musiques 22 Féerie sur porcelaine 23 Les «Nases» de Corpatoo 42 Les arts dans le canton

Sports et nature

Couverture:

30 ans et mère de six enfants!

PHOTO MJ

14-15 Judo fribourgeois 16 Estavayer: un nouvel

élan pour le tir 17 Association

fribourgeoise des sports 34-35 Au hasard du Caire

43 Randonnées: pas à pas

Fondé en 1945 Rte de la Glâne 31 -1701 Fribourg Revue d'information et d'actualité.

Organe officiel de l'Association Joseph Bovet et des Fribourgeois

«hors les murs».

Rédaction et administration:

Route de la Glâne 31

Case postale 331 - 1701 Fribourg Tél. 026/425 48 25

Fax 026/425 48 20 Rédaction et coordination:

Nadia Maillard Fioravera Correspondantes:

Nathalie Balmat Gérard Bourquenoud Albert Bovigny Albert Jaquet Marinette Jaquier Jacqueline de Saint-Bon Paul W. Tekadiozaya Service des abonnements:

Anne Kolly Tél. 026/425 48 00

Abonnements 2001 (TVA incluse):

Annuel: Fr. 82.50 Semestriel: Fr. 42.50 Etranger: Fr. 95.- Par avion: Fr. 120.—

Vente au numéro: Fr. 3.90 CCP 17-2851-7

Tirage: 5700 exemplaires Editeur:

Fribourg Illustré SA Route de la Glâne 31 1701 Fribourg Publicité:

Alexandra Langel Tél. 026/425 48 00 Natel 079/314 90 44 Patricia Roulin Tél. 026/425 48 00 Natel 079/290 57 31 Mise en pages et graphisme:

Michel Brodard

Délai de réception des annonces:

15 jours avant la parution.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction. Celle- ci n'assume aucune responsabilité concernant les manuscrits et photos non commandés.

2

(3)

(ffii&frwuï

Bonne fête

à toutes (es tTUXtnCLTlSl

«Qu'il soit né d'amour ou par accident, malheur à celui qui 6Cesse un en¬

fant...». Cet air que nous avons mille fois entendu aux (èvres d'Enrico Macias souligne en cette Fête des mères plus que jamais l'immense importance que doit accorder un parent à son enfant et un enfant à ses parents.

Et puisque la Fête des en- Jants et des papas fait toujours faux Bon dans notre société, profitons donc pleine¬

ment de rendre hommage à celle qui nous a donné la vie, à celle qui nous a ouvert la porte de ce monde, notre Maman.

Bien que fe rôle du père prenne de plus en plus d'importance dans la société dans laquelle nous vivons, la maman garde tout de même ce Ûen privilégié qui (a fie à son enfant. Le cor¬

don ombilical, bien que coupé physiquement à la naissance, accompagne virtuellement plus ou moins longtemps l'enfant dans le monde qui s'ouvre à fui, comme un ftarnais assu¬

rant les pas cf'un trapéziste au frnut de son chapiteau.

Avec comme fil rouge ré¬

tribué de leur passé le

savoir sans être trop intéres¬

sées, donc suspectes, les mères ont pour mission de faire au mieux sans avoir le droit cf avoir raison, sans avoir non pCus (e droit à l'erreur. Une fois l'enfance passée, difficile de garder le contact avec des ado¬

lescents. C'est l'âge auquel ils commencent à compter les morts, c'est l'âge aussi où, avec tendresse, ils rangent les idoles au grenier pour que leurs enfants puissent com¬

prendre un jour qu'il y a un avant, un après, et un long terrain vague entre Ces deux.

Ils émergent de cette période avec quelques batailles à ter¬

miner, quelques procès à faire encore, et vous les rencontrez souvent qui vous voient dans les plumes en vous faisant porter toutes leurs petites mi¬

sères, en disséquant votre mo¬

tivation, en analysant mot

pour mot vos propos sans pen¬

ser qu'ils pourraient avoir quelque responsabilité dans votre approche incohérente, 6ouscu!ee, maladroite.

Et puis un jour, tôt ou tard, viendra le temps de comprendre le voyage mer¬

veilleux mais oh combien dif¬

ficile d'être parents, d'être mère et ce jour-là, peut-être avec un peu trop de fierté, les enfants le diront rapidement et un peu maladroitement de vive voix: merci maman pour tout ce que tu as fait pour moi.

Mais au plus profond de leur cœur ils auront compris la va¬

leur de ce cadeau qui leur a été offert chaque jour de leur vie!

Nadia Maillard Fioravera

(4)

30 AUS Espace nuit

literie Swissflex, duveterie, draps, enfourrages, épuration

Espace rideaux et stores

800 tissus, confection, bandes, lamelles, moustiquaires, installation avec ou sans pose

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rembourrage à l'ancienne de meubles de style et modernes

Espace sols, parois et sièges moquettes, Gobelins confectionnés ou à broder

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Rue du Marché 24/Ruelle de la Gymnastique 9 1630 Bulle Tél. 026 919 82 32 Fax 919 82 39

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Croix-Fédérale 1611 Le Crêt

Fête des mères

Filet de truite saumonée au citron vert

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Longe de veau aux chanterelles Trilogie de légumes - Pommes soufflées

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Grand parc Chambres et dortoirs Prière de réserver au 026 918 51 42 - Famille Rey

&afè de l'A>nge Rolf et Josiane Baumann

Rue des Forgerons 1, 1700 Fribourg Fermé le mardi Menu de la Fête des mères

Magret d'oie fumé en habit de fraîcheur Filet de lapereau sur ragoût d'asperges vertes ***

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Filets de sole princesse - Riz créole - Tomates étuvées Crêpes de l'empereur aux fraises ***

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1652 Botterens Tél. 026 921 16 19 Fax 026 921 25 98

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la Fleur de Lys 1699 PORSEL (près Oron)

Fam. Ayer-Perroud - Tél. 021 907 10 40

Pensez à leur journée!

Fête des mamans

Grande salle pour noces - sociétés - banquets jusqu'à 200 places

Bonne cave Parking facile

ommandise Gratin de petits fruits

• 500 g de petits fruits (fraises des bois, framboises, myrtilles)

■ 100 g de sucre

-1 dl de vin blanc doux (amigne, arvine ou autres) - 4 jaunes d'œufs

-1 dl de crème fouettée

Nettoyer et rincer les petits fruits. Diviser 400 g dans de petites cassolettes ou assiettes creuses. Mettre les 100 g restants dans le mixer avec 50 g de sucre et 6 cl de vin doux. Verser ce jus sur les petits fruits et mettre quelques instants au four pour tiédir. Battre les jaunes d'œufs avec le reste du sucre jusqu'à ce que l'appareil soit bien crémeux, puis joindre délicatement la crème fouettée et le reste du vin. Verser cet appareil sur les petits fruits et faire gratiner sous la sa¬

(5)

Le 13 mai fêtons les mamans Fête

Maman adorée, règne dans mon cœur, cœur d'amour, amour pour toujours, jour de fête, Fête des mamans, Maman je t'aime très fort Maman...

La Fête des mères à travers le temps et l'espace. Dans la Grèce antique au printemps les anciens Grecs fêtaient Rhéa, la mère de tous les dieux. Les Romains au Ve siècle avant Jé¬

sus-Christ, célébraient au mois de juin les «Matralia», Fête des femmes et des mères. La religion peu à peu fit dispa¬

raître ces coutumes païennes En Angleterre

C'est au XVe ou au XVIIe siè¬

cle (selon les sources) qu'on célébré une fête appelée «Mo¬

thering Sunday» au début du carême. La date fut ensuite fixée au quatrième dimanche du printemps.

C'était l'occasion pour toutes les mères qui travaillaient com¬

me domestiques dans les fa¬

milles fortunées de retourner passer la journée à la maison avec leur famille, puisque qu'elles avaient congé à cette occasion.

En Suisse comme aux Etats- Unis, c'est en 1872 que Julia Ward Howe lança l'idée de la Fête des mères. Elle organisait une célébration spéciale à cet¬

te occasion à Boston tous les ans. L'idée fut reprise en 1907 par une autre Américaine de Philadelphie, Ana Jarvis. La première célébration eut lieu le deuxième dimanche de mai, à Grafton, Virginie de l'Ouest.

Cette date était l'anniversaire du décès de la mère d'Ana.

L'année suivante, la fête fut aussi célébrée à Philadelphie.

Ana Jarvis entreprit une im¬

portante campagne pour insti¬

tuer la Fête des mères sur le plan national et en 1911, cette fête était célébrée dans à peu près tous les états américains.

En 1914, le président Woo- drow Wilson fit de la Fête des mères une fête officielle de¬

vant se tenir le 2e dimanche de mai.

En Belgique, la Fête des mères se tient généralement le second dimanche du mois de mai. Elle s'est instaurée à la suite des Etats-Unis et s'est calquée sur cette coutume américaine comme d'autres pays notamment la Suisse, le Danemark, la Finlande, l'Ita¬

lie, la Turquie, l'Australie.

Mais la date de la Fête des mères n'a pas toujours lieu le même jour selon les régions de la Belgique. En région Anver- soise par exemple la Fête des mères est célébrée le 15 août, jour de Marie.

En France, En 1806 Napo¬

léon aurait évoqué la création d'une Fête des mères officielle au printemps. En 1897, l'Al¬

liance Nationale contre la dé¬

population, lance l'idée d'une Fête des enfants. En juin 1906, dans l'Isère, se déroule la pre¬

mière célébration des mères, sur l'initiative de l'Union Fra¬

ternelle des Pères de Famille.

Le 31 décembre 1917, à Paris, on organise une Fête des fa¬

milles nombreuses. Le 16 juin 1918, à Lyon, est célébrée la première «Journée des mères».

À la suite de cet événement l'idée d'une Journée des Mères de Famille est lancée.

Selon certains les Français se seraient inspirés des Améri¬

cains qui durant la grande guerre de l'époque envoyaient massivement du courrier à l'occasion de la Fête des mères qui était déjà établie aux Etats- Unis. À ce moment là la date envisagée pour cette fête est le 15 août.

Le 9 mai 1920 le ministre de l'Intérieur autorise la première Journée Nationale des Mères de familles nombreuses. L'apo¬

théose de la fête se déroula à Paris le 19 décembre, bien loin du 15 août initialement prévu!

Le Gouvernement prend alors la décision de célébrer chaque année la «Fête des mères». La première cérémonie eut lieu le 20 avril 1926.

Aujourd'hui la Fête des mères se célèbre le dernier dimanche du mois de mai, sauf lorsque celui-ci est aussi le jour de la Pentecôte, la Fête des mères est alors reportée au premier dimanche de juin. C'est une fête officielle.

En Allemagne

«Ce jour-là, les mères ne tra¬

vaillent pas. Les jeunes font tout. On commence par un

beau déjeuner. Puis on fait une excursion. A la fin de la jour¬

née on va s'offrir un bon re¬

pas. Quelques-uns font un ca¬

deau à leur mère. Dans l'ensemble la Fête des mères est une bonne journée. Mais pour beaucoup de jeunes la Fête des mères est une journée normale. Avant la fête il y a beaucoup de réclame à la télé, pour que les gens achètent des cadeaux. On a inventé la Fête des mères pour que les mères reçoivent une récompense pour le travail qu'elles accom¬

plissent toute l'année. C'est pour cela qu'elles ont mérité une fête. La Fête des mères, en Allemagne, a lieu traditionnel¬

lement le deuxième dimanche de mai.

(6)

Gourmandise

»Nathalie Balmat

Pour la Fête des mères, serez-vous chocolat ou

«Tourtière de Gascogne»?

Comme un artiste de¬

vant sa toile, il a des idées plein la tête. S'il utili¬

se bien des pinceaux, ce n 'est pas avec de la peintu¬

re qu'il travaille mais avec du chocolat. Il est 5 heu¬

res, Pay erne s'éveille et Michel Chardonnens, arti- san-boulanger à la Grand- Rue 38 et à la rue d'Yver- don 17, est en train de façonner quelques œuvres

d'art.

Dans son laboratoire où l'air embaume le cacao chaud et li¬

quide, il démoule plusieurs montages gourmands qui vous mettent l'eau à la bouche: des poissons, des lapins et même un piano, reproduit avec beau¬

coup de minutie et des «pa¬

niers de Ileurs» qui seront bientôt garnis de truffes ou de massepain. Avec les spéciali¬

tés de tourtes les plus variées, voilà un avant-goût de ce qu'il vous réserve pour la Fête des mères. Mais ce n'est pas tout!

Les fins becs, amateurs de douceurs doivent savoir que Michel Chardonnens est le

premier artisan-boulan¬

ger de Suisse romande à avoir fabriqué sous licen¬

ce la TOURTIÈRE DE GASCOGNE. En effet, c'est après l'avoir décou¬

verte à la Foire de la bou¬

langerie à Berne, que le Payernois a adopté cette pâtisserie, «inventée» et commercialisée par le bou¬

langer français Yvon Saura

Boulangeries

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1530 Payerne

Pâtisseries esnS&S- - Grand-Rue 36

Tél. 026 660 22 24 Fax 026 660 89 29

Rue d'Yverdon 17 Tél. 026 660 22 22 Natel 079 230 75 47 Ouvert tous les dimanches

Il faut tout de mê¬

me avouer que celui-ci s'est inspiré d'une recette de son ar¬

rière-grand-mère. La confec¬

tion de cette pâtisserie n'est pas de tout repos: c'est tout simplement de l'art! La Tou- tière de Gascogne est faite de trois carrés de pâte extrême¬

ment fine, dont la recette et la composition restent secrètes.

Suit la garniture: sur un lit de crème d'amandes, le pâtissier dispose des pommes, des pru¬

neaux d'Agen, des pêches ou des poires selon les goûts et les couleurs. Juste avant de l'enfourner, il rabat la pâte vers le haut et l'arrose de sirop

à base de vanille et d'Armagnac. Une demi-heure de cuisson et le tour est joué!

La Tourtière de Gascogne est un vrai régal pour les yeux et pour l'estomac. Elle se présen¬

te sous forme d'amuse- bouche, pour les quatre-heures ou en version plus grande pour 5 ou 8 convives.

Pourquoi ne pas vous laisser tenter? La bonne adresse:

Boulangerie-Pâtisserie Chardonnens

Rue d'Yverdon 17 1530 Payerne 026 660 22 22

(7)

La rose est une bien belle fleur.

Dit comme cela, c'est un truis¬

me impardonnable. Mais c'est la réalité. Aucune autre n'a suscité autant d'admiration, de poèmes, de catalogues. On lui a donné des noms de reines, d'actrices, de généraux. C'est dire le prestige qu'elle s'est ac¬

quis. On ne compte plus les métaphores qu'elle a inspirées.

«L'aurore aux doigts de rose»

s'est écrié Homère. On n'a guère trouvé mieux depuis, et les «teints de rose» comme

«les roses de la vie» semblent du stuc le plus camelote à côté de ce marbre antique.

Les horticulteurs qui s'intitu¬

lent rosiéristes ont des inven¬

tions extraordinaires. Ils ne cessent de créer de nouvelles roses. On se demande s'ils s'arrêteront un jour, s'ils trou¬

veront encore quelques pétales à rajouter, à recourber, à frisot¬

ter, quelques têtes joufflues à étoffer ou à galber, quelques mélanges de tons inédits aptes à produire des couleurs in¬

croyables, quelques subtiles combinaisons de chromo¬

somes destinées à diffuser un parfum plus rare, plus capi¬

teux, plus bizarre que tout ce que i'Homme et la Nature ont pu concocter.

On aurait tort de ne considérer la rose que sous l'angle de ses couleurs (comme aurait dit monsieur Prud'homme). Cer¬

tes, un jardin séduit d'abord par ses richesses chromati¬

ques. Claude Monet nous le rappelle à loisir. Mais c'est une vision globale et somme toute

superficielle. Il faut y regarder de plus près pour apprécier toute la beauté d'une rose. Il faut en détailler la forme. Car chaque variété a sa physiono¬

mie. C'est comme avec les Ja¬

ponais (qu'on me pardonne la comparaison, mais elle n'est pas dépréciative vu le niveau élevé de notre propos.) Qu'on n'aille pas me repro¬

cher, ou me soupçonner sim¬

plement, de mépriser les autres fleurs. Je respecte infiniment le règne végétal, et mon œil se ré¬

jouit de la jonquille printanière autant que des cascades opu¬

lentes des bougainvilliers, j'admire les iris aux multiples splendeurs, les lupins triom¬

phants, les mystérieuses giro¬

flées en robes de bure, les fières gueules-de-loup, les tu¬

lipes, ces bêtes à concours; et toutes les autres, rustiques, rustaudes ou distinguées, frê¬

les, charnues, paysannes, guin¬

dées, pures ou sophistiquées, bonnes filles ou pimbêches, échevelées ou sages, de cire, de soie, de velours, effrontées parfois, extravagantes dans l'exotisme, voire simplettes mais sympathiques comme des chansons populaires. Je salue au passage celles qui se font rares, la capucine, le coqueli¬

cot, la cardamine, l'ancolie, et je ne ferais pas de mal à celles qui m'agacent légèrement, l'œillet bête, la pensée béate, le cyclamen incongru.

Mais je reviendrai toujours à la rose, à la fois complexe et na¬

turelle comme une courbe de Matisse, rayonnante sans arro-

Fête des mères

Le secret de la rose gance, fragile sans être souf¬

freteuse, prodigue, nuancée, romantique et classique à la fois. Comment est-il possible de réunir toutes ces qualités sans être un monstre d'incohé¬

rence, une reine de music-hall,

une vedette du faux semblant?

C'est le secret de la rose, un de ces mystères de la Nature que microscopes et ordinateurs ne perceront jamais. Celui de la Poésie pure.

Jacques Bron

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Quand nous prenions le« flours des champs En foulant l'herbe tendre,

Mère disait:„ils sont méchants!'.*..

C'était pour les lui tendre!

Souries

a vie

TIRÉE Dl' LIVRE -NOS CHANSONS-, C HANTS POPULAIRES ANCIENS ET NOUVEAUX RECUEILLIS. COMPOSÉS OU HARMONISÉS POUR CHŒUR D'HOMMES PAR JOSEPH BOVET

Mathias qui fête son anniversaire le 6 mai et Philippe habitent Cor- bières. Ils sont heureux avec leurs parents Oli¬

vier et Isabelle. Ces deux petits mimis font la joie de leur arrière- grand-père Raymond un fidèle abonné de Fribourg Illustré.

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^ -fil

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Noces de diamant!

Anniversaire

Il y a 60 ans, le 21 avril 1941, à l'église de Matran, Cécile et Paul Clément s'unissaient pour la vie.

Chers parents, vous avez toujours su vivre dans la simplicité, vous contentant de peu mais donnant beaucoup.

Papa: ton existence est pleine d'optimisme, de bonne humeur, de musique et de nature.

Maman: ta vie est remplie de tendresse, de générosité, de savoir- faire et de spiritualité.

MERCI maman, MERCI papa pour tout l'amour que vous nous avez donné.

Gilou, Nison, vos petits-enfants et arrières-petits-enfants.

Une

belle

famille!

Emile et Elise Fessler-Ge- noud, ancien chef d'usine EEF à Montbovon ont élevé une fa¬

mille de dix enfants, quatre filles et six garçons, huit sont encore vivants.

De gauche à droite:

Marie-Josèphe, Marguerite, Hélène, Marie-Uiuise, Henri, Paul, André et Jean.

Total: 586 aux Moyenne d'âge: 73 aux

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[ji-mi-x-ifinBä Hors les murs

Société

des Fribourgeois

de Montreux

Gérard Bourquenoud 7ly a deux ans, la Société des amis fribourgeois de Montreux a été quelque peu perturbée par le fait que le comité s'est disloqué pour des rai¬

sons que nous préférons ignorer, afin de ne pas nuire au travail qui a été accompli depuis une année par une équipe motivée et enthousiaste.

Durant douze mois, cette section fondatri¬

ce de l'Association Joseph Bovet n'a don¬

né aucun signe de vie. Mais comme chaque printemps la nature reprend ses droits, le 12 mai 2000, un bourgeon a fait éclosion à l'Assemblée extraordinaire convoquée par Félix Brulhart et André Dey, tous deux présidents d'honneur. Une rencontre qui s'est avérée très positive, en ce sens qu'un nouveau comité de sept

Francis Audergon, nouveau président des Fribourgeois de Montreux. photo G. bd membres a été formé, avec à sa tête, Francis Audergon, cinquante-sept ans, qui a accepté d'assumer la présidence dans le dessein de ramener le bateau à bon port. Fribourg Illustré s'est entretenu l'es¬

pace d'une heure avec cet homme dévoué à cent pour cent pour ses compatriotes hors les murs, dans le but de connaître le destin de cette société.

Trois mois plus tard, la nouvelle équipe avait déjà réussi à convaincre près d'une centaine de membres à revenir grossir les rangs et soutenir le comité, encouragé qu'il était par des finances saines. Le 27 août 2000, les Fribourgeois de Mon¬

treux fêtaient le 75e anniversaire de leur société, avec modestie, c'est vrai, mais dans une ambiance familiale qui a eu pour effet de resserrer les liens des membres, heureux d'être à nouveau réunis. Le comi¬

té a également organisé la fête de la St-Ni- colas et des retrouvailles autour d'un re¬

pas.

Au nombre des activités 2001, l'Assem¬

blée générale qui a eu lieu le 8 mars der¬

nier avec une participation très encoura¬

geante. Il y aura d'autre part une sortie au cours de l'été, ainsi que les manifestations habituelles de fin d'année. La nouvelle équipe envisage également de participer à une fête villageoise sur la Riviera et de te¬

nir un stand de produits du terroir. Et ce n'est pas tout. Dans le but de renouer des contacts et améliorer encore les relations avec les sociétés locales de Montreux et les cercles de l'AJB, le comité a décidé d'être ouvert à toute proposition et chaque invitation sera honorée dans la mesure du

possible par une délégation et le drapeau.

Autre initiative de la nouvelle équipe, cel¬

le-ci est allée avec un cadeau au domicile d'Alphonse Volery pour ses 55 ans de fi¬

délité à la société, alors qu'une carte de vœux est adressé à chaque membre le jour de son anniversaire. Une agréable mission que l'épouse du président assume au fil des jours. Ces gestes d'amitié et de solida¬

rité montrent bien l'unité qui existe au¬

jourd'hui dans cette section. Et Francis Audergon d'ajouter qu'il est enchanté de l'atmosphère très chaleureuse qui règne au sein du comité dont les membres ont tous un cœur gros comme ça! Un tel cou¬

rage vaut bien un coup de chapeau qui nous fait dire que la Société des amis fri¬

bourgeois de Montreux est à nouveau sur le bon chemin pour un quart de siècle!

Comité actuel

Francis Audergon, président Daniel Nissille, vice-président Josy Bänhidi-Purro, secrétaire Susy Baud, caissière

Jean Borloz, membre Jeannette Berset, membre Philippe Reynaud, membre

Parrain et marraine du drapeau Robert Deillon

Rose-Marie Penon-Python

Membres décédés en l'an 2000 Alphonse Volery

André Ducrot Jean Jaquet Marcel Villet

Cest reparti

pour un quart de siècle

(11)

Un soir pluvieux de mars 2001, la salle communale d'Onex vibrait grâce à un nombreux public,venu se ré¬

jouir et s'enthousiasmer avec ce chœur qui donnait son concert annuel. La première partie était toute en fraîcheur.

«La voix du Gibloux» compo¬

sée d'une vingtaine d'enfants sous la délicate direction de Jocelyne Vonlanten, a ému par son interprétation.

Les fables de Mr. de la «Fon¬

taine» n'ont plus de secret

pour eux. En chantant et en mimant la plupart des animaux qui illustrent ses poésies... on en a tous tiré une leçon sans doute.... etc.... etc... etc...

En deuxième partie, le chœur du Moléson arborait son cha¬

toyant costume pour emmenés les notes du Gibloux à la Lune et des Vanils aux grands bou¬

levards. Le répertoire chanté aussi bien en patois, en anglais ou en allemand était dirigé par une toute nouvelle directrice, Anne Thobi.

Les chanteurs se sont laissés emportés par cette pétillante artiste qui a su insuffler son énergie au chœur.

A l'aise aussi bien au violon, à la guitare,au piano ou à la ba¬

guette de direction, elle a ébloui et conquis un public qui l'a magnifiquement ovation¬

née.

A la fin de ce superbe pro¬

gramme, la Présidente Susy Girard qu'il n'est plus besoin de présenter tant elle s'investit aussi bien dans la commune

1 " ruL Illustré Hors les murs

d'Onex ou elle est conseillère municipale qu'au sein des so¬

ciétés fribourgeoises.

Sa gratitude va à toutes les personnes qui ont participé à la réussite de ce concert.

Dans son discours M. Longet, maire d'Onex évoque les an¬

nées I960 où tout était à créer à Onex. Dans ces années là, les immeubles poussaient comme des champignons dans la cité.Petit à petit des groupes se sont formés. Les citoyens ont fait le choix selon leurs af¬

finités. En 1968 des Fribour- geois aimant le chant ont fon¬

dé cette chorale qui a souvent participé aux Fêtes de la com¬

mune. Son souhait est ces liens qui se sont tissés au fil des ans restent solides. C'est ce que cet ensemble a prouvé cette soirée par sa superbe prestation.

Vive le Moléson et ses chan¬

teurs.

/. Magnin/NMF

• ••••• Paul W. Tekadiozaya

Traditionnelle prise d'armes du Contingent des Grenadiers fribourgeois dernièrement dans le décor somptueux de la magnifique et vénérable église des Augustins à Fribourg. Au cours de cette cérémonie, les

«Grognards» se sont présentés aux autorités cantonales et communales et ont honoré le Président du Grand Conseil Dominique de Buman, de sur¬

croît parrain du drapeau et membre d'honneur de cette garde. «Vous faîtes partie de mon univers et j'espère que je ferai encore longtemps partie de votre contingent», a dit le premier citoyen du canton.

Lors de cette rencontre agré¬

mentée au son des fifres et tambours de la Garde d'hon¬

neur officielle des autorités su¬

périeures du canton de Fri¬

bourg, le commandant Fran¬

çois Raemy a remis plusieurs promotions et distinctions aux Grenadiers méritants. De mê¬

me, deux personnalités ont été intronisées membres d'hon¬

neur de la célèbre garde: Ma¬

dame Monique Antiglio de La Roche et le Commandant de corps et chef des Forces ter¬

restres Jacques Dousse, en re¬

connaissance des précieux ser¬

vices et des liens amicaux entretenus avec le contingent depuis plusieurs années.

Les Grenadiers lors de la prise d'armes en l'église des

A ugustins. photo pwt

FRIBOURG

JM

(12)

Mots croisés

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1. Action de s'emparer d'un droit par violence (pl.).

2. Gros chien de chasse - Tentait.

3. Qui n'a pas été publiée - Cheville.

4. Mère des Titans - Discours obscurs.

5. Dans ce pays - Père de Jason - Tombe du ciel.

6. Dévêtus - Conjonction - Préfixe privatif.

7. Divinité de l'Amour - Estonien - Coutumes.

8. Affluent de l'Oubangui - Conséquences.

9. Mesure agraire - Saint - Terme de tennis.

10. Technique cinématographique.

11. Affaiblie physiquement et intellectuellement - Côté d'un corps.

12. Richesse - Réunion où l'on assiste à une conférence - Vieux do.

VERTICALEMENT

1. Qui vit dans les lieux humides - Immédiatement.

2. Fromage - Traverse Berne

3. Fleuve de Suède - Corps non conducteur de la chaleur.

4. Cordage servant à tendre des haubans - Suites.

5. Affligée - Attendrie.

6. Personnes qui interprètent une œuvre musicale - Battit Baisha.

7. Moi, en latin - Col des Alpes suisses.

8. Fille d'inachos - Manganèse - Gamin de Paris.

9. Dernier roi d'Israël - Avion long-courrier ä réaction - Audacieux.

10. Casier - Commune des Pyrénées-Orientales.

11. Situé - Trompé par des feintes - A poil.

12. Manières de soigner son extérieur - Epreuve.

Solution dans notre prochain numéro 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

BÉLIER 21.03 - 20.04 Le succès est l'œuvre d'une vie. Et pour l'atteindre, il faut le vivre d'abord dans son âme, c'est-à-dire vivre pleinement sa vie. donner sa pleine mesure et son plein rendement.

Un nouvel enthousiasme pour le nou¬

veau millénaire vous envahira com¬

me une brise fraîche.

'XL

fe1

TAUREAU 21.04 - 21.05

LION 23.07-23.08

BALANCE 24.09 -23AO Si vous n'avez pas d'objectif majeur dans la vie, votre vie n'aura pas de sens. Plus l'estime de vous-même est solide, plus vous êtes apte à affronter les difficultés qui surviennent dans votre vie. Vous ne vieillirez jamais tant que vous pourrez rire de vos gaffes et voir les merveilles de la vie avec les yeux d'un enfant.

Pour acquérir une attitude positive de confiance en vous-même, dressez la liste de vos réussites et consultez-la régulièrement.Votre allure évoque la confiance, la puissance et la réussite.

Cette nouvelle année s'annonce sous les meilleurs auspices!

SCORPION 24.10-22.11

GÉMEAUX 22.05 - 21.06

Certaines personnes accumulent de l'argent pour s'offrir du bonheur, mais le sage accumule du bonheur pour pouvoir le donner et en recevoir en abondance. En 2(K)1, vous allez développer des habiletés qui amélio¬

reront votre vie. Si vous avez un bon sens de l'organisation, vous gravirez les échelons du succès.

CANCER 22.06 - 22.07 Si une porte se ferme devant vous, al¬

lez frapper à la suivante et à l'autre encore, jusqu'à ce que l'une d'entre elles s'ouvre et vous accueille. Réso¬

lution de l'an 2001: essayez de prendre chaque journée comme elle vient. Vous ne pouvez vivre qu'une seconde à la fois. Ne vous inquiétez pas d'avance. Souriez davantage.

Vous pouvez lire tous les livres de la planète qui vous apporte une sorte de motivation afin de maintenir votre mental positif, mais à un certain mo¬

ment, vous devrez retrousser vos manches et vous mettre à la tâche. Si vous voulez réussir en affaires, don- nez-vous la chance d'exercer vos ta¬

lents.

SAGITTAIRE 23.11-21.12

Vivez la minute présente car une fois passée, vous ne pourrez plus jamais la revivre. Souriez et soyez heureux!

Le sourire, est la meilleure récom¬

pense à donner. L'amour est un fruit qui est toujours de saison et à la por¬

tée de toutes les mains.

CAPRICORNE 22.12-20.01

Acceptez-vous tel que vous êtes sans jamais laisser votre conscience ou votre sens du devoir vous forcer à mener une vie pour le seul bénéfice des autres. Un véritable champion dans tous les domaines de la vie ne travaille pas seulement ses forces, mais surtout ses faiblesses.

A

VERSEAU 21.01 -18.02 Vous ne pouvez pas vous faire aimer

de tous. L'an 2001 marque un nou¬

veau départ dans votre vie. Il y a deux façons d'être heureux. La première, c'est d'avoir tout ce que l'on veut, et la seconde, c'est d'avoir la sagesse d'apprécier ce que l'on a.

VIERGE 24.08 - 23.09 La raison d'être d'une personne ne ré¬

side pas tant dans ce qu'elle a accom¬

pli, mais dans ce qu'elle compte ac¬

complir. Si vous vous inquiétez d'une erreur que vous avez commise, ou¬

bliez. La vie est trop courte. Ceux qui réussissent sont ceux qui apprennent de leurs erreurs et qui continuent.

Ne craignez pas les critiques, mais soyez prêt à les accepter si vous avez des idées nouvelles à offrir. Prenez le temps de regarder la nature autour de vous, d'admirer sa beauté et sentez que vous faites partie d'elle. C'est un très bon remède contre le stress, les tracas et les soucis.

POISSONS n 19.02-20.03 Nul ne peut dire à coup sûr quel sera son avenir, mais chaque jour qui pas¬

se est une invitation nouvelle à de merveilleuses possibilités! Si vous pensez que vous ne pouvez pas at¬

teindre le bonheur, vous ne l'attein¬

drez pas; mais si vous pensez que vous le pouvez, il se peut que vous surpreniez tout le monde.

(13)

Hou Fribordzê dè rèthèta Le patê d'intche-no

Le peintre au travail en Gruyère.

Du le velâdzo de La Toua n'in d'è chayê di Fribordzê dè Rèthèta. On pou n'in fére tota na lichta: Luvi Bornet, Tobi di j'èlyudzo, chon fe Luvi, Piéro Sciorbéret, Ko¬

lin Tsenô, Dzojè Reichlen è bin di j'ôtro. Voué, no volin dèvejâ d'on pintre pout'ithre pas ache konyu tyè ehe n'on- hyo Dzojè, l'è

Eugène Reichlen

Chtiche l'è vinyê ou mondo a Friboua in 1885 è no j'a tyithâ po le payi di j'andzè in 1971. Irè le fe a Franthê, avoka a Friboua è le nèvà a Dzojè, pintre bin konyu di nouthron tyinton. Eugène l'a chièvu la trache dè Dzojè din le dèchin è la pinture. Apri l'èkoula, la fê le koléje dè Chin-Metchi pu on diplôme ou tèknikoum dè Friboua.

Ma ch'è pâ arèthâ inke. L'è onkora j'à a «l'Académie royale des Arts» a Munich pu a «l'Académie Julien» a Paris. L'a achebin travayi a l'atelié dou pintre J-P. Lau- rens a Paris.

Du 1909 a 1955 l'è j'ou pro- fècheu dè dèchin ou kolége

Chin Metchi a Friboua. In 46 j'an l'y a yu pachâ di mile j'èléve è lou j'a aprê le dè¬

chin. A hou ke l'avan on bo- kon dè pêna, lou bayivè di fyê kou dè man. Pra dè hou ke vèkechon adi ora chè cho- vinyon dè chi bon profècheu k'amâvè chon mihi è lè dzouno.

Chi manifê (homme très adroit, artiste) l'a fê prà dè dèchin po di lêvro. On lè trà- vè din: - Les légendes fri- bourgeoises - Les légendes de la Gruyère d'Alexandre Bovet - L'armoriai officiel des familles du canton de Fribourg - Sous la banière de la grue -

Les légendes valaisannes - Au pays des bisses - Lé¬

gendes du Lötschenthal - Sagen und Märchen aus dem Senseland von German Kol- ly - Louis Bornet et le patois de la Gruyère dè Djan Hum¬

bert - è bin di j'ôtro.

L'a onkora pra fê dè dèchin di j'armoriè dè famiyè. L'è li achebin ke fajê lè dèchin po

lè diplôme di bouébo dè tsa- lè è lè j'èmâdzè ke l'Abbé Menoud bayivè i j'armayi kan i alâvè lè trovâ ti lè tsô- tin. E pu bin di kârtè dè Chin Nikolé po lè j'èléve dou ko¬

léje dè Chin Metchi. On rè- trovâvè cha pyàma din prà dè lêvro d'èkoula dè nou¬

thron tyinton. Chu ha pâdze on pou vêre dè hou bi travô.

Kan l'avê on bokon dè tin badê, i amâvè kore la Grevi- re è le Valê. I pyantâvè chon krijon (chevalet) din ouna bala kotse po fére chè tablô.

De la pâ dè Balavouêrda irè amâ è konyu dè ti. Hou balè montanyè dè ha kotse dè payi chè rètràvon chu prà dè tablô. Din cha méjon dè Fri¬

boua, yô ke chàbron adi chè duvé fiyè, on pou vêre din totè lè pithè hou pinturè ke no rapalon nouthra bala Gre- vire.

Chin ithre li-mimo on gran patêjan, i amâvè le patê è

La baratte de Cathiau.

Rèchponchâbyo dè ha pâdze:

Albert Bovigny Rte de Schiffenen 15 1700 Fribourg

rinkontrâ hou dzin dè rèthèta dè vêr no. I kontâvè pèrmi chè j'èmi, le gran patêjan Jè- vié, l'Abbé Dzojè Bovet ma, chuto pra dè pititè dzin de la kanpanye è ouna bala rinfse dè j'armayi.

Tantyè a cha mouâ a l'âdzo dè 86 j'an in 1971, Eugène Reichlen amâvè rinkontrâ chè j'èmi vêr li ou bin in ve¬

la dè Friboua, irè togran on pyéji dè menâ l'andjèta ouna vouêrbèta avoui li.

Albert Bovigny

(14)

IltaMrii Les sports

Le judo fribo

fait son

• •••••• Sébastien Clément

Le judo fribourgeois vit de belles heures.

Avec quatre équipes en Ligue nationale et un bon potentiel, la région n 'a pas rien à envier aux autres cantons. Enfin presque rien! I^e canton de Fri- bourg peine à jouer les premiers rôles sur le plan national et certains clubs manquent de place. Le point de la situation avec

quatre responsables.

Avec 13 clubs dans le canton, le judo est très bien représenté au niveau régional. C'est mê¬

me une des disciplines qui atti¬

re le plus les jeunes. La raison est simple: le judo n'est pas qu'un sport, c'est aussi toute une mentalité.

- C'est pourquoi, la plupart des clubs cantonaux axent sur la formation. Malheu¬

reusement, certains man¬

quent de place. Les infra¬

structures sont là, mais elles restent très limitées.

François Carrel, directeur technique du Judo Club Fri¬

bourg: «On met l'accent sur la formation, en mettant tout à disposition pour satisfaire la progression des jeunes. Mais cela ne suffit pas, il nous manque de ia place. Notre club est à la recherche d'un dojo (salle où se pratique le judo).

Cela nécessite un très grand investissement. Pour l'heure, il nous faut trouver les moyens pour le financer.»

Jean-Claude Spielman, entraî¬

neur du JC Marly

PHOTOS CHRISTOPHE CHAMMARTIN

- Jean-Claude Spielman, en¬

traîneur du Judo Club Mar¬

ly: «Notre club se porte très bien. Le club possède 230 mem¬

bres, dont 200 ont moins de 20 ans. Malheureusement, il nous manque aussi de la place.

On a un dojo, mais il est très petit. Et il est toujours rempli à chaque cours. Il nous faut plus de moyens.»

- Joël Grandjean, entraî¬

neur du Judo Club Romont:

«En ce moment, on est au top, on a tout ce qu'on veut. On tourne avec deux équipes, une en LNA et une autre en lre li¬

gue. Plus de 200 membres font partie du club, dont 120 en¬

fants. De plus, on a beaucoup de jeunes entre 14 et 20 ans, la catégorie d'âge qui fait le plus défaut chez les autres clubs. On possède aussi de bonnes infra¬

structures et notre situation fi¬

nancière est très saine.»

- Alexandre Delessert, prési¬

dent de l'Association Fri- bourgeoise de Judo: «Je suis un président heureux, car la si¬

tuation du judo fribourgeois est bonne. Certes il manque de moyens, mais les jeunes sont présents. On remarque que le monde du judo bouge bien.»

- Au niveau de la compéti¬

tion, le canton de Fribourg est bien représenté. Avec une équipe en LNA (Romont) et trois en LNB (Fribourg, Marly, Morat), le judo régio¬

nal peut voir l'avenir serei- nement. La fin de la saison 2001/2002 approche, le point de la situation.

- François Carrel (JC Fri¬

bourg): «Cette saison nous avons assuré notre maintien en Ligue B, malgré les départs un peu précipités de nos deux

meilleurs judokas, David Pa¬

paux et Julien Membrez. On a été obligé de faire appel aux anciens qui préféraient plutôt se consacrer à leur vie profes¬

sionnelle. Petit à petit, ils ont répondu présents. Et au fil du championnat, l'équipe est de¬

venue meilleure.»

- Jean-Claude Spielman (JC Marly): «Pour notre première saison en Ligue B avec une équipe aussi jeune, je suis très satisfait. On a terminé au troi¬

sième rang et je pense qu'on pouvait même faire mieux. Ce résultat est très motivant pour continuer notre progression.»

- Joël Grandjean (JC Ro¬

mont): «Suite à notre ascen¬

sion en LNA. on a fait une bonne saison, malgré certaines blessures. Pour l'heure, on doit encore assurer notre place dans l'élite suisse. Cela passe par quelques victoires, mais aussi par un temps de réflexion. On doit faire le point de la situa¬

tion avant de continuer en Ligue A. Savoir si oui ou non.

les plus anciens veulent pour¬

suivre à ce niveau. Sans eux, cela serait difficile et il nous manquerait du monde.»

- Certes, le canton possède quatre équipes qui évoluent en Ligue nationale, mais aucune ne sort vraiment du lot pour jouer les premiers rôles. La so¬

lution serait de créer une équi¬

pe cantonale contenant les meilleurs judokas. Mais, c'est à ce moment que le feuilleton commence.

Ce projet revient chaque année sur le tapis et il n'aboutit ja¬

mais. Le problème est simple:

on a un grand potentiel dans le canton, mais chaque judoka veut combattre pour son club, sa région. Cet " esprit de clo¬

cher " n'est pas la seule raison, les clubs n'ont pas envie de perdre leurs meilleurs élé¬

ments.

- De plus, comme partout, à un certain âge, il est difficile de retenir les jeunes talents.

Il faut aussi trouver des solu¬

tions pour pouvoir leur of¬

frir les meilleures conditions possibles. Et cela passe par la création d'une équipe phare dans le canton.

- François Carrel (JC Fri¬

bourg): «Cette année, c'est notre club qui a relancé l'idée d'une équipe cantonale, car on manque d'effectif. Mais le pro¬

blème est toujours le même.

L'identité des clubs reste très forte. Alors pourquoi David Papaux et Julien Membrez ont préféré aller combattre pour Regensdorf, au lieu de Ro¬

mont, qui évolue pourtant dans la même catégorie? La réponse paraît évidente, mais sur un plan plus professionnel, David et Julien doivent rapide¬

ment progresser. C'est pour¬

quoi, ils ont choisi, selon eux, le meilleur club.

Dans notre cas, on a voulu se rapprocher de Marly pour mettre en place une certaine collaboration. Mais si on fait une équipe commune, Fri¬

bourg n'a pas assez de judokas pour former une autre équipe.

On a beaucoup de jeunes, mais ils ne sont assez mûrs.»

- Jean-Claude Spielman (JC Marly): «Ce n'est pas un pro¬

blème de concurrence, car elle saine entre les clubs. Dans tous les sports, les gens aiment s'identifier à un club. Mais ce¬

la ne suffit pas, il faut aussi se mouiller pour lui. Et dans le cas du judo, où il n'y a pas beaucoup d'argent, c'est diffi¬

cile.

Il faudrait tout d'abord une meilleure entente cantonale.

Quelques uns doivent se re¬

mettre en question, car il est important d'avoir une équipe phare dans le canton. Quand un club va bien, c'est l'en¬

semble du judo régional qui en profite.»

- Joël Grandjean (JC Ro¬

mont): «On est conscient qu'il va peut-être nous manquer du monde pour la saison prochai¬

ne, mais une équipe cantonale va sûrement entraîner la mort des clubs. Actuellement, le

canton possède neuf équipes.

Mais combien en restera-t-il, si on crée une équipe commu¬

ne? Un club vit avec son équi¬

pe et ses résultats. Que va-t-il se passer s'il doit laisser partir ses meilleurs judokas ? Le judo joue aussi un rôle édu¬

catif. C'est pourquoi l'esprit d'un club est très important. 11 faut certaines personnes ca¬

pables de suivre constamment tous les judokas, les faibles comme les forts. Il n'y aurait pas un tel esprit dans une équi¬

pe cantonale.

Il est vrai que si on veut jouer les premiers rôles, on doit s'ouvrir. C'est pourquoi, on est toujours positif à une idée de collaboration. On ne refuse pas certains bons Fribourgeois à venir évoluer en Ligue A.»

- Alexandre Delessert, prési¬

dent de l'AFJ: «L'association ne peut rien faire pour un team fribourgeois. Les clubs doi¬

vent se mettre d'accord entre eux. Mais l'AFJ est plus que favorable à sa création, car le canton a besoin d'une équipe phare qui tire les autres. Je ne pense pas que cela va entraîner la mort des clubs, mais plutôt les motiver.

Ce concept existe déjà du côté féminin et cela fonctionne

n,u.,r*

les sports

bien puisque les filles sont dans les cinq premières équi¬

pes du pays. Cette saison, elles sont même très proche du titre.

De plus chez les hommes, on a un grand potentiel si on regar¬

de les nombreux talents indivi¬

duels de chaque club. Ces der¬

niers veulent aller le plus haut possible. David Papaux et Ju¬

lien Membrez le démontre bien.

L'idée d'une collaboration entre les clubs fribourgeois est aussi une solution. Les judo¬

kas de la région pourraient profiter de la double licence:

c'est-à-dire qu'ils appartien¬

nent toujours à leur club, sauf qu'ils vont évoluer une saison sous d'autres couleurs.»

Aucune décision quant à une équipe commune a été prise pour la saison prochaine. La si¬

tuation est donc figée et elle y restera, tant que les identités des clubs seront aussi fortes.

Comme on le dit: la suite au prochain épisode. Pourtant, il faudra bien attendre que les mentalités changent. On a donc le temps de zapper d'ici là. ■

(15)

^^^ïiMrMriiÉ Les sports

Le divisionnaire André Liaudat a remis aux jeunes tireurs des distinctions bien méritées.

PHOTOS: NATHALIE BALMAT

Estavayer-le-Lac:

le tir veut se donner un nouvel élan

• Nathalie Balmat Les 297 délégués de la Société cantonale des tireurs fribourgeois (SCTF) ont tenu récem¬

ment leurs assises an¬

nuelles dans la Cité de la Rose. Devant un parterre d'invités membres des au¬

torités politiques, mili¬

taires et des Associations romandes de tir, le prési¬

dent Andreas von Känel a ouvert les débats, notam¬

ment sur l'ordonnance en matière de protection contre le bruit qui échoit l'an prochain, les direc¬

tives sur la protection des sols ou encore l'équilibre des comptes de la SCTF.

«Le tir a besoin de plus de so¬

lidarité aussi bien au niveau de la base qu'au niveau national, pour devenir encore plus at¬

tractif et plus performant», a constaté le président Von Kä¬

nel. Hn effet, retraçant les évé¬

nements réjouissants qui ont jalonné l'année 2(X)0, il s'est dit déçu de voir que le tir n'est toujours pas reconnu par cer¬

taines instances, comme par exemple l'Association fri-

bourgeoise des sports. «Mal¬

gré les efforts considérables réalisés à tous les niveaux, et surtout les performances exemplaires de nos sportifs, nous avons été pénalisés et avons rétrogradé dans la répar¬

tition linancière au profit du sport», a-t-il relevé. Cet état de fait est une des causes du défi¬

cit enregistré pour l'année 2000. Dès lors, pour rééquili¬

brer les comptes, l'assemblée a accepté de hausser de 50 et.

la taxe administrative pour les tireurs obligatoires.

Obtenir plus d'audience auprès des jeunes

Autre constatation alarmante:

la participation aux différentes manifestations de tir est en di¬

minution. Sous le slogan «Al¬

lons-y tous en famille». Ber¬

nard Uldry. responsable du secteur du tir en campagne, le plus touché par ce problème, a esquissé une solution: la pro¬

pagande active. André Liau¬

dat, quant à lui, a exhorté les sociétés à tout mettre en œuvre

Le président Andreas von Kiinel rayonnant. En 2000, les jeunes ont enregistré des résultats exceptionnels.

pour attirer et encadrer les jeunes. «Le tir helvétique a be¬

soin d'un nouvel élan et il faut à tout prix signaler les bons tireurs dès l'école de recrue.»

Une nouvelle société de tir Sous la devise «Ensemble vers l'avenir», les travaux en vue de la fusion avec la Société suisse des tireurs sportifs et la Fédération ouvrière suisse de tir touchent à leur fin. Ils don¬

neront naissance, en août pro¬

chain, à la Fédération sportive suisse de tir (FSST), qui réuni¬

ra tout le tir de Suisse et du Liechtenstein, soit 200000 membres environ, sous une même bannière. Le but de cet¬

te organisation faîtière sera de favoriser le tir sportif et de performance. Elle permettra un rapprochement des tireurs de toutes les disciplines.

(16)

Un nouvel esprit plane

au-dessus du sport fribourgeois

Les sports

• Sébastien Clément

Le sport fribourgeois est en constante évo¬

lution. A l'aube du XXIe siècle, plusieurs projets sont en cours, notamment le concept «Jeunesse et Sport 2000» va bientôt voir le jour.

Lors de la seizième Assemblée des délégués de l'Association fribourgeoise des sports (AFS) à Romont, plusieurs points ont été abordés. Mais la première pensée s'adressait à la dispari¬

tion de César Paolucci, le vice- président de l'AFS, décédé

quelques jours avant l'assem¬

blée. Ce dernier avait pris une part importante au développe¬

ment du sport régional.

Présidé par Claude Long- champ, cette assemblée ré¬

unissait 55 clubs et associa¬

tions. Cette année, deux clubs de billard se sont retirés. Il s'agit de ceux de Fribourg et de Romont. Ces deux départs ont été compensés par trois ad¬

missions: le club de patinage de la Gruyère, celui de triath¬

lon Fribourg et l'aviron d'Es- tavayer-le-Lac.

En ce qui concerne les com¬

ptes, l'exercice 2000/2001 s'achève sur un bénéfice un peu plus bas que prévu. Par contre, un déficit est déjà

annoncé dans le budget 2001/2002. Plusieurs investis¬

sements nécessaires, comme la création d'un site Internet, est la raison de ce déficit an¬

noncé.

Ce projet fait partie intégrante de l'évolution du monde spor¬

tif fribourgeois, comme bien d'autres concepts. Un des pas les plus importants à franchir est sûrement celui de «Jeunes¬

se et Sport 2000». Actuelle¬

ment, le projet est dans sa pha¬

se finale. Deux sports pilotes, le ski et le football, sont en train de le tester. A noter que Claude Longchamp, président de l'AFS.

PHOTO SÉBASTIEN CLÉMENT

le sport ne serait rien sans les personnes bénévoles qui se sa¬

crifient pour son développe¬

ment. C'est pourquoi, l'ONU a décrété cette année 2001

«Année du volontariat». ■

fi

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Depuis quel pont cette photo a-t-elle été prise?

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(17)

LA MINCEUR...

La recette miracle du 3e millénaire

Combien de fois n 'a-t-on pas en¬

tendu ce commentaire «j'ai ar¬

rêté de fumer et j'ai grossi de 10 kg».

On peut rassurer toutefois les lec¬

teurs, recommencer à fumer n'est pas le meilleur moyen de perdre les kilos superflus.

Chez la plupart de ceux qui ont pris des kilos superflus, il y a une constante générale. Les kilos se pren¬

nent insidueusement petit à petit, et lorsqu 'ils sont installés, ils ne se dé¬

logent pas facilement.

La solution, c'est une question

de discipline et de reconditionnement des hatibudes

Tout d'abord, commencez par faire un véri¬

table nettoyage des émonctoires de votre orga¬

nisme. C'est indispensable en effet, car en gé¬

néral votre foie, vos reins et vos intestins sont

«encrassés» et c'est primordial de commencer par faire votre toilette intérieure qui va facili¬

ter la suite du traitement et dynamiser les ré¬

sultats.

Durant trois semaines, nettoyez vos reins avec un bon DRAINOFLUIDE à base de plantes.

Si possible, donnez votre préférence à un mé¬

lange de plantes en extrait liquide.

Ensuite, occupez-vous de bien nettoyer votre foie et vos intestins.

Durant les quelques semaines que va durer ce simple nettoyage intérieur de votre organisme, protitez-en pour avoir une alimentation modé¬

rée qui ne vienne pas encrasser à nouveau les organes que vous avez nettoyés. C'est très im¬

portant.

Si durant les 5 ou 6 semaines que va durer ce

«nettoyage» intérieur de vos filtres, vous vous disciplinez à ne manger qu'un seul plat à

chaque repas, sans vous rendre compte, vous aurez perdu les trois premiers kilos qui sont déterminants.

Deux fois par jour, glissez dans un verre d'eau, 10 ml de «nutrifluide Silhouette» ce composé de plantes (maté ver, algue bleue, fucus, ananas, orthosiphon, pissenlit), dyna¬

misé avec l'eau biologique, véritable modula¬

teur de la glande thyroïde qui bien souvent n'est pas étrangère à la perte de kilos super¬

flus, soit à l'adolescence, soit à l'approche de la ménopause. Buvez beaucoup d'eau durant la journée, si possible des infusions à base de plantes drainantes.

Trois ou quatre pincées du «mélange de plantes ANTI-KILOS» (chiendent, sauge, verveine, bigaradier, citronelle) pour un litre d'eau à boire durant la journée.

Mangez des fruits, non seulement ils contien¬

nent de l'eau mais aussi les oligo-éléments et les vitamines indispensables au parfait équi¬

libre organique.

Parrallélement, durant plusieurs semaines faites une cure de YAM SAUVAGE. Le YAM contient une substance naturelle, la diosgénine, qui va réactiver vos glandes surré¬

nales qui sont les productrice de votre DHEA, votre hormone de jeunesse.

Renforcez votre organisme en MAGNE¬

SIUM. N'oubliez pas que le magnésium est le carburant de votre système nerveux. Or, c'est le cas lorsque vous arrêtez de fumer, la nervo¬

sité vous gagne et vous pousse à manger plus.

Chaque jour, une à deux fois par jour, 10 ml de nutrifluide Magnésium-P.C.A, vont non seulement renforcer votre système nerveux mais aussi nettoyer vos intestins.

Un dernier conseil, pesez-vous chaque matin et notez votre poids sur une feuille de papier avec la date. En effet, si les kilos arrivent sou¬

vent petit à petit, ils doivent aussi s'éliminer petit à petit afin de ne pas créer de «choc organique»

qui déstabilise votre métabolisme en général.

Ce traitement est simple et particulièrement efficace. Toutefois, lorsque aurez perdu quelques kilos, votre peau sera distendue comme un habit mal repassé, elle sera un peu flétrie. Il va falloir «retendre» redynamiser cette enveloppe devenue «flasque». Massez- vous chaque jour avec une CREME MULTI¬

PHASE (enrichie en O.P.C., extraits de pe¬

tit houx, fucus, lierre et extrait de caféine) en synergie avec un deuxième produit éton¬

nant, le GEL RESTRUCTURANT (aux ex¬

traits d'O.P.C., d'algues, de lin, d'amandes douces et de guimauve).

Faites une cure d'O.P.C. JEUNESSE, véri¬

table concentré d'extrait de pépins de rai¬

sins, véritable protecteur et promoteur du col- lagène et de l'élastine qui sont justement les substances qui assurent la jeunesse et l'élasti¬

cité des tissus élastiques de votre corps, en particulier de la peau, des veines et des artères.

Non seulement avec ces recettes vous aurez naturellement et rapidement perdu vos kilos superflus, mais surtout vous aurez réalisé un véritable rajeunissement général de votre or¬

ganisme.

C'est en effet une véritable cure de prévention santé que nous venons de vous conseiller.

C'est en effet ce traitement de base que nous préconisons à tous les curistes du centre de cures MESSEGUE-PHYTOTHERM de Crans-Montana dans les Alpes suisses.

Jacks Maisonneuve Pour tout contact ou information complémentaire:

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Délai de réponse le 28 mai 2001

Réponse: Signature:

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Abonné 1 : Nom, prénom: Rue: Adresse:.

Abonné 2: Nom, prénom: Rue: Adresse:.

JACQUES PERROUX

La vie en marge

«La vie en marge» est la suite (attendue) de «La fille du prêtre», roman du même auteur, paru chez le même éditeur. Il peut cependant fort bien être lu pour lui-même.

En effet, ce roman touche à des phénomènes de société qui ne laissent personne indifférent: dra¬

me du sida, vie des exclus sans domicile fixe, conflits dans l Egli¬

se catholique entre obéissance à l'autorité ou à la conscience, obligation du célibat pour les prêtres, entre autres questions brû¬

lantes.

Bien entendu, ces problèmes ne sont pas traités abstraitement, mais ils sont abordés au cours d'une histoire: celle d un prêtre qui a découvert, après une trentaine d'années, qu'il était le père d'une très attrayante jeune femme...

En conflit avec sa hiérarchie, l'abbé Paul Valentin va choisir de vivre en marge du clergé. Il partagera désormais l existence pré¬

caire de personnes parmi les plus démunies de notre société.

Ce roman brosse un tableau de réalités, souvent méconnues, de notre époque. ®

La Vallée

des Tentations

Laissez-vous séduire et entraîner sur ces sentiers et belles clairières, dont l'air a parfois ces senteurs envoûtantes de la Grèce antique où, souvent, comme le disait Homère: La terre printanière leur offrait le tapis de ses herbes en fleurs!

Voulant mettre un terme aux troubles générés par ce paradis, Julien, jeune et trop beau prêtre, tente de convaincre les rudes montagnards et surtout leurs jolies filles ou épouses à renoncer à leurs pratiques ances- trales.

C'était sans compter sur l'apparition de Violette, belle servante de Dyoni- sos.

( ',hristum Constantin I/i Vallée des

Tentations I Agende du XXI'siècle

(18)

Retour du printemps sur décor d'automne

L'hiver s'en va à petits pas et déjà la chaleur nous prend le coeur et le corps dans l'ombre et la lumière d'un paysage inondé de soleil qui entre dans le monde de la couleur. Le printemps chante le renouveau, beauté d'une saison qui re¬

donne vie à l'être humain, aux plantes et aux arbres. Tel ce merveilleux spectacle que nous offrent ces feuilles rouges qui embellissent un jardin de la ville de Fribourg avec, comme toile de fond, les couleurs de l'automne!

Texte et photo G. Bd

Romont

Un monde miniature extrêmement lumineux A l'échelle du nanomètre, la lumière dévoile un large spectre d'application: gravure de cir¬

cuits intégrés, microscopie, bio-technologie même. L'effet lumineux qui donne leur brillan¬

ce aux vitraux sert en effet aujourd'hui de bio¬

marqueur (recherche.ch)

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Châtel-St-Denis

Bas les masques

sur l'histoire du théâtre

Le cinéma Sirius de Châtel-St-Denis a récemment ouvert une fenêtre sur le monde du grand théâtre. Au fil d'extraits prêtés par Sophocle, Shakespeare et Marivaux entre autres, le spectacle Zapstacle. mis en scène par Marion Held a permis aux jeunes loups de la troupe «Bazart théâtre» de monter pour la première fois sur scène classique. Un vent de jeunesse a soufflé, fai¬

sant tournoyer avec fraîcheur et conviction de riches tex- tes.

NMF

La résonance plasmon (gauche) qui permettait aux maîtres verriers du Moyen Age de faire briller leurs vitraux est développée aujourd'hui pour serxir de bio-marqueur sur un chromosome (droite).

MUSÉE DU VITRAIL, ROMONT (PHOTO YVES EIGENMANNV SCHULTZ ET AL.. PNAS VOL 97. N° 3.

PHOTO A. FTORAVERA

(19)

ie enten der et s

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Corpataux-Magnedens

Musée gruérien de Bulle

Le retour de Pierre Sciobéret , », Gisèle Girard et son mari Pierre de Clermont-Ferrand, sont des-

cendant de l'écrivain Pierre Sciobéret ( 1830-1876) originaire de

^ " La Tour-de-Trême. Ils ont restauré et offert au Musée gruérien le .. i. , seul portrait à l'huile connu du poète. «Notre grand-père est un grand voyageur et nous l'accompagnons pour ce retour au pays.

' son dernier voyage» souligne Gisèle Girard qui précise que Michel Gremaud a fait un travail de recherche formidable: c'est 1

$' ■ ; me à la clef de la réhabilitation du portrait! La commune de La Tour-de-Trême dédiera d'ici l'été 2001 à la mémoire de ce poète une «Place Pierre Sciobéret» au centre de la localité.

PHOTO NMF: DE GAICIIE À DROITE: MICHEL GREMAUD. GISELE ET PIERRE NMF GIRARD

(20)

lllastr« GIVISIEZ Regards sur«..

Féerie sur porcelaine:

l'art dévoilé par la main magicienne

de Clotilde Ruegg-Ruffieux

La porcelaine blanche, unie et sans artifice est belle par sa pureté; mais décorée par la main magicienne de Clotilde Ruegg-Ruffieux, elle se trans¬

forme, s'embellit, s'illumine et devient œuvre d'art.

Lorsque l'on évoque la peintu¬

re sur porcelaine, de fausses idées planent encore dans l'es¬

prit des néophytes. Cet art subtil a beaucoup évolué; les petites (leurs traditionnelles ont cédé leurs places à des décors et des techniques très élaborés.

Ce qui était autrefois un passe- temps est devenu au fil des an¬

nées: un art, une virtuosité, un métier. Tout a commencé pour Clotilde Ruegg-Ruffieux, il y a 25 ans, d'un hobby elle en a fait une passion. En admirant les œuvres de cette grande ar¬

tiste, on est ébloui par la fines¬

se, la complexité du travail. Si elle écrit de la main droite, elle peint énigmatiquement de la main gauche: la nature a par¬

fois de singulière fantaisie.

Aujourd'hui, sa renommée va au-delà des frontières et ses

Tête à tête, Limoges.

Potiche traditionnelle.

PHOTOS MME PRIMULA BOSSHARD

«

merveilles ont été exposées un peu partout en Europe. L'artis¬

te a reçu également de nom¬

breux prix couronnant à juste titre le fruit de son travail somptueux.

Depuis 1996, Clotilde Ruegg- Ruffieux a ouvert un magasin à la rue Piller 33b à Givisiez.

Une boutique-atelier et galerie d'art, où l'on peut admirer et acheter ses créations ou encore suivre des cours de peinture sur porcelaine. Un détour aux portes de Fribourg à ne pas manquer.

En collaboration avec Tatiana Levescot, la dame de Givisiez a prit la plume et dévoile avec flamme tous les secrets de son

art dans un livre intitulé «Por¬

celaines, regards d'artistes». Il sera présenté et dédicacé lors de l'exposition qui se tiendra dans un merveilleux cadre: le salon Grande Société Grand- Rue 68 à Fribourg.

Marinette Jaquier, publireportage Exposition du 3 au 6 mai De 14 h à 19 h

Vernissage jeudi 3 à 18 h

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(21)

EXPOSITION

Les

«Nases»

l'honneur

L'artiste-peintre-boucher Corpatoo fier de sa création.

PHOTO PWT

Paul W. Tekadiozaya S* inspirant de l'opé¬

ration des «vaches»

en polyester mise sur pied à Zurich en 1998, une exposition des poissons

«Murtner-Fisch» est orga¬

nisée à Morat. Vite façon de rappeler aux gens que le chef-lieu lacois sera un des hauts lieux de l'Expo.02.

A l'instar d'autres villes com¬

me Zurich, New York ou Chi¬

cago avant elle, la ville de Morat vit à l'heure des pois¬

sons décorés par différents ar¬

tistes. A l'initiative de Gilbert Montani, hôtelier et promo¬

teur lacois, à l'origine du con¬

cept 2001 «Murtner-Fisch», les poissons envahissent les rues et les places de la ville.

Objectif: faire connaître da¬

vantage la vieille ville histo¬

rique de Morat et sa région.

Autant préciser d'emblée que les organisateurs ont aussi voulu rappeler l'importance du lac et les plaisirs de pêche et de table que peuvent nous offrir ces créatures. Ils ont amélioré l'opération en la plaçant dans un environne¬

ment plus authentique, en marge de l'exposition natio¬

nale Expo.02 dans la région des Trois-Lacs.

Une centaine de carcasses de poissons blancs de grande taille ont été mis à la disposi¬

tion d'artistes, d'écoles ou de commerçants pour être déco¬

rés selon l'inspiration de cha¬

cun pour, ensuite, être exposés à divers endroits de la ville.

Ces poissons ont été ainsi livrés à des «parrains» qui en ont loué l'usage et confiés au bon vouloir créatif d'artistes connus comme Niki de Saint- Phalle ou en herbe. Les cinq pièces sponsorisées par Chris¬

tian Blanquet, patron de l'en¬

treprise Proms Automates, ont

été décorées par l'artiste- peintre-boucher Jean-Pierre Corpatoo. «Pour nous, il s'agissait surtout à travers cet¬

te action de soutenir un artiste fribourgeois», a expliqué l'en¬

trepreneur mécène.

Cet art populaire se déclinera donc à travers la ville de Mo¬

rat sur ses places, dans ses parcs, ses giratoires durant six mois. Les touristes et autres promeneurs découvriront ces

«nases» (selon la tradition fri- bourgeoise, on appelle ainsi certains poissons blancs de l'espèce des cyprinidés proté¬

gés et vivant dans la Sarine) au hasard de leurs tribulations dans la cité médiévale. L'ex¬

position est visible du 6 mai au 27 octobre 2001 sachant qu'à cette date, ces œuvres seront mises aux enchères. Selon les prévisions, l'opération devrait rapporter plus d'un million de francs au profit d'organisa¬

tions caritatives.

Eclats Une jeune fille conlie à son amie:

- Mon rêve, ce serait d'épou¬

ser un archéologue.

Ah bon? Pourquoi?

- Parce que plus on vieillit, plus il vous aime...

* * *

- Allô police, je viens d'écra¬

ser un poulet. Que dois-je fai¬

re?

- Et bien, plumez-le et faites- le cuire à thermostat 6.

- Ah bon, et qu'est-ce que je fais de la moto?

* * *

Un client très en colère appel¬

le le patron d'un restaurant:

- J'ai suivi à la lettre, lui dit- il, le conseil que vous avez inscrit sur la pancarte à la porte d'entrée: «Surveillez votre vestiaire».

- Et alors ?

- Alors? Pendant que j'avais l'œil fixé sur mon pardessus, quelqu'un m'a volé mon bif¬

teck.

* * *

Un homme arrive au bureau avec un œil au beurre noir.

-Qu'est-ce qui t'es arrivé?

questionnent ses collègues.

- Oh! gémit-il, une chose ter¬

rible. Et tout ça vient d'un cadeau que j'ai acheté pour ma femme.

- Elle n'est pas contente?

- Figurez-vous que je voulais lui offrir un soutien-gorge. Et voilà qu'hier soir, elle dé¬

barque au bureau, alors que j'étais en train de le faire es¬

sayer à ma secrétaire pour m'assurer que j'avais pris la bonne taille.

* * *

Une automobiliste, très jeune et très timide, demande à la

«pervenche» qui vient de glis¬

ser un papillon sous son essuie-glace:

- Excusez-moi, madame, mais c'est ma première contraven¬

tion. Est-ce que le service est compris?

* * *

- Chéri, dis-moi ce que tu préfères, une femme jolie ou une femme intelligente?

-Ni l'une, ni l'autre, chérie, tu sais bien que je n'aime que toi.

Gibelin

de rire

Références

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