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Fribourg - Rte de la Glane Tél

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Le paysan :

-y--'

Il peut neiger — c'est le titre d'une chan¬

son — pleuvoir ou freier, la nature ne perd jamais ses droits. Les traditions non plus.

Ainsi avril passé, l'avalanche des « chaux » d'Estavannens descendue, le coucou revenu, la montagne verdit. Klle se met aussi au vert!

Kt déjà le « teneur de montagnes » constate qu'il a pris quelque retard. Il faudra mettre les bouchées doubles pour le prochain départ.

Que de travail avant de partir vers la mon¬

tagne: le bétail, le train du chalet, les « haies », le personnel ; quels soucis! Le personnel sur¬

tout. Hien sûr, en principe, il y a longtemps quo ri-! i^t—ipiflsttmr esf~Téglée. Mais sait-on jamais... L'argent joue un si grand rôle. Re¬

marquez d'ailleurs que le paysan peut comp¬

ter généralement sur son armailli. La parole donnée est sacrée. 11 n'y a pas besoin d'écrits!

Dans quelques jours, quelques semaines au plus tard, nous verrons, vous verrez nos routes envahies par les troupeaux. On s'exclame, on montre du doigt la plus belle... vache. Et. vite l'appareil de photographie pour fixer sur la pellicule cette blanche et rouge 011 celte noire et blanche. Admirez ces sonnailles brillantes, ces cuirs décorés, ce petit sapin garni de fleurs qui se balance entre les deux cornes de la reine du troupeau! Mais oui, les armaillis joyeux poussent des « youtzes » sonores, agi¬

tent leur canne, avalent d'un trait le verre de l'amitié qu'on leur offre. Que c'est beau la montée à l'alpage et quelle poésie se dégage de ces gestes mille fois répétés, mille fois pho¬

tographiés, mille fois imités et sans cesse admirés!

Seulement voilà: vous n'assistez pas à l'ar¬

rivée au chalet. La fatigue a eu raison de la bonne humeur. Un rien déclenche la colère.

Il faut s'occuper du bétail en premier, des hommes en dernier. La faim tenaille, la nuit envahit l'étable déjà sombre. On se hâte, mais on ne trouve pas les mêmes commodités qu'en bas. Adieu la poésie! Certes, ceux qui sont habitués à cette vie attendent impatiem¬

ment le retour de la « poya ». Ils connaissent les coins et les recoins de tel vallon, les en¬

droits marécageux et ceux qui fournissent un excellent fourrage. Ils n'ignorent pas les dan¬

gers qui guettent le bétail. Ils se créent un univers de simplicité et. de rusticité. Ils ou¬

blient rapidement les petitesses de la plaine.

Mais tout n'est pas que poésie. Pas plus pour eux que pour le paysan.

Le mois de mai, le plus beau de tous — comme nous le rappellent les chansons d'en¬

fants — ne parvient pourtant pas à cacher les

préoccupations qui assaillent le paysan. Il se rend compte de l'évolution qui secoue le monde. Il sent, que le tourbillon, semblable à un vent violent qui agite même les chênes les plus robustes, l'entraîne plus loin que son tempérament 11e le souhaite. Le paysan, tra¬

ditionnellement individualiste — 011 l'a dit et répété — perçoit sans doute très tôt. les pre¬

mières tentatives venant de toutes parts pour l'amener dans le circuit d'une économie à la¬

quelle il 11e croit pas. Le paysan procède sur¬

tout par estimations, par évaluations. Son intuition aiguisée par la vie au grand air et.

le contact des choses lui dicte une attitude de méfiance. Sa droiture, son honnêteté ne lui permettent, pas de céder à la facilité. Il a tra¬

vaillé dur pour arriver. Il fuit l'aventure, alors que toute sa vie est marquée d'insécu¬

rité. Il calcule, mais mentalement. Sa compta¬

bilité, il la tient, dans sa poche ou le tiroir de l'armoire. Il se préoccupe moins du prix de revient que de celui de vente. Il achète rare¬

ment dans le but de revendre tout, de suite.

En un mot, le paysan se fie à sa sagesse, à son bon sens, mais avant tout, à l'avenir et fina¬

lement à Dieu. Tel est le langage que tenait un paysan, voilà quelques années. Propos réa¬

listes, profondément humains et émouvants, dépourvus de poésie.

* *

Mais l'évolution a fait son chemin. La tech¬

nique gagne l'économie rurale. La décentra¬

lisation de l'industrie place des jalons dans

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nos campagnes. Kt. autour d'elle s'attachent à la fois l'attention et. l'intérêt des gens de la terre. Ils savent ouvrir les yeux et, tirer des conclusions. On leur a suffisamment parlé do rentabilité pour qu'ils commencent, mainte¬

nant à la tenir pour réalisable. Les méthodes modernes se substituent à celles qui sem¬

blaient, immuables. Kt rapidement! Les jeunes

— ils le disent eux-mêmes — retrouvent goût à la terre, parce (jue la technique s'est, mêlée aux traditions et a procuré des résultats tels qu'il vaut la peine de continuer. Aujourd'hui, 011 plante les pommes de terre, assis comme un ouvrier devant sa machine ou un employé derrière son bureau... Demain, le paysan saura construire un mur, réparer une toiture, remettre en état un moteur. Finalement, 011 rejoint, avec des moyens adéquats, le paysan du débul du siècle qui était à la fois agricul¬

teur, éleveur, jardinier, arboriculteur et vété¬

rinaire. Ce sont simplement les noms qui ont changé. Ils ont pris une allure plus technique.

Kl puis, hier comme aujourd'hui, l'Ame du paysan est restée la même. Cela coinple, pour lui, pour nous, pour le pays. La poésie d'un François Villon est devenue celle d'Aragon.

Knlre eux deux se placent cinq cents ans...

Mais c'est encore et toujours de la poésie. La terre, notre terre travaillée par l'outil en bois ou en fer ou encore en acier, reste notre terre.

Cette poésie et cette réalité baignent l'Ame du paysan, aujourd'hui comme hier et comme demain encore!

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Du jeudi 29 avril au dimanche 2 mai 1965

Jeudi 29 avril: Ouverture à 20 heures

Les autres jours: Ouverture sans interruption de 10 heures à 23 heures

Samedi 1er mai: JOURNÉE OFFICIELLE

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Combien (le fois, dans nos localités, n'assiste-t.-on pas à la naissance de nouvelles associations. Au cours d'assemblées plus ou moins enthousiastes, on dresse de mirobo¬

lants projets qui, souvent, ne voient jamais leur réalisation. Et de tels groupements som¬

brent ensuite dans une douce somnolence.

La SICAR,

une société qui va de l'avant Ce n'est, pas le cas de la SICAR (Société des industriels, commerçants et artisans ro- montois), qui a mis les bouchées doubles pour s'organiser d'abord, puis mettre sur pied, en l'espace de quelques mois, son 1er Comptoir romontois. C'est en effet en octobre de l'année dernière que M. André Billod, installateur, conçut l'idée de réunir en une association les commerçants, artisans et industriels du chef-lieu glânois. Il fit part de son projet à quelques amis et ceux-ci se constituèrent bientôt en un comité provisoire. M. Billod acceptait la présidence, ayant comme colla¬

borateurs MM. Louis Oberson, laitier, comme vice-président ; Bernard Deillon, dépositaire de la Brasserie du Cardinal, caissier; Paul Bourqui, imprimeur et Jean Dubey, boulan¬

ger. M. Bernard Casellini, employé à la Maison Ernest Deillon S.A., fut chargé du secrétariat.

143 convocations furent envoyées pour une première assemblée qui se tint le 14 décem¬

bre 1964. Les 25 personnes présentes accueilli¬

rent cette initiative avec enthousiasme et se déclarèrent toutes prêtes à adhérer à une telle association.

Au cours d'une deuxième assemblée, qui eut lieu au début de cette année, la nouvelle société adoptait ses statuts, et confirmait les membres du comité provisoire dans leurs charges. La SICAR a aujourd'hui un effectif de 60 membres.

Le but de la SICAR étant de travailler au développement économique de Romont, d'emblée se posa la question de savoir s'il conviendrait d'organiser un Comptoir romon¬

tois. Ce projet trouva bon écho. Si, habi¬

tuellement, de telles manifestations voient le jour de préférence l'automne, la SICAR voulut précisément rompre avec cette tradition, préférant choisir le printemps, période du renouveau. Dès lors, les dates du

•29 avril au 2 mai furent arrêtées.

Homonl n'a longtemps guère profilé de sa situation sur ta grande voie ferrée.

Que nous présentera

ce 1er Comptoir de Romont ? Disons tout d'abord qu'il occupera la place des écoles, la place de l'IIôtel de Ville, le haut de la rue de l'Eglise (qui sera coupée à la circulation) et le Bâtiment Clément.

Sur la place de l'IIôtel de Ville, une halle de 360 m2 sera dressée. Dans ses alentours seront, installés les stands du camping, de la cons¬

truction, des machines agricoles, des voitures et de la lutte contre le feu. Dans l'enceinte du Comptoir, il y aura évidemment un restau¬

rant et un bar à bière. De plus, un centre gastronomique sera installé dans les locaux du Bâtiment Clément. Raclettes et fondues figureront au nombre des spécialités et l'or¬

chestre du « Quart d'heure vaudois » de l'Expo ne manquera pas de créer une atmos¬

phère de gaieté.

La jeunesse y trouvera son compte. En effet, grâce à la collaboration de la brigade de la circulation, un jardin d'enfants occupera la place des écoles. Il aura son succès espéré.

Pour l'organisation de ce 1er Comptoir de Romont, la SICAR a trouvé un appui com¬

plet, tant auprès des autorités du district et de la commune qu'auprès de la gendar¬

merie. Son comité s'est adjoint deux person¬

nalités, le sergent, Romain Genoud, chef du poste de gendarmerie de Romont, et M.

Xavier Cornu, inspecteur d'assurance. Disons enfin que d'imporLants engagements ont été pris et que le budget se chiffre par plusieurs milliers de francs.

D'autres projets

Ce 1er Comptoir romontois ne sera pas l'unique activité de la SICAR pour cette année. En effet, le 8 mai déjà, grâce à un comité que préside M. Gérard Clerc, syndic, et qui réunit la plupart des sociétés locale, Romont verra l'arrivée d'une demi-étape du Tour de Romandie. Et la SICAR s'est vu confier l'importante tâche de trouver les fonds nécessaires.

(Suite, page 1)

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Pour le bien de ses membres, elle envisage dejmettre sur pied des cours de vente et de publicité. D'autre part, pour l'intérêt général de la cité, elle entend intervenir auprès des autorités locales pour que la ville soit illu¬

minée à l'occasion de certaines fêtes et mani¬

festations. Elle projette d'organiser des con¬

cours de vitrines à la veille des fêtes de fin d'année, comme aussi d'engager l'ensemble des commerçants à maintenir leur devanture éclairée le soir, jusqu'à 'Ï2 heures au moins.

M. André liillod, président de la SICAIi el président de ce 1er Comptoir de Hotnonl.

Ces quelques exemples nous prouvent la vitalité de la SICAR qui ne tardera sans doute pas à mettre sur pied d'autres réalisations.

Certains du succès de ce lor Comptoir de Romont, les responsables nous ont d'ores et déjà révélé leur intention de renouveler cette manifestation, vraisemblablement tous les deux ans.

Fribourg-Illustré souhaite dans tous les cas que cette initiative rencontre la faveur d'un nombreux public 11011 seulement de Romont et des environs, mais de tout le canton et même au-delà. Romont, cité historique et pittoresque, mérite bien notre visite, d'autant plus que sa population est très gentiment courtoise et hospitalière.

Programme

Jeudi 29 avril 1965 Ouverture à 20 h.

Vendredi 30 avril 1965 Ouverture de 10 h. à 23 h.

Samedi 1er mai 1965 JOURNÉE OFFICIELLE Ouverture de 10 h. à 23 h.

Cérémonie officielle à 14 h.

Après-midi: lâcher de ballons Dimanche 2 mai 1965 Ouverture de 10 h. à 23 h.

Après-midi:

— concert par le Corps de musique des Cadets de la ville de Romont

— démonstrations par la Société canine de Romont

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Comilé d'organisation de ce leT Comptoir: de g. à dr., MM. liernard Casellini, Paul liourqui, Bernard Deillon, André Billod, Louis Oberson, Xavier Cornu, .Jean IJubeij el le Sgt Homain Genoud.

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Le /« COMl'TOIH DE HOMONT nous fournit l'occasion de faire ici le point de l'éco¬

nomie romontoise. Mais un point est toujours précédé d'une séquence qui a 1111 commence¬

ment, un milieu et une fin. En cette matière, le commencement remonte au XVe siècle.

Voici donc...

Un brin d'histoire économique La base de l'économie romontoise a tou¬

jours été agricole, grAce ft l'apport des habi¬

tants de la cité travaillant eux-mêmes les terres d'alentour, grâce surtout à celui des paysans du comté savoyard ou du bailliage fribourgeois.

Des industries s'y installèrent pourtant très tôt. Dans la première moitié du XVe siècle, on y trouve plusieurs fabriques et commerces de faux el de faucilles, entreprises encouragées et soutenues par la Maison de Savoie, et par¬

ticulièrement par le duc Amédée VIII, en

MIC. La marque de fabrique: deux clefs. Le fabricant principal : Aymonet Favre.

Un autre Favre veut que son Iiis devienne monnayeur, et, le place en apprentissage à Fribourg.

On confectionne également des draps et, en 1440, le Conseil décide que les tissus fabri¬

qués à Romont seront contrôlés et scellés. La ville elle-même est propriétaire de {tresses à fouler qu'elle donne en amodiation.

A diverses occasions aussi, des fondeurs de cloches s'installèrent en ville, et l'histoire en cite plusieurs au XVe siècle.

Il y a cent ans

On y fabriquait de la bière et l'on offrait à vendre de la drôche (malt) «si avantageu¬

sement connue pour l'entretien el l'engrais du bétail ». Le bourg est surtout commercial ; les foires de Homont sonl très courues; 011 y

= ' l.a Tour <les Hem parts.

vient de loin, el particulièrement à celle de la Mi-Aoi1t. 11 s'y est fondé une Société de secours mutuels; la lfanque. populaire de la (ilâne s'ouvre en 18('>r>; l'artisanat, y prospère comme le commerce de détail; Mainerl- Soussens rachète une imprimerie et, lance le journal L'Ami du Peuple. Les trains s'arrê¬

tent au pied de la colline, et l'on projette la construction de la ligne Homont - Huile. Aussi est-on en droit d'attendre un regain d'activité économique. Il ne vint malheureusement pas.

Disons même que Homont n'a guère prollté de sa situation sur la grande voie ferrée.

Du bois au plastic

L'économie romontoise est aujourd'hui en bonne voie de développement. Au début de ce siècle, l'industrie du bois connut un bel essor en notre ville. La Pre¬

mière Guerre mondiale lui porta, hélas! un coup fatal.

Kn 1007, une Usine électrique à vapeur s'installa au lieu-dit le Moulin des Moines, près de l'Abbaye de la Fille-Dieu, en vue de faire face au déliciL de force provenant des variations considérables de débit de la Surine à Montbovon et de l'augmentation de la charge des réseaux de la Société des usines hydro-électriques de Montbovon. Cette usine de réserve marcha jusqu'après la Première Guerre mondiale ou, plus exactement, jus¬

qu'à la mise en exploitation de l'usine de Hroc.

L'usine fut rachetée en 1935 par l'h'leclro- verre Iiomonl S. A. qui, après les débuts dif¬

ficiles inhérents à toute entreprise nouvelle, connaît maintenant une marche florissante.

La l'arsa, fabrique de produits de chauffage agglomérés, fonctionna durant la Deuxième Guerre mondiale dans les locaux de l'ancienne usine Dumas, près de la Tannerie Deitlon, la¬

quelle occupe une partie des bâtiments de cette ancienne scierie.

(Suite, page 11)

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Un événement important pour l'avenir de la cité est l'implantation d'un Parc automo¬

bile de l'armée, dès 1950. Il s'ensuivit la cons¬

truction d'une série d'immeubles locatifs, et l'arrivée d'un contingent de quelque 300 per¬

sonnes, dont la plupart de langue allemande, et quelques familles de confession réformée.

La situation s'est aujourd'hui normalisée, un personnel d'expression française ayant rem¬

placé peu à peu les fonctionnaires de langue allemande. Le développement des installa¬

tions militaires dans la région de Romont n'est pas sans poser certains problèmes pour l'avenir économique de la cité.

Dès l'JôC, nous avons assisté à l'ouverture d'ateliers par Montres Dolmy S. A., à l'exten¬

sion de l'atelier mécanique Menétrey devenu la Fabrique d'ascenseurs du même nom, ins¬

tallée dans la zone industrielle de la Condé- mina, à côté de la Fabrique de vêlements Angéloz qui a pris également une réjouissante extension. Nous aurions garde d'oublier la Fabrique de faïence Brttgger, près de la gare, installée en 1954.

Enfin, en 1964, c'est l'usine Métallurgie el Plastic S. A. qui ouvre ses portes i\ la Oondé- mina.

Parallèlement à ce développement indus¬

triel, susceptible de se compléter, disons même qui n'est encore qu'ébauché, nous avons assisté à l'essor de la construction (Vimmeu-

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prises de l'industrie du bâtiment : maçonnerie, charpenterie, menuiserie, vitrerie, installa¬

tions diverses, tant il est vrai que dans le domaine économique, plus que dans d'autres peut-être, une affaire en amène une autre.

Et pour finir

Dans le secteur de la paysannerie, nous signalerons les deux laiteries, le moulin agri¬

cole, le séchoir ù herbe et la Société d'agricul¬

ture de Romont (SAR).

Le commerce de l'argent va de pair avec le développement économique d'une région. La BEF et la BPS ont leur succursale à Romont, mais l'institut bancaire spécifiquement ro- montois est la Banque de la Glane qui, ce prin¬

temps même, célèbre son premier centenaire.

Est-il besoin d'ajouter qu'il importe égale¬

ment de poursuivre le développement des arts d'agrément, de fournir la population un lot de distractions variées, depuis le restau¬

rant à la salle de spectacle, en passant par le sport, la musique et les magasins. Avec l'ac¬

croissement de la population résidentielle, ces efforts vers l'amélioration des loisirs ne sau¬

raient devenir que plus faciles et plus fruc¬

tueux.

L'économie romontoise est certainement, en bonne voie de développement. Elle a cepen¬

dant par trop tardé ä prendre une marche résolument ascendante. En revanche, de par sa situation et l'esprit progressiste de ses autorités actuelles, Romont peut, prétendre à une expansion économique durant de nom¬

breuses années encore. 1011e peut offrir, A qui veut, s'y installer, des terrains propices et A des conditions avantageuses, une main- d'œuvre masculine et féminine nombreuse, des voies de communication directes par routes et par chemins de fer.

Enfin, Romont attend l'ouverture pro¬

chaine des chantiers de la Gare frigorifique,

«jui doit la placer en vedette sur le commerce international. Ce sera le « boom » bienvenu, niais longtemps attendu. I.s P.

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1. intégrât ion de l'orientation professionnelle i\ l'Keole se révèle à l'usage la formule la plus efficace en même temps que la plus conforme i\ la théorie actuelle. Klle s'inscrit d'ail¬

leurs dans presque tous les mouvements de la réforme sco¬

laire. Progressivement l'Keole prend conscience que l'orien¬

tation des jeunes vers la vie du travail fait, partie de sa mission, qu'elle doit en prendre l'initiative et s'organiser en conséquence.

Des maîtres spécialisés

C'est le mérite de l'Autorité communale de Kribourg et de la Direction de l'Keole secondaire des garçons de cette ville d'avoir compris cel te évolution et d'avoir pris les dispo¬

sitions utiles. Deux maîtres spécialisés ont été déchargés d'une partie de leur enseignement et se sont, préoccupés de l'avenir professionnel des élôves, l'un dans les classes fran¬

çaises, l'autre dans les classes allemandes, appliquant, la formule moderne de Vorienlalion continue par l'observation, l'information, les examens psychométriques cl les entretiens individuels. I.'objectif visé est la prise île conscience de soi- même, de ses possibilités et limites, l'évolution vers la matu¬

rité professionnelle et linalemenl l'autodétermination des adolescents. IJn tel programme est réalisable par la majorité des élèves du niveau secondaire inférieur, mais se révèle difficilement accessible dans les classes de (in de scolarité primaire.

Un cycle de deux ans

l,a période d'orientation s'étend sur une année seulement pour un petit groupe d'élèves, sur deux ans pour la majorité, sur trois ans enlln pour quelques-uns. Si la durée d'un an parait suffisante pour un certain nombre venus tardivement à l'Keole seéondaire, le cycle de deux ans se révèle utilo et même nécessaire pour le plus grand nombre. Une évolution sensible marque le passage (le la 2e classe ù la 3° et, de nou¬

veaux horizons s'étant. ouverts, des juxtapositions nouvelles et des. modifications d'intérêts interviennent. C'est notam¬

ment le cas lorsque des élôves ont occupé une partie de leurs .1 râtelier de mécanique du Technicum cantonal.

Ci-dessous: .lu Technicum encore, un autre groupe risila l'atelier des futurs

radio-électriciens. Futurs étalagistes-décorateurs à l'entrée il'une devanture des

grands magasins Aux Trois-Tours.

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dernières vacances à du travail réel dans une entreprise:

cette [irise de contact avec la vie pratique favorise le plus souvent la maturation de la personnalité et. le choix profes¬

sionnel peut s'en trouver modifié.

Pour confirmer ou infirmer un choix provisoire

C'est dans le cadre de ces heures consacrées à l'orientation professionnelle que, le 17 mars dernier, "20(1 élèves de '2e année

— dont la plupart feront encore la 3e année — répartis en 33 groupes de (> à 8 élèves selon leurs intérêts professionnels, ont visité 33 entreprises de la ville. Tous ces garçons avaient été suivis par le Service d'orientation professionnelle de l'Ecole et ont déjà, du moins provisoirement, choisi leur métier. Le but de cette visite était donc de leur permettre d'observer sur place et dans la réalité leur futur métier, tel qu'il est appris et pratiqué, pour confirmer ou infirmer ce choix provisoire.

Les 33 patrons sollicités réservèrent tous bon accueil à ces jeunes visiteurs. Soit eux-mêmes, soit un contremaître ou une autre personne compétente de leur entreprise consacrè¬

rent ainsi deux heures de leur temps à décrire le métier et à montrer la place qu'il occupe dans l'entreprise, de même qu'à répondre aux multiples questions posées. Précisons que tous ces garçons n'étaient pas accompagnés, un élève étant désigné comme responsable dans chaque groupe. Ainsi chacun put se sentir parfaitement à l'aise. Et la visite n'en fut sans doute (pie plus profitable pour les candidats au métier.

Comme les fois précédentes

Ateliers mécaniques, imprimeries, garages, ateliers de menuiserie-ébénisterie, de radio-électricité, d'électronique, de monteurs-électriciens, laboratoire de chimie, bureaux de dessinateurs-géomètres, en génie civil, en bâtiments, en machines, en métallurgie, bureaux industriels et commer¬

ciaux, chantier de maçon-carreleur, atelier d'étalagiste- décorateur, cuisine d'hôtel, bureaux de banques, d'assu¬

rances, la gare et la poste, telles furent les entreprises qui accueillirent ces '200 garçons.

C'était la quatrième fois qu'une telle expérience était tentée par M. Alfred Sudan, responsable de l'orientation professionnelle à l'Ecole secondaire des garçons. Comme les précédentes, elle fut une réussite, grâce à la bienveillance des patrons, comme aussi l'intérêt que les élèves manifes¬

tèrent. Aussi sera-t-elle certainement renouvelée le printemps prochain.

M. /.ouis Décaillel, administrateur de lu Maison Feller S. A.

La Fréyalc, denrées alimentaires en yros, exposa les principes qui sont à la base tie toute activité commerciale avant de pro¬

céder à nne visite des divers bureaux.

L'un des tjroupes de futurs mécaniciens dans les ateliers des Flablissemenls Sarina S. .t.

Photos P. ('.barrière. Huile)

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hé*

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V ' I M -

Au laboratoire de chimie et (ci-dessous) (i relui île plnjsitjue des Condensateurs Fribourij S. A.

(16)

L FRI bourg

m tennis de l*

Fribourg est champion suisse

Oc <). ù dr. : .1. Sleekier. M. Mariolli el

^ Ammann.

Pour la deuxième année consécutive, le CCI' Fribourg rem¬

porte le titre de champion suisse. Cette victoire fut obtenue de façon très nette par le magnilique résultat de 7-2 sur le club de Siiver-Star Genève. Mais ia lutte n'en fut pas moins ardue. Au terme du dernier match de li^ne nationale A, les clubs de Fri¬

bourg et de Genève n'étaient-ils pas à égalité au premier rang, chacun ayant battu une fois son adversaire par le score de r>-'l en faveur dti club recevant".'

L'équipe fribourgeoise, détentrice du titre, paraissait certes légèrement favorite aux yeux de certains, car elle possédait un léger avantage au total des victoires individuelles au cours des quatorze parties. Si aujourd'hui Fribourg est ft l'honneur, c'est grAce ft de persévérants efforts qui ont vu son club devenir le plus actif de notre pays dans tous les domaines. Ce nouveau litre de champion suisse va permettre au club de Fribourg de disputer pour la seconde année consécutive la Coupe d'Kurope.

(Photos J.-L. Hourqui, Fribourg, et 1'. Charrière, Itulle) l>e y. <i dr.: Holand liirbaum, président du club bullois: Erwin Nadasdi, Il ont/roi s d'orit/ine, habitant Fribotirij, i/ui fonctionne comme joiienr-cntraineur, el Clément.

Bulle en Ire li

Le club bullois photographié lors de son championnat interne. Tout à droite, M. (ieorges Castella, ancien président.

La saison l'.KÏ1/1 fut aussi favorable au club de Huile, puisque, dans le cadre de l'Association vaudoise, qui comprend les cantons de Vaud, Valais et Fribourg, le club du chef-lieu gruérien s'est distingué en 2e ligue en devenant champion de son groupe. Puis, battant le chef de llle de l'autre groupe, l'équipe bulloise a passé en lrc ligue.

Le team bullois se trouvait opposé aux équipes de Moudon I, Holle I, Henens III, Mézières I, Hanques-Lausanne I, Sainte- Croix I et Yverdon II. Tandis que cette dernière équipe et Huile I gagnaient à l'aller et au retour tous leurs matches, elles faisaient match nul entre elles. Dans le match d'appui en salle neutre, Huile s'im¬

posa par 0-3 et se qualifia pour le match de barrage contre Vevey I, champion de l'autre groupe. Le club bullois remporta cette ultime rencontre par G-2, obtenant ainsi le titre de champion vaudois de 2e ligue et passant en lre ligue.

Notons encore que le tennis de table est en plein développement dans la région puisque, après Siestlé-Broc, deuxième de son groupe cette année, l'association s'est enrichie d'un nouveau club, celui de Gui- goz, inscrit au championnat pour la pro¬

chaine saison.

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Avec les tireurs

de Villaz-St-Pierre

M. Louis Hichoz qui, depuis un quart de siècle, préside aux destinées de cette société. Aussi celle-ci lui u-t-eUe offert un pri.r souvenir.

La Société de tir de \'illa:-St-l'ierre qui obtint, l'an dernier au concours île sections, la moyenne la plus élevée du canton.

(Photos Geisel, Komoiit)

Le dernier voyage des trams

Samedi 3 avril H)lir>, la Société <lc tir de Villaz-SI-Pierre, qui groupe les tireurs îles communes (le Villaz-St-Pierre, Vitlarimboud, Lussy, Fuyens, Les Glanes et Macconnens, tenait ses assises annuelles. Présidée'par M. Louis Hichoz, laitier <1 Fuyens, cette société avance :V grands pas dans la voie du progrès. Grâce au dévouement illimité de son comité et au bon esprit île ses membres tireurs, elle a eu l'insigne honneur d'obtenir en l'.Ki l, lors du concours de sections Prez-vers-Siviriez, la moyenne exceptionnelle de 77,1 17 points;

moyenne la plus élevée du canton. 11 s'agira pour elle de s'y maintenir! Ouat.re tireurs ont obtenu 81) points: MM. Léon Baechler, Lussy ; Clovis Holle, Lussy;

Hené Lugrin, Lussy, et Hobert Jordan, Villaz-St-Pierre.

Un hommage tout, particulier fut rendu au président en charge, M. Louis Hichoz, qui totalise vingt-cinq ans de présidence à la tèle de la société. Par son entregent, son calme imperturbable, son bon sens, ses compétences de tireur, il a su mener ses tireurs au succès et. la société vers une situation saine financièrement et, moralement..

One tous ces pionniers du lir soient félicités!

Ci-dessus: Le chef-contrôleur Jean Philipona, sur le marchepied du Iramumij ;V° I décoré.

Telles furent, sinon les dernières paroles, du moins les derniers slogans (pie l'une des voitures trimbala durant toute la journée sur ses flancs, en ce jour ultime où l'on put entendre le tintamarre des vieux tramways dans les rues de Fribourg. C'était le 31 mars.

Et le lendemain 1er avril — ce n'était donc point un poisson — des trolleybus silencieux, confortables et ultramodernes effectuaient leurs premiers parcours, allant et venant des Charmettes au cimetière de St-Léonard.

L'événement eut de l'importance pour la rue de Lausanne principalement qui, depuis le début de ce mois, n'est plus perturbée par aucun service de transport urbain. Aussi son association tint-elle à marquer cet heureux jour en offrant, au soir de ce 31 mars, une petite réception aux anciens agents. La fan¬

fare était là, qui conduisit en cortège le tram décoré jusqu'au bas de la rue. Pittoresque tableau! Il y eut évidemment un bref dis¬

cours, celui de M. Pierre Brunisholz, président des Intérêts de la rue de Lausanne, à qui, au cours d'un copieux repas, répondirent diverses personnalités. De son côté, la Direction des TF avait également invité les agents encore en service à une collation qui fut servie dans un autre restaurant de la ville.

.l'ai été mis en service en 1897.

■l'ai parcouru, avec mes collègues:

22 millions de kilomètres ; 550 fois le tour de la terre ;

50 fois la distance de la terre à la lune.

J'ai transporté, avec mes collègues, 132 millions de voyageurs.

J'ai accompli ma dernière journée, de travail.

Je me relire pour faire place à des véhicules mieux ailaplés à la circulation et au trafic.

Rassemblés dans la cour du dépôt des Irams à l'érolles, les anciens agents s'apprêtent ù traverser une dernière fois celle ville de Fribounj qu'ils onl desservie pendant leurs trente ou quarante-cinq ans de service. —De g. à dr.: MM. Ferdinand Corpataux, Ernest liersier, Alexis Chessex, Jules Nussbaum, Gabriel Neuhaus, Henri Overney, Auguste Deillon, Henri Wicht, Alfred Corpataux et Jacques Ducresl.

Manquent sur la photo: MM. Fritz lioesch, André Gross, Gustave Haemy et Xavier ltemy, directeur.

(18)

/

\% V.

Deux instantanés de celte pièce. Ci-dessus: La joyeuse arrivée d'un (jroupe d'enfants chantant le /or mai. — Ci-dessous: A l'inté¬

rieur d'un chalet.

Le jeune (icrard ('.barrière dans le rôle de Thtjénon.

Le théâtre

à la campagne

A SALES.

A plus d'une reprise, nous avons déjà eu l'occa¬

sion de relever ici le succès que le théAtre patois remporte chaque fois qu'une société d'un de nos villages met en scène un tel spectacle. Ce fut le cas une nouvelle fois à SAles, lors des représenta¬

tions ï'hyénon dont notre journal n'a pu jusqu'ici donner un relief. Celle excellente pièce de l'abbé I'Yani;ois-\avier lirodard connut déjà la faveur d'un nombreux public lorsqu'elle fut donnée notamment ft Albeuve — où elle fut créée en l«r>7 puis A Arconeiel. 11 en fut de même <\

SAles. Kn effet, au cours de sept représentations, ce furent quelque vJWK) personnes qui vinrent applaudir ce drame. Tous les acteurs, dans ce village où naquit l'abbé Hovel, parlaient admi¬

rablement l'idiome paysan et interprétèrent leur rôle avec intelligence. Ne pouvant les citer tous, ils ne nous en voudront pas si nous faisons une exception pour le jeune Gérard Charrière, Agé de 1»' ans, qui incarna A la perfection le rôle prin¬

cipal de Thyénon. Ces représentations furent données par le chœur mixte La Concorde, selon une mise en scène de M. Charles Savarv.

(l'hotos S. Glasson, Huile) L'importante cohorte des acteurs et figurants.

t * V #

SA \

...et à SEMSALES

La cadette des sociétés de cet important village de la Veveyse, le groupement de jeunesse L'Etoile, présidé par M. René Giîler, conviait récemment son public à assister aux représentations du drame d'Edmond Luc, Au petit village de Santa Maria, pièce en trois actes qui fut interprétée avec beaucoup de sincérité.

Pour cette soirée, la jeunesse de Semsales s'était assuré la col¬

laboration du Chœur mixte paroissial qui, en lever de rideau, offrit une gerbe de chansons de nos meilleurs compositeurs romands.

Le groupe des jeunes acteurs de Semsales.

(19)

La Maîtrise de Bulle vient d'affirmer sa grande classe

Imposante cohorte de 80 chanteurs, revêtus du « bredzon » et du

« dzaquillon », la Maîtrise de Huile eut tout dernièrement le périlleux honneur de représenter la Suisse aux Rencontres chorales internatio¬

nales qui furent fondées en 10(54 et, qui se sont déroulées ft Montreux.

Honneur bien mérité. Aux côtés de onze chœurs étrangers venus de villes bien plus importantes que le modeste chef-lieu gruérien, l'en¬

semble bullois, sous la conduite de son maître de chapelle réputé M. André Corboz, affirma d'emblée sa toute grande classe, que ce sait dans le chant grégorien ou dans la musique sacrée 011 profane.

Tout au long de ce concert, qui comportait dix exécutions, le chef demeura souriant,, sûr de ces choristes qu'il avait longuement pré¬

parés, sachant les imprégner de sa vaste culture musicale. Le jury des concours, formé de trois éminences de la musique: le compositeur et chef d'orchestre de Zagreb Rudolf M atz, le musicologue de Turin Alberto Basso et le compositeur genevois Hoger Vuataz, n'accorda le 1er prix à la London Student Chorale (pie par l'écart d'un seul point.

La Maîtrise de St-Pierre-aux-Liens est revenue dans sa ville de Bulle, liôre de sa Mention d'excellence du jury et heureuse d'avoir mérité le Prix du public, d'une valeur de 1500 fr. C'est un grand honneur pour Bulle et le canton de Fribourg.

(Pholo S. < Hanson, liulle)

Au rendez-vous des communes fribourgeoises Notre photo ci-contre fut prise lors de l'assemblée de l'Association des communes fribourgeoises, qui se tint i\ Fribourg le S avril dernier.

Au centre, M. Paul Mantel, syndic de Belfaux (président), entouré, à gauche, de M. Philippe de Week, directeur général de l'UBS ft Zurich, qui lit 1111 remarquable exposé sur la situation économique et finan¬

cière actuelle de notre pays, et, à droite, de M. Laurent Butty, préfet de la Sarine. Cette assemblée était encore honorée de la présence de M. Emile Zehnder, vice-président du Gouvernement fribourgeois et directeur des Communes et Paroisses. Fructueuse assemblée qui montra les soucis qu'a la quasi-totalité de nos autorités, face ù la situation alarmante dans laquelle se trouvent un grand nombre de nos communes fribourgeoises. Le total de leur endettement n'a-t-il pas passé de 62 millions en l'.)5(> à 105 millions en 11)65, pour s'ag¬

graver encore de 15 millions au cours de l'année dernière. On comprend dès lors que 111 communes reculent d'un, deux, voire trois échelons dans la nouvelle classification, alors que 18 seulement montent, d'une classe.

(Pliolo P. Churrière, liulle)

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Une initiative de la Société des Cafetiers du canton de Fribourg

Un cours

pour sommelières

Dernièrement, la Société des cafetiers et restaura¬

teurs du canton de Fribourg a organisé, à l'Hôtel de Ville de Bulle, un cours de service pour sommelières.

D'une durée de six jours, ce cours réunit une bonne vingtaine de participantes venant non seulement de la Gruyère, mais également de la Veveyse, de la GlAne et de la Ilaute-Sarine. M. Michel Dévaud, du Café des Alpes à Fribourg, fonctionna comme directeur du cours. Celui-ci s'acheva par des examens passés devant, les experts tie la société: MM. Roger Morel, président cantonal ; Louis Deillon, président de la sociét é de la Gruyère; Paul Dafflon et André Cottier, hôteliers f>

Huile. Chaque participante reçut ensuite un certificat attestant la réussite de ce cours et. signé par MM. Hoger Morel, au nom de la Commission de la formation pro¬

fessionnelle cantonale, et. Michel Dévaud, maître des cours.

On dira certes que ce n'est pas en six jours que l'on peut former complètement le personnel d'un restau¬

rant. Evidemment, non! Ht la Société des cafetiers n'a nullement cette ambition en organisant de tels cours.

Pourtant, six jours consacrés uniquement à la forma¬

tion ne valent-ils pas mieux que rien du tout ? I.e maître de cours dispose d'un temps suffisant pour donner une bonne formation générale de base. M.

Michel Dévaud choisit, pour méthode de dicter son cours, que chaque élève doit écrire dans un cahier et.

auquel elle pourra toujours se reporter par la suite. Kn parcourant l'un de ces cahiers, j'ai constaté (pie l'on insiste en premier lieu sur les qualités essentielles que Après la théorie, un peu (le pratique.

A l'examen: une élève interrogée par M. Michel Dévaud, maître des cours, entouré de MM. André Cottier et Paul Dafflon, hôteliers, qui fonctionnaient comme experts.

M. Hoger Morel, président cantonal, était l'un des exa¬

minateurs pour Ja partie théorique.

Les vingl-deux participantes de ce cours donné à Huile.

l'on exige du personnel d'un restaurant, telles que la propreté, la discrétion, l'amabilité, la serviabilité, etc., qualités qui devraient être innées chez chacun et, pourtant, que de fois ne font-elles pas défaut! Net¬

toyage, fleurs et décoration, mise en place, présenta¬

tion des menus, prise des commandes constituent autant de chapitres qui permettent au professeur d'in¬

sister sur maints détails, il faudrait encore parler de la présentation des plats, des manières de servir ut de l'importance de savoir toujours conseiller le client.

Pour cela, la serveuse doit, avoir une connaissance des vins, la connaissance également de leur accord avec les mets. Il en est, de même pour les apéritifs, les eaux- de-vie, les liqueurs, ainsi que les boissons sans alcool et les boissons chaudes. Kntln, la clientèle des jeux de cartes a aussi ses exigences.

C'est, le personnel qui a le contacL direct avec le client. Si celui-ci est bien servi, il saura retenir l'adresse et reviendra certainement. Un client bien servi n'ex¬

primera pas nécessairement sa satisfaction h son entou¬

rage, mais le client mécontent fera inévitablement part de ses critiques à de nombreuses personnes. Il pardon¬

nera plutôt quelques fautes techniques, commises dans le service, qu'un comportement maladroit et déinvolte.

(Photos P. Charrière, Huile)

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Les lectures et la jeunesse

A l'occasion de la Journée de la presse, la JRC-JRCF organisa dans plusieurs villages, au mois de novembre de l'année dernière, des expositions de livres et de magazines éducatifs et chrétiens. Par cette initiative, ces jeunes vou¬

laient attirer l'attention de l'ensemble de la population sur l'existence de magazines et de périodiques destinés spécia¬

lement aux jeunes et aux enfants et. qui sont d'authentiques instruments de formation humaine et chrétienne. Les années précédentes, ce même but avait été recherché au moyen de tracts et d'afliches. Mais ces moyens s'étaient avérés insuf- lisants, parce qu'ils ne permettaient pas une discussion avec le public. Qu'en fut-il de ces expositions?

Cette campagne de presse fut abondamment commentée au cours de plusieurs carrefours qui se sont succédé durant ces derniers mois. Ainsi, il fut constaté que ces expositions avaient généralement recueilli une opinion favorable. L'inté¬

rêt des visiteurs se porta principalement sur les livres. On a très apprécié cette forme de « librairie à portée de main ».

Certaines personnes se soucièrent, des intérêts personnels des organisateurs, en désirant connaître la destination d'un éven¬

tuel bénéfice; elles furent surprises de l'absence de tout but commercial. D'autres personnes s'étonnèrent de ne trouver ni magazines, ni livres d'auteurs suisses. Mais il faut, hélas ! constater qu'il n'existe pour ainsi dire pas de magazines suisses valables pour les jeunes. D'autre part, le but des res¬

ponsables n'était, pas d'exposer tous les livres, mais seule¬

ment un choix qui avait été opéré par les librairies. Mais, d'une façon générale, les visiteurs manifestèrent leur enthou¬

siasme pour de telles réalisations. La présence de ces livres avait pour but principal d'attirer les parents, afin de les intéresser principalement à la presse destinée à I'fcnfance.

I.es réactions des jeunes furent également enregistrées.

Grâce aux réunions d'information qui avaient précédé ces expositions, de nombreux jeunes prirent conscience de l'im¬

portance du problème de la presse. Si, souvent, au premier abord, ils n'étaient pas très convaincus, le dynamisme des autres, les expositions des villages voisins, les contacts per¬

sonnels aidèrent les jeunes â démarrer.

Après ce premier éveil, il ne fallait pas laisser abandonner la recherche du but poursuivi, bien au contraire. Le problème avait été soulevé, mais non encore résolu. 11 fallait absolu¬

ment trouver une suite à cette campagne. Aussi les respon¬

sables de la fédération prirent-ils contact avec toutes les loca¬

lités qui avaient été touchées par ces expositions. Des diffu¬

seurs se sont vu préciser leurs tâches et leurs responsabilités.

On pourrait encore ajouter qu'une enquête a permis d'éta¬

blir que 70% des jeunes lisent assez régulièrement mais que, parmi ceux-ci, seuls 17% lisent des magazines donnant un sens chrétien à toute la vie. Plus de 50% lisent par contre des magazines dans lesquels ils ne trouvent pas d'éléments pouvant contribuer à une formation valable. Combien de revues, en effet, abordent les problèmes garçons et lilies, problèmes avec les parents, problèmes religieux, problèmes d'avenir, problèmes des loisirs, etc. ? Les jeunes doivent aussi s'arrêter sur les questions qu'ils doivent tous connaître, s'ils veulent prendre une part active dans le monde qui se cons¬

truit: questions sociales, économiques, politiques, géogra¬

phiques, démographiques, professionnelles, scientifiques.

Certains prétendent évidemment que le temps et l'argent consacrés aux magazines et périodiques sont un temps et un argent gaspillés. Pourtant, si l'on songe aux dépenses faites pour l'entretien du corps d'un enfant, que fait-on pour l'entretien et le développement de son esprit? La bonne presse joue certainement un rôle éducatif. Ces jeunes ont surtout compris que le remède est insuffisant, si l'on se con¬

tente d'interdire ou de combattre la mauvaise presse. Le pape Pie XI n'affirmait-il pas, en 1933 déjà: « A la mauvaise presse, il faut absolument opposer la bonne presse et mettre en pratique, à ce sujet, le principe antique: les contraires se guérissent par les contraires »?

PUUK ÂUULItb

(26)

1 la mémoire d'ÀLOïS FORNEROD

M. Henri Muuron soulignant les mérites que s'est acquis Aloys Fornerod à la tête de notre Conservatoire.

En déterminant la date de l'inauguration de la nouvelle grande salle du Conservatoire de Fribourg, les responsables de cet institut de mu¬

sique ne pouvaient sans doute pas prévoir que cette cérémonie, de par la volonté de notre Maître à tous, constituerait en fait un véritable hom¬

mage à celui qui anima prodigieusement et pen¬

dant plus de dix ans notre vie artistique fribour- geoise. Au soir du G janvier, Aloys Fornerod ne mettait-il pas au point les détails de ce concert?

Le lendemain, brusquement, il était ravi à l'af¬

fection de sa famille et de ses nombreux amis.

Pourtant, ce concert du 7 mars, ainsi que le releva M. Henri Mauron, au nom de la Commission du Conservatoire, devait marquer pour le maître l'aboutissement de persévérants efforts, puisque la salle inaugurée ce jour-là était son œuvre.

C'est également en vue de ce concert qu'il réser¬

vait la première audition de son Quatuor à cordes, sa dernière composition. C'est dire quelle joie aurait été la sienne à cette occasion de se voir entouré de sa famille, des autorités, de ses amis, de ses professeurs et élèves pour mieux goûter le fruit d'un inlassable labeur.

/.'interprétation en première audition du « Quatuor à cordes », d'Aloys Fornerod :

\/me Pauline Monnard-Casiraghi, MM. Jean-Mare Ayer et I'aul Burger et Mtic Simone Beck.

f Aloys Fornerod.

Si l'Aula de

ou aux récitals susce, se j es d

l'Université se prêle à merveille aux grands concerts symphoniques iusceptibles d'attirer les foules, la nouvelle salle du Conservatoire et du Musée de Fribourg, que se partagent successivement peintres, sculpteurs, autres arlisles el musiciens, convient tout particulièrement aux séances de musique de chambre. Mais n'était-ce pas précisément le vœu d'Aloys Fornerod de créer cel

« auditorium » où les professeurs virtuoses aussi bien que les élèves du Conserva¬

toire pourraient se produire dans les meilleures conditions?

Fils du terroir vaudois, venu à Fribourg en 1U54, précédé d'une magnifique réputation de compositeur, de pédagogue et de critique musi¬

cal, Aloys Fornerod ne tarda pas à s'imposer à tous ceux qui eurent la bonne fortune de l'ap¬

procher. A la tète de notre Conservatoire, qui groupait alors 25 professeurs et 450 élèves, il fut le véritable animateur, celui qui communique la flamme. Sous cette poussée irrésistible, le Conser¬

vatoire se trouva bien vite à l'étroit. Mais Aloys Fornerod n'eut de répit avant de pouvoir offrir à ses 34 professeurs et 800 élèves de nouveaux studios dotés d'instruments neufs et cette nou¬

velle salle de concert à l'acoustique remarquable dont l'inauguration était effectivement le cou¬

ronnement de son œuvre. Sur lui, la terre fri- bourgeoise s'est aujourd'hui refermée, dans le petit cimetière d'Ependes, à l'ombre de ce sanc¬

tuaire où, si souvent, il vint remercier son Créa¬

teur, chercher une consolation à ses peines, prier aux sources de son inspiration. Fribourg n'ou¬

bliera pas ce grand musicien.

(27)

M. Firmin Sudan RIAZ

décédé subitement à Payerne, à l'âge de 38 ans seulement. Il seconda d'abord son père, feu Antonin Sudan, de Broc, dans l'exploitation d'un do¬

maine. Par la suite, il travailla sur les chantiers. Il était conducteur de trax pour le compte de l'Entreprise Grisoni- Zaugg S. A., A Huile. Il était demeuré célibataire.

M. Joseph Rigolet LA HOCHE

agriculteur, est décédé à l'âge de 86 ans. Durant vingt-huit ans, il fut conseiller communal, dont huit ans en qualité de syndic. Fondateur de la Caisse de crédit mutuel, il présidait son comité directeur depuis 1937. Il fut encore assesseur de la Justice de paix durant une dizaine d'années. C'était un Gruérien authentique.

M. Pierre Wider BROC

décédé brusquement dans sa 08® année.

Il travailla de 1919 A 190'2 A la Chocola- terie. Ancien conseiller communal, il fut jusqu'à son décès vice-président du Conseil paroissial. Titulaire de la médaille îiene Merenti, vétéran des musiques fribourgeoises, membre d'honneur de l'Harmonie, il présidait encore le Münnerchor Frohsinn.

Aille Colette C.uony NULLE

Après avoir passé une existence dans l'immolation, la souffrance et sous le signe de la foi, au service des siens et au côté d'un frère resté A la maison paternelle, elle est décédée A l'Age de 57 ans. Elle avait subi, en 1959, l'opé¬

ration dite « A cœur ouvert ». Elle laisse le souvenir d'une personne très douce, pleine de joie et de courage.

Mlle Thérèse Graiuljean BULLE

décédée brusquement dans sa 77* an¬

née. Durant quarante ans, elle tra¬

vailla comme caissière à la Maison Edouard Glasson, A Bulle. Elle fut l'une des fondatrices et la présidente du Club des femmes alpinistes. Ani¬

matrice de la Section bulloise des sa¬

maritains, elle avait été décorée de la médaille Henri-Dunant.

Mme Ilose Genoud

BULLE Mme Bertha Graiuljean

MORLON Mine Adèle Maveux

VUADENS

née Bapst, était l'épouse de M. Jules Genoud, ouvrier à la Scierie Despond.

Personne vaillante, travailleuse et dé¬

vouée, elle consacra le meilleur de ses forces au bien-être de sa famille. Elle fut une fille affectueuse pour son vieux papa, M. Firmin Bapst. Elle fut ravie à l'affection de son entourage à l'âge de 63 ans.

née Nidegger, était l'épouse de M.

Auxence Grandjean, menuisier et fon¬

dateur de la Caisse Raiffeisen. Elle a été brusquement ravie A son affection dans sa 77e année. Compagne aimante et dévouée pour son mari, elle fut une mère exemplaire pour ses deux filles.

Elle connut la joie d'être arrière- grand-maman.

née Rescloux, était l'épouse «le M.

Gustave Mayeux, ancien lulcheron, qui est lui-même infirme depuis de nombreuses années. Elle a été ravie à son affection A l'Age de 04 ans. Elle soigna son mari avec tendresse et amour, et avec un dévouement admi¬

rable.

M. Fortuné (lorboz LA TOUH-DK-TMÎME

décédé dans sa 66* année après de pénibles souffrances. Ii était demeuré célibataire. Bûcheron et ouvrier de chantier, il travailla en dernier lieu pour le compte de l'Entreprise Grisoni- Zaugg S. A., A Bulle. C'était un homme modeste, laborieux et dévoué.

M. Henri Peirv PRINGY

décédé A l'Hôpital cantonal A Fribourg après une longue et douloureuse mala¬

die, A l'Age de 56 ans. Maçon, il tra¬

vailla d'abord dans les fortifications, puis pour le compte de l'Entreprise Grisoni-Zaugg S. A., A Bulle. Il était le frère d'Alexis Peiry, auteur des Histoires d'Amadou.

Mme Maria llime

LA TOUR-BE-TREME Mme Anna Castella ALBEUVE

Après avoir eu la joie de donner nais¬

sance A une charmante petite fille et avant qu'elle ne puisse apprécier plei¬

nement la tranquillité de son foyer embelli, elle quittait soudainement ses proches. Agée de 36 ans, elle laisse un jeune papa éploré et une petite Colette qui ne connaîtra jamais le sourire de sa maman.

enlevée A l'affection de sa famille dans sa 50* année. Elle était l'épouse de M. Martin Castella, frère du syndic d'Albeuve, qui travaille dans l'Entre¬

prise Gurtner Frères. Compagne ai¬

mante pour son mari, elle fut une douce et tendre maman pour «es qua¬

tre enfants dont la benjamine n'a que 12 ans.

M. Joseph Fraehebond

MARSENS M. Paul Gex

BULLE Mme Maria Genilloud

BERNE Mme Jeannette Mauron

ROMAINMOTIER (VD)

Orphelin de bonne heure, il apprit tôt à travailler durement. Agriculteur, il éleva une belle famille de neuf enfants, à force de labeur et d'économie. II était notamment le beau-père de M.

Elie Romanens, gendarme à Bulle, et l'oncle de l'abbé François-Joseph Fra- cheboud, vicaire à Renens. Il est dé¬

cédé à l'âge de 75 ans.

Dans son jeune âge, il apprit le métier de cuisinier, où il excella. En 1930, il se lança dans les affaires et entreprit un commerce de vins. Grâce à un tra¬

vail acharné, il se créa une belle et fidèle clientèle, vouant un soin parti¬

culier â la qualité de ses vins. En 1955, il se retira des affaires. Il cachait une grande sensibilité, un cœur généreux.

enlevée A l'affection de sa famille après une courte maladie, A l'âge de 74 ans.

Depuis son veuvage, elle vivait auprès de sa fille unique, è Berne. C'était une personne alerte, joviale, toute dévouée A ses petits-enfants. Née Hermann, elle était la veuve de feu Pierre Genil¬

loud qui fut employé A la Commune de Bulle.

décédée tragiquement dans un acci¬

dent de voiture A Sottens. Elle n'avait que 26 ans. Fille de M. et Mm* Eugène Gaillard, elle naquit A La Roche. Elle était l'épouse de M. Bernard Mauron quf, avant d'être infirmier A Romain- môtier, travaillait A Marsens. Elle laisse deux orphelins qui n'ont que 4 et 2 ans.

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