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Submitted on 1 Jan 1885
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N. VON KLOBUKOW. - Ueber ein neues Verfahren zur Bestimmung dcr Dampfdichte hochsiedender Körper ( Nouvelle méthode pour déterminer la densité de vapeur
des corps bouillant à des températures élevées); Wied.
Ann., t. XXII, p. 493; 1884
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. N. VON KLOBUKOW. - Ueber ein neues Verfahren zur Bestimmung dcr Dampfdichte
hochsiedender Körper ( Nouvelle méthode pour déterminer la densité de vapeur des corps bouillant à
des températures élevées); Wied. Ann., t. XXII, p. 493; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1885, 4 (1),
pp.179-180. �10.1051/jphystap:018850040017901�. �jpa-00238327�
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blement
supérieures
à leurpoint
d’ébullition et enemployant
suivant le cas, un bain de vapeur
d’alcool, d’eau,
dexylol
ou d’a-niline. Les résultats ont paru tout à fait
satisfaisants,
bien que lepoids
deliquide vaporisé
fûttoujours
trèspetit,
de0gr,01
à0gr,3
au maximum. E. BOUTY.
N. VON KLOBUKOW. 2014 Ueber ein neues Verfahren zur Bestimmung dcr Dampf-
dichte hochsiedender Körper ( Nouvelle méthode pour déterminer la densité de vapeur des corps bouillant à des températures élevées); Wied. Ann., t. XXII, p. 493; 1884.
Analogue
par sonprincipe
à laprécédente,
la méthodeproposée
par à, von KlolJukoiv en diffère absolument par la forme de
l’ap- pareil, qui
est desplus originales.
La cavité offerte à la vapeur faitpartie
du réservoir d’un aréomètre à volume constant, et l’on dé- duit le volumequ’elle
occupe de lacharge
que doitsupporter
l’aréomètre pour affleurer.L’étuve dans
laquelle
se trouveplacé l’appareil
contient unesorte de moufle où l’on verse la
quantité
de mercure suffisantepour faire flotter F aréomètre. Celui-ci
présente
au-dessous d’une boule creuse b unepartie cylindrique
a, ouverte en o à son ex-trémité inférieure et que l’on
rempli t
de mercure ; latige
de l’aiaéo-mètre passe à travers une ouverture du couvercle du moufle et
porte
unplateau
que l’onpeut charger
depoids.
Lapartie supé-
rieure de la
tige
contient un filmétallique j
en communicationavec iin des
pôles
d’unepile;
l’extrémité de ce fil sort de latige
et fixe le
point m d’affleurement; quand
il arrive au niveau dumercure du
moufle,
en communicationpermanente
avec l’autrepôle
de lapile,
le circuitétectrique, comprenant
une sonnerie etun
galvanomètre,
se trouve fermé. En modifiant lacharge
duplateau,
il est donc facile deproduire
l’affleurement exact.Cela
posé,
faisons d’ahord affleurer l’aréomètreplein
de mercure,puis
introduisons unepetite ampoule
contenant leliquide qui
sevaporise
totalement dans la chambre cz. Lapoussée augmente,
l’aréomètre se relève et, pour ramenerl’affleurement)
il fautajouter
des
poids équivalents
à celui du mercuredéplacé
par la vapeur.L’expérience permet
donc de déterminer vt. Enemployant
lesArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018850040017901
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mêmes notations que clans le Mémoire
précèdent
on auraIzo
est la colonne de mercurequi
forme la différence de niveauentre le mercure du moufle et celui de
l’aréomètre,
ramené à latempérature
de 0°. Celle-ci se déduit dupoids qui charge
lepla-
teau, à l’aide d’un groupe d’observations
préliminaires
faciles àimaginer.
,Pour des
températures trop
voisines de l’ébullition du mercure,on
pourrait remplacer
ce métal parl’alliage
de Wood.Des
expériences
de contrôle réalisées avec lechlorofurme,
l’al-cool et la benzine ont fourni des résultats exacts
à 1 100 près
de leurv aleur pour une
température
du bain de vapeurégale
à 100° en-viron. Il semble douteux que ce
procédé comporte
uneapproxi-
mation aussi
grande
à destempératures plus
élevées.E. BOUTY.