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HAL Id: jpa-00235700

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Submitted on 1 Jan 1957

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Extension de la théorie fonctionnelle aux corpuscules de spin 1/2

Florence Aeschlimann

To cite this version:

Florence Aeschlimann. Extension de la théorie fonctionnelle aux corpuscules de spin 1/2. J. Phys.

Radium, 1957, 18 (8-9), pp.523-526. �10.1051/jphysrad:01957001808-9052300�. �jpa-00235700�

(2)

EXTENSION DE LA THÉORIE FONCTIONNELLE AUX CORPUSCULES DE SPIN 1/2 Par FLORENCE AESCHLIMANN,

Institut Henri-Poincaré, Paris.

PHYSIQUE 18, 1957,

1. Introduction.

-

Dans deux mémoires anté- rieurs [1], [2], j’ai donné les premières bases d’une

représentation fonctionnelle des corpuscules qui se

raccorde avec la théorie de la double solution de M. Louis de Broglie [3]. J. L. Destouches a précisé

et développé cette conception dans un livre

récent [4]. Je me propose d’étendre cette concep- tion d’une part au cas les forces ne dérivent pas d’un potentiel (système non canonique) et d’autre part au cas d’un corpuscule de spin 1/2 : cas non

relativiste de Pauli et cas relativiste du corpuscule

de Dirac.

2. Cas où les forces ne dérivent pas d’un poten-

tiel.

-

En théorie fonctionnelle non relativiste et

sans spin, un corpuscule est représenté par une fonction complexe

caractérisant l’onde physique u.

A cette fonction u on associe un fluide de la

façon suivante : 1° sa densité p est définie par p = f2 ; ; 2° le mouvement est irrotationnel et le

potentiel des vitesses est (D ; 3° dans une descrip-

tion réaliste ce fluide obéit aux équations classiques

de l’hydrodynamique. Si la force F à laquelle le corpuscule est soumis dérive d’un potentiel, ces équations fournissent pour la fonction u une équa-

tion d’ondes qui se raccorde avec celle de M. Louis

de Broglie de 1927 avec en plus des termes non

linéaires. Cette théorie peut être étendue au cas où .la force F ne dérive pas d’un potentiel en adnlettant

pour la fonction u les équations de l’hydrody- iianiique classique soit

F est une somme de deux termes : la force clas-

sique F1 et un terme non linéaire F2(u, V). La pression p est une certaine fonction de f 2, et 6 est

un terme non linéaire a(u, y) dépendant comme F2

de u et de ses dérivées. C’est par F2, p, a que s’intro- duit la non-linéarité. Avec ces hypothèses on peut

traiter des cas de corpuscules soumis à des forces dépendant de la vitesse. Ceci n’a pas un intérêt seulement formel, car on peut traiter par cette

méthode le cas de l’expérience de Millikan ou de

celle de Maurice de Broglie. On obtiendra comme intégrales premières pour les mouvements limites les mêmes intégrales qu’en mécanique classique ou

en mécanique ondulatoire prolongée [5]. On peut

done traiter le cas des systèmes non canoniques en

théorie fonctionnelle des corpuscules.

3. Extension au cas de la théorie de Pauli.

-

D’après le principe général posé par J. L. Des- touches [4], p. 24, à une équation E(w) = 0 d’une mécanique ondulatoire usuelle, on fera corres- pondre une équation

comme équation de l’onde physique u représentant

le corpuscule.

(Ce principe est plus faible que le principe de la

double solution de M. Louis de Broglie car il ne

relie que les équations et non les solutions § et u.)

En théorie de Pauli [6] l’équation &(w) a la forme

où 3é est l’opérateur hamiltonien, s un vecteur ayant pour composantes les matrices de Pauli s1, s2, s3 qui figurent linéairement dans ae. Ceci symbo-

lise un système de deux équations aux dérivées partielles en Y;1 et w2.

Pour une fonction u, nous aurons donc deux composantes u1 et U2 qui satisferont à une équa-

tion de la forme (1) qui symbolise les deux équa-

tions scalaires

On a alors deux termes non-linéaires Q1 et Q2 correspondant à chacune des équations.

En théorie sans spin, on a la relation

Ici deux attitudes sont possibles : on n’impose

aucune limitation aux termes Ql et Q2 ; 20 on ajoute l’hypothèse supplémentaire que la formule

précédente (2) demeure valable, c’cst-à-dÜ1e que Q

constitue uii potentiel scalaire complexe.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01957001808-9052300

(3)

524

Posons dans ce second cas

où N est complexe ; alors nous poserons

où éR9l signifie. partie réelle de 91 et J91 partie imaginaire de et l’on aura

Dans le premier cas l’on ne fait pas l’hypo-

thèse supplémentaire sur Q, alors on peut déve- lopper Q sur la base des matrices s; . On aura

Cette fois Q apparaît comme constitué par un

~

potentiel scalaire No et un vecteur N. A partir

de ces formules, on calculera les termes Q1 et Q2

sans difficultés.

Les deux hypothèses sur Q peuvent être sou-

~

tenues. Dans le cas 1°, Mo et N demeurent pour le

~

moment indéterminés ; N traduit un terme de couplage entre un auto-champ magnétique et le

moment magnétique propre de l’électron.

~

L’hypothèse du cas 20 revient à poser N = 0,

c’est-à-dire que les termes non-linéaires s’inter-

prètent uniquement comme potentiel scalaire et

terme de source.

4. Extension au cas d’un corpuscule de Dirac.

-

D’après le même principe fondarnental [4], p. 24, à l’équation de Dirac nous ferons correspondre pour l’onde physique u l’équation

et

Comme daus 1e cas du corpuscule de iJauli, la

théorie peut être développée de deux manières, soit

en n’imposant aucune condition au terme non-

linéaire Q, soit en posant que le terme Q dérive

d’un quadrivecteur complexe. De là dérive une

cunditiun impusée à Q. Ces possibilités doivent être

toutes deux examinées car on ne peut dire pour le moment laquelle des deux est adéquate à l’expé-

rience.

5. Cas où Q dérive d’un quadrivecteur.

-

Dire

que le terme Q dérive d’un quadrivecteur, c’est

dire que nous pouvons mettre l’équation (4) sous la

forme

Les P> sont ceux définis juste après l’équation (4)

et les Np sont, en vertu de l’hypothèse faite, les composantes d’un quadrivecteur complexe con-

tenant autopotentiel et source. (Ceci est la généra-

lisation relativiste de l’autopotentiel scalaire com- plexe de la théorie non relativiste.)

Si le terme Q dérive d’un quadrivecteur, les équations (4) et (5) sont identiques. Identifions-les,

ce qui nous donne, en remplaçant les L3 par leur expression et en supprimant les termes corn,muns :

Si N1, 21 ")’t 31 n4 sont connus, on en déduit immédiatement Q1, Q2, Q3, Q4 qui sont alors fixés

univoquement. Inversement (6) peut être consi-

déré comme un système de 4 équations linéaires

à 4 inconnues ’ )Il, N2, II)t 3,11914 qui permettrait de

déterminer les Np en fonction des Qi si le déter-

minant du système était non nul, mais ce déter-

minant est nul parce que les § de l’équation de

Dirac constituent un spineur.

Explicitons le système (6), il s’écrit

Dans ce système d’équations (7), les sont les inconnues, les Qi et les uj sont considérés comme

des coefficients donnés.

Le déterminant D de ce système s’écrit :

En le calculant on constate qu’il est nul. Donc

si l’on donne Q1, Q2, Q3, Q4 quelconques, il n’y a

pas de solution. S’il existe une relation convenable entre les Qi, il y aura une infinité de solutions pour les Ni. (Ceci est en accord avec le fait qu’il y a

toujours une certaine indétermination sur un poten-

tiel.) Pour trouver cette relation, multiplions la

preiiiiére équation du système (7) par u2, la seconde

par til, la troisième par u4, la quatrième par u3 et

(4)

soustrayons la 3e de la 1re et la 4e de la 2e pour éliminer 911 et N2. Soustrayons ces deux équations

l’iine de l’alltre pour éliminer 913 et N4, il reste

unie relation, entre les Qi :

On remarquera que cette relation est autoduale : si l’on change ui en Qi et Qj en ui, la relation

demeure inchangée car l’expression entière change

de signe, donc demeure nulle. Les Qi constituent un

autre spinenr. La condition (8) est nécessaire, elle

est aussi suffisante. En effet, d’après le théorème de Rouché et Fontené s’il y a un déterminant non

identiquement nul du 3e rang, nous obtiendrons les solutions Np en fonction des Qi. Or on vérifie aisé- ment que les déterminants du 3e rang extraits de D sont non nuls. Il n’y a donc pas besoin d’autres relations entre les Qi que la relation (8), d’où :

THÉORÈME 1.

-

La condition nécessaire et suffi-

sante pour que les composantes Qi du terme non-

linéaire de l’équation (4) des ondes u d’un corpuscule

de Dirac dérivent d’un quadrivecteur,,9( est qu’entre les Qi on ait la relation (8).

A partir de ce résultat, on peut construire une

théorie fonctionnelle non-linéaire des corpuscules

de Dirac en relativité restreinte d’une façon iden- tique à celle faite par J. L. Destouches pour le cas-

non relativiste et sans spin [4]. On doit notamment distinguer des ondes monochromatiques, des ondes

limites à phase linéaire, etc. On ne rencontre pas de difficultés dans ce développement. M. Bonjean a

émis l’idée que les termes Qi devaient dériver d’un

quadrivecteur autopotentiel. Les résultats précé-

dents - montrent que cette idée est acceptable et

.

permet un développement cohérent de la théorie.

Dans ce cas on a la relation (8) entre les Qi.

6. Théorie sans condition sur les oz.

-

Envi-

sageons maintenant l’autre possibilité l’on n’impose aucune condition aux Qi. Dans ce cas,

partons de l’équation fondamentale

qui se décompose en quatre équations

où L est un opérateur linéaire. On peut toujours

poser

-

ce qui définit une matrice Q. On peut toujours

poser

où les Qii sont les éléments de la matrice Q et les eij sont les matrices unités fermant nne base :

Une autre hase est formée par les seize matrices a de Dirac, d’cù cette seconde forme pour l’expres-

sion de la matrice Q :

alors

si les Ni, sont donnés, Q se trouve déterminé. Inver- sement pour tout Q, il y a des développements de

cette forme, mais les seize quantités D1i ne sont pas

univoquement déterminées à partir des quatre expressions Qi. On peut alors chercher diverses

expressions le nombre des 9li soit aussi réduit que possible tout en s’exprimant en fonction

des Q1, Q2, Q3, Q4 sans aucune condition sur les Qi.

Les résultats du paragraphe précédent nous

montrent qu’on ne peut pas réduire le dévelop- pement aux termes al’ a2, a3, 1, sans qu’il y ait de relation entre les Qz, et cette relation subsiste si

on ajoutés termes a4 et a5 = a 1 OC 2 -a 3 *tz 4* D’où

ce résultat :

THÉORÈME 2. - Si le développement des Q sur la

base des a ne comprend des termes non nuls que pour a4, al, a2, a3, 1, a5 (dont les coefficients sont respectivement 9lo, N1, N2, N3, N4, N5) alors la

relation (8) a lieu entre les Qi.

,

Des indéterminations entre les Ni; dans ce cas,

il résulte que l’on a :

THÉORÈME 3. - Si le développement de Q sur la

~

base desa comprend un quadrivecteur non nul Dl dont les composantes sont les coefficients de a1, a2, a3, 1,

alors on peut, sans imposer de condition nouvelle

aux Qi, annûler les termes en a4 et a5 (invariant et pseudo- invariant).

Pour que la relation (8) n’ait pas lieu, il faut qu’il

y ait d’autres termes non nuls que a4, al, a2, a3,1,

a5 dans le développement de Q sur la base des et,

donc :

THÉORÈME 4.

-

S’il n’y a aucune relation entre

les Qi, le développement de Q sur la base des et comprend des termes de couplage tensoriel, soit cou- plages entre opérateurs a de moment électrique propre

et de moment magnétique propre avec un auto-champ électromagnétique 3lij, soit couplage entre opérateurs

a de spin avec un auto-champ pseudo-vectoriel,9tk,

7. Réduction du développement de Q.

-

Les

théorèmes précédents expriment donc que s’il n’y a

aucune relation entre Q1, Q2, Q3, Q4, alors dans le développement de Q sur la base des a il y a des termes non nuls pour i > 5, et de plus s’il y a des termes 91; non nuls parmi Dll, 912, DC3, DL4, on

peut poser N0

-

0 et 9Ls

=

0. Donc le dévelop-

(5)

526

pemerlt rie Q peut Plre réduit à, 14 tern1es; il en com-

prend évidernlnent au moins quatre puisqu’il y a

quatre expressions Qi. Il existe au 1Jl0ins un ciévelops penlent de quatre leriîïes (non invariant) sans rela-

lion .entre les Qi. 1] 1 sl1ff1t de prendre par exemple,

les 4 opérateurs diagonaux

Si l’on effectue une transformation de Lorentz

quelconque, alors ce développement se fait avec

d’autres coefficients et les termes se groupent sui-

vant leur varianee. Il y a un terme de type OC 4 (inva- riant), 4 termes de type 1 (quadrivecteur), 6 termes

de type ial a2 a4 (tenseur antisymétrique de

2e rang), 4 termes de type ia 1 a 2 (pseudovecteur) ;

on a ainsi un développement de forme invariante

de 15 termes.

Mais on peut trouver d’autres bases de 4 matrices pour exprimer les Qi qui ne donnent pas lieu à un

développement aussi large. Prenons par exemple

les matrices à coefficient 1, soit

Comme al et 1 appartiennent au groupement du quadrivecteur et ia 2 a3 et ial a2 a3 au groupèment

du spin (pseudo-vectenr), on peut représenter les Qi

d’une façon invariante sur une base de 8 éléments,

donc on peut écrire

Prenons un autre exemple de réduction à 4 élé- ments :

On vérifie que le déterminant du système corres- pondant n’est pas identiquement nul, donc on peut

avoir un développement de Q sur une base de 4 termes appartenant au groupement tenseur anti- symétrique du 2e rang. Ce développements n’est pas invariant et on obtiendra un développement inva-

riant en prenant une base de 6 éléments formée par les éléments du groupement tenseur antisymétrique

du 2e rang. Les termes non-linéaires dans ce cas

expriment un couplage des moments électrique

propre et magnétique propre avec nn avto-champ électromagnétique. Mais s’il y a un auto-champ électromagnétique, il doit lui être associé un auto- potentiel quadrivectorie), ce qui porterait a 10 le

nombre des éléments de la base.

,

8. Conclusions.

-

Finalement il apparaît trois

voies pour développer la théorie :

1° On pose que la relation fondamentale est celle

exprimant les termes non-linéaires à partir d’un auto-potentiel. Alors les termes non-linéaires déri- vent d’un auto-potentiel quadrivectoriel n1, n2’

c’)(3, et on a la relation linéaire (8) entre les Qi.

2° On pose que la notion fondamentale est celle de terme non-linéaire Q, et que l’on ‘a 4 termes Q1, Q2, Q3, Q4 indépendants. Dans ce cas ils doivent

avoir une expression invariante si on les développe

sur la base des’a. On peut envisager plusieurs développements : 1) développement sur les 6 termes

de moment électrique et magnétique propre ;

2) développement sur les 8 termes quadrivecteur potentiel et pseudo vecteur spin ; 3) dévelop- pement sur les 10 termes électromagnétiques : potentiels et moments’ ; 4) développement sur

les 14 termes électromagnétiques et spin ; 5) il

chacun de ces cas on peut ajouter le terme inva-

riant ou le terme pseudo-invariant ou les deux.

Un développement invariant peut donc com- prendre 6, 8, 10, 14 termes auxquels on peut en ajouter un ou deux, donc de 6 à 16 termes, sauf 13.

3° On pose que la notion fondamentale est celle de quantités 9(i de variance définie auto-produites

par l’onde u et que les Qi ne sont que des expressions

dérivant des Dans ce cas les Qi sont des sommes

de termes de la forme li aj Uk. Ce cas est une

généralisation du cas et l’on peut avoir les

divers développements envisagés au cas selon

les variances des termes,,9Ci qui vont se présenter,

de 6 à 16 termes, sauf 13.

Avant que la théorie ne soit développée davan- tage, on ne peut dire lequel de ces trois points de

vue doit être adopté, ni (dans les cas et 3°) quels

sont les termes non nuls du développement de Q

sur la base des a.

Manuscrit reçu le 22 mai 1957.

BIBLIOGRAPHIE

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tentative d’interprétation causale de la mécanique ondu-

latoire (Gauthier-Villars, 1956).

[4] DESTOUCHES (J. L.), La quantification

en

théorie fonc-

tionnelle des corpuscules (Gauthier-Villars, Paris, 1956). Voir p. 24-25 et précédentes, p. 27-42 et p. 59- 68.

[5] AESCHLIMANN (F.), C. R. Acad. Sc., Paris, 1953, 236,

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