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Corrig&eacute du concours blanc 2 : &eacutepreuve 1

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Math´ ematiques

Corrig´ e du concours blanc n

2 Epreuve n ´

1

Exercice 1

.

[EDHEC 1997]

Pour tout entier naturelnnon nul, on notefn la fonction d´efinie par :

∀x∈R+, fn(x) =x−nln(x).

1. (a) fn est d´erivable surR+ et pourx >0, on a

fn0 (x) = 1−n

x =x−n x En +∞on a fn(x) =x(1−nln (x)/x) −→

x→+∞+∞car ln (x) =

+∞o(x).

En 0 on a x−nln(x) −→

x→0++∞carn >0.

x 0 n +∞

x−n − 0 +

fn0 (x) − 0 +

fn(x) +∞ +∞

& n(1−ln (n)) % (b) Pourn≥3,on a

fn(n) =n(1−ln (n))<0 car pourn≥3> eon a ln (n)>1.

fn est continue et strictement d´ecroissante sur ]0, n[ dans ]fn(n),+∞[, d’apr`es le th´eo`eme de la bijection monotone, fn est bijective de ]0, n[ dans ]fn(n),+∞[.

Comme fn(n) =n(1−ln (n))<0, alors 0 ∈]fn(n),+∞[. Donc l’´equation fn(x) = 0 a une unique solution sur l’intervalle ]0, n[ not´eeun.

De mˆeme, il y a une unique solutionvn sur l’intervalle ]n,+∞[ doncn < vn.

Conclusion : Pour n≥3, il existeun et vn solutions de l’´equationfn(x) = 0 et v´erifiant 0< un< n < vn. 2. ´Etude de la suite (un)n≥3.

(a) On calcule les images parfn de 1,un et e:

fn(1) = 1−nln (1) = 1 fn(un) = 0

fn(e) =e−nln (e) =e−n <0 car n≥3> e On a donc

fn(1)> fn(un)> fn(e)

or fn est strictement d´ecroissante sur ]0, n] et 1, un eteen sont ´el´ements (care < n) alors Conclusion : ∀n≥3, 1< un< e

(b) On a

fn(un+1) =un+1−nln(un+1) On sait queun+1 v´erifie

fn+1(un+1) =un+1−(n+ 1) ln(un+1) =un+1−nln(un+1)−ln(un+1) = 0 Conclusion : fn(un+1) = ln (un+1)

Pour avoir un ≥un+1 on compare les images parfn : fn(un) = 0

fn(un+1) = ln (un+1)≥0 carun+1≥1 Donc

fn(un)≤fn(un+1)

or fn est strictement d´ecroissante sur ]0, n] etun et un+1 en sont ´el´ements ( carun+1< e < n) alors : Conclusion : ∀n≥3,un≥un+1 et la suite est d´ecroissante.

(2)

(c) La suite (un)n≥3 est donc d´ecroissante et minor´ee par 1 donc convergente vers`≥1.

Remarque : Pour encadrer ln (un) on peut partir de 1< un< ed’o`u 0<ln (un)<1, cependant cel`a n’est pas suffisant pour avoir un encadrement plus pr´ecis de la limite.

On va chercher `a encadrer ln (un) ainsi : comme

fn(un) =un−nln (un) = 0 donc

ln (un) =un n or pourn≥3, 1< un< e, donc

1

n <ln (un) =un n < e

n Donc par encadrement,

ln (un) −→

n→+∞0 or commex7→ex est continue surR, on a

un=eln(un) −→

n→+∞e0= 1 (d) On observe que

ln(un)

un−1 =ln(1 + (un−1)) un−1 or commeun−1 −→

n→+∞0, alors

ln(1 + (un−1)) ∼

+∞un−1 Conclusion : lim

n→+∞

ln(un) un−1 = 1.

On calcule la limite du quotient de un−1 et 1

n en faisant apparaˆıtre le quotient pr´ec´edent : un−1

1/n =n(un−1) = un−1

ln (un)nln (un) or commefn(un) =un−nln (un) = 0, on anln (un) =un, donc

un−1

1/n = un−1 ln (un)un

de plus, comme lim

n→+∞

un−1

ln(un) = 1 et lim

n→+∞un= 1, on a donc un−1

1/n −→

n→+∞1 Conclusion : un−1 ∼

+∞

1 n 3. ´Etude de la suite (vn)n≥3

(a) Commen < vn,par minoration on a Conclusion : lim

n→+∞vn = +∞.

(b) Commen≥3, on anln(n)>0,ainsi

fn(nln(n)) = nln (n)−nln (nln (n))

= nln (n)−n[ln (n) + ln (ln (n))]

= −nln (ln (n))

or commen > e, alors ln (n)>1 et donc ln (ln (n))>0 (car x7→ln(x) strictement croissante surR+ ).

fn(nln (n))<0.

Commefn(vn) = 0, on a donc

fn(nln (n))< fn(vn).

Comme fn est strictement croissante sur [n,+∞[ et que nln (n) et vn en sont ´el´ements (comme ln (n) ≥1, nln (n)≥n) alors

Conclusion : ∀n≥3,nln(n)< vn

(3)

(c) Soitg la fonction d´efinie par :

∀x∈R+, g(x) =x−2 ln(x) g est d´erivable surR+ et pourx >0, on a

g0(x) = 1− 2

x =x−2 x

x 0 2 +∞

x−2 − 0 +

g0(x) − 0 +

g(x) & 2−2 ln (2) % Comme 2< e, alors ln (2)<1, donc

g(2) = 2−2 ln (2) = 2 (1−ln (2))>0 Donc pour toutx∈R+on a

g(x)>0.

Conclusion : ∀n∈N,g(n)>0 etn >2 ln(n) (d) Commen≥3, on anln(n)>0,ainsi

fn(2nln(n)) = 2nln (n)−nln (2nln (n))

= n[2 ln(n)−ln (2)−ln (n)−ln (ln (n))]

= n[ln(n)−ln (2 ln (n))]

or commen >2 ln(n), alors ln (n)>ln (2 ln (n)) (car x7→ln(x) est strictement croissante sur R+) fn(2nln(n))>0.

D’apr`es la question 3.(b), on a donc

fn(nln (n))< fn(vn)< fn(2n.ln(n)).

Commefn est strictement croissante sur [n,+∞[ et quenln (n) (nln (n)≥n)vn et 2nln (n) en sont ´el´ements alors

Conclusion : ∀n≥3,nln (n)< vn<2nln(n) (e) Pourn≥3, on a alors

nln (n)< vn <2nln(n) or commex7→ln(x) est strictement croissante surR+, alors

ln (nln (n))<ln (vn)<ln (2nln (n))

ln (n) + ln (ln (n))<ln (vn)<ln (n) + ln (2) + ln (ln (n)) et en divisant par ln (n)>0 pour faire apparaˆıtre le quotient :

1 + ln (ln (n))

ln (n) <ln (vn)

ln (n) <1 + ln (2)

ln (n)+ln (ln (n)) ln (n) or comme ln(x) =

+∞o(x), en substituant parx= ln(n) −→

n→+∞+∞, on a ln(ln(n)) =

+∞o(ln(n)), donc

1 + ln (ln (n)) ln (n) −→

n→+∞1 1 + ln (2)

ln (n)+ln (ln (n)) ln (n) −→

n→+∞1 Donc par encadrement,

ln (vn) ln (n) −→

n→+∞1 Conclusion : ln(vn) ∼

+∞ln(n)

(4)

Exercice 2

.

Soitf d´efinie pour toutx∈R+ par :

f(x) = ln (x) +x 1. (a) f est d´erivable sur ]0,+∞[ etf0(x) =x1+ 1>0 donc

x 0 +∞

f0(x) +

f(x) −∞ % +∞

(b) On af(x)−x= ln (x) donc

x 0 1 +∞

f(x)−x − 0 +

2. Soitula suite d´efinie paru0>1 et pour tout entiern,

un+1=f(un) (a) --> n = input(’Entrez la valeur de n’);

--> u = input(’Entrez la valeur de u0’);

--> for k=1:n --> u=log(u)+u;

--> end --> disp(u)

(b) Pourn∈N, on d´efinit la propositionP(n) la proposition : ”un>1.”

Initialisation :u0>1,P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

Par hypoth`ese de r´ecurrenceun>1, commef est strictement croissante surR+, alors f(un)> f(1)

Doncun+1>1, carf(1) = 1.P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion : Pour toutn∈N,un>1.

(c) On raisonne par l’absurde, on suppose que la suite (un) est major´ee.

Puisque (un) est croissante et major´ee, alors elle converge vers une limite`≥u0>1.

Commef est continue sur [1,+∞[, par passage `a la limite dans la relation de r´ecurrenceun+1=f(un), on a f(`) =`

or

f(`) =` ⇔ f(`)−`= 0 ⇔ ln (`) = 0 ⇔ `= 1 Or ` >1, on obtient ainsi une contradiction.

Conclusion : (un) n’est pas major´ee et croissante donc tend vers +∞.

On suppose `a pr´esent queu0=e (d) (Une r´ecurrence est ici inutile.)

Commeu0=e >1, alors d’apr`es la question 2.(a),∀n∈Nun>1. De plus,f(x)> xpourx >1, alors un+1=f(un)> un

La suite (un) est donc croissante et∀n∈N

un ≥u0> e et donc

ln (un)≥1 Conclusion : un+1=f(un) =un+ ln (un)≥un+ 1

Pour n∈N, on d´efinit la propositionP(n) la proposition : ”un≥n+e.”

Initialisation :u0> e,P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

Par hypoth`ese de r´ecurrenceun≥n+e, alors d’apr`es le r´esultat pr´ec´edent un+1≥un+ 1≥n+e+ 1 P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion : Pour toutn∈N,un≥n+eetun −→

n→+∞+∞par minoration.

(5)

3. Soitv d´efinie parv0∈]0,1[ et pour tout entiern,

vn+1=f(vn) On raisonne par l’absurde, on suppose que pour tout entiern,vn>0.

• Montrons par r´ecurrence que pour tout entiern, 0< vn<1.

Pour n∈N, on d´efinit la propositionP(n) la proposition : ”0< vn<1.”

Initialisation :0< v0<1,P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

Par hypoth`ese de r´ecurrence 0< vn<1, commef est strictement croissante surR+, alors f(vn)< f(1)

Commef(1) = 1, alors vn+1<1.

De plus, on a suppos´e que pour tout entierk, vk>0, alors vn+1>0.

P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion : Pour toutn∈N, 0< vn<1.

• Commef(x)< xsix∈]0,1[, alorsvn+1=f(vn)< vn. Conclusion : La suite (vn) est d´ecroissante.

• Donc la suite (vn) est d´ecroissante et minor´ee par 0 donc convergente vers une limite`qui v´erifie 0≤`≤v0.

— Si`6= 0, alorsf continue en`et doncf(`) =`et la seule solution est`= 1.

Ce qui est faux car`≤v0<1.

— Donc `= 0.Mais alors commevn −→

n→+∞0 et quef(x) −→

x→0+−∞alors vn+1=f(vn) −→

n→+∞−∞

On obtient alors`=−∞. Ce qui est en contradiction avec`= 0.

Conclusion : La supposition de d´epart est fausse : il existe un entier n0 tel que vn0 ≤0.

La suite (vn) n’est alors plus d´efinie `a paritr de l’indicen0+ 1 puisquef n’est d´efinie que surR+.

Exercice 3

.

[EDHEC 2006]

Soitf l’endomorphisme de R3dont la matrice dans la base canoniqueB deR3 est :

A=

2 10 7

1 4 3

−2 −8 −6

On noteIla matrice unit´e deM3(R) et on poseu= (2,1,−2).

1. (a) (x, y, z)∈Ker (f)⇐⇒f(x, y, z) = 0⇐⇒A

 x y z

= 0

(car les coordonn´ees de (x, y, z) dans la base canonique sont (x, y, z)) ce que l’on r´esout :

⇐⇒

2x+ 10y+ 7z= 0 x+ 4y+ 3z= 0

−2x−8y−6z= 0

⇐⇒

2y+z= 0 L1←L1−2L2 x+ 4y+ 3z= 0

0 = 0 L3←L3+ 2L2

⇐⇒

z=−2y

x=−3z−4y= 2y

Conclusion : Ker (f) ={y(2,1,−2) avecy∈R}= Vect (u) (b) Comme Ker (f)6={0} alorsAest non inversible.

2. (a) Soitv= (x,1, z) qui a pour coordonn´ees dansB: (x,1, z) f(v) =u⇐⇒A

 x 1 z

=

 2 1

−2

⇐⇒

2x+ 10 + 7z= 2 x+ 4 + 3z= 1

−2x−8−6z=−2

⇐⇒

2x+ 10 + 7z= 2 x+ 4 + 3z= 1

2 +z= 0 L3←L3+L1

⇐⇒

 x= 3 x= 3 z=−2

par substitution

L’unique vecteur v v´erifiantf(v) =udont la 2e coordonn´ee dansB vaut 1 est donc : Conclusion : v= (3,1,−2)

(6)

(b) Soitw= (x,1, z)On traduit sur les coordonn´ees dans la baseB: f(w) =v⇐⇒A

 x 1 z

=

 3 1

−2

⇐⇒

2x+ 10 + 7z= 3 x+ 4 + 3z= 1

−2x−8−6z=−2

⇐⇒

2x+ 10 + 7z= 3 x+ 4 + 3z= 1

2 +z= 1 L3←L3+L1

⇐⇒

 x= 0 x= 0 z=−1

par substitution

L’unique vecteur wv´erifiantf(w) =v dont la 2e coordonn´ee dansBvaut 1 est donc : Conclusion : w= (0,1,−1)

(c) La famille (u, v, w) comprend trois vecteurs deR3 qui est de dimension 3.

Il suffit donc de d´emontrer que la famille est libre :

Si xu+yv+zw= 0 alorsx(2,1,−2) +y(3,1,−2) +z(0,1,−1) = 0 donc

2x+ 3y= 0 x+y+z= 0

−2x−2y−z= 0

⇐⇒

y−2z= 0 L1←L1−2L2

x+y+z= 0

z= 0 L3←L3+ 2L2

⇐⇒x=y=z= 0 par substitution.

Donc la famille est libre.

Conclusion : B0= (u, v, w) est nue base de R3

La matrice de passage de la base canonique dansB0 est form´e par les coordonn´ees en colonne des vecteurs de B0 dansB.

doncP =

2 3 0

1 1 1

−2 −2 −1

3. (a) Commef(u) = 0 = 0u+ 0v+ 0w alors les coordonn´ees def(u) dansB0 sont (0,0,0) et de mˆemef(v) =ua pour coordonn´ees (1,0,0) etf(w) =v a pour coordonn´ees (0,1,0) DoncN =

0 1 0 0 0 1 0 0 0

(b) La formule de changement de base donne :

matBf = matB(B0) matB0(f) matB0(B) et Conclusion : A=P N P−1

On calculeN2=

0 0 1 0 0 0 0 0 0

etN3= 03

Donc pour toutk≥3, Nk =N3Nk−3= 03et Ak =P NkP−1= 03 Conclusion : pour tout entierksup´erieur ou ´egal `a 3, on a :Ak = 03.

4. On noteCN (respectivementCA) l’ensemble des matrices deM3(R) qui commutent avecN (respectivementA).

(ce sont les matricesM qui v´erifientM C =C M ) (a) On peut v´erifier les crit`eres de sous-espaces :

— Par d´efinition, CN ⊂ M3(R).

— 03N= 03=N03donc 03∈CN

— Soientαetβ ∈Ret M etM0 deCN alors

(αM+βM0)N=αM N+βM0N =αN M+βN M0=N(αM+βM0)

DoncCN est stable par combinaisons lin´eaires et est un sous espace deM3(R).

Conclusion : CN est un sous-espace vectoriel deM3(R)

Ou plus rapidement, r´esoudre et trouver une famille g´en´eratrice : SoitM =

a b c

d e f

g h i

alors

N M =

0 1 0 0 0 1 0 0 0

a b c

d e f

g h i

=

d e f

g h i

0 0 0

et

M N =

a b c

d e f

g h i

0 1 0 0 0 1 0 0 0

=

0 a b

0 d e

0 g h

(7)

DoncM N =N M ⇐⇒

d= 0 e=a f =b g= 0 h=d e=i 0 = 0 g= 0 h= 0

⇐⇒

d= 0 e=a f =b g= 0 h= 0 e=i 0 = 0 g= 0 h= 0 DoncCN =

a b c

0 a b

0 0 a

 avec a, b, c∈R

= Vect I, N, N2 Et on peut conclure `a la fois que

Conclusion : CN est le sous-espace vectoriel deM3(R) engendr´e par I, N, N2 (b) On proc`ede par ´equivalence :

P−1M P∈CN ⇐⇒ P−1M P N =N P−1M P

⇐⇒ P−1M P P−1AP =P−1AP P−1M P

⇐⇒ M A=A M

⇐⇒ M ∈CA

Pour d´eterminer l’ensemble, on proc`ede par ´equivalence :

M ∈CA ⇐⇒ P−1M P ∈CN = Vect I, N, N2

⇐⇒ il existe (a, b, c)∈R3tels que P−1M P =aI+bN+cN2

⇐⇒ il existe (a, b, c)∈R3tels que M =aI+bP N P−1+cP N2P−1

⇐⇒ il existe (a, b, c)∈R3tels que M =aI+bA+cA2

⇐⇒ M ∈Vect I, A, A2 Pour avoir la dimension, reste `a voir si la famille est libre.

Soient a, b, c∈Rtels queaI+bA+cA2= 0

alors (en multipliant par P−1 `a droite et parP `a gauche)aI+bN +cN2= 0.

Et comme la famille I, N, N2

est ´echelonn´ee, elle est libre. Donc a=b=c= 0.

I, A, A2

est libre et g´en´eratrice donc une base deCA. Conclusion : CA= vect(I, A, A2) et dim (CA) = 3

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