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Bulletin des médecins suisses

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Bulletin des

médecins suisses

BMS – SÄZ Schweizerische Ärztezeitung – Bollettino dei medici svizzeri – Gasetta dals medis svizzers

Offizielles Organ der FMH und der FMH Services www.saez.ch Organe officiel de la FMH et de FMH Services www.bullmed.ch Bollettino ufficiale della FMH e del FMH Services

Organ ufficial da la FMH e da la FMH Services

30 –3 1 27 . 7. 20 16 1031 Editorial L’accréditation:

renouvellement du mandat de formation postgraduée

1058 Rencontre avec Simone Zumbrunnen

«Heute ist MPA kein Sackgass-Beruf mehr»

1068 «Et encore…»

par Erhard Taverna Machines à sous

1050 Compte rendu de conférence

Der Uetliberg

bleibt top

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SOMMAIRE 1029

Rédaction

Dr med. et lic. phil. Bruno Kesseli, membre de la FMH (Rédacteur en chef); Dipl.-Biol. Tanja Kühnle (Managing Editor);

Isabel Zwyssig, M.A. (Rédactrice coordinatrice);

Dr med. Werner Bauer, membre de la FMH; Prof. Dr med. Samia Hurst;

Dr med. Jean Martin, membre de la FMH; lic. oec. publ. Anna Sax, MHA;

Dr med. Jürg Schlup, président de la FMH; Prof. Dr med. Hans Stalder, membre de la FMH; Dr med. Erhard Taverna, membre de la FMH;

lic. phil. Jacqueline Wettstein, cheffe de la communication de la FMH

Rédaction Ethique

Dr theol. Christina Aus der Au, p.-d.; Prof. Dr med. Lazare Benaroyo, membre de la FMH; Dr phil., dipl. biol. Rouven Porz, p.-d.

Rédaction Histoire médicale

Prof. Dr med. et lic. phil. Iris Ritzmann; Dr ès sc. soc. Eberhard Wolff, p.-d.

Rédaction Economie lic. oec. publ. Anna Sax, MHA Rédaction Droit

Me Hanspeter Kuhn, chef du Service juridique de la FMH

FMH

ÉDITORIAL: Werner Bauer

1031 L’accréditation: renouvellement du mandat de formation postgraduée 1032 Nouvelles du corps médical

Courrier / Communications

1034 Courrier au BMS 1036 Communications

FMH Services

1037 Résultats de la votation générale de la coopérative FMH Services 1039 Emplois et cabinets médicaux (version imprimée uniquement)

Tribune

COMPTE RENDU DE CONFÉRENCE: Bruno Kesseli

1050 Impressionen von den 10. Zürcher Gesundheitstagen der AGZ:

Der Uetliberg bleibt top La dixième édition des traditionnelles journées de la santé de l’Association des médecins du Canton de Zurich (AGZ) sur le Uetliberg a une nouvelle fois offert une intéressante combinaison d’exposés et de débats sur des thèmes variés allant de la politique de la santé aux sujets éthiques et politiques en passant par la science, la recherche, la technique et l’actualité médicale.

POINT DE VUE: Choon-Kang Walther, Helene Huldi

1055 Alte und neue Mythen um den Schwangerschaftsabbruch 1057 Spectrum

Horizons

RENCONTRE AVEC … SIMONE ZUMBRUNNEN: Daniel Lüthi

1058 «Heute ist MPA kein Sackgass-Beruf mehr» Elle n’est ni infirmière ni réceptionniste, comme doit souvent le souligner Simone Zumbrunnen. Elle est assistante médicale, et elle exerce son métier avec passion. Après avoir entamé une formation de physiothéra- peute, qu’elle abandonne après trois mois par «nostalgie» pour la profession d’assistante médicale, elle obtient son brevet de formatrice et participe à la formation de plusieurs collègues auprès de Roche à Bâle.

(3)

BADOUX

SOMMAIRE 1030

Impressum

Bulletin des médecins suisses Organe officiel de la FMH et de FMH Services

Adresse de la rédaction: Elisa Jaun, Assistante de rédaction BMS, EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 72,

fax +41 (0)61 467 85 56,

redaktion.saez@emh.ch, www.saez.ch Editeur: EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 55, fax +41 (0)61 467 85 56, www.emh.ch Marketing EMH / Annonces:

Dr phil. II Karin Würz, responsable marketing et communication, tél. +41 (0)61 467 85 49, fax +41 (0)61 467 85 56, kwuerz@emh.ch

«Offres et demandes d’emploi/Im- meubles/Divers»: Matteo Domeniconi,

personne de contact, tél. +41 (0)61 467 86 08, fax +41 (0)61 467 85 56, stellenmarkt@emh.ch

«Office de placement»: FMH Consul- ting Services, Office de placement, Case postale 246, 6208 Oberkirch, tél. +41 (0)41 925 00 77,

fax +41 (0)41 921 05 86, mail@fmhjob.ch, www.fmhjob.ch Abonnements membres de la FMH:

FMH Fédération des médecins suisses, Elfenstrasse 18, 3000 Berne 15, tél. +41 (0)31 359 11 11,

fax +41 (0)31 359 11 12, dlm@fmh.ch Autres abonnements: EMH Editions médicales suisses SA, Abonnements, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 75, fax +41 (0)61 467 85 76, abo@emh.ch

Prix de l’abonnement: abonnement annuel CHF 320.–, port en sus.

ISSN: version imprimée: 0036-7486 / version en ligne: 1424-4004 Paraît le mercredi

© EMH Editions médicales suisses SA (EMH), 2016. Le Bulletin des médecins suisses est une publication «open- access» de EMH. Sur la base de la licence Creative Commons «Attribu- tion – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International», EMH accorde à tous les utilisateurs le droit, illimité dans le temps, de repro- duire, distribuer et communiquer cette création au public, selon les conditions suivantes: (1) citer le nom de l’auteur;

(2) ne pas utiliser cette création à des fins commerciales; (3) ne pas modifier, transformer ou adapter cette création.

L’utilisation à des fins commerciales peut être possible uniquement après

obtention explicite de l’autorisation de EMH et sur la base d’un accord écrit.

Note: Toutes les données publiées dans ce journal ont été vérifiées avec le plus grand soin. Les publications signées du nom des auteurs reflètent avant tout l’opinion de ces derniers, pas forcément celle de la rédaction du [BMS]. Les doses, indications et formes d’application mentionnées doivent en tous les cas être comparées aux notices des médicaments utilisés, en particulier pour les médicaments récemment autorisés.

Production: Schwabe SA, Muttenz, www.schwabe.ch

Photo de couverture: © Bruno Kesseli;

Argent: © Gpagomenos | Dreamstime.com

Horizons

EXPOSITION: Eberhard Wolff

1061 «Abracadabra» in der Stiftsbibliothek

SOUS UN AUTRE ANGLE: Dominik Heim

1062 K wie Kongress oder es muss nicht immer Hochglanz sein SOUS UN AUTRE ANGLE: Marc-Antoine Bornet, Etienne Rochat 1063 Un dialogue nécessaire dans le monde du soin

NOTES DE LECTURE: Daniel R. Perez 1065 Ein grosser Schritt für die Rehabilitation

NOTES DE LECTURE: Jean Martin 1066 Comment affronter l’incurabilité?

SOUS UN AUTRE ANGLE: Jaël Bachmann 1067 Nordpol

1067 Blickkontakt

Et encore...

ERHARD TAVERNA

1068 Machines à sous En 2014, les hôpitaux suisses ont engrangé jusqu’à 52 millions de bénéfices annuels. Notre auteur se demande donc si les payeurs de primes ne verseraient pas des contributions n’ayant rien à voir avec les soins médicaux.

Une question à laquelle il n’est pas si facile de répondre…

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L’accréditation: renouvellement du mandat de formation postgraduée

Werner Bauer

Dr med., président de l’Institut suisse pour la formation médicale postgraduée et continue ISFM

Avec l’introduction de la reconnaissance réciproque des diplômes en Europe en 2002, les titres de spécialiste de droit privé sont devenus des titres fédéraux. Pour la FMH et les sociétés de discipline médicale, il était essentiel que la mise en application des dispositions légales (loi sur les professions médicales) soit confiée à une organi- sation médicale et que les médecins restent responsables de l’organisation de leur formation postgraduée. Ce fut le cas avec la création de l’Institut suisse pour la forma- tion médicale postgraduée et continue (ISFM), nouvel organe de la FMH à qui cette mission a été confiée. Pour cela, l’ISFM édicte la Réglementation pour la formation postgraduée et gère les différents programmes de for- mation aux côtés des sociétés de discipline. Ces pro- grammes servent ensuite de base à la reconnaissance des établissements de formation, aux visites d’éta- blissements et à l’octroi des titres de spécialiste.

Mais la Confédération ne délègue pas ces compé- tences uniquement sur une base de confiance ni pour une durée illimitée. Les organisations comme l’ISFM et les sociétés de discipline qui assument une tâche de l’Etat sont régulièrement évaluées par le Dé- partement fédéral de l’intérieur (DFI) à l’occasion d’une procédure d’accréditation.

L’ISFM, de même que toutes les sociétés de discipline en charge d’un titre de spécialiste, sont soumis à cette évaluation tous les sept ans: une procédure de longue haleine particulièrement coûteuse, fondée sur un rap- port d’auto-évaluation qui contient toute une série de questions sur différents «standards de qualité».

Il s’agit également de répondre aux exigences suivantes:

Action autonome dans les situations d’urgence. Prise de responsabilités dans le domaine de la santé. L’évaluation se fonde sur des méthodes formatives et sommatives, auxquelles vient s’ajouter un feedback régulier. La forma- tion postgrade est régulièrement soumise à des évalua- tions par les formateurs, ainsi que par les personnes en formation. Un plan de mesures est esquissé pour l’avenir (développement de la qualité de la filière de formation postgrade).

Les rapports sont soumis à une équipe d’experts com- posée de membres de chaque spécialité médicale qui étudient les dossiers de leur discipline respective et

tentent de clarifier les questions en suspens lors d’une table ronde. Les experts rédigent ensuite leurs rapports sur la base du rapport d’auto-évaluation et de leur dis- cussion, rapports qui peuvent ensuite être commentés par la Commission des professions médicales (MEBEKO).

En cas de nécessité avérée, l’accréditation peut être liée à des recommandations ou conditions particulières. La procédure est organisée par l’Agence suisse d’accrédita- tion et d’assurance de la qualité (AAQ) et chapeautée par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et par le DFI qui met ensuite en vigueur ces dispositions.

Pourquoi un éditorial sur l’accréditation? Trois raisons à cela:

– Le modèle suisse de réglementation et de réalisation de la formation postgraduée est remarquablement

simple et efficace, et illustre parfaitement la bonne collaboration entre une organisation professionnelle privée (ISFM) et une institution étatique (OFSP).

– L’accréditation représente une grande charge de tra- vail pour les sociétés de discipline, qui travaillent selon un système de milice. Elle n’est donc pas tou- jours bien acceptée et suscite parfois incompréhen- sion et irritation. A ce propos, il est important de rappeler que la liberté avec laquelle les médecins peuvent organiser la formation postgraduée va de pair avec des obligations et des devoirs auxquels nous ne pouvons pas nous soustraire. Par ailleurs, l’accréditation prend encore plus de sens si nous en profitons pour mener une réflexion approfondie sur l’avenir de la formation médicale.

– Enfin, nous souhaitons inviter l’AAQ et l’OFSP à mener la procédure d’accréditation de la manière la plus simple et efficace possible, et à tout mettre en œuvre pour nommer des experts compétents. En effet, de ces derniers dépend l’issue de la procédure, à savoir si l’accréditation a réellement porté ses fruits ou si elle n’a été réduite qu’à une simple procédure administrative; ce dont personne ne voudrait.

L’accréditation est l’occasion de mener une réflexion approfondie sur l’avenir de la forma- tion médicale.

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1031

FMH Editorial 1031

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Todesfälle / Décès / Decessi Alex Krneta Jordi (1934), † 4.7.2016, Facharzt für Chirurgie, 3006 Bern

Jules Grüter (1953), † 8.7.2016,

Facharzt für Gynäkologie und Geburtshilfe, 6006 Luzern

Hakan Erbüke (1957), † 24.6.2016, Spécialiste en pédiatrie, 1203 Genève

Praxiseröffnung / Nouveaux cabinets médicaux / Nuovi studi medici BE

Antoine Sar,

Médecin praticien, CP 659, 3, rue Centrale, 2740 Moutier

FR

Adolfo Lopez Ibanez,

Spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, 5A, avenue Jean-Paul II, 1752 Villars-sur-Glâne GE

Eric Serge Jacques Bal,

Médecin praticien, 18, rue de Genève, 1225 Chêne-Bourg

SG

Andrea Mohnroth,

Fachärztin für Psychiatrie und Psycho- therapie, Rheintalpraxis-Mohnroth, Haupt- strasse 90, 9436 Balgach

SO

Helga Reinshagen,

Fachärztin für Ophthalmologie, Fährweg 10, 4600 Olten

VD

Benoît Jean Pierre Cailleteau,

Médecin praticien, 21, avenue de Jaman, 1814 La Tour-de-Peilz

Aargauischer Ärzteverband

Zur Aufnahme in den Aargauischen Ärzte- verband als ordentlich praktizierende Mitglie- der haben sich angemeldet:

Buket Atila-Boehncke, D-79618 Rheinfelden, Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, angestellt in Praxisgemeinschaft in Baden seit 1. Juni 2016

Andreas Beck, 4900 Langenthal, Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumato- logie des Bewegungsapparates, angestellt in Praxisgemeinschaft in Rheinfelden per 1. September 2016

Alex Gysi, 8907 Wettswil, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, FMH, Praxis- eröffnung in Praxisgemeinschaft in Berikon per 1. August 2016

Grit Hahn, 4051 Basel, Fachärztin für Dermato- logie und Venerologie, Praxiseröffnung in Praxisgemeinschaft in Zofingen per 1. Okto- ber 2016

Rebecca Königsdorfer, 8047 Zürich, Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, FMH, Schwerpunkt Operative Gynäkologie und Geburtshilfe, Praxiseröffnung in Praxis- gemeinschaft in Brugg per 1. Oktober 2016 Yvonne Nord, Praktische Ärztin, 6300 Zug, angestellt in Praxis in Bremgarten seit 1. März 2016

Alain Pfammatter, 8103 Unterengstringen, Facharzt für Oto-Rhino-Laryngologie, FMH, Praxiseröffnung in Praxisgemeinschaft in Baden per 1. Oktober 2016

Julia Pilz, 4059 Basel, Fachärztin für Gastro- enterologie und Allgemeine Innere Medizin, FMH, Belegärztin in der Hirslanden Klinik Aarau in Aarau seit 17. Juni 2016

Diese Kandidaturen werden in Anwendung von Art. 5 der Statuten des Aargauischen Ärzteverbandes veröffentlicht. Einsprachen müssen innert 14 Tagen seit der Bekannt- machung schriftlich und begründet der Ge- schäftsleitung des Aargauischen Ärztever- bandes eingereicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet die Geschäfts- leitung über Gesuch und allfällige Einsprachen.

FMH Nouvelles du corps médical 1032

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1032–1033

Nouvelles du corps médical

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Ärztegesellschaft des Kantons Luzern Zur Aufnahme in unsere Gesellschaft Sektion Stadt haben sich gemeldet:

Marco Albanese, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, Facharzt für Kardiologie und Facharzt für Endokrinologie/Diabeto- logie, FMH, ab 1.9.2016: Hirslanden Klinik St. Anna, St. Anna-Strasse 32, 6006 Luzern

Niklas Renner, Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungs- apparates, ab 1.10.2016: Orthopädische Klinik Luzern AG, St. Anna-Strasse 32, 6006 Luzern

Thomas Arnold, Facharzt für Anästhesio- logie und Facharzt für Intensivmedizin, FMH, ab 1.10.2016: Klinik für Anästhesie, Rettungsmedizin und Schmerztherapie, Luzerner Kantonsspital Luzern, Spital - strasse, 6000 Luzern 16

Einsprachen sind innert 20 Tagen nach der Publikation schriftlich und begründet zu richten an: Ärztegesellschaft des Kantons Luzern, Schwanenplatz 7, 6004 Luzern

Unterwaldner Ärztegesellschaft Zur Aufnahme in die Unterwaldner Ärzte- gesellschaft hat sich angemeldet:

Claudia Häuser-Bedeshem, Fachärztin für Oto-Rhino-Laryngologie, Praxisadresse:

HNO Sarnen, Marktstrasse 7, 6060 Sarnen Einsprachen gegen diese Aufnahme sind mit Begründung innert 20 Tagen an die Präsidentin der Unterwaldner Ärzte- gesellschaft, Dagmar Becker, Mondmattli 3, 6375 Beckenried, zu richten.

Ärztegesellschaft Uri

Zur Aufnahme in die Ärztegesellschaft Uri als ordentliches Mitglied hat sich angemeldet:

Klaudia Susanne Wenger, Fachärztin für Psychiatrie und Psychotherapie, Leitende Ärztin Sozialpsychiatrischer Dienst Uri, 6460 Altdorf

Einsprachen gegen diese Kandidatur müssen innerhalb von 20 Tagen seit dieser Veröffentlichung schriftlich begründet an den Vorstand der Ärztegesellschaft Uri eingereicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet der Vorstand über Gesuche und allfällige Einsprachen.

Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug Zur Aufnahme in die Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug als ordentliches Mitglied hat sich angemeldet:

Achim Gooss, Facharzt für Pharmazeutische Medizin, Psychiatrische Klinik Zugersee, Widenstrasse 55, 6317 Oberwil

Einsprachen gegen diese Kandidatur müssen innerhalb 14 Tagen seit dieser Veröffent- lichung schriftlich und begründet beim Sekretariat der Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug eingereicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet der Vorstand über Gesuch und allfällige Einsprachen.

Preise / Prix / Premi

Schweizerische Gesellschaft für Kinder- und Jugendpsychiatrie und -psychotherapie / Société Suisse de psychiatrie et psychothérapie de l’enfant et de l’adolescent

«Beste schriftliche Arbeit» Facharztprüfung /

«Meilleur travail écrit» examen de spécialiste:

Esther Begert, Bern, für ihre Arbeit:

«Zerrüttet und düster, aber suchend»

Laurence Bittar-Fulpius, Genève, pour son travail: «Du corps à la pensée»

Wir gratulieren! / Félicitations!

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1032–1033

FMH Nouvelles du corps médical 1033

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Wo bleibt die Verantwortung?

Zum Leserbrief «Urabstimmung:

Alles abgelehnt – und wie weiter?

Wie gehabt?» [1]

Sehr geehrte Kollege Naef

Gratuliere! Tolle Einsicht in die Praxis der Tarif pflege (die seit 1996 nicht existiert). Ihre Betrachtungen zeigen, wie gravierend die Si- tuation in Wirklichkeit ist.

Was passiert nun mit uns? Seit zwanzig Jahren keine Einkommensverbesserung!

Auch ich bin überzeugt, dass FMH und Ärzte- gesellschaften in dieser Form nicht mehr in der Lage sind, uns vertreten zu können. Bei- spielsweise sollen die Mitglieder der Ärztege- sellschaften die unbezahlte Bereitschaft zum Notfalldienst einfach «verkraften». Es wird erneut Solidarität verlangt, aber nur wenn es die Obrigkeit nicht tangiert!

Was ist aus unserem Berufsstand geworden?

Haben wir wirklich so viel zu verlieren? Denkt jemand an die künftigen Ärztegenerationen?

Und wie steht’s mit der persönlichen Freiheit?

Sind wir alle Rekruten des Medizinalgesetzes?

Nach der Abstimmung fragen sich MFE und FMH, wo das politische Engagement bleibt.

Wir freiberuflichen verantwortungsbewuss- ten Kolleginnen und Kollegen wissen es!

Sujets actuels de forum

Joignez la discussion en ligne sur www.bullmed.ch

Dr med. André Seidenberg, Zurich

Obligation d’annonce

Obligation d’annonce dans le cas de traitements par des substances psychotropes

Dr med. et MME Monika Brodmann Maeder, spécialiste en Médecine Interne Générale, FMH, Médecin adjoint, Responsable formation et médecine d’urgence en montagne, Centre Universitaire des Urgences, Inselspital Berne

Travailler avec les autres professions en médecine

Les médecins sont-ils prêts à travailler avec les autres professions?

Investissements cyniques

«Et encore…» par Jean Martin, BMS N° 26–27/2016 [1]

Suite à l’article du Dr Jean Martin, paru dans le BMS du 29 juin, dans lequel il dénonce les investissements cyniques du milliardaire sud-africain, Johann Rupert, l’article de la journaliste Christine Talos paru dans la Tri- bune de Genève du 23 mai 2016 m’a atterrée. Ce magnat investit, entre autres, et dans le tabac et dans la santé. C’est lui qui contrôle le groupe Hirslanden, possesseur du plus grand

nombre de cliniques privées en Suisse, dont deux sur Vaud et une à Genève. Il faut savoir que ce groupe est un spécialiste des patho- logies pulmonaires. Détenteur de centres pul- monaires dans plusieurs cantons, destinés notamment aux patients victimes du tabac, il leur propose, entre autres, des thérapies anti nicotine. Comme le résume très juste- ment la journaliste, c’est ce qui s’appelle du service après-vente.

Pour ce qui me concerne, en tant que patiente, ma décision est prise, je refuse d’être soignée dans une clinique de ce groupe. Je me suis sen- tie soulagée de constater que la clinique Geno- lier où je me rends de temps à autre n’en fait pas partie. J’espère ne jamais lire que les pra- tiques du groupe Swiss Medical Network, au- quel appartient la clinique Genolier, se trouve dans une situation similaire, car alors je m’obli- gerais à renoncer à plusieurs de mes médecins qui lui sont affiliés et en qui j’ai toute confiance.

De façon moins personnelle, j’imagine le malaise des collègues qui travaillent dans ces cliniques. Piégés dans un système pervers, ils n’ont d’autre choix que de se soumettre, en se voilant ou non la face, ou partir. Qui peut, qui ose consentir le sacrifice de renoncer à ses acquis professionnels, ou à sa vie profession- nelle tout court? Mais, par ailleurs, comment An Vorschlägen mangelt es nicht: Ambulante

Privattarife, Kompensation bei Verzicht der Dispensation in den entsprechenden Kanto- nen, bessere Honorierung für Titelträger, das sind einige Beispiele. Wir sind nicht alle gleich!

Wo bleibt die Verantwortung? Wollen FMH und Ärztegesellschaften uns alle weiter füh- ren oder soll die Politik es wieder richten?

Dr. med. Luciano Dias, Baar

1 Naef HR. Urabstimmung: Alles abgelehnt – und wie weiter? Wie gehabt? Schweiz Ärztezeitung.

2016;97(26–27):969.

COURRIER redaction.bms@emh.ch 1034

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1034–1035

Courrier au BMS

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Hippokratischer oder neuer Eid?

Leserbrief zu SÄZ 2015 Nr. 25 / 2016 Nr. 23 / 2016 Nr. 28–29

Wild tobt der Streit zwischen der Hippokra- tischen Gesellschaft und der Gruppe um M. Giger, ob der Hippokratische Eid oder der sogenannt zeitgemässe neue Eid die richtige Eidesformel enthalte. Amüsiert stellt man fest, dass beide Ansichten vertretbar sind, ja gute Aussagen enthalten. Beim Hippokratischen Eid stehen folgende Werte im Vordergrund: die hohe Achtung vor dem medizinischen Lehrer, wie vor den eigenen Eltern; Handeln zu Nutz und Frommen des Patienten; Ablehnung jeg-

licher Suizidbeihilfe und Abtreibung; Ent- haltung willkürlichen Unrechts und schliess- lich das Arztgeheimnis. Die Hauptpunkte des neuen Eides sind: Verantwortung, Patient steht an erster Stelle ohne Ansehen der Person;

keine Therapie ohne Indikation, d.h. Behand- lung des Patienten wie die eigenen Angehöri- gen; Re spekt und Ehrlichkeit gegen Patienten und Kollegen; kollegiale Hilfe; eigene Fort- bildung; gute Aufklärung des Pa tienten;

Respektierung des Patientenwillens; Arztge- heimnis; wirtschaftlicher, transparenter und gerechter Einsatz der Ressourcen; keine un- gerechtfertigte Rechnungsstellung; Ableh- nung der Einflussnahme auf Behandlung von aussen.

Es sind also viele übereinstimmende Aussagen dabei, natürlich auch zeitgemässe Differenzen, warum aber so krasse Reaktionen, wie «wider- sprüchliche Argumente», «vollends unnach- vollziehbar» und «bizarre Unterstellungen»

von Giger et al.?

Für die Hippokratische Gesellschaft ist, wie übrigens für viele Ärzte in der Schweiz, das absolute Tötungsverbot sehr wichtig, während für die neue Fassung der Patientenwille, die pekuniäre Sauberkeit und die Unabhängigkeit von politischen und ökonomischen Pressio- nen verständlicherweise von grosser Wich- tigkeit sind. Ausserdem haben Giger et al. die neue Fassung als Diskussionsgrundlage darge- stellt, weshalb das Wort Streit nicht verwendet werden darf.

Schliesslich scheint mir die Frage wichtig, ob hier überhaupt ein Eid angebracht ist. Einen Eid legen wir ab auf die Bibel, vor Gott oder vor einem Gericht. Der buddhistische, musli- mische und atheistische Arzt müsste also vor einem Gericht schwören, welches ja erst bei Übertretung in Aktion tritt. Warum könnte

Plagiat – belegt

Wer irgendwie will, zumindest akademisch, vorwärts kommen, dem sei es nicht benom- men.

Er muss jedoch publizieren, teilnehmen an der viel geschmähten «Publizitis».

Das war sicher schon immer so, seit der Pfahl- bauerzeit, La Tène-Zeit. Wie sonst konnte der Nachbar wissen, dass ich gut bin?

Es kann heute jedoch keine noch so gute Idee bestehen, wenn sie nicht literaturmässig belegt wird, mit dem mosaischen «Es steht geschrie- ben»! So braucht es zwischen Literaturgläubig- keit und Plagiat: einen Spagat. Unerlässlich dazu ein grosses Literaturverzeichnis – in welchem obligat der (höhere) Chef zitiert wird.

Wissenschaft ist, wenn man schreibt, was andere geschrieben haben – dann ist Wissen, das man schafft, belegt. Wichtiger als das ‘was’

ist das ‘dass’.

Egal, was man geschrieben hat, egal um was es geht,

früher verpönt als Plagiat – es ist belegt!

Für alle Schreiber in Wissenschaft, TV, Printmedien gelten zudem als oberste Qualitäts-Gebote: impact factor, Einschaltquote …

Dr. med. Johann Jakob, Bad Ragaz un patient, connaissant le lien qui unit le groupe

Hirslanden au tabac, peut-il, (doit-il?) garder confiance dans un médecin travaillant dans une de ces cliniques?

Mais alors, sommes-nous totalement otages de ce groupe? Je ne peux m’y résigner et je me dis que c’est à nous les médecins, j’entends nous tous qui ne sommes pas liés au groupe Hirslanden, qu’incombe le devoir de dénoncer ces agissements, de les porter à l’attention de nos pa tients, de nos amis, de nos connais- sances, etc.

Et si alors la désobéissance civile ou plutôt le devoir civil venait des patients informés? Pour- quoi nous les usagers, ne boycotterions nous pas toutes les cliniques de ce groupe?

Pour ma part c’est la seule voie d’action qui me vient à l’esprit. Une utopie vraisemblablement.

Dr Laurence Ducret Aidonidis, Nyon

1 Martin J. Conflits d’intérêts. Bull Méd Suisses.

2016;97(26–27):990.

man statt eines Eides nicht von verbindlichen Standesregeln sprechen und sich an einem runden Tisch auf eine Lösung, die beiden ge- nügt, einigen?

Dr. Wolf Zimmerli, Oberdiessbach

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1034–1035

COURRIER redaction.bms@emh.ch 1035

(9)

Dialog Ethik

Kindeswohl im Spital – was hospitalisier- ten Kindern und Jugendlichen gut tut Die Studie «Kindeswohl im Spital – eine qualitative Studie zum Wohlbefinden hospitalisierter Kinder und Jugendlicher» der Stiftung Dialog Ethik und des Kinderspitals Zürich präsentiert einen Kriterienkatalog für die Behandlung und Betreuung von Kindern und Jugendlichen im Spital.

In den letzten drei Jahrzehnten hat sich die Situation für Kinder und Jugendliche in Schweizer Kinderspitälern stark verändert.

Während Kinder früher beispielsweise die meiste Zeit im Bett verbringen mussten und ihre Eltern nur wenige Stunden pro Tag sehen durften, hat sich auf der Grundlage der modernen Kinderrechte der Alltag im Kinder spital verbessert. Auch vor dem Hintergrund der hochspezialisierten Medizin hat sich das Kindeswohl zu einem zentralen Konzept entwickelt. Was aber ist mit

«Kindeswohl» gemeint?

Diese Frage stellten wir im Rahmen der Studie Patienten, Eltern und zahlreichen Mitarbeitenden des Kinderspitals Zürich und des Rehabilitationszentrums Affoltern (Ärzte, Pflegende, administrative Mitarbeitende,

Clowns, Freiwillige, Lehrpersonen, Physio- therapeuten, Psychologen, Sozialberater etc.).

Auf der Grundlage der insgesamt 68 Inter- views wurden zu den folgenden Kategorien 40 Kriterien für das Kindeswohl im Spital erarbeitet:

– Krankheits- und therapiebezogene Bedürfnisse des Kindes

– emotionales Wohlbefinden des Kindes – Ermutigung und Befähigung des Kindes – Normalität und gewohntes Leben für das

Kind

– Familienorientierung – professionelle Betreuung

Dieser Kriterienkatalog dient als Orientie- rung in der Praxis und kann in Entscheidun- gen im Einzelfall einfliessen oder bei der Reflexion über die Rahmenbedingungen für die Realisierung des Kindeswohls im Spital einbezogen werden.

Der Studienbericht kann auf der Website von Dialog Ethik heruntergeladen werden:

www.dialog-ethik.ch Ansprechpartner:

Dr. phil. Andrea Abraham,

Leitung Forschung Institut Dialog Ethik Tel.: 044 252 42 01

E-Mail: aabraham[at]dialog-ethik.ch

COMMUNICATIONS 1036

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1036

Communications

Caisse de secours des médecins suisses

Contributions reçues

Du 1er avril au 30 juin 2016, nous avons reçu 22 dons d’une valeur totale de 3855.17 francs.

Le Conseil de fondation de la Caisse de secours des médecins suisses est très content de pouvoir publier ces chiffres et tient à remer- cier vivement tous les donateurs. Afin que les contributions puissent être versées entièrement aux destinataires, nous avons pris la décision de renoncer à l’envoi de lettres de remerciement pour les dons inférieurs à 500 francs. Nous espérons que les donateurs feront preuve de compréhension et nous leur adressons encore une fois nos remercie- ments.

Le trésorier du Conseil de fondation

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Résultats de la votation générale de la coopérative FMH Services

Beat Bumbachera, Beat Bärb

a Dr med., Président du conseil d’administration de FMH Services; b Directeur de FMH Services

Chers Sociétaires,

Par le rapport de gestion pour l’année 2015, nous vous avons informés des activités opérationnelles et nous avons soumis à votre approbation le rapport de gestion, l’affectation du résultat ainsi que la décharge au conseil d’admi- nistration de FMH Services.

Nous nous réjouissons de vous annoncer les résultats de la votation générale et nous vous remercions de votre participation nombreuse.

Veuillez agréer, Chers Sociétaires, nos salutations les meilleures.

FMH Services société coopérative

Votation générale 2016

1. Remise des bulletins de vote

Du 21 mai au 30 juin 2016 par écrit auprès de la commune d’Oberkirch

2. Dépouillement

M. J. R. Rogger, commune d’Oberkirch 3. Résultats

3.1 Proposition n° 1

Acceptez-vous le rapport de gestion 2015 de FMH Services?

Bulletins de vote reçus 4293

Bulletins invalides (sans signature) 27

Bulletins vides ou pas de bulletin 67

Bulletins valables 4199

Oui 3989

Non 210

La proposition n° 1 est ainsi approuvée à une large ma- jorité.

3.2 Proposition n° 2

Etes-vous d’accord de reporter le déficit de CHF 145 776.80 sur l’exercice suivant et de le déduire des réserves exis- tantes?

Bulletins de vote reçus 4185

Bulletins invalides (sans signature) 27

Bulletins vides ou pas de bulletin 88

Bulletins valables 4070

Oui 3729

Non 341

La proposition n° 2 est ainsi approuvée à une large majo- rité.

3.3 Proposition n° 3

Etes-vous d’accord de donner décharge au conseil d’ad- ministration de la coopérative FMH Services pour l’an- née de référence 2015?

Bulletins de vote reçus 4286

Bulletins invalides (sans signature) 27

Bulletins vides ou pas de bulletin 98

Bulletins valables 4161

Oui 3844

Non 317

La proposition n° 3 est ainsi approuvée à une large majo- rité.

3.4 Proposition n° 4

Acceptez-vous de nommer comme organe de révision pour un nouveau mandat d’un an la firme Truvag Revi- sions AG à Sursee?

Bulletins de vote reçus 4286

Bulletins invalides (sans signature) 27

Bulletins vides ou pas de bulletin 76

Bulletins valables 4183

Oui 3969

Non 214

La proposition n° 4 est ainsi approuvée à une large majo- rité.

3.5 Proposition n° 5

Acceptez-vous de nommer, pour un nouveau man- dat d’un an, l’administration communale d’Oberkirch comme instance tierce neutre pour l’exécution de la votation générale?

Bulletins de vote reçus 4291

Bulletins invalides (sans signature) 27

Bulletins vides ou pas de bulletin 64

Bulletins valables 4200

Oui 4059

Non 141

La proposition n° 5 est ainsi approuvée à une large ma- jorité.

Le résultat de cette votation générale a été confirmé le 5 juillet 2016 par J. R. Rogger, c/o administration com- munale d’Oberkirch, comme étant correct et exhaustif.

FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical 1037

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1037 Responsabilité rédactionnelle: FMH SERVICES

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IN30–31/16

FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical Responsabilité rédactionnelle: FMH SERVICES

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Impressionen von den 10. Zürcher Gesundheitstagen der AGZ

Der Uetliberg bleibt top

Bruno Kesseli

Dr. med. et lic. phil., Chefredaktor

Auch in der 10. Auflage boten die traditionellen Gesundheitstage der Ärztegesell- schaft des Kantons Zürich (AGZ) auf dem Uetliberg eine stimulierende Mischung von Referaten und Diskussionen. Das Spektrum reichte von Gesundheitspolitik über Wissenschaft, Forschung, Technik und aktuelle medizinische Brennpunkte bis hin zu ethischen und philosophischen Themen.

«Fortschritt und Wandel der Werte» – unter diesem Titel stand die Jubiläumsausgabe der diesjährigen Zür- cher Gesundheitstage. Bereits zum 10. Mal fand das Symposium auf dem Zürcher Hausberg statt, und noch sind keine Abnützungserscheinungen ersichtlich. Im Gegenteil: Auch in diesem Jahr wurde dem Publikum ein Programm geboten, das ein breites Feld von aktuel- len Themen im Zusammenhang mit dem ärztlichen Berufsfeld abdeckte, über dessen Rand aber immer wieder hinausgeschaut wurde.

Leistungsfähiges Gesundheitssystem

Anknüpfend an die von seinem Vorgänger Urs Stoffel etablierte Tradition, eröffnete AGZ-Präsident Josef Wid- ler den Anlass mit einer gesundheitspolitischen Tour d’Horizon. Der erfahrene (Standes-)Politiker bedient die Klaviatur der politischen Rhetorik routiniert und versteht es, die Interessen der Ärzteschaft mit schla-

genden Argumenten zu vertreten. Anhand konkreter Beispiele zeigte er, mit wie vielen Ansprüchen sich Ärz- tinnen und Ärzte heutzutage konfrontiert sehen, wäh- rend ihnen gleichzeitig die stetig steigenden Gesund- heitskosten zumindest teilweise angelastet werden.

Anhand verschiedener Grafiken machte er deutlich, dass unser Gesundheitssystem, das immer mehr alte Menschen zu versorgen hat, Beträchtliches leistet.

«Ohne Ärzte kein medizinischer Fortschritt», so seine Quintessenz. Die AGZ ist gewillt, ihren Beitrag zu einer auch zukünftig guten medizinischen Versorgung der Bevölkerung leisten, beispielsweise durch die Grün- dung der AGZ Support AG. Diese Gesellschaft hat die Aufgabe übernommen, den ärztlichen Notfalldienst im Kanton Zürich durch eine geeignete Organisation langfristig, nachhaltig und unter Beibehaltung der heutigen Qualität sicherzustellen.

Natürlich musste auch die Revision des ambulanten Arzttarifs angesprochen werden, die für die Ärzte- schaft eine beträchtliche Belastungsprobe darstellt.

Als Präsident einer grossen kantonalen Ärztege sell- schaft hat Josef Widler die Interessen aller Fach- gruppen zu berücksichtigen. «Nur Verlierer» sah er im Entwurf, der zum Zeitpunkt des Symposiums zur Dis- kussion stand und inzwischen im Rahmen einer Urab- stimmung von der Mehrheit der teilnehmenden FMH- Mitglieder abgelehnt wurde. Ein spezieller Dorn im Auge ist ihm die Kostenneutralität, die er als gesetzes- widrig bezeichnete und deren Aufhebung er forderte.

Ob die AGZ mit dem von ihr angestrebten Taxpunkt- wert 2017 von einem Franken durchkommt, wird sich zeigen. Die Wahrscheinlichkeit, dass die Tarife auch an den nächsten Zürcher Gesundheitstagen ein Thema sein werden, ist jedenfalls hoch.

Der Mensch als «komplexes Wunder»

Wenn Ärztinnen und Ärzte durch intelligente Maschi- nen ersetzt würden, wären Tarifdiskussionen vermut- Kämpferisch: AGZ-Präsident Josef Widler bei seiner gesundheitspolitischen Tour

d’Horizon.

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1050–1052

TRIBUNE Compte rendu de conférence 1050

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lich kein Thema. Technikvisionäre wie der US-Ame- rikaner Ray Kurzweil träumen offenbar von solchen Szenarien. Anton Gunzinger, der auf dem Uetliberg zum Thema «Mensch und Maschine» sprach, wirkt dies- bezüglich etwas geerdeter. Der Professor und Dozent am Departement für Informationstechnologie und Elektrotechnik der ETH Zürich und Inhaber der Firma

Supercomputing Systems AG wurde bekannt als Ent- wickler eines superschnellen Rechners. Dass er die schwindelerregenden Fortschritte der Computertech- nologie, speziell im Bereich selbstlernender Systeme, hautnah miterlebt und sein Geld als «Techniker» ver- dient, tut seinem Staunen über den Menschen, den er als «komplexes Wunder» bezeichnet, keinen Abbruch:

«Da hat jemand einen ziemlich guten Job gemacht», urteilt er mit einem Anflug britischen Understate- ments. Das zentrale Unterscheidungsmerkmal zwi- schen Mensch und Maschine ortet er im «Ich-Bewusst- sein». Angesichts der Komplexität lebendiger Systeme wundert sich Gunzinger darüber, wie «locker» auch in der Wissenschaft mitunter mit Risiken umgegangen werde, beispielsweise im Bereich der Gentechnologie.

Die Übertragung der Industrielogik auf die Organisa- tion von Spitälern ist für ihn aufgrund der Komplexi- tät dieser Gebilde der falsche Weg: «Das kann nicht gutgehen.» Medizinische Organisationen sollten als lernende Systeme konzipiert werden, in denen Ver- antwortung soweit wie möglich nach unten delegiert werden müsste. Grosse Chancen für unser Gesund- heitswesen sieht Gunzinger etwa in der Prophylaxe («Work-Life-Balance»), der Kooperation von Mensch und Maschine in Bereichen, wo dies sinnvoll ist, in der Unterstützung der Selbstheilungsprozesse und nicht zuletzt in der Integration des Todes.

«Selbst bestimmt sterben»

Um die Integration statt Verdrängung des Todes geht es auch in der Palliativmedizin. Ein äusserst enga- gierter Vertreter dieser Disziplin ist Gian Domenico Borasio, der an der Universität Lausanne einen Lehr- stuhl für Palliativmedizin innehat. «Selbst bestimmt sterben» lautete der eigenwillig in drei Wörtern formulierte Titel seines Referats. Allein schon die demographische Entwicklung mit einer Zunahme der Demenzerkrankungen und der Sterbefälle legt nahe, dass die Palliativmedizin inskünftig an Bedeutung gewinnen wird. Diese Disziplin versucht, durch Vor- beugung und Linderung von Leiden die Lebensqualität von Patienten – und ihren Angehörigen! – zu verbes- sern, die mit einer lebensbedrohlichen Erkrankung konfrontiert sind. Es dürfte wohl kaum jemanden ge- ben, der diese Ziel setzung nicht unterschreiben kann.

Gemäss den Daten, die Borasio präsentierte, wird das Ziel einer höheren Lebensqualität durch palliativ- medizinische Betreuung tatsächlich erreicht, und dies bei geringeren Kosten und einer signifikant höheren Lebenserwartung. Als eine Schlüsselfähigkeit von Fach- personen, die palliativmedizinisch tätig sind, bezeich- net Borasio die Fähigkeit, den Patienten zuzuhören:

Anton Gunzinger referierte zum Thema «Mensch und Maschine».

Den Patienten zuhören: Gian Domenico Borasio, Professor für Palliativmedizin in Lausanne.

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1050–1052

TRIBUNE Compte rendu de conférence 1051

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«Die Medizin der Zukunft wird eine hörende sein, oder sie wird nicht mehr sein.»

Von Ernährung über Satire bis zu «Big Data»

Wie breit das am Symposium abgedeckte Spektrum war, lässt sich leicht anhand der Themen zeigen, die von den weiteren Referenten abgedeckt wurden. Der Soziologe Jens Krüger sprach über die Ernährung der Zukunft und stellte fest, dass Essen zunehmend zum Ausdruck des persönlichen Lebensstils und der Weltanschauung werde. «Bio und Nachhaltigkeit», aber auch «In-vitro- Fleisch & Co.» würden in diesem Zusammenhang an Bedeutung gewinnen, prognostizierte er. Die Technik spiele im Zusammenhang mit Ernährungstrends eine wichtige Rolle, und wie in anderen Lebensbereichen werde die Personalisierung auch im Bereich der Lebens- mittel fortschreiten – Stichwort: Personal Food.

Nachdem der Kabarettist Lorenz Kaiser den ersten Ver- anstaltungstag satirisch hatte ausklingen lassen, bot auch die Fortsetzung viel Überraschendes und Infor- matives, oftmals kombiniert. Ernst Hafen, Direktor des Instituts für Molekulare Systembiologie der ETH Zürich, baute in seine Ausführungen zu «Big Data» den Vorschlag ein, künftig analog zu Bankkonten persön- liche Datenkonten einzurichten, deren Zweitverwer- tung den Besitzern einen finanziellen Nutzen, also eine Art Zinsen bringen könnte. Datenbesitz und Ver- wertungshoheit sollten per Verfassungsgesetz beim betreffenden Kontoinhaber liegen. Hafen plant dazu eine Volksinitiative und sucht Mitstreiter.

bkesseli[at]emh.ch

Personalisierte Therapie psychiatrischer Erkrankungen

Mit einem Zitat im Geist von Sokrates stieg Florian Holsboer, ehemaliger Direktor des Max-Planck-Insti- tuts für Psychiatrie, in sein Referat ein: «If the brain were so simple that we could understand it, we would be so simple that we couldn’t», hatte Edward Pugh 1973 in seinem Buch The Biological Origin of Human Values konsta- tiert. Bescheidenheit ist angesichts der nicht wirklich fassbaren Komplexität unseres Gehirns zwei- fellos angesagt. Dass wir dennoch daran sind, die Tür zu bahnbrechenden Fortschritten in der Behandlung psych iatrischer Erkrankungen aufzustossen, zeigte Holsboer im Folgenden am Beispiel der personali- sierten Depressionstherapie. Gegen die sich abzeich- nenden, auf das Individuum massgeschneiderten Be- handlungen wirken die heutigen medikamentösen Therapieversuche wie ein Tappen im Dunkeln.

Die politischen und philosophischen Schlussbe- trachtungen des Zürcher Gesundheitsdirektors Tho- mas Heiniger und des Philosophen und Publizisten Ludwig Hasler schlossen einen Anlass ab, der dem Uetliberg-Claim «Top of Zurich» in verschiedener Hinsicht gerecht wurde. Man sieht den nächsten Gesundheits tagen mit Vorfreude und einiger Erwar- tung entgegen.

Der Verfasser dankt Bianka Hubert, stellvertretende Generalsekretä- rin der AGZ, für die zusammenfassenden Notizen zum zweiten Veranstaltungstag, an dem er nicht teilnehmen konnte.

Bildnachweise

Fotos 1–3: Bruno Kesseli; Fotos 4 und 5: Bianka Hubert, AGZ.

«Big Data» mit Zinsen: Ernst Hafen.

Bahnbrechende Fortschritte: Florian Holsboer sprach über personalisierte Depressionstherapie.

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1050–1052

TRIBUNE Compte rendu de conférence 1052

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Alte und neue Mythen um den Schwangerschaftsabbruch

Choon-Kang Walthera, Helene Huldib

a Dr. med., Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, Mitglied FMH, Mitglied APAC Suisse

b Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, Mitglied FMH, Mitglied APAC Suisse, Frauenpraxis Runa

Seit 2002 gilt in der Schweiz der straffreie Schwanger­

schaftsabbruch (SAB) während der ersten 12 Schwan­

gerschaftswochen (SSW) seit dem ersten Tag der letz­

ten Periode (= Fristenregelung). Das Stimmvolk hat 2014 einen Angriff auf die Bezahlung durch die Kran­

kenkasse deutlich abgelehnt (fast 70% stimmten gegen die «Privatfinanzierung»). In der Schweiz werden The­

men wie Sexualität und die Verhütung ungewollter Schwangerschaft sehr offen diskutiert. Verhütungs­

mittel (Antikonzeptiva) sind problemlos erhältlich.

Dadurch liegt die Zahl der Schwangerschaftsabbrüche in der Schweiz bei gebärfähigen Frauen (15–44 Jahre, Bundesamt für Statistik, 2014) bei 6,3 SAB pro 1000 Frauen, am tiefsten in Europa und wahrscheinlich weltweit. Trotzdem werden betroffene Frauen immer wieder mit unzeitgemässen Aussagen konfrontiert.

Einige Mythen rund um das Thema Schwangerschafts­

abbruch halten sich in der Ärzteschaft hartnäckig. Wir möchten diesem Umstand ein paar Fakten ent­

gegenhalten.

«Durch die Einführung von Mifegyne (RU 486) ist die Zahl der Schwangerschaftsabbrüche angestiegen.»

Falsch: Mifegyne wurde im November 1999 eingeführt.

Die Zahl der SAB in der Schweiz war im Jahr 1990 12 986,

im Jahr 2000 12 278 und im Jahr 2014 10 246, also sin­

kend. Dies bei steigenger Wohnbevölkerung. Die Rate der SAB pro 1000 Frauen zwischen 15 und 44 Jahren war 2010 knapp über 7, 2014 lag sie bei 6,3 SAB pro 1000 Frauen.

«Ein medikamentöser SAB kann nur bis 7+0 Schwan­

gerschaftswochen (SSW) durchgeführt werden.»

Falsch: Gemäss dem Expertenbrief Nr. 15 der Schweize­

rischen Gesellschaft für Gynäkologie und Geburtshilfe (SGGG) (überarbeitet 16. Dezember 2008) ist Mifegyne zum Schwangerschaftsabbruch in einem höheren Schwangerschaftsalter, zum Beispiel bis zum 63. Tag anwendbar. Grosse Fallzahlen aus dem Ausland bele­

gen, dass die Methode erfolgreich ist. Bei der Abort­

induktion aufgrund von Fehlbildungen des Fötus wird Mifegyne in der Schweiz auch im 2. Trimenon ange­

wendet.

«Ein legaler SAB darf nur bis 12+0 SSW durchgeführt werden. Danach machen sich die Ärztin und die Frau strafbar.»

Falsch: Über 12+0 SSW gilt die medizinische Indikation.

Das heisst, es braucht ein ärztliches Attest. Dieses be­

scheinigt der Frau eine gesundheitliche Gefährdung durch Fortführen der Schwangerschaft. Im Wortlaut:

«Der Abbruch einer Schwangerschaft ist straflos, wenn er nach ärztlichem Urteil notwendig ist, damit von der schwangeren Frau die Gefahr einer schwerwiegen­

den körperlichen Schädigung oder einer schweren seelischen Notlage abgewendet werden kann. Die Ge­

fahr muss umso grösser sein, je fortgeschrittener die Schwangerschaft ist.»

«Nach 12+0 SSW darf ein Schwangerschaftsabbruch durchgeführt werden, sofern ein psychiatrisches Gutachten vorliegt.»

Falsch: Jede Ärztin kann die Indikation für einen Schwangerschaftsabbruch nach 12+0 SSW stellen. Es braucht hierzu kein Gutachten, jedoch eine sorgfältige Dokumentation der Gründe für den Schwangerschafts­

abbruch, welche die seelische Notlage oder die Ge­

Anciens et nouveaux mythes autour de l’interruption de grossesse L’interruption de grossesse pendant les 12 premières semaines à compter du premier jour des dernières menstruations (= régime du délai) est admise en Suisse depuis 2002. En 2014, le peuple suisse a catégorique- ment refusé (70% des votants se sont prononcés contre un financement privé de l’avortement) l’attaque contre le remboursement de l’avortement par les caisses-maladie. En Suisse, la sexualité, la contraception et les gros sesses non désirées sont ouvertement discutées et l’accès aux contra- ceptifs ne pose pas de problèmes. Le nombre d’interruptions de grossesse y est le plus bas d’Europe et probablement du monde (6,3/1000 femmes de 15–44 ans). Malgré tout, les femmes concernées sont régulièrement confrontées à des remarques d’un autre âge. Le présent article porte sur quelques mythes autour de l’interruption de grossesse toujours d’actualité dans le monde médical.

TRIBUNE Point de vue 1055

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1055–1056

(16)

sundheitsgefährung der Frau beim Weiterführen der Schwangerschaft bestätigen.

«Die Indikation für den SAB muss von einer weiteren Ärztin bestätigt werden.»

Falsch: Die Ärztin, die den SAB durchführt, darf auch selber die Indikation stellen.

«Ein chirurgischer SAB wird immer im Spital durch­

geführt.»

Falsch: Ein chirurgischer SAB in der Arztpraxis von ausgewählten Ärztinnen ist eine sichere Alternative.

Statt in Vollnarkose oder Spinalanästhesie wird der Eingriff in Lokalanästhesie durchgeführt. Dadurch sinkt das Risiko einer Blutung während dem Eingriff und das Anästhesierisiko ist tiefer. Zudem wird die Patientin vom ihr bereits bekannten Team in der Pra­

xis betreut. Das Setting in der Praxis umfasst weniger Personal als in einer Klinik mit unbekannten Ärzten, Anästhesie­, OP­ und Pflegefachleuten.

«Ein SAB darf erst durchgeführt werden, wenn eine intakte intrauterine Schwangerschaft mit Ultraschall bestätigt ist. Sonst besteht u.a. die Gefahr der persistierenden Eileiterschwangerschaft.»

Falsch: Ein Schwangerschaftsabbruch kann früher durchgeführt werden. Wenn keine intakte Schwanger­

schaft oder noch gar kein Embryo intrauterin gesehen wurde, muss nach dem SAB das Absinken des Beta­

HCG im Serum kontrolliert werden.

«Zwischen dem ersten Arztbesuch und dem SAB muss eine mindestens 24­stündige Bedenkzeit eingehalten werden.»

Falsch: Die Dauer der Bedenkzeit ist im Gesetzestext nicht definiert. «Es muss eine angemessene Bedenk­

zeit eingehalten werden». Die Frauen kommen oft schon gut informiert und nach reiflicher Überlegung und Besprechung mit Angehörigen zur ersten Konsul­

tation wegen ungewollter Schwangerschaft.

Die Abgabe von Mifegyne bei der ersten Konsultation ist möglich. Da die Informationen über das medizi­

nische Prozedere, welche der Frau mitgeteilt werden, komplex sind, ist eine zweite Konsultation oft sinnvoll.

«Das Ausstossen des Schwangerschaftsproduktes muss immer im Spital oder in einer Arztpraxis erfolgen.»

Falsch: Das Ausstossen der Schwangerschaft kann zu Hause erfolgen. Viele Frauen schätzen jedoch medizi­

nische Betreuung während dem Ausstossen der Schwan­

gerschaft. Besonders junge, nullipare Frauen profitie­

ren bei starken Blutungen oder starken Schmerzen.

Wenn das Ausstossen der Schwangerschaft zu Hause erfolgen soll, ist eine ausführliche Aufklärung und die Abgabe von Notfall­Telefonnummern wichtig.

«Die Nachkontrolle beinhaltet immer Ultraschall.»

Falsch: Bei Ultraschall kurz nach dem SAB findet sich Restmaterial. Es ist nach wie vor unklar, wo die zuläs­

sige Grenze der Endometriumdicke ist. Die Beta­HCG­

Kontrolle zwei Wochen nach dem SAB ist die bessere Methode. Bei Beta­HCG über 500–1000 IU/l muss inter­

veniert werden. Es gibt auch einen Schwangerschafts­

test (Check­ToP), der die Grenze bei 1000 IU/l hat.

Bildnachweis

© Bialasiewicz | Dreamstime.com

Hinweis

Der Einfachheit halber wird nur die weibliche Form gewählt. Sie soll für beide Geschlechter gelten.

Korrespondenz:

Dr. med. Choon­Kang Walther und Helene Huldi Frauenpraxis Runa Theatergasse 26 CH­4500 Solothurn mythenzumsab[at]drckw.ch

In der Schweiz werden Sexualität und ungewollte Schwangerschaft offen diskutiert.

Trotzdem werden Frauen, die sich überlegen, einen Abbruch vornehmen zu lassen, immer wieder mit unzeitgemässen Aussagen konfrontiert.

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1055–1056

TRIBUNE Point de vue 1056

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Apnée du sommeil: Le CHUV a arrangé un test simple

Le Centre d’investigation et de recherche sur le sommeil de l’hôpital universitaire de Lausanne et de l’Université de Lausanne a mis au point un test particulièrement fiable pour détecter les personnes qui risquent de souffrir d’apnées du sommeil. Le test, un questionnaire, porte sur cinq facteurs de risque: tour de cou supérieur à 40 centimètres, in­

dice de masse corporelle dépassant 25, sexe mas­

culin, âge de 55 ans et plus et personne sujette aux ronflements. Ce test est également disponible sur une application. Il permet dans un premier temps d’éviter de recourir à des examens diagnostiques plus fastidieux et plus coûteux.

(CHUV) Apnée du sommeil: Les hommes de 55 ans et plus portent un risque.

Nicht nur Traumata, auch Fähigkeiten zu deren Überwindung werden vererbt

Leben männliche Mäuse, die während ihrer frühen Kindheit Stress ausgesetzt waren, im Erwachsenenalter unter angenehmen Bedin- gungen, normalisiert sich sowohl ihr Verhalten wie auch das ihrer Nachkommen, wie Forscher der Universität Zürich und ETH Zürich heraus- gefunden haben. Verantwortlich dafür ist die epigenetische Steuerung des Glukokortikoid- Rezeptors: Die Aktivität dieses Gens wird nor- malerweise durch Methylgruppen, die an be- stimmten Stellen der DNA-Sequenz angeheftet sind, herabgesetzt. Durch traumatische Er- lebnisse werden jedoch mehrere dieser Me- thylgruppen entfernt, so dass der Glukokorti- koid-Rezeptor vermehrt produziert wird. Die Wissenschaftler gehen davon aus, dass ver- änderte DNA-Methylgruppenmuster via Sper- mien an die Jungen weitergegeben werden.

(Universität Zürich)

Erstmals gelang Forschern der Nachweis, dass positive Umweltfaktoren Verhaltens­

änderungen korrigieren können, die sonst an die Nachkommen vererbt würden.

© Cornelius20 | Dreamstime.com

Aggressivität der akuten myeloischen Leukämie entschlüsselt

Forschende des Departements Biomedizin der Universität Basel und des Friedrich Miescher Institute for Biomedical Research haben ent-

deckt, warum akute Leukämien mit der gleichen genetischen Veränderung unterschiedlich ag- gressiv verlaufen. Sie haben am Mausmodell belegt, dass die krebsauslösende Veränderung besonders verheerend ist, wenn sie in frühen Blutstammzellen auftritt. Dort sind bestimmte Gene aktiv, welche die Zellwanderung und die Gewebeinvasion begünstigen. Interessanter- weise konnten die Erkenntnisse aus der Maus auf den Menschen übertragen werden: In Pa- tientenproben mit einem aggressiven Verlauf waren genau dieselben Gene aktiviert. Diese Resultate erlauben es, die betroffenen Gene als Biomarker zu verstehen.

(Universität Basel) Patienten hoffen, dass sie dank den Erkenntnis­

sen der Basler Forscher eindeutiger gruppiert und gezielter behandelt werden können.

© Leaf | Dreamstime.com

La révolution des pontages vasculaires

Actuellement, l’une des opérations de chirurgie vasculaire les plus pratiquées dans le monde concerne les pontages, tant coronariens que des membres périphériques. Bien que réalisée sur environ un million de patients par année, son taux d’échec culmine à 50% à cause de la mauvaise cicatrisation du vaisseau. Afin d’amé- liorer la longévité des pontages, des chercheurs de l’Université de Genève se sont associés aux médecins du Centre hospitalier universitaire vaudois. Ils ont ainsi mis au point un gel conte- nant des microparticules, le GeM, permettant la diffusion contrôlée d’une drogue luttant contre la surproduction cellulaire. Administré de manière non invasive et locale sur le pontage lors de l’intervention, ce traitement préventif permettrait de diminuer le risque de ré-obstruc- tion vasculaire.

(Université de Genève)

Le pontage vasculaire permet de contourner une artère obstruée en implantant un vaisseau prélevé chez le patient, ceci afin de créer une déviation de la circulation.

© UNIGE

Die Krankenkassenprämien sollen in zwei Schritten erhöht werden, um das Gesundheits­

system zu entlasten.

Der Prämienbeitrag für die allgemeine Krank - heitsverhütung wird erhöht

Psychische Erkrankungen sollen künftig rascher er­

kannt und behandelt und die Gesundheit im Alter gestärkt werden. Das Eidgenössische Departe­

ment des Innern (EDI) erhöht deshalb den Zuschlag auf der Krankenkassenprämie in zwei Schritten, wie dies von der Stiftung Gesundheitsförderung Schweiz beantragt worden ist. Der Prämienzu­

schlag von heute beträgt jährlich 2.40 Franken pro krankenversicherter Person. 2017 steigt die Summe auf 3.60 Franken. Damit soll die Belastung des Ge­

sundheitssystems durch chronische, nichtüber­

tragbare Krankheiten verringert werden.

(BAG)

© Cammeraydave | Dreamstime.com

© Kiosea39 | Dreamstime.com

TRIBUNE Spectrum 1057

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1057

(18)

… Simone Zumbrunnen, Medizinische Praxisassistentin in Basel

«Heute ist MPA kein Sackgass-Beruf mehr»

Daniel Lüthi

Freier Journalist und Fotograf, Medientrainer, Bern

Der Namenswechsel fasst die Entwicklung dieses Beru­

fes zusammen: Aus der Arztgehilfin ist die Medizi­

nische Praxisassistentin MPA geworden. Simone Zum­

brunnen war im ersten Lehrgang der neuen Ära dabei.

Und ist eine ihrer repräsentativen Exponentinnen geworden. Sie ist stolz auf ihren Beruf und zufrieden damit, gleichzeitig kämpft sie kontinuierlich für Ver­

besserungen. «Vieles hat sich zum Positiven verän­

dert», sagt sie, «aber nach wie vor müssen wir uns häufig verteidigen und rechtfertigen.»

Rückendeckung aus der Ärzteschaft

Die Abgrenzung zu anderen Berufen sei ein Thema.

«Nein, ich bin keine Krankenschwester», müsse eine

MPA immer wieder sagen, aber – je nach Arbeitsstelle – auch: «Nein, ich bin nicht nur die Empfangsdame.»

Dazu komme, dass MPA ein klassischer Frauenberuf sei – mit allen Nachteilen. Es gehe um Anerkennung, und diese manifestierte sich unter anderem im Lohn.

«4000 Franken als durchschnittliche Basislohn­Emp­

fehlung der FMH ist klar zu tief und überhaupt nicht zeitgemäss, das stört mich schon lange», stellt Zum­

brunnen fest. Klipp und klar und trotzdem mit einer grossen Portion Charme, wie es eben ihre Art ist. In gewissen Kantonen liegt der Grundlohn nach drei Jah­

ren Ausbildung noch tiefer, zum Beispiel im Tessin bei 3600 Franken. «Da geht man lieber in einem Aldi arbeiten», ärgert sich Zumbrunnen. Wie viel wäre denn erwünscht? «Ein Grundlohn von 4500 Franken und

BULLETIN DES MÉDECINS SUISSES – SCHWEIZERISCHE ÄRZTEZEITUNG – BOLLETTINO DEI MEDICI SVIZZERI 2016;97(30–31):1058–1060

HORIZONS Rencontre avec… 1058

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