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F. KOHLRAUSCH. — Ueber ein Verfahren electrische Wiederstände unabhängig von Zuleitungswiderständen zu Vergleichen (Méthode de comparaison des résistances électriques indépendamment de la résistance des contacts) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 76; 1883

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238239

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238239

Submitted on 1 Jan 1884

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F. KOHLRAUSCH. - Ueber ein Verfahren electrische Wiederstände unabhängig von Zuleitungswiderständen zu Vergleichen (Méthode de comparaison des résistances

électriques indépendamment de la résistance des contacts) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 76; 1883

A. Buguet

To cite this version:

A. Buguet. F. KOHLRAUSCH. - Ueber ein Verfahren electrische Wiederstände unabhängig von Zuleitungswiderständen zu Vergleichen (Méthode de comparaison des résistances électriques indépen- damment de la résistance des contacts) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 76; 1883. J. Phys. Theor.

Appl., 1884, 3 (1), pp.268-271. �10.1051/jphystap:018840030026801�. �jpa-00238239�

(2)

tude des

vibrations,

mais encore des

changements

de

phase qui

déforment la courbe.

La résistance W sera

représentée

par une solution saturée de sulfate de

cuivre,

maintenue dans un tube de verre, et le courant

y arrive par des électrodes de cuivre

qui

ne se

polariseront

que très faiblement. La

liqueur polarisante

F sera de l’acide sulfu-

rique

étendu ou la solution

cuivrique,

avec des électrodes en

pla-

tine

de 45

à 20mmr¡.

On

règle

la dérivation de B de manière que les

amplitudes

des

vibrations de B et C soient sensiblement les

mêmes,

et l’on dé- pose de la cire sur l’un des

diapasons,

de manière à convertir

l’ellipse

lumineuse en une droite à

£5°

environ de l’horizon.

L’oculaire du

microscope porte

un micromètre formé de droites

qu’on

rend

parallèles

à la

ligne

lumineuse.

Si l’on vient à écarter les électrodes de

W,

la

ligne

lumineuse

devient une

ellipse

dont les axes varient en sens inverses et tour-

nent autour de l’axe du

microscope.

Si l’on

remplace

W par la

liqueur polarisante,

la courbe se modifie encore, mais on ne

peut

savoir si c’est ou non par le fait seul du

changement

de résistance.

Cependant

on

peut régler

la valeur de W de sorte que, tandis que le

grand

axe de

l’ellipse

se

rapproche

de l’horizon en même

temps qu’il diminue,

on le verra marcher en sens

inverse,

tout en

diminuant encore,

lorsqu’on

introduira la solution

polarisante.

Un tel

changement

du

phénomène

ne

peut plus

être attribué à la variation seule de la résistance.

Il

provient

des différences de

phases

survenues entre les cou-

rants

primaire

et secondaire.

Le

déplacement

des extrémités du

grand

axe était environ le

vingtième

de sa

longueur.

A. BUGUÉT.

F. KOHLRAUSCH. 2014 Ueber ein Verfahren electrische Wiederstände unabhängig

von Zuleitungswiderständen zu Vergleichen (Méthode de comparaison des ré-

sistances électriques indépendamment de la résistance des contacts) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 76; 1883.

L’importance

du

problème

devient surtout considérable

lorsque

les résistances de contact sont une fraction notable de la gran- deur à évaluer.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030026801

(3)

269 En dehors des méthodes

électrostatiques trop

peu

sensibles

il

n’existe que le

procédé

de Mathiessen et Ilockin

qui

donne les

résistances de fils courts,

indépendamment

des résistances de contact; m’ais l’exactitude laisse encore à désirer et le

procédé

comporte

des

longueurs.

Sir W. Thomson a

donné,

dans le méme

but,

une modification

avantageuse

du

pont

de Wheatstone et M. Kirchhoff a fondé sur

l’emploi

du

galvanomètre

différentiel un

procédé qui

convient

fort bien aux très

petites

résistances.

On trouvera ici une

modification,

en apparence

insignifiante,

de ce

procédé

où les résistances de contact sont absolument élimi- nées.

Rapide

et

sure,

la méthode

donne,

pour des résistances très

faibles,

des

approximations au -; uu1uoo.

Soit un courant

rectiligne

allant de A à

B’;

prenons sur cette droite deux autres

points

B et A’ et intercalons les résistances à comparer n) et r

respectivement

entre

A1

B et

A’1

B’ .

Fixons en A et A’ les extrémités du

premier multiplicateur

d’un

galvanomètre différentiel;

en B et B’ celles du second

multiplica-

teur, de

façon

que le courant dans ce dernier marche en sens in-

verse de celui

qu’il

a dans le

premier.

Soient W et w’ les résistances très

grandes

des

multiplicateurs, y celle

du raccord BA’.

Soient

J, J’, L, i’, io

les intensités des courants

qui

traversent

respectivement

les résistances

W, W’,

t-w, r, v.

Supposons

que les deux

multiplicateurs

aient même résis-

tance

W=W’

et

qu’ils soient disposés

de la même

façon

par

rapport

à l’ai-

guil I e .

Lorsque celle-ci

sera en repos, on aura

J = J’ .

Il en résulte

immédiatement

i = i’;

soient a,

B, lI..’, B’

les résistances de contact

respectivement

aux

points A, B, SI,

BB

(4)

On aura,

d’ailleurs,

zo

= L

J,

ce

qui

donne

(Ton l’on dre

Changeons

maintenant les

communications,

sans rien modifier

de la nature des contacts.

Amenons B

en

A, a

en

B, B’

en A’ et

a’ en B’.

Soit, d’ailleurs,

r1, la nouvelle

résistance,

très peu différente de r et connue,

qui,

associée à cw, laisse

l’aiguille

au zéro.

Nous aurons alors comme ci-dessus

Les relations

(I)

et

(H) donnent,

par

élimination

de toutes

les résistances de contact,

d’où

Comme, d’ailleurs,

r et r 1 sont très peu

différentes,

on

peut

remplacer

la mojrenne

géométrique

par une moyenne arithmé-

tique

et

prendre

pour

Ainsi voilà une méthode

qui

demande seulement deux

opéra-

tions où l’on

permute

les contacus, eu un calcul très

simple

de

moyenne

arithmétique.

La construction d’un

galvanomètre

différentiel convenable n’est pas sans

présenter

des

difficulués,

non parce

qu’il

est difficile

d’obtenir des fils de résistances sensiblement

égales,

mais surtout

parce que, pour obtenir un enroulement semblable des deux

fils,

il faut des soins minutieux.

(5)

On arrive

pourtant

à construire des

multiplicateurs

dont les

différences d’actions sur

l’aiguille

descendent

à 1

et encore au-

dessous ; mais,

dans les

expériences actuelles,

il est

important

que les résistances à étudier soient extrêmement faibles par

rapport

à celles des

multiplicatenrs.

D’ailleurs, quand

des

multiplicateurs présentent

de très faibles

différences,

on

peut opérer

de manière à les éliminer.

Plusieurs séries

d’expériences

ont été faites sur des colonnes de mercure, de faibles

résistances;

elles ont donné des rés ultats très concordants.

Enfin,

d’autres

expériences

sur des résistances extrêmement faibles en cuivre et en

palladium (des

fils de

quelques

centimètres de

longueur

sur

plusieurs

millimètres de

diamètre)

ont

également

donné de bons résultats. A. BUGUET.

F. KOHLRAUSCH.2014 Ueber einige Bestimmungsweisen des absoluten Widerstandes einer Kette, welche einen Erdinductor und ein Galvanometer enthält

(Quelques procédés de détermination de la résistance absolue d’un circuit qui

contient un inducteur soumis à l’action de la terre et un galvanomètre);

Annales de Wiedemann, t. XX. p. 87; 1883 (1).

Weber a donné deux

procédés

de mesures absolues de résis-

tances. Il

emploie

un

galvanomètre

dont le cadre est à

larges spires

dans le

premier

cas, il est

plus petit

dans le second. Ce dernier a été

employé

à l’observatoire de

Gotdngue

à la détermination ab- solue de l’unité en mercure,. Il est

susceptible

de

quelques perfec-

tionnements.

Dans la forine

originale

si l’on

appelé

F la surface d’une

spire

de

l’inducteur;

H la

composante

horizontale

magnétique

terrestre ; h le moment d’inertie de

l’aiguille;

t la durée de

l’oscillation ;

z son décrément

logarithmique;

CI. la déviation obtenue par un courant

d’induction,

(1) Extrait par M. A. BUGUET.

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