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Planifier le programme conformément aux besoins actuels et futurs en santé mentale

dans d’autres secteurs ou au chômage

Étape 1 Planifier le programme conformément aux besoins actuels et futurs en santé mentale

Objectif : Collecter des données relatives à la situation et aux besoins en santé mentale de la population, ceci servant de base à une prise de décision rationnelle. Ceci assurera que les besoins présents et futures soient un facteur clé dans la détermination du conte-nu du programme. Ces données peuvent être collectées conjointement avec la politique de santé mentale et la planification des services (voir les modules Planification et bud-gétisation pour l’offre de services de santé mentale et Politiques, plans et programmes de santé mentale). Une seule enquête peut parfois couvrir l’évaluation des besoins pour plusieurs institutions ou régions au sein d’un pays, ou même pour l’ensemble du pays.

Ceci dépend de l’échelle du pays et de la diversité au sein de celui-ci.

Tâches :

Identifier les sources de données.

Préparer un plan de collecte des données (qui, où, quand), ou coordonner une enquê-te avec des programmes de planification des services. (voir le module Planification et budgétisation)

Développer et administrer une enquête si cela s’avère adéquat.

Si une enquête ne peut pas être réalisée, collecter les informations disponibles auprès d’experts et de planificateurs au sujet des besoins prioritaires en santé mentale dans le pays et de la manière dont ceux-ci doivent contribuer à l’élaboration des program-mes.

Collecter les informations et tirer des conclusions.

Commentaires :

Ces données fournissent des preuves permettant de convaincre autrui que les réfor-mes sont nécessaires.

Les sources de données peuvent être qualitatives ou quantitatives et peuvent utiliser des données démographiques ou épidémiologiques. Les méthodes peuvent être par exemple des enquêtes et des entretiens auprès des agents de santé mentale, d’autres prestataires de soins, d’enseignants et d’usagers de services.

Certaines données peuvent être difficile à obtenir et il peut être nécessaire d’examiner différentes sources et différents types de données.

Signes de progrès :

Les données de base ont été collectées et des conclusions ont été tirées.

Exemple : En Slovénie, cette approche a été adoptée dans le cadre d’un projet pilote dans le sud-ouest du pays. Des données ont été collectées au sujet de la situation épidémiolo-gique et des services de santé mentale dans cette région ayant 24 000 habitants. On se propose de mettre en œuvre les résultats de cette recherche dans les institutions de forma-tion. Cette action devant être conduite par le gouvernement, les rapports seront envoyés au Conseil national de la santé mentale, lequel comprend également un représentant du Ministère de l’Éducation. Cette personne sera responsable du transfert des résultats de l’enquête aux institutions de formation (Vesna Svab, communication personnelle).

Étape 2 : Consulter touts les intervenants

Objectif : Collaborer avec les autorités de santé locales, les groupes professionnels, les organisations communautaires, les groupes de familles, les usagers des services, les organisations de sensibilisation et les donateurs étrangers. Les institutions de formation en santé mentale doivent rester pertinentes et en contact avec les besoins des communautés pour ce qui est du personnel formé en santé mentale.

Tâches :

Identifier les personnes et les organisations de la communauté avec lesquelles il convient d’établir des liens de coopération.

Partager avec ces groupes les informations au sujet des activités actuelles et prévues de l’institution de formation.

Encourager des accords de coopération.

Commentaires :

Indiquer quels types et combien d’agents de santé mentale formés peuvent travailler dans la communauté.

Se renseigner sur les activités actuelles ou prévues dans la communauté auxquelles l’institution de formation peut s’associer.

Développer un esprit de coopération et de soutien mutuel.

Se préparer à rencontrer des résistances et des avis contradictoires parmi les diffé-rents intervenants.

Signes de progrès :

Des débats sont lancés et poursuivis au sujet du lien entre l’institution de formation et les autres organisations du secteur de la santé et de la communauté au sens large.

Des membres de la faculté de santé mentale participent à des comités d’autres grou-pes au sein du secteur de la santé mentale et de la communauté au sens large. Ceci permet de renforcer les liens entre les différents secteurs impliqués dans la formation en santé mentale.

Étape 3 : Développer un profil du « futur agent de santé mentale »

Objectif : Déterminer les caractéristiques essentielles du « futur agent de santé mentale », qu’il s’agisse d’une infirmière en santé mentale, d’une infirmière en soins de santé primai-res, d’un psychiatre, d’un psychologue, d’un travailleur social, d’un ergothérapeute ou d’un médecin généraliste. Ceci peut être déterminé à l’aide des informations collectées jusqu’à présent, en accord avec les exigences de la politique et des plans de santé mentale.

Par exemple, un tel agent de santé mentale peut devoir remplir différentes fonctions, y compris prestataire de soins, preneur de décisions, agent de communication, dirigeant communautaire et gestionnaire (Boelen et al., 1995).

Les caractéristiques spécifiques de l’agent de santé mentale dépend également de son niveau de spécialisation. Trop souvent, les agents de santé mentale sont formés au sein d’institutions spécialisées et gèrent des personnes atteintes de troubles graves en utilisant des médicaments. Plus tard, ils se retrouvent souvent dans des milieux de soins primaires dans lesquels la plupart des troubles sont légers et les médicaments ne sont pas toujours nécessaires. Dans ce contexte, il est extrêmement important de faire une distinction ente un agent de santé mentale spécialisé et un agent de santé mentale primaire.

Tâches :

Après avoir identifié les besoins en santé mentale de la population (étape 1), identifier quels aspects de ces besoins seront sous la responsabilités de quels agents de santé mentale, que ce soit du point de vue de la prévention, de la promotion de la santé ou des soins curatifs. Ceci doit également se fonder sur l’évaluation des besoins réalisée précédemment dans ce module.

Assurer au cours du développement du programme que le « produit fini » ou « futur agent de santé mentale » aura acquis les connaissances, aptitudes et attitudes requi-ses pour prendre les responsabilités qui ont été nouvellement identifiées. Ces respon-sabilités seront au cœur du profil du « futur agent de santé mentale ».

Ceci peut nécessiter un dialogue avec d’autres institutions de formation au sujet des relations entre les groupes professionnels et de leurs rôles respectifs dans la

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niture de soins de santé mentale (p. ex. infirmières en soins primaires et infirmières en santé mentale, infirmières et médecins, psychiatres et psychologues, travailleurs sociaux et ergothérapeutes). Ceci peut également nécessiter un dialogue avec des institutions de formations d’autres professionnels tels qu’agents de police, ensei-gnants et personnel des prisons.

Commentaires :

En définissant le produit fini, les institutions de formation peuvent déterminer com-ment orienter les étudiants à l’aide du programme pour qu’ils deviennent de futurs agents de santé mentale.

La définition du futur agent de santé mentale doit être exprimée en termes de compor-tement (p. ex. « L’infirmière en soins de santé primaires doit être capable de… »).

Les apports pour cette tâche doivent provenir d’un groupe représentatif d’ensei-gnants, d’agents de santé mentale et d’usagers des services.

Signes de progrès :

Un profil du « futur agent de santé mentale » basé sur le comportement a été élaboré.

Exemple : Au Royaume-Uni, le Capable Practitioner Framework fournit une liste d’ap-titudes requises du praticien pour mettre en œuvre le National Service Framework for Mental Health. Ce cadre couvre cinq domaines : pratique éthique, connaissances en santé mentale et connaissance des services de santé mentale, processus de soins (y compris communication efficace et partenariats), interventions fondées sur des preuves, application de celles-ci à des milieux de services spécifiques. Ce cadre de compétences est destiné à être utilisé par les organes professionnels et les autorités pour cartographier des profils basés sur les compétences et devant être atteints pour chaque discipline du personnel. Il sert également de guide pour les organisations d’éducation et de formation pour ce qui est de l’éducation et de la formation requises aux niveaux pré- et post-diplôme (The Sainsbury Centre for Mental Health, 2001).

Étape 4a : S’il n’y a aucun programme existant, obtenir et adapter un programme de santé mentale adéquat

Objectif : Obtenir un programme de santé mentale pertinent, pouvant être utilisé ou adapté pour répondre aux compétences nécessaires en santé mentale, telles qu’elles ont été défi-nies dans l’évaluation des besoins. Des exemples sont fournis à l’annexe 1 de ce module.

Tâches :

Identifier les professionnels de santé devant suivre une formation et les compétences devant être transmises.

Identifier les composants du programme pouvant être utilisés pour répondre à ces besoins.

Identifier les méthodes d’enseignement de ces compétences (p. ex. séminaires, jeux de rôles et/ou vidéos).

Commentaires :

Dans certains cas, un programme disponible devra être modifié quelque peu pour répondre aux réalités spécifiques locales, régionales ou nationales. Par exemple, si la clozapine n’est pas disponible, il est superflu d’enseigner en détail la manière de l’utiliser. Si des mythes spécifiques sur les causes ou le traitement des maladies mentales sont fréquents dans la région, ceux-ci doivent être inclus dans le programme.

Signes de progrès :

Le programme a été obtenu et les modifications éventuellement nécessaires ont été fai-tes.

Étape 4b : S’il y a déjà un programme, évaluer son utilité

Objectif : Déterminer quelles parties du programme actuel de formation (contenu et méthodes) seront les mieux adaptées à la formation du « futur agent de santé mentale » et quelles parties devront être modifiées.

Tâches :

Répondre aux questions suivantes :

À la lumière du besoin de produire un futur agent de santé mentale, quelles sont les parties du programme existant qui doivent rester inchangées ?

Quels sont les aspects du programme qui sont acceptables mais susceptibles d’amé-lioration ?

Quels sont les aspects du programme actuel inadéquats et devant être modifiés ? Par exemple, le lieu de formation est-il adéquat ? Bien souvent, les infirmières et médecins généralistes sont formés au sujet de la santé mentale dans des hôpitaux psychiatri-ques plutôt que dans des clinipsychiatri-ques communautaires.

Commentaires :

Dans certains cas, une approche radicale peut être nécessaire et il se peut que le programme actuel doive être entièrement remanié. Par exemple, un programme tradi-tionnel peut devoir être remplacé entièrement par un nouveau programme centré sur les problématiques, multidisciplinaire et basé sur les compétences.

Dans d’autres cas, il se peut qu’on doive définir des priorités et modifier pas à pas le programme existant en se basant sur ce qui est faisable.

Cette analyse doit être réalisée par un groupe représentant la faculté, les agents de santé mentale, les gestionnaires de services de santé mentale et les étudiants, avec un apport consultatif des usagers des services et d’autres organisations communau-taires pertinentes.

Il peut y avoir des conflits au sein du groupe pour ce qui est de quels aspects du programme doivent être maintenus et lesquels doivent être supprimés. Le fait de modifier le contenu d’un programme peut avoir pour effet que le personnel existant se sent dévalué ainsi que son matériel d’enseignement. Une telle situation doit être gérée avec tact et fermeté.

Signes de progrès :

Le programme actuel a été révisé et des suggestions de modification du contenu et de la méthode ont été faites.

Encadré A2.1. Exemple : Compétences clés dans un programme de santé men-tale destiné aux médecins et infirmières en soins primaires

Les compétences clés en santé mentale en milieu de soins primaires sont notamment (OMS, 1990) :

Évaluation

Conduite d’un entretien

Techniques de base de conseil fondées sur les preuves (y compris écoute, réflexion, empathie et développement d’une relation thérapeutique de soutien)

Diagnostic

Traitement des cas adéquats

Recours aux niveaux secondaire et tertiaire pour les cas complexes Éducation des usagers de services au sujet de la santé mentale

La recherche a montré que les médecins en milieu de soins primaires qui utilisent un style d’entretien « ouvert » plutôt que « fermé », qui savent faire des commentaires positifs et utiliser des questions qui explorent les problèmes psychologiques sont plus susceptibles

d’évaluer avec exactitude les troubles mentaux (Goldberg & Huxley, 1992). Le style « ouvert » (p. ex. « parlez-moi de cette douleur ») permet à l’usager du service de s’exprimer librement tandis qu’un style « fermé » (p. ex. « est-ce que cette douleur vous réveille la nuit ? ») limite la gamme de réponses possibles. La formation dans les facultés de médecine et les écoles d’infirmières doit donc comprendre une réaction aux performances en entretien afin que les étudiants acquièrent les aptitudes en communication correspondantes. Les enseignants ayant des compétences en santé mentale doivent fournir aux étudiants une expérience pratique d’entretiens avec les usagers des services (Goldberg & Gater, 1996).

Étape 5a : S’il n’y a aucun système existant pour l’évaluation des étudiants, déve-lopper ou adapter un système d’évaluation adéquat

Objectif : Créer un système d’évaluation des étudiants qui mesure les résultats souhaités de la formation, si nécessaire en adaptant les programmes d’autres milieux.

Tâches :

Assurer la réalisation de tests pré- et post-formation.

Assurer la réalisation de tests de suivi (six mois après la formation).

Assurer la réalisation d’un audit de pratique sur l’utilisation des outils cliniques. Un audit clinique sur l’utilisation du matériel de formation est une bonne manière d’éva-luer l’impact de la formation sur les activités cliniques réelles.

Commentaires :

Par exemple, chaque module de formation peut être précédé et suivi d’une évaluation écrite des informations présentées dans le module. L’évaluation écrite peut être répétée ultérieu-rement (p. ex. six mois plus tard) pour déterminer si les nouvelles connaissances ont été retenues. En outre, le programme peut contenir des outils cliniques pertinents censés être utilisés au quotidien par divers professionnels de santé dans les soins cliniques. En reliant les évaluations écrites à des audits de pratique, cette approche fournit un système d’éva-luation étroitement lié à la pratique quotidienne des soins cliniques et qui devrait pouvoir être bien accepté par les praticiens.

Signes de progrès :

Le système d’évaluation est en place et les tests de suivi ainsi que les audits de pratique ont lieu.

Étape 5b : S’il y a déjà un système d’évaluation des étudiants, l’évaluer

Objectif : Déterminer quelles sont les parties du système d’évaluation des étudiants exis-tant pouvant être utilisées pour évaluer les connaissances, les aptitudes et les attitudes du

« futur agent de santé mentale » et quelles sont les parties devant être adaptées.

Tâches :

Répondre aux questions suivantes :

> À la lumière du besoin de produire un futur agent de santé mentale, quelles sont les aspects du système actuel d’évaluation qui sont adéquats et doivent rester inchangés ?

> Quels sont les aspects du système actuel d’évaluation qui sont acceptables mais sus-ceptibles d’amélioration ?

> Quels sont les aspects du système actuel d’évaluation inadéquats et devant être modi-fiés ?

Commentaires :

Le système d’évaluation des étudiants étant le principal déterminant de ce sur quoi ils concentreront leurs efforts, ce système représente un élément essentiel qui façonne le futur agent de santé mentale.

Les tendances récentes en évaluation mettent l’accent sur :

– une approche basée sur les résultats, à travers laquelle les étudiants sont évalués en fonction de ce qu’ils devront faire après obtention de leur diplôme ;

– une évaluation continue, les étudiants étant évalués tout au long de la formation à l’aide de différentes méthodes, et non par un seul examen écrit en fin de formation.

Dans cette approche, les résultats sont mesurés par une évaluation continue, dont les méthodes et les contenus se basent sur les résultats souhaités.

Signes de progrès :

Le système actuel d’évaluation des étudiants est révisé et des suggestions sont faites pour sa modification.

Étape 6a : S’il n’y a ni faculté ni personnel en place, créer une faculté viable en utilisant un modèle de groupe de formation adéquat

Objectif : Créer une faculté viable en utilisant un groupe de formation. Dans l’idéal, ce groupe sera multidisciplinaire, comprenant des professionnels de santé aussi bien du sec-teur de la santé mentale que des soins primaires (psychiatres, médecins en soins primaires, infirmières en santé mentale, infirmières communautaires, travailleurs sociaux et psycholo-gues). Il peut être composé de 6 à 8 personnes ayant fait preuve de bonne aptitudes clini-ques, jouissant du respect de leurs pairs en tant que cliniciens et ayant envie d’enseigner.

Autant que possible, certains membres du groupe seront liés à des institutions de santé (p.

ex. hôpitaux) ou d’éducation (p. ex. écoles communautaires) existantes, ou directement au Ministère de la Santé. Ceci permettra au groupe de formateurs d’être intégré au système de soins infirmiers et de fournir des réactions continues aux décideurs et aux planificateurs au sujet du statut du programme de formation et du besoin en autre formation.

Tâches :

Un groupe de formateurs doit être formé à dispenser le programme de formation.

Ce groupe doit être intégré au système de soins infirmiers.

Commentaires :

La formation du groupe de formateurs (GF) à dispenser le programme de formation en santé mentale est une opération qui demande beaucoup de temps. Les membres du GF doivent maîtriser le contenu des modules de formation, dont certains peuvent être nou-veaux pour eux. Il peut aussi y avoir différents ninou-veaux de compétences parmi les membres du GF, lesquels doivent être abordés au cours de la formation de ceux-ci. Les membres du GF devront apprendre à enseigner à d’autres professionnels du secteur de la santé et à faire preuve de ces compétences sous observation.

Signes de progrès :

Un groupe de formateurs a été formé et est intégré au système de santé.

Étape 6b : S’il y a déjà une faculté et du personnel, les contrôler

Objectif : Contrôler la capacité de la faculté existante et du personnel à former le « futur agent de santé mentale ». Ceci implique de déterminer quels autres membres du person-nels ou membres supplémentaires sont nécessaires pour former le futur agent de santé mentale qui répondra aux besoins de la population.

Tâches :

Contrôler les compétences actuelles et potentielles de la faculté et du personnel actuels afin de déterminer s’ils ont les qualités nécessaires pour former les futurs agents de santé mentale.

Commentaires :

Les futurs agents de santé mentale peuvent avoir besoin d’enseignants et de super-viseurs qui ne sont pas disponibles actuellement au sein de la faculté de l’institution de formation.

Si tel est le cas, la faculté existante devra suivre une formation pour remplir ce rôle, ou il faudra chercher à recruter des agents de santé mentale communautaires (dans le secteur public ou privé) pour dispenser cet enseignement et cette supervision.

Signes de progrès :

Les lacunes de la faculté et du personnel actuels sont résolues et l’institution de formation est à même de former les futurs agents de santé mentale.

Étape 7 : Évaluer les structures organisationnelles et le système de récompenses Objectif : Déterminer si l’organisation et le système de récompenses actuels peuvent assu-rer les transformations nécessaires au niveau du programme, de l’évaluation et de la faculté de sorte que les futurs agents de santé mentale puissent être formés.

Tâches :

Identifier la structure de l’organisation en utilisant un organigramme.

Identifier comment les décisions sont prises et quels sont les principaux centres de pouvoir au sein de l’organisation.

Évaluer si l’organisation actuelle récompense les transformations et les améliorations dans la formation des futurs agents de santé mentale.

Commentaires :

La structure organisationnelle doit permettre un flux optimal d’idées, des activités et des récompenses pour le personnel qui contribue aux transformations destinées à former les futurs agents de santé mentale.

La structure organisationnelle doit permettre un flux optimal d’idées, des activités et des récompenses pour le personnel qui contribue aux transformations destinées à former les futurs agents de santé mentale.