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Nouvelles technologies de l’information et de la communication

PARTIE III : POUR UN MEILLEUR SYSTÈME DE PORTE-PAROLAT EN CHINE

3.2 Propositions pour un meilleur porte-parolat en Chine

3.2.8 Nouvelles technologies de l’information et de la communication

Internet est un enjeu de communication de premier plan pour les responsables publics. Il devient aussi un outil particulièrement efficace et se développe rapidement pour le porte-parolat. Par exemple, au Quai d’Orsay, plus d’un quart du personnel de la sous-direction du porte-parolat travaillent dans un pôle Internet chargé de l’architecture du Site « France.diplomatie » et de son actualisation. Les nouvelles technologies sont mises à contribution pour que les messages du porte-parole soient repris et relayés par les journalistes, ou reçus directement par les grands publics. On y développe des outils de réseau social sur Internet comme Twitter qui compte déjà plus de 37 000 abonnés et 200 à 300 abonnés de plus chaque jour. Le porte-parole envoie chaque jour 3 à 4 messages brefs sur l’actualité internationale brûlante comme les alertes aux voyages. Le flux media RSS est aussi largement utilisé afin de diffuser en direct la conférence de presse ou les

activités du Ministre en vidéo, en image, et ce toujours dans le souci d’atteindre plus vite et plus fort le plus grand nombre de publics possibles.

Les mêmes pratiques sont également constatées dans certains ministères chinois. L’installation de porte-parolat virtuel, très appréciée par les internautes, est vouée à se développer davantage. La globalisation des nouvelles technologies comme la messagerie instantanée, les sites communautaires et RSS facilite les échanges jusqu’au point le plus reculé du pays. L’introduction massive d’Internet a énormément changé la nature et la forme du travail : le rythme est plus élevé, le message circule plus facilement et l’impact devient plus important.

„ Conclusion partielle

Le développement du système de porte-parolat dans les institutions publiques chinoises est considérable en si peu de temps. Les changements interviennent plus vite que l’on puisse imaginer, mais les problèmes et les défis restent multiples. On constate notamment un dispositif juridique à combler, la persistance de certaines pratiques défavorables dans la gestion des affaires publiques, la formation des porte-parole qui laisse encore à désirer, une communication parfois incomplète sur le fond comme sur la forme, une communication de crise à beaucoup améliorer et la réforme administrative à approfondir. Tous ces volets conditionnent l’efficacité et la pérennité de ce système, mais aussi la confiance des publics et des médias à l’égard du gouvernement, ainsi que son image, ses capacités de gouvernance et l’adhésion du peuple aux politiques publiques.

Malgré son périmètre d’action et son impact sans cesse croissants, le système de porte-parolat ne pourrait mieux se développer si on ne sait pas apporter des réponses concrètes aux problèmes constatés dans les différents domaines. Il convient donc de poursuivre le changement de la mentalité, d’améliorer la législation concernée, d’approfondir la réforme administrative, de mieux communiquer en cas de crise, d’intensifier la professionnalisation des porte-parole, de veiller au langage employé et de tirer pleinement parti des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Ainsi, par une compréhension approfondie des médias, une organisation bien pensée du porte-parolat et une interaction dynamique avec les journalistes et le grand public, les porte-parole ne manqueront pas d’outils pour améliorer leur communication publique.

CONCLUSION GÉNÉRALE

Dans le monde, s’il y a un pays qui compte le plus d’informations échangées quotidiennement, ce serait peut-être la Chine. Tout simplement, conduire 1,3 milliards d’habitants à réaliser, avec des ressources limitées, un développement économique et un progrès social spectaculaires pendant plus de 30 ans d’affilé à un taux de croissance à deux chiffres, sur un vaste territoire et dans la stabilité et la paix, c’est jusqu’ici sans précédent dans l’histoire humaine. Les changements s’y opèrent à un rythme effréné, souvent sur une très grande échelle. La population augmente chaque année de 20 millions, deux fois la population de la République tchèque ; on y compte plus de 85 millions d’handicapés, plus que la population française ; avec une croissance d’un pourcent par an du taux d’urbanisation, une zone urbaine grande comme Paris voit le jour tous les mois en Chine. Pour parer aux répartitions irrationnelles des ressources naturelles, on est obligé de construire des milliers de kilomètres de gazoduc et d’oléoduc pour acheminer le gaz et le pétrole d’est en ouest, et des milliers de kilomètres de canaux pour dériver l’eau du sud vers le nord du pays. Souvent, on est appelé à affronter à la fois la sécheresse exceptionnelle et les inondations d’une violence rarissime, sans compter les tremblements de terre et les accidents de toutes sortes. Avec 9% de la terre arable du monde, la Chine doit nourrir 21% de la population mondiale, qui, comme les autres populations de la planète, aspire légitimement à une vie toujours meilleure, comme à pouvoir correctement se loger, s’habiller, se déplacer, accéder aux soins, à l’éducation, à la sécurité sociale…

Le pays est en train de vivre un processus historique de construction d’une société de prospérité moyenne sur tous les plans. La transition sociale s’accompagne de la restructuration économique et de la réforme politique. C’est aussi une période où divers intérêts s’affrontent et où les contradictions se succèdent. Ce n’est donc pas anormal d’assister à l’apparition d’un certain nombre de problèmes qui se posent du fait du développement, l’important étant de savoir comment le gouvernement les traite, avec quelle politique et dans quel esprit. Comme le Premier Ministre Wen a dit : « En Chine, il n’y a pas de petit problème, tout problème multiplié par 1,3 milliards serait énorme ; mais il n’y a non plus de difficulté insurmontable, si elle est divisé par 1,3 milliards (quand tout le monde met « la main à la pâte »). » Donc, le gouvernement ne peut être efficace dans ses actions qu’avec l’adhésion du peuple. Pour entraîner cette adhésion, le gouvernement doit communiquer avec le peuple, il doit non seulement se faire entendre et comprendre, mais

aussi connaître les besoins, les préoccupations de ce dernier, et tenir conseil auprès de ses administrés pour faire appel à la sagesse collective, parce que personne ne peut s’estimer infaillible.

L’administration et les médias cherchent à atteindre tous les deux le même destinataire : le grand public. D’une certaine manière, ces deux protagonistes sont interdépendants. Ils ont besoin l’un de l’autre pour une meilleure information du public. Pour l’administration, l’utilisation des médias comme voie de communication permet une réduction maximale des maillons de transmission de l’information et évite ainsi la déformation des données.

Dans le passé, les Chinois étaient très réticents, donc passifs à l’égard de la communication. D’abord, ils ne la connaissaient pas ; ensuite, elle n’était pas bien vue pour des raisons historiques et culturelles. Ce n’est qu’après avoir subi lourdement les conséquences de la non communication lors de quelques « fâcheux » événements que le gouvernement s’est rendu compte qu’il valait mieux être actif que passif pour une couverture médiatique qui aura lieu quoi qu’il arrive. Il convient de réinvestir le terrain, de corriger les informations erronées et lutter contre les désinformations et les rumeurs. Le gouvernement doit assumer cette responsabilité d’informer le public d’une manière aussi rapide, exacte, ouverte et transparente que possible.

La crise de SRAS a sans doute joué un rôle très important dans la progression de la Chine sur ce sujet, conduisant à l’initiation des réformes d’envergure. Dans sa marche vers un État de droit, le porte-parolat a pris un essor vers une communication plus transparente et plus efficace et les citoyens chinois apprennent à mieux s’informer.

Depuis, que de chemin est parcouru ! Avec le développement du système de porte-parolat en Chine, le gouvernement, qui était considéré comme profondément mystérieux, vivant dans de somptueux bâtiments aux cours spacieuses, est devenu aujourd’hui un gouvernement toujours prêt à serrer la main des journalistes, à parler aux publics, à écouter et à dialoguer. Renforcer et améliorer ce système, communiquer de manière pertinente et efficace pour un maximum d’impact médiatique, il s’agit là d’un angle d’attaque majeur pour perfectionner les capacités des autorités à gouverner, ce qui signifie que bien « porter paroles » est l’action même du gouvernement. Comme Nicolas Sarkozy l’explique à l’Express le 17 novembre 2005 : « La communication est à l’action ce que l’aviation est à l’infanterie. L’aviation doit passer pour que l’infanterie puisse sortir ; c’est lorsqu’on a gagné la bataille de la communication qu’on peut agir. Il y a vingt-cinq ans, on

agissait puis on communiquait. À présent, tout a changé, c’est parce qu’on a communiqué et qu’on se fait comprendre qu’on peut agir. »

D’une part, le porte-parolat est un moyen efficace pour une information plus ouverte sur les activités gouvernementales. La prise de parole publique, activité assez subjective, reflète certainement la position du porte-parole, qui au-delà de l’information factuelle, cherche aussi à convaincre. Donc, tout en donnant de l’information, le porte-parole a aussi transmis au public de manière imperceptible sa position et ses points de vue à travers des paroles portées. À en juger par les pratiques des pays occidentaux, le système de porte-parolat, considéré comme source d’informations limitée, facilite les relations entre gouvernement, médias et publics, et sur cette base, oriente de manière impalpable l’opinion. Selon la théorie d’agenda setting, le gouvernement influence, par l’intermédiaire des porte-parole, la perception des priorités par les médias, et donc par la suite la hiérarchie des priorités pour le grand public. Recourir aux moyens de communication par le gouvernement pour établir les relations de compréhension mutuelle avec les publics et bénéficier ainsi de leur adhésion à l’action du gouvernement, c’est aussi un signe fort de sa capacité à gouverner efficacement. Les porte-parole sont aussi porteurs de l’image du gouvernement. L’impression qu’ils ont donnée aux publics restera celle de ces derniers à l’égard du gouvernement. Les porte-parole contribuent ainsi au façonnage de cette image.

D’autre part, la mise en place d’un système de porte-parolat permet d’assurer le droit à l’information du public. Avec le progrès de la démocratie moderne, le respect du droit à l’information est devenu un élément majeur dans le travail courant de l’administration. À travers l’adoption des textes juridiques relatifs à la liberté d’information, à l’administration transparente et à la mise en place du système de porte-parolat, ce droit du public est mieux assuré, et le gouvernement y a gagné en image et en confiance.

À ce stade de développement en Chine, les paroles du gouvernement sont relativement appréciées par les citoyens. Selon un sondage du centre de recherche américain PEW en 2008, 86% des Chinois sont contents de la situation actuelle du pays, 82%, de la santé économique, et 65%, satisfaits des capacités du gouvernement à gérer les grands dossiers36. Ces chiffres sont en constante augmentation par rapport aux précédentes enquêtes, et nettement supérieurs à ceux des États-Unis, de l’Allemagne ou du Japon.

36 http://pewglobal.org/2008/07/22/the-chinese-celebrate-their-roaring-economy-as-they-struggle-with-its-costs/, « The Chinese Celebrate Their Roaring Economy, As They Struggle With Its Costs», le 22 juillet 2008.

Bien sûr, il serait erroné de croire que la communication puisse suffire à elle seule, à rendre acceptable une action publique. Le contenu de cette action se doit d’être crédible. Par ailleurs, un nouveau système d’une telle envergure ne peut se faire en un jour, et a besoin du temps pour s’enraciner dans les pratiques quotidiennes et s’améliorer en phase avec les réalités du pays. Certes, le changement de mentalité ne se décrète pas, mais on doit s’atteler à construire au fur et à mesure une politique médiatique intelligente, une politique de communication moderne. Au cours de son développement en Chine, des problèmes ont été constatés. Il est donc très important pour le gouvernement de poursuivre les efforts pour que les erreurs de rodage ne deviennent pas systématiques, de finaliser les processus pour rendre le système plus normé, institutionnalisé et complet.

Les deux hypothèses du présent mémoire ont été démontrées et validées au fil du déroulement du texte afin de répondre à la problématique de départ. Le système de porte-parolat enregistre de réelles avancées dans la communication des institutions publiques chinoises. On ne peut cependant en faire un outil de communication plus efficace qu’en mieux relevant les défis pour une meilleure information du public. Pour les porte-parole, il faut lutter sans cesse contre la facilité. Les dérives éclaboussent la profession à mesure que la facilité l’envahit. Les États modernes sont certes plus puissants que leurs prédécesseurs, mais face aux nouvelles formes d’épreuves, ils réalisent souvent que les expériences du passé ne suffisent pas et qu’il faut sans cesse se procurer de nouveaux outils de gestion de crise, ou développer les anciens pour les adapter aux réalités du moment et à l’évolution du monde extérieur.

Le monde d’aujourd’hui est en profonde mutation, et des changements historiques se sont opérés dans les rapports entre la Chine et le reste du monde. Plus que jamais, leur destin est étroitement lié. La Chine ne peut se détacher du reste du monde pour se développer, et vice-versa. Les divers pays étant chaque jour davantage interdépendants, la Chine doit intensifier les contacts, la communication, l’intégration et la coopération avec la communauté internationale dans un esprit toujours plus ouvert.

Au cours de ces dernières années, des signes encourageants sont intervenus dans la perception de la Chine par les grands médias du monde. Du fait de son émergence pacifique, la Chine focalise davantage l’attention des étrangers, et on enregistre même une augmentation de 30 ou 40% du nombre de reportages pour certains médias. Toujours plus nombreux sont ceux qui essaient de présenter la Chine de manière objective dans toutes ses dimensions : politique, économique, sociale… et montrent un intérêt croissant pour une

connaissance plus complète, exhaustive et réelle du pays. Cependant, certains médias, ayant encore des partis pris ou des préjugés et malgré les déclarations chinoises, ne s’empêchent pas de recourir à des déformations pour induire le public en erreur, comme des accusations parfois systématiques contre la Chine sans savoir préalablement le fonds et le tréfonds des dossiers, l’utilisation des photos truquées, des vidéos tournées dans d’autres circonstances, des phrases déformées, coupées et sorties de leur contexte, etc. Certes, des excuses ou des mea-culpa ont été présentés après, mais le mal est déjà fait. « Cela fait 50 ans qu’on entend ce son de cloche, 50 ans qu’on ridiculise ce que la Chine en dit ou n’en dit pas. En fait, on ne veut pas connaître la position chinoise. » . 37

Pour bien comprendre le système de porte-parolat chinois, il n’est pas inutile d’appréhender l’état actuel de la société et les relations entre institutions et société en Chine. Pénétrer le royaume des people est aussi une clé d’entrée dans la psyché des Chinois, leurs préoccupations, leurs passions, leurs coups de cœur ou leurs coups de gueule pour mesurer dans quel contexte la société chinoise évolue. Cependant, l’univers des orientaux est bien différent de celui des occidentaux. Beaucoup de manifestations sociales auxquelles on s’attend – y compris devant la mort – ne sont pas semblables chez les uns et chez les autres. Les choses essentielles, comme le temps, la beauté, la politesse, ne sont que des quiproquos supplémentaires. Dans les esprits des occidentaux, trop souvent, la différence, faute d’être comprise, est rejetée. Elle est même interprétée comme une ruse. On part souvent à la découverte de l’inconnu avec un bagage de préconçus et de clichés, tantôt laudatifs et magnifiques à l'excès, tantôt critiques et péjoratifs sans mesure, ce qui montre que combien l’ouverture d’esprit est précieuse et sans limite.

Non seulement la fatalité n’existe pas dans la civilisation chinoise, mais on souhaite garder toujours bon espoir avec philosophie. Toute crise passée est un acquis précieux dont il faut tirer les leçons pour ensuite les valoriser dans la conscience et l’action, pour que l’administration chinoise soit mieux préparée aux crises de demain, aussi diversifiées, imprévisibles et complexes soient-elles. La communication constitue constamment un facteur d’ouverture et de rapprochement entre les idées et les peuples. Le système de porte-parolat permet de jeter une base solide de la communication dans les institutions publiques chinoises. Communiquer, c’est bien, et bien communiquer, c’est mieux. Ce n’est qu’ainsi qu’on pourra davantage contribuer à la construction d’une société harmonieuse en Chine, et à celle d’une paix durable et d’une prospérité commune dans le monde.

37 Jean-Paul DESIMPELAERE, « Un autre regard sur le Tibet », http://fr.radio86.com/la-societe-chinoise/jean-paul-desimpelaere-un-autre-regard-sur-le-tibet-deuxieme-partie, le 10 juin 2008.

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- Enquête sur la réaction du public au SRAS, menée par l’Université de Nankin et le Centre du sondage