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Les facteurs favorables et les limites au partenariat dans l’intervention en soutien au

CHAPITRE 4 LA DISCUSSION

4.7 Les facteurs favorables et les limites au partenariat dans l’intervention en soutien au

Comme nous l’avons vu précédemment, l’INSPQ (2002) inspirée de Gagnon et Klein (1991), proposent une série de facteurs favorables au partenariat dans l’intervention en soutien au développement des communautés. La démarche de recherche nous permet de bonifier cette liste grâce aux perceptions des répondants au sujet des principaux facteurs favorables dans

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l’intervention. La présente section permet de dresser la liste des facteurs identifiés par les participants. Afin de présenter les idées proposées par les participants, nous retenons la proposition de Savard, Turcotte et Baudoin (2004) qui catégorisent les facteurs retenus selon leur caractère personnel ou organisationnel.

Tableau 6. Les facteurs favorables au partenariat

Les entrevues menées auprès des répondants ont également permis d’identifier certaines limites au travail en partenariat dans l’intervention en soutien au développement des communautés. Ces limites sont les suivantes :

 Absentéisme ou désengagement d’un partenaire

FACTEURS PERSONNELS FACTEURS ORGANISATIONNELS

1) Attitudes privilégiées : ouverture, respect, écoute, reconnaissance de l’expertise et des compétences, motivation.

2) Compétences du leader de la démarche :  Capacité de mobilisation

 Expertise en animation de rencontre et coordination de projets

 Centré sur la tâche

 Bonne connaissance des enjeux entourant les interventions et capacité de les vulgariser au groupe

3) Partage de valeurs et d’intérêts communs

4) Partenaires qui s’impliquent dans la relation de façon volontaire

1) Structure claire qui est convenue dès le départ par l’ensemble des participants et qui contient les éléments suivants :

 objectifs communs modes de communication et fréquence convenus  Entente sur les moyens à mettre en place

pour atteindre les objectifs

2) Connaissance des attentes et des limites de chacun

3) Présence d’un leader qui assure la coordination de la démarche.

 Le leader doit être issu d’une organisation qui croit en la démarche et qui a les ressources suffisantes pour assurer son accompagnement

4) Stabilité des ressources humaines impliquées dans la démarche

5) Présence d’expertise complémentaire chez les partenaires et reconnaissance des compétences de chacun

6) Climat d’entraide, d’ouverture et de soutien mutuel

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 Contexte de rigueur budgétaire et ses conséquences sur l’essoufflement des partenaires et leur capacité à assurer les mandats octroyés

 Fermeture du milieu face à l’intégration des différents acteurs dans la démarche.

 Manque d’ouverture aux points de vue divergents

Les facteurs favorables et limites au travail en partenariat dans l’intervention en développement des communautés identifiés par les partenaires font sens avec ceux proposés par l’INSPQ (2002) et permettent de préciser certains éléments. Cette liste s’avère à notre avis pertinente pour les relations de partenariat établies par les professionnels qui travaillent ou seront appelés à travailler en soutien au développement des communautés.

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CONCLUSION

Depuis le milieu des années 1980, on assiste à une redéfinition des rapports entre l’État et le tiers secteur. La notion de tiers secteur réfère ici à l’ensemble des organismes communautaires, des associations bénévoles, des entreprises d’économie sociale. En matière de santé et de services sociaux, cette redéfinition passe notamment par une plus grande implication des organismes du tiers secteur fondée sur le partenariat. Dans une perspective de partage des responsabilités, l’État sollicite le tiers secteur et les autres acteurs de la société civile (familles, secteur privé) à occuper une place grandissante dans l’offre de services (Proulx et Savard, 2012). La démarche de recherche souhaitait réfléchir aux relations de partenariat établies entre l’État et le tiers secteur dans le contexte social actuel. L’objectif poursuivi était de développer une compréhension accrue de la façon dont s’articulent les relations de partenariat entre l’État et le tiers secteur au Québec en vue notamment d’outiller les intervenants qui sont appelés à travailler dans ce type de relation. Afin d’approfondir l’objet d’étude, la démarche de recherche s’est orientée vers un contexte de pratique propice au partenariat État-tiers secteur soit l’intervention en soutien au développement des communautés. Ainsi, le mémoire de maîtrise souhaitait répondre à la question suivante : de quelle façon s’articulent les relations de partenariat entre l’État et le tiers secteur dans l’intervention en soutien au développement des communautés?

Retour sur les principales étapes de la démarche de recherche

La problématique permet de dresser un portait des connaissances actuelles sur l’objet d’étude. D’abord, un regard porté sur l’historique des rapports État-tiers secteur démontre que les liens entre les deux parties se sont intensifiés au milieu des années 1980, passant notamment par une plus grande reconnaissance du tiers secteur et de son apport dans le système de santé et services sociaux. On observe que cette tendance se poursuit dans les décennies suivantes (Jetté, 2008; Proulx et Savard, 2012). Ensuite, la recension des principaux écrits sur le sujet du partenariat État-tiers secteur met en évidence deux courants de pensée majeurs chez les auteurs consultés. En effet, le partenariat est perçu d’un côté comme un moyen de contrôle social utilisé par l’État envers le tiers secteur et, d’un autre côté, comme une occasion à saisir

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pour le tiers secteur en vue d’une gestion plus démocratique (René et Gervais, 2001). Les écrits consultés permettent également d’identifier les différentes typologies portant sur le partenariat État-tiers secteur développées au Québec et dans le monde. Parmi celles-ci, la typologie de Coston (1998), adaptée au contexte québécois par Proulx, Bourque et Savard (2005) est retenue afin de bâtir le cadre conceptuel de la démarche de recherche. Le cadre conceptuel développé est également composé d’une définition du partenariat, qui permet de distinguer ce concept de celui de la concertation. Par la suite, la notion de dynamique paradoxale des relations de concertation et de partenariat est retenue afin d’approfondir notre compréhension de l’objet d’étude. Ce cadre d’analyse a par la suite été utilisé pour bâtir le canevas d’entrevue en vue de procéder à la collecte de données.

Afin de répondre à la question générale de recherche et aux objectifs poursuivis, certaines orientations méthodologiques ont été retenues. Ainsi, la recherche qualitative a été privilégiée comme méthode de collecte de données. Plus précisément, une étude de cas a été effectuée, permettant alors d’examiner en profondeur une initiative de développement des communautés survenue au Québec. Des entrevues semi-dirigées ainsi que des périodes d’observation ont eu lieu auprès de six répondants issus du cas à l’étude. La collecte de données ainsi effectuée a fourni des résultats permettant l’analyse de la relation de partenariat entre l’État et les organismes du tiers secteur impliqués dans le cas étudié.

Les résultats obtenus ont d’abord permis de dresser un portrait du cas à l’étude. Ce portrait révèle notamment que la plupart des partenaires issus de la démarche de développement des communautés sont liés par un historique de travail en collaboration. Les données recueillies démontrent également que, pour les répondants rencontrés, une intervention en soutien au développement des communautés efficace est caractérisée par deux composantes essentielles que sont la concertation et le partenariat ainsi que la participation des acteurs concernés. Aussi, les périodes d’entrevues et d’observation ont permis d’aborder les principales caractéristiques de la relation de partenariat étudiée selon les quatre dimensions de la typologie de Coston (1998), adaptée au contexte québécois par Proulx, Bourque et Savard (2015). Les résultats démontrent que la relation est caractérisée par une forte intensité des relations entre les partenaires et par la symétrie des relations instaurées entre le CSSS et les

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organismes des tiers secteurs impliqués dans la démarche. Le degré de formalisme de la relation est quant à lui plutôt informel. Les participants révèlent également que, à l’échelle locale, le CSSS a fait preuve d’ouverture envers le tiers secteur. Enfin, sur la base de leur expérience de partenariat, les participants ont partagé certains facteurs favorables et limites associées au travail en partenariat dans l’intervention en soutien au développement des communautés. On retient notamment l’importance d’un leader clairement identifié pour accompagner les actions posées.

Les données obtenues fournissent certains éléments de réponse à la question générale et aux questions spécifiques de recherche. Ainsi, les résultats révèlent que la relation de partenariat étudiée s’inscrit dans le type de partenariat dit de supplémentarité-coconstruction. L’identification du type de partenariat établie entre le CSSS et les organismes du tiers secteur à l’étude a permis l’analyse de la relation selon différentes caractéristiques. On constate notamment que l’intervention en développement des communautés étudiée s’inscrit dans une forme plutôt expérimentale. Par contre, les écrits de Coston (1998) et de Proulx, Bourque et Savard (2005) révèlent que les relations de partenariat entre l’État et le tiers secteur dans un domaine donné, au fil du temps, passeraient d’une forme expérimentale à une forme plus institutionnalisée. Ainsi, ces informations révèlent que la relation étudiée serait appelée à suivre cette même tendance au fil de l’évolution des rapports entre l’État et le tiers secteur dans l’intervention en soutien au développement des communautés.

Le type de partenariat a également permis d’aborder l’aspect de l’autonomie du tiers secteur face à l’État dans le cas à l’étude. L’analyse a démontré que les actions ont été posées dans une logique de complémentarité. Bien que, selon certains auteurs consultés, cette logique puisse avoir des effets négatifs tels que l’instrumentalisation du tiers secteur par l’État, nous retenons à l’issue de l’analyse que des effets positifs peuvent également y être associés. En effet, les organismes du tiers secteur impliqués dans une telle logique et en mesure de conserver leur autonomie et leur capacité d’influence dans le processus de prise de décision, comme observé dans le cas à l’étude, seraient susceptibles de retirer des bénéfices de ce type de rapport notamment associé au financement des actions posées. L’analyse effectuée dévoile ainsi certaines informations relatives à la dynamique des relations de partenariat. La relation

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de partenariat étudiée est donc instaurée dans une logique ascendante, caractérisée par la complémentarité des interventions. Une logique descendante de type participative est également observée (Bourque, 2008; Duperré, 1992).

Parmi les constats effectués, le cas à l’étude révèle une tendance de la part de l’État à adopter une attitude de fermeture à l’égard du tiers secteur. En effet, l’analyse de la dimension d’ouverture au pluralisme institutionnel selon une perspective macrosociologique démontre que les participants rencontrés craignent les retombées associées à la Réforme de la santé et des services sociaux entamée en 2015 par le gouvernement libéral. Parmi les inquiétudes identifiées, nommons les craintes associées à l’essoufflement des ressources humaines dans un contexte de fermeture de poste et de fusion d’organisations. À long terme, il semble que ces éléments puissent avoir un impact sur le maintien et le développement d’interventions en soutien au développement des communautés et le travail en partenariat.

L’analyse des données a également permis d’identifier les principaux facteurs favorables au partenariat dans l’intervention en soutien au développement des communautés. Les dix facteurs ainsi identifiés ont été regroupés selon leur caractère personnel ou organisationnel. Il en ressort notamment l’importance des attitudes et compétences personnelles des partenaires impliqués dans la démarche ainsi que du climat d’ouverture et de respect entre les parties. Une structure claire et la présence d’un leader dans la démarche sont également identifiées comme facteurs favorables par les participants, ce qui rejoint les résultats des études antérieures portant sur le sujet (Clément, Tourigny et Doyon, 1999; Gagnon et Klein, 1991; Savard, Turcotte et Beaudoin, 2004).

Les limites de la recherche

La démarche de recherche effectuée comporte certaines limites que nous jugeons pertinent de rapporter afin de mettre en perspective les résultats obtenus. D’abord, la démarche de recherche a démontré que les participants ont rencontré plus de difficultés à identifier des limites au travail en partenariat et autres aspects plus négatifs associés à l’intervention. Cette situation pourrait, à notre avis, s’expliquer par le phénomène de désirabilité sociale qui consiste à « une tendance de l’individu à vouloir se présenter favorablement aux yeux de la

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société. Il se caractérise par l’envie manifestée par le répondant de gagner une évaluation positive auprès des personnes qui l’entourent » (Butori et Parguel, 2010, p. 4). Ce biais est souvent observé dans des démarches de recherche qualitative, où les participants peuvent être davantage portés à présenter les aspects positifs de la situation plutôt que les limites rencontrées. Afin de diminuer les impacts potentiels liés au biais de désirabilité sociale, nous avons questionné directement les participants sur les limites et aspects plus négatifs rencontrés au cours de la démarche à l'étude. Aussi, une attention particulière a été portée à l’étape de l’analyse des données afin de déceler, dans le discours des participants, les critiques et limites nommées tout au long des entrevues.

Ensuite, la collecte de données a été effectuée selon la méthode de l’étude de cas, et ce, au sein d’une seule expérience de partenariat en développement des communautés. Bien que l’étude de cas comporte certains avantages pour notre démarche de recherche, tels que l’analyse en profondeur d’une situation et l’observation de l’objet d’étude dans son contexte réel, cette méthode est également associée à certaines limites qu’il importe de préciser. L’étude de cas portant sur un cas unique est une méthode qui permet difficilement de généraliser les données obtenues à l’ensemble de la population concernée (Gagnon, 2012). Il importe ainsi de souligner que les résultats obtenus dans le cadre de la présente démarche de recherchepeuvent difficilement être transférés à l’ensemble des interventions de partenariat en développement des communautés sans procéder à une analyse plus poussée. Afin de favoriser la validité externe des résultats, il aurait été pertinent de procéder à l’étude de plusieurs cas. Dans le contexte de la recherche, soit un mémoire de maîtrise, cette avenue n’a pas été retenue notamment en raison du temps et des ressources limitées. À notre avis, les résultats obtenus dans le cadre de la présente démarche de recherche permettent cependant de fournir des pistes de réflexion intéressantes pour de prochaines études sur le sujet.

Orientations pour de futurs travaux

Les résultats obtenus dans le cadre de la démarche de recherche engendrent de nouveaux questionnements qui pourraient faire l’objet de travaux futurs. En effet, nous croyons qu’il serait pertinent d’explorer le partenariat État-tiers secteur selon plusieurs expériences de

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travail en partenariat vécues au Québec dans le domaine du développement des communautés. Une recherche impliquant plusieurs cas permettrait de généraliser les données obtenues. Une telle démarche pourrait également contribuer à la bonification des facteurs favorables au travail en partenariat identifiés dans la cadre de la présente recherche, permettant ainsi d’outiller davantage les professionnels du développement des communautés dans leurs interventions. Pour ce faire, nous considérons que la typologie de Coston (1998), adaptée au contexte québécois par Proulx, Bourque et Savard (2005) est un outil approprié. Comme démontré au cours de la démarche de recherche, cette typologie permet d’étudier les expériences de partenariat et d’en tirer une compréhension plus approfondie, notamment sur les aspects de l’autonomie du tiers secteur et de l’institutionnalisation. À notre avis, des travaux ultérieurs pourraient bénéficier d’une méthode de recherche hybride. En effet, certaines dimensions de la typologie telles que l’intensité et le formalisme de la relation gagneraient à être étudiées dans le cadre d’un questionnaire, permettant ainsi de documenter ces aspects de façon quantitative. Aussi, une telle démarche pourrait également bénéficier d’une étude comparative, exposant les points de vue des acteurs issus du tiers secteur et des organisations publiques afin de faire ressortir les spécificités dans les discours de chacun.

Nous croyons également qu’il serait intéressant que de futurs travaux abordent le thème du partenariat selon une perspective macrosociologique. À notre avis, une telle posture permettrait d’augmenter de façon significative notre compréhension des relations État-tiers secteur dans l’intervention en soutien au développement des communautés et de pousser l’analyse entamée dans la présente recherche. Comme nous l’avons observé, les relations de partenariat État-tiers secteur sont sensibles au contexte social dans lequel elles prennent forme et tendent à se modifier selon l’historique de relations établies entre eux. Ainsi, l’analyse macrosociologique permettrait selon nous de développer une compréhension globale des relations de partenariat État-tiers secteur dans ce domaine de pratique. Il serait notamment pertinent de documenter les impacts associés à la réforme du réseau de la santé et des services sociaux entamée en 2015 par le gouvernement libéral sur les relations de partenariat établies entre l’État et le tiers secteur dans le domaine du développement des communautés.

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