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Figure 0. Représentation graphique de la courbe de fréquence fondamentale caractérisant l’implication dans le modèle de Delattre (1966). Le premier graphique illustre l’alignement de la courbe pour l’énoncé

« evidemment ». Le deuxième graphique présente la forme stylisée de la partie distinctive de la courbe qui s’étend entre les niveaux de registre 2 et 4.____________________________________________1 Figure 1. Exemples d’accents mélodiques (H*), accents de syntagmes (L-) et tons de frontières (H%, L%) dans l’analyse de Pierrehumbert. Emprunté à Pierrehumbert, 1980.___________________________26 Figure 2. Représentation schématique des dix intonations de base du français selon Pierre Delattre (1966)._________________________________________________________________________27 Figure 3. Les contours prosodiques et leurs attributs associés dans le modèle de J. Vaissière, 1980 (d’après Lacheret-Dujour & Beaugendre, 1999)__________________________________________31 Figure 4. Représentation phonologique de surface de l’emphase contrastive et des variantes assertive et continuative dans le modèle aixois (d’après Di Cristo & Hirst, 1996)__________________________34 Figure 5. La grammaire du syntagme intonatif proposée par B. Post (2000) et la représentation

phonologique des contours montant, descendant, montant-descendant (en caractère gras = équivalent de pi) et montant-descendant avec pic sur la pénultième. En italique, les éléments contrastifs. _________37 Figure 6. L’architecture modulaire du modèle genevois. Emprunté à Roulet et al. (2001). __________47 Figure 7. Les unités de base de l a structure hiérarchique (les parenthèses signalent les constituants facultatifs). Emprunté à Roulet et al. (2001)._____________________________________________49 Figure 8. Représentation du processus de négociation. Emprunté à Roulet et al. (2001).____________50 Figure 9. Exemple de co-énonciation mis en valeur par la structure hiérarchique_________________51 Figure 10. Extrait du corpus annoté montrant la synthèse des jugements des deux experts __________63 Figure 11. Etiquetage phonémique du corpus____________________________________________70 Figure 12. Etiquetage pour la localisation des différents contours intonatifs : l’étiquette est placée à la fin de la dernière syllabe de l’énoncé porteur du contour.___________________________________71 Figure 13. Exemple d’erreur de détection de la fréquence fondamentale________________________75 Figure 14. Exemple d’énoncé monosyllabique porteur de l’intonation d’implication _______________76 Figure 15. Exemple d’intonation d’implication prototypique avec le maximum de F0 clairement situé dans la moitié gauche du noyau syllabique ______________________________________________77 Figure 16. Exemple d’intonation d’implication prototypique avec le maximum de F0 clairement situé au milieu du noyau syllabique __________________________________________________________78 Figure 17. Contour identifié comme intonation d’implication à forme de contour continuatif (Ja9-pi1) et contour continuatif prototypique (Ja9-ct3) ______________________________________________79 Figure 18. Contour identifié comme intonation d’implication à forme de contour de finalité (AL3_Api1) et contour de finalité prototypique (AL3_t5) _____________________________________________80 Figure 19. Exemplaire de l’intonation d’implication inclus dans un vaste plateau intonatif couvrant cinq syllabes. ________________________________________________________________________80 Figure 20. Exemplaire de l’intonation d’implication présentant une courbe de fréquence fondamentale à inflexion inverse (descendante puis montante sur l’empan de la dernière syllabe) _________________81 Figure 21. Exemple d’intonation d’implication dont le maximum de fréquence fondamentale est aligné sur la syllabe pénultième ___________________________________________________________82 Figure 22. Box-plot représentant la distribution de la durée de la syllabe finale (dsyll en millisecondes, en ordonnées) en fonction du type de contour (piN, piY, ctY : en abscisse) ______________________87 Figure 23. Box-plot par locuteur de la durée de la syllabe finale (dsyll en millisecondes, en ordonnées) selon le type de contours (piN, piY, ctY : en abscisse) ______________________________________88

Figure 30. Continuum représentant le contraste entre l’intonation d’implication (rising-falling) et le contour continuatif (rising) d’après Post (1999)__________________________________________ 97 Figure 31. Patron moyen des contours piY, piN et ctY sur l’empan de la d ernière syllabe de l’unité de constituance normée temporellement.__________________________________________________ 98 Figure 32. Patron moyen des contours piY, piN et ctY sur l’empan du noyau syllabique de la dernière syllabe de l’unité de con stituance normée temporellement.__________________________________ 99 Figure 33. Exemple de contour continuatif présentant une portion de courbe descendante après le maximum de F0 _________________________________________________________________ 101 Figure 34. Placement de l’étiquette F0L1 lorsque la syllabe comporte une consonne sourde à l’attaque et de l’étiquette F0L2 au point d’intersection de la courbe de F0 avec l’étiquette correspondant à la limite droite du contour________________________________________________________________ 102 Figure 35. Placement de l’étiquette F0L1 lorsque la syllabe est entièrement voisée et de l’étiquette F0L2 au point correspondant au coude droit le plus proche de F0H ______________________________ 103 Figure 36. Box-plot représentant la distance temporelle entre le maximum de F0 et le début du noyau syllabique (dtHnoy en millisecondes en ordonnées) selon le type de contours (ctY, piN, piY : en absisse).

L’ordre des contours est choisi de manière à ce que soit visible le caractère ordonné des résultats. __ 104 Figure 37. Box-plot par locuteur de la distance temporelle entre le maximum de F0 et le début du noyau syllabique selon le type de contours __________________________________________________ 105 Figure 38. Box-plot représentant la hauteur atteinte par le point F0L1 (en Hz, axe des ordonnées) en fonction du type de contour (ctY, piN et piY : en abscisse)._________________________________ 106 Figure 39. Box-plot par locuteur de la hauteur atteinte par F0L1 selon le type de contours ________ 107 Figure 40. Box-plot représentant la hauteur atteinte par le point F0L2 (en Hz, axe des ordonnées) en fonction du type de contour (ctY, piN et piY : en abscisse)._________________________________ 108 Figure 41. Box-plot par locuteur de la hauteur atteinte par F0L2 selon le type de contour_________ 109 Figure 42. Structure hiérarchique textuelle d’un extrait de notre corpus (tour de parole YS5) ______ 117 Figure 43. Transcription orthographique brute de l’extrait du tour de parole YS5 illustré par la figure 42 _____________________________________________________________________________ 118 Figure 44. Un exemple d’effet argumentatif avec ses différentes marques______________________ 125 Figure 45. Une séquence descriptive (a) et une séquence narrative (b) exemptes d’intonation

d’implication ___________________________________________________________________ 126 Figure 46. Exemple de pi associés à des relations interactives génériques de préalable chez le locuteur BE (tour BE2) __________________________________________________________________ 128 Figure 47. Représentation praxéologique d’un débat radiophonique _________________________ 130 Figure 48. Cadre actionnel du corpus La suite dans les idées_______________________________ 131 Figure 49. Cadre interactionnel du débat radiophonique qui constitue notre corpus _____________ 132 Figure 50. . Exemple de question rhétorique extraite du tour AL3 dû à un invité débattant _________ 133 Figure 51. Exemple de rupture de la règle interactionnelle provoquée par une question directe du locuteur AL ____________________________________________________________________ 134 Figure 52. Exemple d’énoncé préalable à fonction d’introduction et porteur de l’intonation d’implication.

Tiré du tour YS5 ________________________________________________________________ 137 Figure 53. Exemple d’énoncé porteur de l’intonation d’implication à fonction de conclusion

réinterprétative. Tour de parole YS2. _________________________________________________ 139 Figure 54. . Exemple de commentaire porteur de l’intonation d’implication. Tour Jb1 ____________ 140 Figure 55. Explication porteuse de l’intonation d’implication et de la connotation d’évidence polémique qui l’accompagne (Tour BE1) ______________________________________________________ 141 Figure 56. Deux exemples d’épisodes polémiques à pi où les propos d’un adversaire présent et que l’on nomme sont rapportés et réinterprétés ________________________________________________ 143 Figure 57. . Episode polémique à pi ou YS nomme et et met en cause AL. Tour YS2 ______________ 144 Figure 58. Episode polémique à pi avec mise en cause d’un adversaire absent. Tour YS5. _________ 144 Figure 59. Exemple d’épisode polémique à pi où l’adversaire mis en cause n’est pas identifiable.

L’episode utilise aussi une structure alternative « ce n’est pas…/c’est… » _____________________ 145 Figure 60. Episode polémique à pi sans adversaire identifiable utilisant l’inférence sur une question virtuelle (tour AL3) ______________________________________________________________ 146 Figure 61. Deux exemples d’épisodes polémiques à pi utilisant l’échange représenté avec Q/RE. Tour YS4.__________________________________________________________________________ 147 Figure 62. Episode polémique où l’intonation d’implication accompagne une structure contrastive « ce n’est pas…/c’est… » _____________________________________________________________ 148 Figure 63. Variante de la structure contrastive « ce n’est pas…/c’est… » dont chaque énoncé membre porte une intonation d’implication ___________________________________________________ 149

Figure 64. Positionnement de quatre contours intonatifs du français sur un continuum d’alignement : deux contours montants-descendants (avec pic sur la pénultième=2 et avec pic sur la dernière syllabe=3) émergeant dans l’espace laissé vacant par les contours de base : descendant (1) et montant (4). ____160 Figure 65. Lien entre la nature compositionnelle de l’intonation d’implication (3) et du contour avec pic sur la pénultième (2) avec leur émergence au sein d’un continuum d’alignement entre les contours descendants (1) et montants (4). _____________________________________________________168 Figure 66. Représentation schématique de la sémantique des contours finals du français selon Marandin et collègues (emprunté à Marandin et al., 1994) _________________________________________170 Figure 67. Echange illustrant la différence sémantique entre les contours montants produits par le locuteur B(4-1 en gras) et les contours montants-descendants produits par le locuteur A (1-4 et 1-3 en gras) _________________________________________________________________________171 Figure 68. Représentation schématique de la version modifiée que nous proposo ns de la sémantique des contours finals du français proposée par Marandin et collègues_____________________________172