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FRANZ STREINTZ. — Ueber ein Silber-Quecksilberelement und dessen Beziehung zur Temperatur (Sur un élément argent-mercure et la relation de sa force électromotrice avec la température); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 514

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00239077

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00239077

Submitted on 1 Jan 1890

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FRANZ STREINTZ. - Ueber ein

Silber-Quecksilberelement und dessen Beziehung zur Temperatur (Sur un élément argent-mercure et la relation de sa force électromotrice avec la température);

Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 514

Bernard Brunhes

To cite this version:

Bernard Brunhes. FRANZ STREINTZ. - Ueber ein Silber-Quecksilberelement und dessen Beziehung zur Temperatur (Sur un élément argent-mercure et la relation de sa force électromotrice avec la température); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 514. J. Phys. Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.205-206.

�10.1051/jphystap:018900090020501�. �jpa-00239077�

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d’électricité, et l’on ne sait plus quelle est la charge qui se trouve

réellement sur le plateau; de plus, les courants produits par le

déplacement de l’électricité qui s’écoule dans l’air exercent cer-

tainement t une influence perturbatrice dont il est impossible de

tenir compte.

L’auteur affirme en dernier lieu que, contrairement à l’opinion

de Nl. Roivland, il n’existe aucune différence entre les grandeurs

absolues des déviations de signes contraires que donnent des

charges égales d’électricité positive et négative.

BERNARD BRUNHES.

FRANZ STREINTZ. 2014 Ueber ein Silber-Quecksilberelement und dessen Beziehung

zur Temperatur (Sur un élément argent-mercure et la relation de sa force électromotrice avec la température); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 5I4.

L’auteur se propose de vérifier la formule d’fIehnhollz sur le

couple argent-sulfate d’argenu-sulfaie inercureti--%---mercure, dont

-

la force électromotrice est nulle àla température ordinaire, vers 10°.

Suivant qu’on élève ou qu’on abaisse la température, on fait ap-

paraître une force électromotrice dans un sens ou dans l’autre.

Et dans le voisinage de 10°, la formule

se rédui t à

oÙ 2 est un coefficient constant dépendant des unités choisies, Q

la chaleur chimique~ E la force électromotrice, T la température.

Pour calculer Q, il faut connaître la chaleur de formation du sulfate d’argent et celle du sulfate mercureux. La première est

connue par des expériences de Thomsen. Pour avoir la seconde, qui n’a pas été déterminée directement, l’auteur suppose que la formule qu’il veut vérifier s’applique à l’élémen t Latimer-Clark;

lord Rayleigh a étudié la variation de cette pile avec la tempéra-

ture ; dans la for~nule ~ y relative à l’éléinent Latimer-Clark, il

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090020501

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n’entre donc comme inconnue que la chaleur de formation dn sulfate mercureux, et l’on peut de cette équation tirer la valeur de l’inconnrie, car on connaît celle du sulfate de zinc. On n’aura pas par cette méthode une démonstration expérimentale rigoureuse

de la forrmule d’Helmholtz, on n’aura c~u’une probabilité qui de-

viendrait de plus en plus grande si l’on étudiait un plus grand

nombre de piles à sulfate mercureux et sulfate d’un autre mé[al,

et si elles donnaient toutes des résultats concordants.

La méthode d’observation consiste à étudier la variation de E

avec la température : on trouve dans cette étude des difficultés

pratiques; car la variation, avec le temps, de la force électromotrice

1

d’un élément maintenu à température constante est très notable,

et peut être même beaucoup plus considérable clue celle qui est produite par une variation de température de plusieurs degrés.

Il faudra donc expérimenter en faisant t varier la température

assez rapidement. On s’arrêtera, par exemple, de 5° en 5°, et l’on

notera la force électromotrice. La valeur moyenne obtenue pour

dE est enVIron. 10-. volts par degré centigrade,

.

ce qui donne

il-T

pour Q uii nombre voisin de cinq grandes calories, nombre qui

est précisément celui que donnait le calcul précédent.

BERNARD BRUNHES.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

Philosophical Magazine.

6e série, t. XXIX; janvier i8go.

Lo~~D ~ ~YLEIGH. - ~zGl’ les cloches, p. i .

L. N~T~NSO~T. -- Sur la théorie cinétique des phénornènes de disso-

ciation dans les gaz, p. 8.

S.-P. LAI~TGLEY et F.-W. V~:R~ . - La telnpérature de la Lune, p. 3 i . W.-G. GREGORY. - ivouvel a~hareiZ électriyzce pour Lcc rnesure des radiations, p. 5~.

J. ENRIGHT. - ~,Zeetrisation dzce ccu eontczet des liquides et des gaz)

p. 56.

H. TOMLIl‘TS0~3. - Effet d’échazz~ën2ents et de refroidissements réitérés

sur la conductibilité électrique du fer, p. 77.

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