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Bureaux : Rue de la Serre, 27.

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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Huitième Année. — N

0

57.

Prix du numéro 10 centimes

Dimanche 15 Juillet 1894.

Bureaux : Rue de la Serre, 27.

ABONNEMENTS Un an : Si.\ mois : Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste. Paraissant le Jeudi et le Dimanche à Ia Chanx-fle-Fonils.

ANN0N6ES

1- revenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 23 » » Minimum d'une annonce 30 cent.

Les annonces se paient d'avance.

OrKiIiIc «le l a Société iii(<>ir;iiiliiii:ilo d e s I n d u s t r i e «lu J u r a , «le» C l i a m n r c s «le c o m m e r c e , «les I t u r c a i i x «le c o n t r ô l e e t «les S y n d i c a t s p r o f e s s i o n n e l s .

Perfectionnement dans

les procédés de réglage des montres

La m o n t r e doit être itii i n s t r u m e n t p o u r la m e s u r e d u temps. Telle est la vérité q u e l'on cherche à faire p é n é t r e r toujours plus dans l'esprit des fabricants d'horlogerie ; telle aussi se traduit, l'exi- gence légitime de l'acheteur.

La question du réglage des m o n t r e s acquiert ainsi u n e importance capitale et p r e n d le p r e m i e r rang dans les préoc- cupations d u producteur.

Il est bien r e c o n n u q u e la plus ou moins grande perfection d u réglage d'une montre d é p e n d , p o u r une large part, de la plus ou m o i n s b o n n e exécution de ses diverses parties. P a r le réglage, on peut atténuer certains défauts ; on ne p e u t les corriger complètement.

Au n o m b r e des tentatives faites p o u r trouver des procédés perfectionnés de réglage, nous citerons aujourd'hui, celle de Mra J a m e s P e r r e t & Grisel, dont les ateliers sont situés rue du Parc, 2, à la Chaux-de-Fonds.

Nous savions que ces régleurs étaient arrivés, grâce à de nouveaux procédés et à l'emploi d'une machine inventée et construite p a r eux, à des résultats abso- lument remarquables et par cela m ê m e difficiles à admettre par n o s anciens hor- logers, habitués aux longs tâtonnements (pie nécessitent les procédés générale- ment employés.

Messieurs J a m e s P e r r e t & Grisel, opèrent dans les conditions suivantes :

Leur remettre les coqs cl balanciers de mou- vements au remontage, en ayant soin de véri- fier préalablement les ébats de balanciers.

Leur remettre une fausse platine ayant le pointage de l'échappement et la place du pen- dant : indiquer si les mouvements sont pour savonnettes ou lépines.

Si les mouvements sont établis dans de bonnes conditions, sans défauts ayant besoin d'être corrigés par le réglage, ils peuvent li-

vrer en quelques heures, des réglages ayant une variation de 10 à 15 secondes par jour, du plat.au pendu.

Ce qui signitid, e n résumé, qu'ils p e u v e n t faire des réglages d e précision en ayant, à leur disposition, les coqs et les balanciers des m o u v e m e n t s .

Voici comment ces Messieurs délinis- sent les avantages de leur système.

1° Economie de temps dans la fabrica- tion, parce qu'il n'est plus nécessaire défaire les réglages en blanc, mais pendant le remon- tageaprés dorure, en ayanlsimplementlescoqs garnis et les balanciers. Leurs réglages étant garantis tant comme marche moyenne que comme variation du plat au pendu, avec une moyenne de 10 à 15 secondes suivant les prix payés, toutes les longueurs de l'observation en lanterne et des retouches après le remon- tage sont supprimées.

2° Travail plus correctement fait, parce que le remonteur n'ayant plus à s'occuper du réglage, cl les' retouches en lanterne étant supprimées, le balancier et le spiral restent en parfait état, tels qu'ils ont été livrés par le régleur. On évite ainsi les balanciers mis mal ronds et n'étant par conséquent plus d'équili- bre, les spiraux faussés soilau centre soilpar la courbe, et le fabricant à la satisfaction de livrer une montre très correctement réglée.

3° Economie de prix, produite indirecte- ment. Quoique les prix de ces réglages soient un peu plus élevés que ceux des simples po- sages de spiraux en blanc, ils sont, en réali- té, inférieurs au coût vrai des réglages faits selon l'ancien système, auquel il faut ajouter le coût des retouches faites par des visiteurs ou employés spéciaux.

En matière d'inventions ou d'innova- tions il ne suflit p a s d'affirmer; il faut p r o u v e r . C'est ce q u ' o n t compris Mes- sieurs J a m e s P e r r e t & Grisel ; aussi n o u s ont-ils c o m m u n i q u é le tableau des observations faites p a r quatre maisons de la Chaux-de-Fonds, q u i , après avoir expérimenté les nouveaux procédés, ont i n d i q u é elles-mêmes les résultats de leurs observations.

Voici ce tableau :

Montres de M. L. Bozat.

N" 22508 22509 22510

"pendu av. 6 sec. av. ο s. av. 4 s.

plat rot. 2 s. av. 12 s. av. 6 s.

diff. plat au pendu 8 s. 6 s. 2 s.

Montres Colombias de M. R. Uhlmann.

N° 85808 809 810 pendu av. 5 s. av. 18 s. av. 11 s.

plat av. l'9 s. av. 19 s. av. IiJ s.

diff. plat au pendu 14 s. 1 s. 2. s.

N" 85811 812 813 pendu av. 19 s. av. 5 s. av. 4 s.

plat av. 3 s. av. 13 s. av. IGs.

diff. plat au pendu 16 s. 8 s. 12 s.

N0 100349 350 351 pendu av. 5 s. ret. I s . av. 3 s.

plat av. I s . av. 12 s. av.

diff. plat au pendu 4 s. 13 s. I s . N0 100352 353 354 pendu av. 12s. av. I l s . ret. 2 s . plat av. 13 s. av. 18 s. av. 4 s.

diff. plat au pendu 1 s. 7 s. 6 s.

N0 100343 344 345 pendu av. 20 s. av. 9 s. av. 17 s.

plat av. 27 s. av. 7 s. av. 28 s.

diff. plat au pendu 7 s. 2 s. 11 s.

N0 100346 347 348 pendu av. 27 s. av. 11 s. av. 34 s.

plat av. 14 s. av. 9 s. av. 6 s.

diff. plat au pendu 13 s. 2 s. 28 s.

Montres de MM. Mosimann Frères.

N° 85618 85619 88569 pendu av. 20 s. 0 av. 13 s.

plat av. 19 s. av. 12 s. av. 22 s.

diff. plat au pendu 1 s. 12 s. 9 s.

Montres de M. P. Vuille-Perret.

N° 195480 et 195481.

Ces montres sont réglées dans les 10 se- condes plat et pendu.

Une nouvelle société pour la liberté économique

Ces jours derniers, a été constituée à Rome, sous le titre ά'Αssociation économique libé-

(2)

250 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

raie, une association pour la liberté écono- mique. Voici les idées fondamentales de cette Société, et le but auquel elle aspire, tels qu'ils résultent du programme qu'en ont publié les journaux italiens :

« L'Association économique libérale est fondée dans le but de constituer un centre d'activité scientifique, de diffusion et de pro- pagande des idées libérales dans toutes les questions de politique économique, financière et administrative qui touchent, de la façon la plus vive, aux intérêts matériels du pays.

« L'Association, tout en restant étrangère aux luttes des partis politiques, n'en vise pas moins à éclairer et à faire naître une opinion publique consciente et vigoureuse, qui soit la condition et le contrôle d'un juste fonctionne- ment du régime parlementaire et l'empêche de devenir la cristallisation des intérêts parti- culiers.

«Les points essentiels et fondamentaux de son programme sont :

«1° Dans les rapports internationaux, com- battre le protectionnisme douanier et rendre populaire la conclusion des traités de commerce sur la base des plus grandes concessions de tarif, jusqu'à ce que le tarif soit par degrés ramen,é à sa seule fonction fiscale.

«2° A l'intérieur, arrêter le socialisme, sous la double forme dans laquelle il se présente, de croissante absorption directe par l'Etat des industries créées par l'initiative privée, et de pullulation malsaine des lois qui enchaînent la liberté individuelle, la propriété privée, fa- vorisent la création de monopoles de privilè- ges ou primes, de subventions au profit de classes et dégroupes industriels, répartissent inégalement la charge de l'impôt, augmentent sans cesse les contacts et les heurts, entre les citoyens et l'Administration, en rendant de jour en jour plus nécessaire l'augmentation d'un fonctionnarisme coûteux et encombrant.

«L'inondation du courant qui, sous le nom de protection, de tutelle, de vinculisme, de socialisme, a envahi toutes les branches de l'activité administrative et législative de l'Etat, brise les énergies privées, supprime l'esprit d'initiative et le sentiment de la responsabilité individuelle en faisant, à tort, ou raison, re- monter à l'Etat la faute do tout ce qui arrive de fâcheux, légitime de véritables spoliations, diminue la productivité du travail et du capital, fait dégénérer la nation, qu'elle appauvrit en même temps, rend la masse des citoyens tri- butaire d'un petit nombre, et par l'épuisement de toutes les sources de la richesse privée, arrête l'accroissement naturel des revenus pu- blics et les fait même rétrograder.

«Ce dernier effet, parla gravité menaçante avec laquelle il se manifeste de nos jours en Italie, a rendu sensibles les dommages maté- riels et moraux que cause le système tout en- tier. Il a jeté, dans le pays, l'alarme et les germes d'une vigoureuse réaction, et, de jour en jour il met davantage en évidence le lien étroit qui rattache le problème financier au problème économique général. »

II. Ce point établi et à titre de renseigne- ment, le conseil d'Administration fait observer que, dès avant toute réclamation formulée par des fabricants d'horlogerie ou leurs comi- tés, la question d'une réglementation intérieu- re, — visant les quantités à produire par chaque fabrique actionnaire, dans les deux branches de fabrication que son outillage lui permet d'offrir sur le marché horloger, finis- sages et montres finies, — a été étudiée et que cette étude se poursuit par les organes mêmes du comptoir.

III. Nonobstant cet état de choses, le con- seil d'administration s'est toujours montré disposé a conférer avec les fabricants d'horlo- gerie, concernant les voies et moyens de réa- liser un équilibre dans les deux systèmes de fabrication et à faire tout ce qui dépend de lui pour arriver à ce résultat, désiré par la socié- té anonyme du comptoir et auquel elle verra avec grand plaisir les fabricants d'horlogerie, coopérer effectivement, ce qu ' établissent d'ailleurs les tractations on cours avec le co- mité de la société des fabricant:

de la Ghaux-de-Fonds.

IV. En terminant, le conseil d'administra- tion se permet d'émettre le vœu de voir à l'avenir, les divergences de vues cl d'opinions pouvant se produire, être présentées sous une autre forme, que celle du communiqué ci- devant mentionné, forme qui ne peut être que préjudiciable au résultat à atteindre ; elles peuvent plutôt faire l'objet de conférences entre les intéressés.

Conseil d'Administration du Comptoir général des Ebauches.

Brevets d'invention

d'horlogerie

Comptoir général des Ebauches

Le conseil d'Administration du Comptoir général, ayant pris connaissance du commu- niqué publié dans le n" 56 de la «Fédération horlogère» émanant du Syndicat des fabri- cants d'horlogerie des cantons de Berne ot Soleure, estime devoir dire quelques mots à cet égard.

I. Il constate d'abord que, dans la question de la fabrication de montres par certaines fa- briques actionnaires du comptoir, ni le conseil d'administration, ni la société anonyme du comptoir elle-même, ne doivent et peuvent assumer une responsabilité quelconque, vis-à- vis des tiers.

Cl. 64, n" 8165. 7 avril 1894, 6 h, p. — Roue en laiton vissée sur axe en acier, pour montres de tous calibres. — Morlet, Ch., 6, Boulevard James Fazy, Genève (Suisse).

Mandataire: Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n*> 8172. 5 mai 1894, 5 '/s h. p. — Nouvelle montre à répétition et à remontoir au pendant. — Robert- Wœlti, Numa, fa- bricant d'horlogerie, 21, Rue du Puits, Chaux-dc-Fonds (Suisse).

I t a d i u l i o n - . .

Cl. 64, n° 723. Perfectionnement apporté aux mécanismes de remontoir à mise à l'heure au pendant.

Cl. 64, n° 1970. Perfectionnement des mises à l'heure pour remontoir au pendant et du fixage de la tige de couronne au mouvement.

Cl. 64, n° 3251. Mécanisme de quantièmes pour montres.

Cl. 64, n:l 3308. Mécanisme perfectionné de çhronographe avec ou sans compteur de minutes actionné par le pendant.

Cl. 64, n° 4756. Répétition à quarts simplifiée avec décrochement, système Aubert.

Cl. 64, n° 4789. Nouveau système d'assorti- ment pour échappements à levées visibles ou couvertes.

Nouvelles diverses

Horlogerie et Bijouterie

LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS

E u r e : ; i * t r t ' i u c i i t *

Cl. 64, n" 8092. 16 mai 1894, 6'/. h. p . — Mécanisme de remontoir et mise à l'heure par la couronne. •— Perret, David, ingé- nieur, Usine du Plan, Neuchàtel (Suisse).

Mandataire: Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n° 8103. 10 janvier 1894. 4 1A h. p. — Montre à remontoir avec mise à l'heure sur char, échappement à levier et seconde indé- pendante. — Belzon, EUe, 82, Rue Léopold, Robert, Chaux-de-Fonds (Suisse).

Cl. 64, n" 8132. 11 mars 1894, 9 1A h. a. — Echappement bascule simplifié. — BaIa- voine, Félix, horloger, Bourg-de-Four, 4, Rue Favet, 12, Genève (Suisse).

Cl. 64, n" 8137. 19 mars 1894, 8 h. a. — Montre perfectionnée. — Bej-ner, Arisle, horloger, Mi-Côte, 658, Locle (Suisse).

Mandataires: Houriet, R., et Jacottct, H", Chaux-de-Fonds.

Cl. 64, n" 8139. 20 mars 1894, 6 1A h. p. — Montre perfectionnée. — The Star Watch

Company, 75, Nassau Street, New-York, (Etals-Unis, A. du N.): ayant cause de l'in- venteur «Aronson, Saul», Brooklyn. Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n° 8147. 29 mars 1894, (i 1A h. p. — Montre perfectionnée. — Baillod, Henri, Morteau (France). Mandataire : Imer- Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n" 8151. 31 mars 1894, 6 '/. h. p. — Nouveau mécanisme do seconde indépen- dante. — Perret, Paul, eiJeannot, Paul, Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataire:

Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n° 8152. 31 mars 1894, 6'/. h. p. — Montre perfectionnée. — Perret. Paul : et Jeannot. Paul. Chaux-de-Fonds (Suisse).

Mandataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, n" 8161. 5 avril 1894, 6 V' h. p. — Système de montre à heures automatiques.

— Frères Bergeon, Locle (Suisse). Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Les A m é r i c a i n s qui visitent l'Europe, dé- passent, d'après le calcul du Magazine Li- pincott, à Paris, le nombre de 54,000. La co- lonie américaine permanente de 2,500 person- nes était plus nombreuse alors que l'Exposi- tion n'avait pas élevé le coût de la vie. Berlin vient après Paris en tant que colonie perma- nente. Dresde renferme à peu près 1,000 Américains à poste fixe, et reçoit la visite de 20,000 à 24,000 autres ; pour Genève, les chiffres sont, à pou près, les mêmes. A Lucerne, le nombre des visiteurs dépasse 10,000 ; à Carlsbad 2,000 ; à Vichy, à Aix-la-Chupelle et à Wiesbade 1,000 ; à Nice on en compte près de 20,000 : à Rome et à Florence, pour chacune de ces villes, environ 30,000. Les Américains dépensent tous les ans en Italie plus de 20 millions do dollars.

Le f r o m e n t a u x Etats-Unis no donnera pas, cette année, d'après les estimations faites à Londres, plus de 440 millions de bushel.

contre 460 en 1893, 560 en 1892, et 675 en 1891. Le Bradstreet's calcule, pour cette année, 450 millions. Pour tout le monde, l'année donnera, d'après le Liverpoof Corn Trade journal, 271 millions de quarters, contre 282 en 1893 et 279,6 en 1892. Les es-

timations les plus douteuses sont toujours celles qui concernent les Etats-Unis où les réserves existantes, elles-mêmes, sont l'objet d'indications discordantes. Il est probable, qu'au 1"' juin dernier, les existences étaient de 80 millions, contre 89 en 1893. D'après Bradstreet's elles seraient de 90 millions de bushels au 1er juillet; d'après d'autres, elles ne dépasseraient pas 70 millions de réserves visibles, aux Etats-Unis et clans le Canada.

L'Argentine a déjà vendu l'excédent dosa ri- che récolte. La Russie a encore plus à vendre que l'année passée ; elle a déjà, dejwis le 1er

août 1893, exporté plus de 11 millions 1A de quarters, contre 91A en 1892/93. L'exporta- tion des Indes dépend, plus qu'on ne l'avait cru autrefois, du niveau des prix ; elles ex- porteront plus si les prix continuent à mon- ter. La France importera en tout cas, parce que la meunerie a besoin de blés secs. L'a- vance sur le marché anglais a été de 1 sh. à

1 sh. 6d. pendant les derniers quatorze jours.

Tout dépend maintenant du temps.

Cote de l'argent

du i/f Juillet I8Q4

fr. 108.50 le kilo.

Argent fin en grenailles

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 251

Tableau comparatif

poinçonnements effectués et îles essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent

p e n d a n t l e Qmc t r i m e s t r e d e s a n n é e s 1 8 9 3 e t 1 8 Θ 4 .

Il

Bureaux

1. Bienne . . . . 2. Cnanï-de-Fond.8. . . 3. Fleurier . . . 4. Genève . . . . 5. G ranges (Solenre).

7. Neuchàtel . . 8. Noirmont . . 9. P o r r e n t r u y . . 10. St-Imier . . . 1 1 . Schaffhouse . 12. T r a m e l a n . .

Total Plus 1894 Moins 1894 Berne, le 11 ,

Bottes de montres poinçonnées Bottes d'or

1893 3,176 84,101 1,936 5,550 215 19,028

2,804 1,197 1 339 4,018 122,425

uillct 185

I 1894 2,888 76,741 1,923 4,599 372 16,103

4,373 1,806 24 381 4,011 113,221 9,204 4.

Bottes d'argent 1893 1894 98,931

11,393 23,909 16,280 53,549 11,361 2,836 27,649 66,495 40,922 14,350 107,316 474,991

76,133 9,049 23,582 15,880 62,256 10,020 1,899 30,066 70,354 36,785 12,767 109,900 458,091 16,300

Total des boites 1893

102,107 95,494 25,845 21,830 53,764 30,389 2,830 30,513 67,692 40,923 14,089 111,334 597,416

17,1 16,0 4,3 3,7 9,0 5,1 0,5

•5,1 11,4 6,9 2,3 18,6 100

I 1894 79,021 85,790 25,505 20,479 62,628 26,123 1,899 34,439 72,160 36,809 13,148 113,911 571,912 25,504

13,8 15,0 4,5 3,6 11,0 4,6 0,3 6,0 12,6 6,4 19,9 100 4,3

Bottes payant double taxe, et bottes refusées

çonnement 1893 1894 1122

350 27 16 60 182

180 144 222

379 2,688

168 221 14 23 233 47

156 139 114

211 1,326 1,362

Objets de bijouterie etd orfèvrerie poinçonnes

1893 2,007

160 1 1,904

37

1

4,130

8,240

24,4

1,9 0,0 23,1

0,5 0,0

50,1

100

1894 1,896

199

1,097

2

3,608

6,802 1,438

27,9 2,9 16,1

0,0

53,1

100 17,5 D é p a r t e m e n t lY-ilV-ral «les ;ιΠ';ιϊι·ι— <'

Essais de ingots d'or et d'arqent 1893

574 2,207 165 16 146 170 48 100 181 169 53 158 3,987

14,4 55,5 4,1 0,4 3,7 4,3 1,2 2,5 4,5 4,2 4,3 3,9 100

( l - S I l l ^ C ' l · · * .

Bureau fédéral des matières d'or et d'argent » 1894 464 2,121 140 10 145 227 39 80 142 130 62 157 3,717 270

12,5 57,1 3,8 0,3 3,9 0,1 1,0 2,1 3,8 3,5 1,7 4,2 100

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