• Aucun résultat trouvé

Corrig&eacute du concours blanc 1

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Corrig&eacute du concours blanc 1"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

Math´ ematiques

Corrig´ e du concours blanc n

1

Exercice 1

.

[EMLyon 1996]

Soitf la fonction d´efinie sur Rparf(x) = ex e2x+ 1 1. (a) On a pour tout r´eel x: six∈Df, −x∈Df et

f(−x) = e−x e−2x+ 1 =

1 ex 1

e2x + 1 = ex

1 +e2x =f(x) Doncf est paire. De plusf est d´erivable sur R

f0(x) = ex e2x+ 1

−exe2x2

(e2x+ 1)2 = ex−e3x (e2x+ 1)2

= ex

(e2x+ 1)2 1−e2x

x −∞ 0 +∞

1−e2x + 0 −

f0(x) + 0 −

f(x) 0 % 12 & 0 En −∞:f(x) = ex

e2x+ 1 −→

x→−∞0 . En +∞, on a par sym´etrief(x) −→

x→+∞0.

(b) On ´etudie les variations de la diff´erence :g(x) =f(x)−x. gest d´erivable surRet g0(x) =f0(x)−1.

Sur R,on af(x)>0 doncf(x)> xetf(x) =xn’y a pas de solution.

Sur R+,on af0(x)≤0 doncg0(x)<0.

On a donc g qui est continue et strictement d´ecroissante sur R+, donc g est une bijection de R+ dans

x→+∞lim g(x), g(0)

= ]−∞,1/2].

Comme 0 ∈]−∞,1/2], alors d’apr`es le th´eor`eme de la bijection l’´equation g(x) = 0 a une unique solution ` sur R+.

De plus g(1/2) =f(1/2)−1/2<0 doncg(0) = 1/2≥g(`)≥g(1/2) et commeg est strictement d´ecroissante sur R+ et qu’ils en sont ´el´ements, 0≤`≤ 1

2.

Conclusion : L’´equationf(`) =`a une unique solution`et 0≤`≤ 1 2. (c) Pourx≤0 on a|f0(x)|=f0(x) et

|f0(x)| −f(x) = ex−e3x

(e2x+ 1)2 − ex

1 +e2x = ex−e3x−ex e2x+ 1 (e2x+ 1)2

= −2e3x (e2x+ 1)2 ≤0 Pour x≥0 on a|f0(x)|=−f0(x) et

|f0(x)| −f(x) =− ex−e3x

(e2x+ 1)2 − ex

1 +e2x = −ex+e3x−ex e2x+ 1 (e2x+ 1)2

= −2ex (e2x+ 1)2 ≤0 Et commef est maximale en 0, on a bien

Conclusion : pour toutx∈R,|f0(x)| ≤f(x)≤f(0) = 1 2. 2. On d´efinit la suite (un)n∈Npar :

u0= 0 et∀n∈N un+1=f(un)

(2)

(a) Pourn∈N, on d´efinit la propositionP(n) : ”un∈[0,1/2].”

Initialisation : u0= 0 doncu0∈[0,1/2],P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e :On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

D’apr`es l’hypoth`ese de r´ecurrence,un∈[0,1/2], alors, d’apr`es la question 1.(c), on af(un)∈[0,1/2].

Doncun+1∈[0,1/2],P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion : Pour toutn∈N, un∈[0,1/2].

(b) f est continue sur [0,1/2] et d´erivable sur l’intervalle ]0,1/2[. De plus, d’apr`es les pr´ec´edentes questions, un ∈ [0,1/2],l∈[0,1/2] et|f0(x)| ≤1

2 pour toutxde [0,1/2]. Donc, d’apr`es l’in´egalit´e des accroissements finis

|f(un)−f(`)|=|un+1−`| ≤ 1

2|un−`|

Pour n∈N, on d´efinit la propositionP(n) : ”|un−`| ≤ 1 2n+1.”

Initialisation : |u0−`|=`≤ 12 = 1

20+1,P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e :On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

D’apr`es l’hypoth`ese de r´ecurrence,|un−`| ≤ 1

2n+1 alors,|un+1−`| ≤ 1

2|un−`| ≤ 1 2

1

2n+1.P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion : Pour toutn∈N,|un−`| ≤ 1 2n+1. (c) Alors comme

12

<1 on a 12n+1

n→+∞−→ 0 et par encadrement|un−`| −→

n→+∞0 et donc Conclusion : la suite (un) converge vers`.

(d) un donnera une valeur approvch´ee de` `a 10−3 pr`es si|un−`| ≤10−3 ce qui sera r´ealis´e si 1

2n+1 ≤10−3 u=0; p=1/2;

while p>10^(-3) p=p/2;

u=exp(u)/(1+exp(2*u));

end disp(u)

Exercice 2

.

[ESCP 1998]

1. (a) f est d´erivable surRet

f0(x) = (n+ 1)xn+nxn−1= (n+ 1)xn−1

x+ n n+ 1

Si nest pair, on a alorsn−1 impair et le signe de f0 est alors :

x −n+1n 0

xn−1 − − 0 +

x+n/(n+ 1) − 0 + +

f0(x) + 0 − 0 +

f

n+1n

+∞

f(x) % & %

−∞ 0

Si nest impair, on a alorsn−1 pair et le signe def0 est alors :

x −n+1n 0

xn−1 + + 0 +

x+n/(n+ 1) − 0 + +

f0(x) − 0 + 0 +

+∞ +∞

f(x) & % 0 %

f

n+1n

2

(3)

(b) Sinest impair, on a d’apr`es le sens de variation,f

− n n+ 1

< f(0) = 0<2 Si nest pair, n

n+ 1 <1 donc

− n n+ 1

n

= n

n+ 1 n

<1n et

− n n+ 1

n+1

<0 doncf

− n n+ 1

<2 (c) f est continue et strictement croissante sur [0,+∞[ dans [0,+∞[,donc d’apr`es le th´eor`eme de la bijection

monotone, l’´equationf(x) = 2 a une unique solution sur [0,+∞[ : x= 1 (carf(1) = 2).

• Si nest pair : d’apr`es les variations de f et f

− n n+ 1

<2, il n’y a pas de solution sur ]−∞,0] et elle a doncx= 1 pour unique solution surR.

• Sinest impair :f est continue et strictement d´ecroissante sur

−∞,− n n+ 1

dans

f(− n

n+ 1),+∞

, donc . Comme f(− n

n+ 1)<2, d’apr`es le th´eor`eme de la bijection monotone, l’´equation f(x) = 2 a une unique solution sur

−∞,− n n+ 1

. De plus, d’apr`es les variations def, elle n’en a pas sur

− n n+ 1,0

. Elle a donc deux solutions :α <0 et 1.

2. (a) SoitP =

1 1 x y

.

A·P =P·D⇔

1 1 1 1

·

1 1 x y

=

1 1 x y

·

0 0 0 2

1 +x 1 +y 1 +x 1 +y

=

0 2 0 2y

1 +x= 0 1 +y= 2 1 +x= 0 1 +y= 2y ⇔

x=−1 y= 1 . DoncP =

1 1

−1 1

(b) On trouveP−1 en posant le syst`emeP X=Y. AinsiP est invarsible et P−1=1 2

1 −1

1 1

. CommeA·P =P·D, en multipliant `a droite par P−1on obtient

A=A·P·.P−1=P·D·P−1 et en multipliant `a gauche parP−1

D=P−1·P·D=P−1·A·P.

3. (a) SiXn+1+Xn=A, alors

Xn+1+Xn=A⇔P−1·(Xn+1+Xn)P =P·A·P−1

⇔P−1·Xn+1·P+P−1·Xn·P=D⇔(P−1XP)n+1+ (P−1XP)n=D Donc en posantY =P−1XP,Y est solution de (En0).

(b) SoitY une solution de (En0). On poseY =

a b c d

i. SiY est solution de (En0) alorsYn+1+Yn=D donc

D·Y = (Yn+1+Yn)·Y =Yn+2+Yn+1=Y ·(Yn+1+Yn) =Y ·D ii. CommeY D=DY alors

a b c d

0 0 0 2

=

0 0 0 2

a b c d

0 2b 0 2d

=

0 0 2c 2d

doncc= 0 etb= 0 iii. DoncY =

a 0 0 d

est diagonale, on connait donc ses puissances :Yn=

an 0 0 dn

et

Yn+1+Yn =D⇔

an+1+an 0 0 dn+1+dn

=

0 0 0 2

an+1+an= 0 dn+1+dn= 2 Oran+1+an=an(a+ 1), donc la premi`ere ´equation a pour solutions a=−1 eta= 0.

iv. La seconde ´equation a pour unique solutiond= 1 si n est pair et pour solutions d=αet d= 1 si nest impair.

On a donc

(4)

• Si n est pair, on a 2 solutions pour (En0) et donc 2 solutions pour (En) via le changement de variable X =P Y P−1

• Sinest impair, on a 4 solutions (4 valeurs possibles pour le couple (a, d)) pour (En0) et donc 4 solutions pour (En).

(c) L’´equationx4+x3= 2 est l’´equation (E3).Comme 3 est impair, cette ´equation a donc 4 solutions : X =P Y P−1=

1 1

−1 1

a 0 0 d

1 2

1 −1

1 1

= 1 2

a+d −a+d

−a+d a+d

Commea=−1 ou 0 etd=αou 1, l’ensemble des solutions de (E3) est donc 0 1

1 0

, 1 2

1 1 1 1

, 1

2

−1 +α −1 +α 1 +α 1 +α

et 1 2

α α α α

Exercice 3

.

[EDHEC 2012]

Soitp∈]0,1[ etq= 1−p. On noteP pour pile etF pour face : P (P) =pet P (F) =q. On lance cette pi`ece et on arrˆete les lancers dans l’une des deux situations suivantes :

• Soit si l’on a obtenu ’Pile’

• Soit si l’on a obtenunfois ’Face’.

On noteTn le nombre de lancers effectu´es,Xn le nombre de ’ Pile’ obtenus et enfinYn le nombre de ’Face’ obtenus.

1. Loi deTn

(a) Pour toutk∈[[1, n−1]]

sik= 1,(Tn= 1) signifie que l’on n’a fait qu’un seul lancer, donc (Tn= 1) =P1

Et pour k≥2,(Tn= 1) signifie que l’on a fait k lancers, donc que l’on a eu le premier pile auki`eme et donc des faces avant.

(Tn=k) =F1∩ · · · ∩Pk donc P (Tn=k) = P (F1)· · ·PF1∩···Fk−1(Pk)

le conditionnement indiquant que les lancers se continuent, puisque l’on n’a pas ’Pile’ et pas encore effectu´en lancers. Donc P (Tn=k) =qk−1pformule encore valable pourk= 1.

Conclusion : P (Tn=k) =qk−1ppourk∈[[1, n−1]]

(b) (T =n) signifie que l’on a effectu´enlancers, c’est `a dire que l’on n’a pas eu de ’Pile’ jusqu’au pr´ec´edent. Les lancers se terminant de toute fa¸con auni`emesi l’on n’a que ’Face’.

Donc

(Tn=n) =F1∩ · · · ∩Fn−1 Conclusion : P (Tn=n) =qn−1

(c) Dans la somme, il faut isoler la valeurk=nqui n’a pas la mˆeme formule que les autres :

n

X

k=1

P (Tn=k) =

n−1

X

k=1

qk−1p+qn−1=p

n−2

X

k=0

qk+qn−1=p1−qn−1

1−q +qn−1=p1−qn−1

p +qn−1= 1 (d) Tn ´etant finie, elle a une esp´erance et

E(Tn) =

n

X

k=1

kP (Tn =k) =

n−1

X

k=1

kqk−1p+nqn−1

Pour n≥2, on d´efinit la proposition P(n) : ”E(Tn) =1−qn 1−q .”

Initialisation : Pourn= 2 on a E(T2) =p+ 2q et 1−q2

1−q = 1 +q=p+q+q

=p+ 2q=E(T2) P(2) est donc vraie.

H´er´edit´e :On suppose que pour unn≥2 fix´e, la propositionP(n) est vraie.

4

(5)

D’apr`es l’hypoth`ese de r´ecurrence,E(Tn) = 1−qn 1−q alors E(Tn+1) =

n

X

k=1

kqk−1p+ (n+ 1)qn

=

n−1

X

k=1

kqk−1p+nqn−1p+ (n+ 1)qn

=

n−1

X

k=1

kqk−1p+nqn−1(1−q) + (n+ 1)qn

=E(Tn) +qn

= 1−qn 1−q +qn

= 1−qn+1 1−q P(n+ 1) est donc vraie.

Initialisation : Pour toutn≥2 :E(Tn) =1−qn 1−q 2. Loi deXn.

a) et b) Lors des lancers, on a ou bien un Pile et on s’arrˆete, ou bien nfaces.

DoncXn(Ω) ={0,1}avec (Xn= 0) = ’nfaces’ et P (Xn= 0) =qn Conclusion : Xn,→ B(1−qn)

E(Xn) = 1−qn 3. Loi deYn

(a) Pour toutk∈[[0, n−1]],(Yn =k) signifie que l’on a eukFaces (donc pasn) et donc ensuite un Pile.

(Yn =k) =F1∩ · · ·Fk∩Pk+1 donc (probas compos´ees) P (Yn =k) =qkp

(b) (Yn=n) signifie que l’on a eunFace donc P (Yn=n) =qn

(c) Le nombre total de lancers est le nombre total de Pile et de Face obtenus.

Conclusion : Tn=Xn+Yn doncYn=Tn−Xn et

E(Yn) =E(Tn)−E(Xn)

= 1−qn

1−q −(1−qn)

= (1−qn) 1

1−q−1

= (1−qn) q 1−q

Exercice 4

.

[EDHEC 2001]

Partie 1

1. On peut ´ecrire

n=input(’donner la valeur de n’);

sum(ones(1,n)./(1:n))

2. Soit un entier naturelk >1. Pour toutt ∈[k−1, k] on a : 0 < k−1≤t≤k donc 1k1tk−11 et comme les bornes :k−1≤kalors

Z k

k−1

1 kdt6

Z k

k−1

dt t Conclusion : 1

k 6 Z k

k−1

dt

t = ln(k)−ln(k−1).

(6)

3. L’in´egalit´e pr´ec´edente n’est vraie que pourk≥2 et donc vn =

n

X

k=1

1 k = 1+

n

X

k=2

1

k pour avoir k >1

≤ 1 +

n

X

k=2

Z k

k−1

dt t = 1 +

Z n

1

dt

t = ln (n) + 1 Conclusion : ∀n∈N, vn6ln(n) + 1.

Partie 2

1. On peut ´ecrire

n=input(’donner la valeur de n’);

u=1;

for k=1:n u=u+1/u;

end;

disp(u)

2. (a) Pourn∈N, on d´efinitP(n) la proposition : ”un est d´efini et strictement positif.”

Initialisation : u0= 1>0,P(0) est donc vraie.

H´er´edit´e :On suppose que pour unn∈Nfix´e, la propositionP(n) est vraie.

Alorsun+ 1

un est bien d´efini car un6= 0 et est strictement positif. P(n+ 1) est donc vraie.

Conclusion :Pour toutn∈N,un est donc d´efini et strictement positif.

(b) On a donc pour tout entiern:un+1> un car 1/un >0,la suite (un)n∈N est donc strictement croissante.

3. (a) On a

u2k+1−u2k=

uk+ 1 uk

2

−u2k =u2k+ 2 + 1

u2k −u2k= 2 + 1 u2k (b) On a d’une part :

n−1

X

k=0

u2k+1−u2k

=u2n−u20=u2n−1, la somme est t´el´escopique et d’autre part

n−1

X

k=0

u2k+1−u2k

=

n−1

X

k=0

2 + 1

u2k

= 2n+

n−1

X

k=0

1 u2k

doncu2n= 2n+ 1 +

n−1

X

k=0

1 u2k (c) Or 1/u2k ≥0 donc

n−1

X

k=0

1

u2k ≥0 et donc∀n∈N, u2n ≥2n+ 1.

Finalement, comme 2n+ 1 →

n→+∞+∞,par minorationu2n

n→+∞+∞.

Doncun=|un|=p u2n

n→+∞+∞

4. (a) On veut majoreru2n = 2n+ 1 +

n−1

X

k=0

1

u2k et pour cela, il faut minorer 1 u2k. Pour toutk:u2k ≥2k+ 1>2kdonc 1

u2k ≤ 1

2k sik >0 (sik≥1 ) le terme pourk= 0 est donc `a garder `a part.

Donc

n−1

X

k=0

1 u2k = 1

12 +

n−1

X

k=1

1 u2k ≤1 +

n−1

X

k=1

1

2k = 1 +1

2vn−1 sin−1≥1i.e.n≥2 D’o`u

u2n = 2n+ 1 +

n−1

X

k=0

1

u2k ≤2n+ 1 + 1+1 2vn−1 Conclusion : u2n≤2n+ 2+1

2vn−1pour toutn≥2 6

(7)

(b) Et commevn ≤1 + ln (n) pour tout entiern≥2, on a doncvn−1≤1 + ln (n−1) u2n≤2n+ 2 +1 + ln(n−1)

2 = 2n+5

2 +ln (n−1)

2 .

(c) On a alors l’encadrement :

2n+ 1≤u2n ≤2n+5

2 +ln (n−1) 2 et comme la fonction x7→√

xest strictement croissante sur [0,+∞[ :

2n+ 1≤ un ≤ r

2n+5

2+ln (n−1) 2

√ 2n

r 1 + 1

2n ≤ un ≤√ 2n

r 1+ 5

4n+ln (n−1) 4n r

1 + 1

2n ≤ un

√2n ≤ r

1+ 5

4n+ln (n−1) 4n et comme ln (n−1)

4n →

n→+∞0, alors

1+ 5

4n+ln (n−1)

4n →

n→+∞1, 1 + 1

2n →

n→+∞1, par encadrement,

un

√2n →

n→+∞1.

Références

Documents relatifs

Apr` es une partie pr´ eliminaire sur les propri´ et´ es de la loi exponentielle, on introduira dans la deuxi` eme partie, les notions permettant d’´ etudier des propri´ et´ es de

[r]

(a) Comme A est triangulaire, ses valeurs propres sont sur sa diagonale... (b) On calcule la limite du taux d’accroissement

[r]

(a) On ne sait pas r´ esoudre une telle in´ egalit´ e, on passe donc par le sens de variation de la diff´ erence... Donc s’il est positif ou nul pour tout λ c’est que

ce qui n’est pas

On note F la fonction de r´ epartition de

On admet que les formules donnant l’esp´ erance et la variance d’une somme de variables al´ eatoires discr` etes, ainsi que la d´ efinition et les propri´ et´ es de la covariance