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Développement industriel et emploi

Dans le document et ressources humaines au Viêt-nam (Page 183-191)

En 2010, la population du Viêt-nam pourrait atteindre 88 millions d'habitants avec une population active de 56,8 millions, et chaque année le nombre de nouveaux travail-leurs est d'au moins 1,2 millions. Dans les années qui viennent, la pression sur l'emploi sera de plus en plus forte.

Il apparaît donc nécessaire de mettre en place une politique de développement industriel permettant de résoudre les pro-blèmes d'emploi.

La politique de développement industriel doit prendre en compte les industries intensives en main-d'œuvre, ou sus-loppement de l'informatique dans toutes les industries pour minimiser les coûts de production.

Ces deux aspects du développement nécessitent une main-d'œuvre importante en quantité mais aussi en termes de qualification, avec une structure rationnelle. Ceci doit concerner non seulement les travailleurs des industries tra-ditionnelles mais aussi ceux de l'éducation et de la formation professionnelle, et comprend la maîtrise de la langue anglaise ; l'édition, la publication, le commerce des informations et des données; la publicité, la commercialisa-tion, la distribucommercialisa-tion, la consultation ; les activités dans la radiodiffusion et dans la télévision; les services publics: de l'élaboration des politiques jusqu'à leur exécution, le contrôle, la supervision ; la poste, les communications, la diffusion des informations ; la production de logiciels ; les activités de planification, des finances, d'audit, etc...

La plupart de ces métiers et professions sont relativement nouveaux pour la main-d'œuvre vietnamienne. Dans les années à venir, le Viêt-nam devra donc déployer tous ses efforts afin de fournir autant de cadres et agents compétents dans ces spécialités que nécessaire.

Développement industriel et emploi

En 2010, la population du Viêt-nam pourrait atteindre 88 millions d'habitants avec une population active de 56,8 millions, et chaque année le nombre de nouveaux travail-leurs est d'au moins 1,2 millions. Dans les années qui viennent, la pression sur l'emploi sera de plus en plus forte.

Il apparaît donc nécessaire de mettre en place une politique de développement industriel permettant de résoudre les pro-blèmes d'emploi.

La politique de développement industriel doit prendre en compte les industries intensives en main-d'œuvre, ou

sus-ceptibles de promouvoir en parallèle le développement des industries intensives en main-d'œuvre. Les industries à les plus intensives en main-d'œuvre sont le textile, l'habille-ment, la manufacture des produits agro-aquatiques, etc. Le développement de l'habillement peut favoriser le développement du textile, du coton. De la même manière, le développement de l'industrie sucrière peut entraîner celui des plantations de canne à sucre et celui des confiseries.

Dans les conditions actuelles du commerce international, toutes les industries doivent être compétitives sur le marché international. C'est une condition de survie. Il apparaît qu'alors que l'industrie du vêtement au Viêt-nam a connu un développement important dans le passé, la plus grande partie de ses matières premières a été importée car la pro-duction textile ne pouvait satisfaire les besoins de l'industrie d'habillement moderne. De ce fait, de 1990 à 1999, la production d'étoffe domestique a connu une diminution continue, passant de 318 millions de mètres en 1990 à 222 millions de mètres en 1995. En 1999, elle s'est redressée pour atteindre 320 millions de mètres dépassant, un peu le niveau atteint en 1990. Ces dernières années, 50 manufactu-res de sucre ont été construites, mais le prix de revient du sucre domestique reste supérieur à celui d'autres pays étran-gers, alors que sa qualité est inférieure. Cette situation a conduit à des difficultés de débouchés et créé des problèmes pour les manufactures ainsi que les planteurs de canne à sucre endettés qui ne parviennent pas à vendre leur récolte.

Ces exemples montrent qu'il n'est pas facile de développer de manière efficace des industries intensives en main-d'œuvre. La question qui se pose est celle de la planification à long terme et de la manière d'organiser le développement de ces industries, en particulier en matière d'intervention de l'État et de participation de la population.

Dans le passé, l'État finançait la construction des manu-ceptibles de promouvoir en parallèle le développement des industries intensives en main-d'œuvre. Les industries à les plus intensives en main-d'œuvre sont le textile, l'habille-ment, la manufacture des produits agro-aquatiques, etc. Le développement de l'habillement peut favoriser le développement du textile, du coton. De la même manière, le développement de l'industrie sucrière peut entraîner celui des plantations de canne à sucre et celui des confiseries.

Dans les conditions actuelles du commerce international, toutes les industries doivent être compétitives sur le marché international. C'est une condition de survie. Il apparaît qu'alors que l'industrie du vêtement au Viêt-nam a connu un développement important dans le passé, la plus grande partie de ses matières premières a été importée car la pro-duction textile ne pouvait satisfaire les besoins de l'industrie d'habillement moderne. De ce fait, de 1990 à 1999, la production d'étoffe domestique a connu une diminution continue, passant de 318 millions de mètres en 1990 à 222 millions de mètres en 1995. En 1999, elle s'est redressée pour atteindre 320 millions de mètres dépassant, un peu le niveau atteint en 1990. Ces dernières années, 50 manufactu-res de sucre ont été construites, mais le prix de revient du sucre domestique reste supérieur à celui d'autres pays étran-gers, alors que sa qualité est inférieure. Cette situation a conduit à des difficultés de débouchés et créé des problèmes pour les manufactures ainsi que les planteurs de canne à sucre endettés qui ne parviennent pas à vendre leur récolte.

Ces exemples montrent qu'il n'est pas facile de développer de manière efficace des industries intensives en main-d'œuvre. La question qui se pose est celle de la planification à long terme et de la manière d'organiser le développement de ces industries, en particulier en matière d'intervention de l'État et de participation de la population.

Dans le passé, l'État finançait la construction des

manu-factures, prenait les décisions en matière de localisation, de technologie et d'équipement, de production, et d'activités d'import-export... Ce type d'organisation a produit des résultats peu convainquants. Le capital provenant du budget de l'État été souvent gaspillé, et entraîné une corruption par-fois importante. La dette des entreprises qui éprouvent des difficultés de remboursement est réechelonnée, fait l'objet de délais de grâce, ou est remise, ce qui signifie qu'il n'existe aucune pression économique suffisamment impéra-tive pour les obliger à améliorer leur gestion. Ainsi, certaines manufactures sucrières, juste après leur construction et l'installation de leur équipement, et avant même leur mise en exploitation, ont enregistré des pertes représentant une part importante de leur valeur réelle.

D'autre part, l'équipement importé s'est souvent avéré ob-solète et coûteux, du fait du manque de responsabilité de la part des cadres de gestion, et d'une mauvaise gestion opéra-tionnelle. Telles sont les raisons principales qui ont conduit à l'inefficacité et à des pertes importantes dans ces industries. La rénovation de leurs méthodes d'organisation et de développement est une nécessité.

L'État pourrait ne prendre en charge que la planification à long terme des surfaces réservées à la plantation de la canne à sucre et du coton, l'attribution de terrains pour la construction des manufactures, l'investissement dans la construction des routes et du réseau de distribution de l'énergie électrique, de la fourniture d'eau courante, du drainage, et du réseau de communications de ces zones, et l'allocation des crédits à long terme, etc., c'est-à-dire fournir des conditions socio-économiques favorables au dévelop-pement de ces industries. En revanche, la taille des unités, les choix en matière de technologie importée, l'organisation de la production, et les stratégies en matière de débouchés devraient relever de la responsabilité des entreprises domes-factures, prenait les décisions en matière de localisation, de technologie et d'équipement, de production, et d'activités d'import-export... Ce type d'organisation a produit des résultats peu convainquants. Le capital provenant du budget de l'État été souvent gaspillé, et entraîné une corruption par-fois importante. La dette des entreprises qui éprouvent des difficultés de remboursement est réechelonnée, fait l'objet de délais de grâce, ou est remise, ce qui signifie qu'il n'existe aucune pression économique suffisamment impéra-tive pour les obliger à améliorer leur gestion. Ainsi, certaines manufactures sucrières, juste après leur construction et l'installation de leur équipement, et avant même leur mise en exploitation, ont enregistré des pertes représentant une part importante de leur valeur réelle.

D'autre part, l'équipement importé s'est souvent avéré ob-solète et coûteux, du fait du manque de responsabilité de la part des cadres de gestion, et d'une mauvaise gestion opéra-tionnelle. Telles sont les raisons principales qui ont conduit à l'inefficacité et à des pertes importantes dans ces industries. La rénovation de leurs méthodes d'organisation et de développement est une nécessité.

L'État pourrait ne prendre en charge que la planification à long terme des surfaces réservées à la plantation de la canne à sucre et du coton, l'attribution de terrains pour la construction des manufactures, l'investissement dans la construction des routes et du réseau de distribution de l'énergie électrique, de la fourniture d'eau courante, du drainage, et du réseau de communications de ces zones, et l'allocation des crédits à long terme, etc., c'est-à-dire fournir des conditions socio-économiques favorables au dévelop-pement de ces industries. En revanche, la taille des unités, les choix en matière de technologie importée, l'organisation de la production, et les stratégies en matière de débouchés devraient relever de la responsabilité des entreprises

domes-tiques ou étrangères. L'État ne devrait pas intervenir directement dans les opérations productives et commercia-les, mais, en tant qu'actionnaire, s'en tenir à un rôle de contrôle et non pas de chef d'entreprise comme il le fait actuellement.

Il faut de plus encourager le développement des petites et moyennes entreprises. L'expérience de certains pays montre que ces entreprises peuvent absorber un grand nombre de travailleurs. À l'heure actuelle, la plupart des entreprises industrielles privées sont de petites et moyennes entreprises, et ce secteur joue un rôle important dans l'utilisation de la main-d'œuvre. Toutefois, notre politique, qui a connu bien des réformes, n'est pas encore adaptée aux besoins du dé-veloppement, ce qui se traduit par des difficultés dans l'attribution des licences, par des impôts et taxes élevés, par les insuffisances du droit commercial, par des procédures compliquées dans l'attribution des terrains, dans la location des terrains, etc... Pour encouragement de manière signifi-cative le développement des petites et moyennes entreprises, il est nécessaire de poursuivre la rénovation des politiques de l'État dans les domaines suivants:

• L'État doit identifier les domaines d'activités interdits au secteur privé ou limités. En dehors de ces domaines, les petites et moyennes entreprises doivent avoir la liberté de mener leurs activités productives et commerciales, tandis qu'à la nécessité d'obtention d'une licence pourrait se substituer une déclaration aux auto-rités compétentes permettant à ces dernières d'exercer les contrôles nécessaires.

• Les petites et moyennes entreprises intensives en main-d'œuvre devraient être exonérées d'impôt, en fonction de critères précis qui restent à définir.

• Les petites et moyennes entreprises intensives en main-d'œuvre intensive devraient se voir accorder des crédits tiques ou étrangères. L'État ne devrait pas intervenir directement dans les opérations productives et commercia-les, mais, en tant qu'actionnaire, s'en tenir à un rôle de contrôle et non pas de chef d'entreprise comme il le fait actuellement.

Il faut de plus encourager le développement des petites et moyennes entreprises. L'expérience de certains pays montre que ces entreprises peuvent absorber un grand nombre de travailleurs. À l'heure actuelle, la plupart des entreprises industrielles privées sont de petites et moyennes entreprises, et ce secteur joue un rôle important dans l'utilisation de la main-d'œuvre. Toutefois, notre politique, qui a connu bien des réformes, n'est pas encore adaptée aux besoins du dé-veloppement, ce qui se traduit par des difficultés dans l'attribution des licences, par des impôts et taxes élevés, par les insuffisances du droit commercial, par des procédures compliquées dans l'attribution des terrains, dans la location des terrains, etc... Pour encouragement de manière signifi-cative le développement des petites et moyennes entreprises, il est nécessaire de poursuivre la rénovation des politiques de l'État dans les domaines suivants:

• L'État doit identifier les domaines d'activités interdits au secteur privé ou limités. En dehors de ces domaines, les petites et moyennes entreprises doivent avoir la liberté de mener leurs activités productives et commerciales, tandis qu'à la nécessité d'obtention d'une licence pourrait se substituer une déclaration aux auto-rités compétentes permettant à ces dernières d'exercer les contrôles nécessaires.

• Les petites et moyennes entreprises intensives en main-d'œuvre devraient être exonérées d'impôt, en fonction de critères précis qui restent à définir.

• Les petites et moyennes entreprises intensives en main-d'œuvre intensive devraient se voir accorder des crédits

et prêts de manière préferentielle, sur la base d'une ana-lyse de leurs projets d'activités.

• Création de conditions favorables aux petites et moyen-nes entreprises sur une base légale d'égalité et avec des procédures simplifiées, par exemple pour les droits d'accès à la location de terrains à bas prix.

• Planification à long terme et construction de zones industrielles réservées aux petites et moyennes entreprises avec une bonne infrastructure et au voisinage de routes pour en favoriser l'accès.

• Organisation d'un système de formation à la gestion des activités commerciales et productives et d'un système d'information au service des petites et moyennes entre-pnses...

Dans une perspective d'intégration internationale, le dé-veloppement industriel impose une amélioration globale de la qualité des ressources humaines. L'avantage comparatif que constituent les ressources humaines au Viêt-nam ne réside pas seulement dans les salaires encore bas, et qui sont favorables au développement des industries intensives en main-d'œuvre, mais encore dans leur adaptation rapide aux technologies modernes. Les dix dernières années ont montré que les travailleurs vietnamiens sont parvenus à maîtriser des technologies relativement modernes comme les télécom-munications. Certaines entreprises mixtes avec capitaux étrangers utilisent également des technologies modernes que leurs employés ontv également été à même de maîtriser.

C'est sur l'adaptation rapide à la technologie moderne que l'accent doit être mis pour l'avenir. À l'ère de la transition vers une économie de la connaissance, la capacité d'adaptation des travailleurs vietnamiens revêt une impor-tance cruciale. Pour valoriser cet avantage comparatif, il faut intervenir dans les domaines suivants:

et prêts de manière préferentielle, sur la base d'une ana-lyse de leurs projets d'activités.

• Création de conditions favorables aux petites et moyen-nes entreprises sur une base légale d'égalité et avec des procédures simplifiées, par exemple pour les droits d'accès à la location de terrains à bas prix.

• Planification à long terme et construction de zones industrielles réservées aux petites et moyennes entreprises avec une bonne infrastructure et au voisinage de routes pour en favoriser l'accès.

• Organisation d'un système de formation à la gestion des activités commerciales et productives et d'un système d'information au service des petites et moyennes entre-pnses...

Dans une perspective d'intégration internationale, le dé-veloppement industriel impose une amélioration globale de la qualité des ressources humaines. L'avantage comparatif que constituent les ressources humaines au Viêt-nam ne réside pas seulement dans les salaires encore bas, et qui sont favorables au développement des industries intensives en main-d'œuvre, mais encore dans leur adaptation rapide aux technologies modernes. Les dix dernières années ont montré que les travailleurs vietnamiens sont parvenus à maîtriser des technologies relativement modernes comme les télécom-munications. Certaines entreprises mixtes avec capitaux étrangers utilisent également des technologies modernes que leurs employés ontv également été à même de maîtriser.

C'est sur l'adaptation rapide à la technologie moderne que l'accent doit être mis pour l'avenir. À l'ère de la transition vers une économie de la connaissance, la capacité d'adaptation des travailleurs vietnamiens revêt une impor-tance cruciale. Pour valoriser cet avantage comparatif, il faut intervenir dans les domaines suivants:

• Susciter une demande de plus en plus importante de tra-vailleurs qualifiés par des politiques appropriées. Il faut en particulier créer des zones de haute technologie, encourager les investisseurs étrangers dans les industries à technologie moderne, favoriser les importations et l'utilisation des technologies modernes, et encourager et vénérer les créateur des technologies modernes...

• Renforcer la formation des travailleurs qualifiés: accroÎ-tre l'investissement dans la construction d'écoles d'ou-vriers qualifiés, d'universités et d'écoles supérieures techniques; encourager les sociétés àorganiser des cours de formation pour les ouvriers et les cadres techniques;

créer des conditions favorables et encourager les jeunes àsuivre des cours de formation techniqueàl'étranger. ..

• Protéger les travailleurs qualifiés: leur assurer des salaires dignes, le droit à la mobilité, la protection des droits d' auteur (copyright), des récompenses, le respect...

Des travailleurs de qualité constituent une force d'une importance décisive pour le développement industriel natio-nal. Il est donc nécessaire de mettre en œuvre une politique particulière concernant leur formation.

Le développement industriel au Viêt-nam doit à la fois contribuer à résoudre les problèmes d'emploi et répondre aux besoins de la mise en place d'une industrie moderne, suffisamment forte pour garantir une bonne intégration in-ternationale. Un tel développement nécessite des ressources humaines de haute qualité.

Si l'on ne parvient pas à développer les industries tradi-tionnelles intensives en main-d'œuvre, il sera difficile de résoudre les problèmes d'emploi, ce qui peut conduire à l'instabilité sociale et à l'impossibilité de valoriser l'avan-tage de la main-d'œuvre à bas salaire dans la première période du développement technologique. Mais si l'attention

• Susciter une demande de plus en plus importante de tra-vailleurs qualifiés par des politiques appropriées. Il faut en particulier créer des zones de haute technologie, encourager les investisseurs étrangers dans les industries à technologie moderne, favoriser les importations et l'utilisation des technologies modernes, et encourager et vénérer les créateur des technologies modernes...

• Renforcer la formation des travailleurs qualifiés: accroÎ-tre l'investissement dans la construction d'écoles d'ou-vriers qualifiés, d'universités et d'écoles supérieures techniques; encourager les sociétés àorganiser des cours de formation pour les ouvriers et les cadres techniques;

créer des conditions favorables et encourager les jeunes àsuivre des cours de formation techniqueàl'étranger. ..

• Protéger les travailleurs qualifiés: leur assurer des salaires dignes, le droit à la mobilité, la protection des droits d' auteur (copyright), des récompenses, le respect...

Des travailleurs de qualité constituent une force d'une importance décisive pour le développement industriel natio-nal. Il est donc nécessaire de mettre en œuvre une politique particulière concernant leur formation.

Le développement industriel au Viêt-nam doit à la fois contribuer à résoudre les problèmes d'emploi et répondre aux besoins de la mise en place d'une industrie moderne, suffisamment forte pour garantir une bonne intégration in-ternationale. Un tel développement nécessite des ressources humaines de haute qualité.

Si l'on ne parvient pas à développer les industries tradi-tionnelles intensives en main-d'œuvre, il sera difficile de résoudre les problèmes d'emploi, ce qui peut conduire à l'instabilité sociale et à l'impossibilité de valoriser l'avan-tage de la main-d'œuvre à bas salaire dans la première période du développement technologique. Mais si l'attention

Dans le document et ressources humaines au Viêt-nam (Page 183-191)