• Aucun résultat trouvé

H. SORET. — Sur un réfractomètre destiné à la mesure des indices de réfraction et de la dispersion des corps solides; Archives de Genève, 3 e série, t. IX, p. 5 ; 1883

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "H. SORET. — Sur un réfractomètre destiné à la mesure des indices de réfraction et de la dispersion des corps solides; Archives de Genève, 3 e série, t. IX, p. 5 ; 1883"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238054

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238054

Submitted on 1 Jan 1883

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

H. SORET. - Sur un réfractomètre destiné à la mesure des indices de réfraction et de la dispersion des corps solides; Archives de Genève, 3 e série, t. IX, p. 5 ; 1883

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. H. SORET. - Sur un réfractomètre destiné à la mesure des indices de réfraction et de la dispersion des corps solides; Archives de Genève, 3 e série, t. IX, p. 5 ; 1883. J. Phys. Theor.

Appl., 1883, 2 (1), pp.138-139. �10.1051/jphystap:018830020013801�. �jpa-00238054�

(2)

138

ment que l’amortissenlent dû au fer doit être en

majeure partie

attribué à ces forces. E. BOUTY.

H. SORET. 2014 Sur un réfractomètre destiné à la mesure des indices de réfraction et de la dispersion des corps solides; Archives de Genève, 3e série, t. IX, p. 5 ; 1883.

Cet

appareil

est iiii

perfectionnement

du réfractomètre à ré- flexion totale de

Kohirauschy précédemment

décrit dans ce Jour- nal

( 1 ~.

Ce dernier ne

permettait

que

l’emploi

d’une source h01110-

gène. Imaginons

que l’on éclaire cet

appareil

par un faisceau bien

parallèle

de lumière

solaire, qui, après

s’être réfléchie au contact

de la substance et du sulfure de

carbone,

soit reçue sur la fente d’un

spectroscope.

Pour une valeur convenable de

l’an~le

d’inci-

dence,

on voit un rideau sombre bien net s’avancer du rouge au violet pour une incidence

croissante, qui

limite les rayons réfléchis totalement. L’indice ii de la

substance,

pour la radiation avec la-

quelle

coïncide la limite du

rideau,

est n ~ ~

sin,

y étant l’indicc~

du sulfure de

carbone, ? l’angle

d’incidence.

Pour éviter la connaissance de pw, variable avec la

température,

M. Soret

préfère repérer

Immédiatement la mesure avec une lame d’une substance dont les indices ont été directement mesurés au

goniomètre.

On a alors

La lumière solaire tombe sur la fente peu élevée d’um collima- teur, exactement

réglé.

Le faisceau

parallèle

traverse normalement

une

glace à

faces

parallèles, qui

terme de ce côté le

flacon,

se ré-

fléchit sur la lame

étudiée ; puis

ce

faisceau, par suite de

sa réfrac-

tion à travers la surface

cylindrique

du

flacon,

se trouve former

une

petite ligne lumineuse,

que l’on amène à coïncider avec la, fente du

spectroscope.

Il est nécessaire que le

spectroscope

tourne en même

temps

que l’axe

qui porte

la lame

réfléchissante,

et cela d’m

angle

double

(t) Journal de Pl2ysic~ue, Ire série, t. ~,11, p. ~89. .. ,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020013801

(3)

139 de ce dernier. Cette condition se trouve

réalisée, grâce

à la

dispo-

sition suivante :

Le couvercle du vase est constitué par un cercle

gradué,

traversé

par deux axes

concentriques.

L’axe extérieur E entraîne le ver-

nier ;

l’axe intérieur

F,

que l’on

peut

à volonté rendre solidaire du

premier, supporte

les deux lames

réfléchissantes,

fixées l’une au- dessous de l’autre. L’axe E est lié à une traverse horizontale munie de deux

galets qui

roulent sur le cercle

gradué.

Sur ces

galets,

y et

constamment

pressé

contre eU"2B, repose un

disque annulaire,

ln0-

bile et entraîné par la rotation du

spectroscope.

Si le

spectroscope

se

déplace,

il fait tourner les

galets,

et l’ axe E tourne d’un

angle

moitié du sien.

Pour substituer l’une des lames réfléchissantes à

l’autre,

il suffit

de soulever ou d’enfoncer l’axe F.

Des

expériences comparatives,

faites avec cet

appareil

et avec

un

goniomètre,

montrent que l’on

peut compter

sur une exactitude de deux unités du

quatrième

ordre décimal.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

E. WIEDEMANN. 2014 Ueber die Molecularrefraction des geschwelfelten Kohlen- saüreäthers, nebst einigen Bemerkungen über Molecularrefraction im allgemei-

nen (Sur la réfraction moléculaire des éthers sulfocarboniques, et remarques

sur la réfraction moléculaire en général); Wied. Ann., t. XVII, p. 577; 1882.

L’auteur a déterminé les densités et les indices à

19°

pour les trois raies du

lithium,

du sodium et du

thallium,

de l’éther

éthyl- carbonique

et des

cinq

éthers sulfurés

correspondants.

Pour en

déduire la réfrac tion moléculaire

(ou énergie

réfrac tive

spéci- fique) (t)

du

soufre,

il a calculé pour chacun de ces corps la

constante A de la formule de

Cauchy,

et les valeurs

numériques

d d . A- l A2 - i . , , ,

des deux

expressions d

d et ~~ I ( ? + a)~

qui

ont été

proposées,

l’une par Landolt et

Gladstone,

l’autre par Lorenz

(2),

pour défi- nir

l’énergie

réfractive

spécifique.

De ces deux

expressions,

la

première conduit,

pour la réfraction

atomique

du

soufre,

à des

(1) Article Lujrtiére du Dictionnaire de Chimie de Wurtz, t. II, p. 2~ 2.

(~) LORE~Z~ Wied. Anm., t. NI,. p. 7o; 188o.

Références

Documents relatifs

et le même indice de réfraction dans l’air n1 = 1,0 (toutes les radiations lumineuses vont à la même vitesse dans l’air). D’après L’expérience chaque radiation possède un

blement, on visera dans le plan focal de la demi-boule. Le corps du microscope peut tourner, dans un plan perpendiculaire à la platine, autour d’un axe passant

chaque instrument les courbes des indices plus petits et plus grands que celui d-ui crom,n; on prend pour ordonnées les déviations croissantes et pour abscisses

dispersion, car comme dans la méthode du spectre cannelé, mais avec une précision beaucoup plus grande, elle permet, à pression constante, de. mesurer directement les

bon est maintenue dans le trou circulaire de 2 millimètres de diamètre d’une lame d’ébonite fermées par deux plaques de mica. Les élec- trodes sont constituées par des

chrome rendu inactif et abandonné à lui-même redevient lentement actif. D’autre part, le chrome plongé dans du chlorure de zinc fondu ne perd pas son activité, bien

J’ai donc construit, pour les radiations considérées, des courbes où les incidences successives, depuis la normale à la face d’entrée du prisme, sont portées en

Réflexion et transmission à la surface d’un milieu absorbant applicationàa l’étude critique de la méthode du réfractomètre d’abbe pour la détermination des indices