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Samedi 17 mai 1890

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ïmËf*

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Quatrième annéB. — N

0

40 P r i x du n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Samedi 17 mai 1890

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

Suisse . . . 6 fr. 3 Fr.

Union postale . 12 » 6 D

On s'abonne à tous les bureaux de poste

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » Minimum d'une annonce 50 centimes

Les annonces se paient d'avance

U r g n n e d e I n S o c i é t é i n t e r c i u i t o n a l e d e s i n d u s t r i e » d u J u r a , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

La hausse de l'argent.

Oa lil dans le dernier numéro du Mo- niteur de la bijouterie et de l'horlogerie, de Paris:

« Nous avons reçu un certain nombre de lettres au sujet des cours actuels de l'argent. Les uns nous demandent la cause de la hausse; les autres trou\ent que les cours que nous indiquons depuis quelque temps sont exagérés; enfin les maisons de Paris qui pourraient peut- être donner quelques renseignements gardent le silence.

« En attendant que la chose soit tirée au clair, on peut noter deux points:

Io Aucune raison de production ne justifie Ia hausse actuelle de l'argent;

2° La hausse actuelle est un effet de la spéculation sur le marché de Londres.

Impossible de prévoir combien de temps la spéculation à la hausse doit durer et où elle nous mènera. »

Celte appréciation est conforme à celle que nous exprimions dans notre numéro du 26 avril, mais il n'est pas moins vrai que la hausse s'est encore accentuée, la cote du 15 mai, que nous publions à la troisième page, présentant une aug- mentation moyenne de un franc par ki- logramme d'argent, sur celle que nous avons publiée dans notre dernier numéro.

D'après les renseignements recueillis dans des journaux spéciaux, la hausse aurait atteint son maximum, et l'on s'attendrait a un prochain retour à une cote normale.

Cette prévision, si elle se réalise prochai- nement, amènera une nouvelle perturba- tion dans les rapports entre chefs d'ate- liers monteurs de boîtes et fabricants d'horlogerie, ces derniers auxquels une hausse du tarif de l'argent a été imposée à partir du 1

ei

" mai courant, demandant à être- mis au bénéfice des baisses qui pourraient se produire.

Nous avons reçu, à ce sujet, la corres- pondance suivante émanant d'un fabri- cant; elle demande une réponse de la part du syndicat des patrons monteurs de boîtes.

Bienne, le 14 mai 1890.

Monsieur le rédacteur,

La hausse du mêlai argent, survenue assez inopinémeiUfcSi en tout cas .,jpi}t malenconlrueusement dans un moment où le fabricant a fort à faire pour lutter contre la décadence des prix de vente et ne peut guère songer à les relever, a pro- voqué, de la part du syndical des patrons monteurs de boîtes d'argent, l'application sans aucun avertissement, d'un tarif de hausse que je considère comme absolu- ment exagéré parce qu'il est plus élevé que la hausse réelle du métal argent, at- tendu qu'une hausse avait déjà été faite il y a peu de temps.

Les patrons monteurs de boîtes se dé- clarent dans l'impossibilité de supporter la hausse de l'argent, sans la faire subir, à leur tour, aux établisseurs, et cela pour le motif que n'ayant que peu ou point de bénéfice sur la façon des boîtes, ils doi- vent, pour conserver un gain normal, suivre les mouvements de hausse de l'argent.

Tout cela est fort bien et même fort logique; mais, — il y a un mais — les monteurs de boîtes devraient, au nom de la même logique, baisser les prix de l'ar- gent lorsque le cours fléchit; et, en d'au- tres termes, suivre toutes les fluctuations des cours, aussi bien dans le sens de la baisse que dans le sens de la hausse. Or, jusqu'à présent, nous recevons bien des tarifs de hausse; quant à des tarifs de baisse, en rapport avec les cours bas, nous n'en voyons guère. D'ailleurs, si l'on prend la moyenne des cours d'une année, l'on remarque que l»s monteurs de boîtes,

s'ils maintiennent les mêmes tarifs, par exemple ceux qui étaient en vigueur avant le 1er mai, y trouveraient exactement leur affaire, et qu'en fin de compte, tous ces changements de tarifs n'ont d'autre ré- sultat que de compliquer les rapports entre fabricants et boîtiers; ceci bien en- tendu, dans la supposition que les tarifs de ces derniers suivent scrupuleusemeut la hausse ou la baisse des cours. .

" t e s monteurs de boîtes passent un mauvais moment, je n'en disconviens pas; mais, lorsque les cours sont très bas ils ne soufflent mot et empochent bien tranquillement la différence. Vienne une hausse d'une fraction de centime par gramme, bien vite ils décrètent une hausse, en chiffres ronds bien entendu, et en prenant une certaine marge. Si l'on veut être juste et agir absolument correctement, il faudrait: ou bien rester aux tarifs d'avant le premier mai et courir le risque des hausses, tout en bénéficiant des baisses ; ou bien suivre scrupuleuse- ment et exactement toutes les fluctuations des cours, dans les deux sens.

Je suis absolument convaincu que les deux systèmes reviennent au même com- me résultat final et que, par conséquent, le premier qui est le plus simple est le meilleur. Le monteur de boîtes n'y per- drait rien et le fabricant saurait mieux à quoi s'en tenir, tout en étant traité plus justement. Tandis qu'avec le système ad- mis, on attend de voir comment les cho- ses tourneront et on ne sort que les com- missions absolument pressantes ; c'est ce qui a lieu aujourd'hui.

Autre chose· outre les critiques que

l'on peut adresser au système admis par

le syndical, il y a aussi quelque cho

s

e à

dire quant au mode d'application. Que les

monteurs de boîtes cherchent à appliquer

le nouveau tarif pour toutes les commis-

sions qui leur sont données depuis la pu-

(2)

• . · · : / : •

188 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

blication du nouveau tarif, c'est logique, mais qu'ils prétendent facturer aux' nou- veaux pr:x, l'argent de boîtes commis- sionnées au mois d'avril et non encore livrées, ceci me paraît absolument inad- missible. En effet, une mesure de ce genre ne peut avoir d'effet rétroactif, et une commande régulièrement donnée et ac- ceptée sous le régime des prix anciens ne doit pas être livrée avec la majoration prévue par la nouvelle cote; vouloir l'im- poser c'est, de la part du monteur de boîtes, proclamer le droit à la rupture des contrais; comme le cas s'est présenté pour moi et pour d'autres aussi, il serait bon que la chambre syndicale des mon- teurs de boîtes s'exprimàtcatégoriquemen l sur ce point.

Encore un mot et j'ai fini; pourquoi ces questions de prix et de tarifs se dis- cutent-elles et se décident-elles complè- tement en dehors des fabricants d'horlo- gerie, qui supportent en fin de compte toute la hausse? Ne pourrait-on pas sou- mettre à leur appréciation les motifs in- diqués pour changer les tarifs et tenir compte, dans la mesure de ce qui est raisonnable, de leurs observations. Je crois que tout le monde s'en trouverait mieux et que les rapports réciproques n'auraient pas l'aigreur qui résulte de mesures appliquées plus ou moins bruta- lement. C'est d'ailleurs dans l'essence même des syndicats, que ceux qui sont appelés à payer la hausse, soient au moins renseignés exactement sur les motifs qui guident ceux qui la font.

Agréez, Monsieur le rédacteur, mes salutations empressées.

Un fabricant.

Les syndicats professionnels, les pen- sions de retraite pour les ouvriers, la

journée de huit heures en France.

IL y a eu mardi à la Chambre une très belle discussion au sujet d'un nouveau projet de loi sur les syndicats professionnels, qui date de l'époque, déjà un peu ancienne, des grè- ves d'Anzin et des bassins miniers du Nord et du Pas-de-Calais.

A cette époque — c'est du moins ce qui fut dit dans l'enquête ouverte par la Chambre

— plusieurs compagnies minières renvoyè- rent ceux de leurs ouvriers qui faisaient par- tie des syndicats, et il en aurait, dit-on, été de même de plusieurs autres patrons dans diverses industries.

Ces atteintes à un droit reconnu par la loi émurent vivement la Chambre, et elle fut aussitôt saisie de propositions qui, établis- sant une sanction pénale non prévue par la loi, punissaient de l'amende et de la prison les faits dont il était question.

Ces propositions ont subi les lenteurs de la procédure parlementaire : enfin l'une d'elles, qui résumait les autres, avait été votée par la Chambre dans la dernière ses- sion; mais, comme elle n'avait pas eu le temps de passer au Sénat, tout est à recom- mencer.

Le projet a été attaqué comme inutile et dangereux par M. Aynard, de Lyon, M. Thé·

venet, l'ancien garde des sceaux, et M.

Loreau, le concurrent de M. Portalis.

D'après eux, les faits qu'il s'agit de punir, ne se représentent plus; la loi sur les syn- dicats professionnels s'exécute librement avec l'assentiment des patrons, qui poussent au contraire à l'établissement de syndicats avec lesquels ils puissent discuter, traiter et s'entendre.

Dans leur opinion, le nouveau projet ne servira qu'à créer des divisions, engrendrer des méfiances, provoquer des procès, qui embarrasseront la magistrature.

Les auteurs de la proposition, M. Clemen- ceau et M. Fallières, au nom du gouverne- ment, ont répondu qu'il était nécessaire de garantir par une sanction un droit reconnu par la loi, que si les abus signalés ne se pro- duisent pas, la nouvelle loi ne recevra pas d'application, voilà tout, que, s'ils viennent à se produire, les tribunaux jugeront ce délit comme ils jugent tous les autres, cherchant par tous les moyens possibles à établir la vérité et ne se prononçant que sur des preu- ves.

La Chambre a partagé celte opinion, car elle a, par 400 voix contre 93, déclaré qu'elle passait à la discussion des articles : mais plu- sieurs dispositions du projet seront sans . doute modifiées dans un sens plus net et plus

précis.

M. Constans prépare un projet tendant à assurer aux ouvriers des pensions de re- traite après un certain nombre d'années de travail où à la suite d'infirmités. Ce projet autorise les ouvriers à faire des versements à des sociétés de secours mutuels ou à d'au- tres associations analogues auxquelles Γ E- tat accorderait une subvention.

Les douze délégués de la manifestation du 1er mai ont été entendus par la commis- sion parlementaire du travail. Leur déposi- tion n'a pas duré moins de trois heures ; elle a porté sur deux points principaux ; la limitation de la journée de travail à huit heures pour tous les ouvriers sans distinc- tion et la fixation d'un minimum de sa- laire.

Les revendications ouvrières ont été prin- cipalement développées par MM. Vaillant et Jules Guesde. Celui-ci a essayé de démon- trer que la réduction des heures de travail, loin de produire un aba;ssement des salai- res, aurait au contraire pour effet de les hausser, puisque, le travail s'élant raréfié, les patrons seraient obligés de faire des concessions aux ouvriers.

En ce qui concerne la fixation des salai- res, les délégués ne demandent pas qu'elle soit entièrement réglée par la loi, mais que le principe d'un minimum soit légalement établi. Ce serait aux bourses de travail ou aux syndicats ouvriers à fixer la quotité des salaires, suivant les usages et les nécessités locales.

Extrait du rapport commercial du con- sulat suisse à V arsovie sur l'année 1889.

Depuis plusieurs années les rapports an- nuels commencent invariablement par des plaintes sur la stagnation et les difficultés que rencontrent et le commerce et l'industrie.

Cependant, jamais de pareilles plaintes n'ont été mieux justifiées qu'en 1889.

Cours du rou'le. Le cours du rouble qui, dans le courant et à la fin de l'année 1888, s'améliora au-dessus de toute attente, chan- gea si subitement les bases sur lesquelles reposaient le commerce et l'industrie du pays, qu'il s'ensuivit un désarroi complet et de

grands changements dans la production et la consommation du pays.

Les conditions de l'importation et de l'ex- portation se trouvant complètement changées par l'amélioration du cours du rouble, on vit rapidement s'ébranler les espérances de nos producteurs et même de nos importateurs dont le commerce échangiste prospérait lors des hauts cours des années 1886 à 1888.

Papiers de légitimation en désordre. Dans le courant de l'année, le consul a dû inter- venir dans 23 cas auprès de Ia police locale et auprès du gouverneur général pour faire libérer d'amendes et même de prison et ren- voi à la frontière des citoyens suisses qui avaient négligé de remplir les formalités de passeport touchant les étrangers; dans '22 cas les démarches ont eu un bon résultat, dans un seul cas l'intéressé a dû quitter la Russie pour taire viser son passeport à l'am- bassade de Russie à Berlin, et seulement après avoir rempli cette formalité, il a pu rentrer en Russie.

Gouvernantes. Pendant le courant de l'an- née, le consulat a eu souvent à s'occuper du sort de Suissesses en place, malmenées par leurs maîtres. Heureusement dans tous les cas le consulat n'a pas eu besoin de recourir à la rigueur des tribunaux, l'unique inter- vention du consulat a suffi pour aplanir les difficultés. Dans un seul cas il a fallu avoir recours au tribunal, mais avant que l'affaire passât en jugement, la gouvernante était li- bérée de sa place avec tous ses salaires payés.

Gouvernantes et bureaux de placement. Il est regrettable que les parents suisses laissent si facilement partir leurs enfants dans des places à eux inconnues ; les jeunes filles sont très souvent exploitées de toutes façons par leurs maîtres et engagées pour un tout autre but que celui d'être bonne ou gouvernante pour déjeunes enfants. C'est dans les bureaux de placement que, le plus souvent, commen- cent à se perdre bien des jeunes filles d'ho- norables fimilles.

Avant de laisser partir leurs eufants, les parents feraient bien dVtre un peu plus cir- conspects et de bien s'informer chez qui ils placent ou laissent aller leurs enfants.

Renseijnements. Les renseignements com- merciaux ont élé très nombreux. Je constate cependant que malgré mes conseils, nombre de commen.-Muts (surtout des horlogers) ont ouvert des crédits à certains marchands con- tre lesquels, sur la prière des mêmes com- merçants, l'avocat du consulat a dû int nier des actions pour le recouvrement de sommes qui, on peut le dire, sont à tout jamais per- dues.

Immigration. L'immigration des Suisses en Pologne a été très faible. Nous n'avons seulement que deux cas à noter (non compris les gouverneurs et gouvernantes). Outre cela nous devons, à regret, signaler trois cas où des citoyens suisses ont renoncé à leur na- tionalité et font actuellement des démarches pour obtenir la naturalisation russe. Ce sont toujours les suites de l'ukase de mars inter- disant aux étrangers, y compris les Suisses, d'entrer en possession de terrains, de pren- dre la direction d'une fabrique, l'administra- tion d'un bien, etc., etc. Il serait fort à dé- sirer que cet ukase fut adouci pour nos con- citoyens.

NOUVf LL KS DVIFRSES

IKusée n a t i o n a l e u i v e e . — Une nou- velle bonne fortune pour le futur musée na- tional suisse, c'est l'achat de la célèbre salle Lochmann à Zurich pour la modique somme de sept mille francs; c'est là un quasi-don

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ν . , · ' ' • ••'•'. t

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 189

de MmeMeyer-Ott. Cette salle, coustruite par le colonel Lochmann, qui mourut en 1657, est située dans une maison basse de la ruelle de St-Urbain. Ce colonel au service de France avait un sens artistique délicat. La salle en question a un des plus beaux plafonds à caissons que l'on puisse voir; il est orné d'armoiries. La salle entière est lambrissée et sculptée, le tout dans un merveilleux état de conservation. Mais ce qui fait son originalité, c'est une suite de portrails de la cour fran- çaise sous Louis XIII, se succédant sans in- tervalle entre la cimaise et le plafond.

T a r i f e d e s p é a g e s e t d ' h o r l o g e r i e . — Nous avons maintenant sous les yeux les po- sitions indiquées, pour l'horloge· ie importée en Suisse, dans le projet suisse de tarit gé- néral des péages. Les voici :

Par 100 kg.

Pièces détachées d'horlogerie

ébauchées et ébauches . . . . fr. 16. — Horloges à poids et parties dé-

tachées, finies » 20. — Horloges et pendules à ressort,

pièces à musique, et leurs parties

détachées, finies » 50. — Montres de poches et leurs par-

ties détachées, finies . . . . » 100. — R e m o n t o i r p e r f e c t i o n n é . — On lit dans le Journal suisse d'horlogerie : La mai- son Dubail, Monnin, Frossard & Cie, de Porrentruy, a fait breveter sous le n° 1737 une disposition originale de remontoir. Ce mécanisme, dont nous avons un échantillon sous les yeux, n'a,' à première vue, rien de particulier, mais, en regardant de près, on constate que le plan de la roue de couronne est incliné par rapport à l'axe de la tige de couronne, en sorte que, tout en engrenant avec le rochet de barillet placé sur le pont,

la roue de couronne va retrouver un pignon de remontoir placé 3 à 4 douzièmes plus bas qu'a l'ordinaire. Il en résulte que la tige de couronne est placée à 2 douzièmes plus près du plan de cadran, et qne le pignon de re- montoir peut avoir 3 à î douzièmes de moins que d'habitude au diamètre.

L'engrenage entre la roue de couronne et le rochet n'est point affecté par cette très légère inclinaison de la première, et celui de la roue de couronne avec le pignon de re- montoir est améloré.

Dette disposition semble remplacer avan- tageusement soit la roue de couronne à double denture, soit l'emploi d'une couronne très épaisse qui nécessite une réduction des autres rouages de mouvement. R. R.

IVIuetic p o u r t u y a u x e n c a o ï i t c l i o u r .

— La composition suivante convient pour remplir les fentes qui se produisent dans les bandes en caoutchouc des poulies de scie à ruban, des roues de vélocipèdes, et même dans les tuyaux de conduite.

On nettoyé avec soin les fentes, puis on y introduit la solution suivante de caoutchouc.

Sulfure de carbonne 160 grammes Gutta-percha 20 » Caoutchouc 4O1 » Colle de poisson 10] »

Si la fente est entr'ouverte, on en réunit préalablement les bords par une couture et on applique la solution par couches. On laisse sécher pendant vingt-quatre ou trente-six heures. Après l'enlèvement du fil de la cou- ture on coupe proprement le mastic formant bourrelet au dehors de la fente, avec une lame bien effilée que l'on trempe préaleble- ment dans l'eau.

L i b r e é c h a n g e . — Dans un discours d'hier au Cobden club, M. Gladstone a fait

l'histoire du libre échange, qui travers ac- tuellement une période critique. La cause principale en est le militarisme qui sévit dans toute l'Europe. M. Gladstone croit que ce re- cul est momentané. Il croit que la France est au fond libre-échangiste.

M. Gladstone a parlé ensuite du biméta- lisme, dont il n'est pas partisan.

U n v é t é r a n d u m o n d e d i p l o m a t i - q u e . — Nous avons dit que la colonie suisse de Vienne a donné une fête en l'honneur de M Arnold Aei-l·, notre ministre en Autriche- Hongrie, qui célébrait l'achèvement de sa cinquantième année au service de la Confé- dération. M. Aepli est âgé de 84 ans. Après avoir fait ses études de droit à Lausanne, à Zurich et à Heidelberg, il fut quelque temps greffier du tribunal de St-GaII, sa ville na- tale, puis gravissant l'échelle des charges et des honneurs, il devint président du Conseil national, fut envoyé une première fois (1866) à Vienne, qu'il ne tarda pas à quitter pour faire place à M. de Tschudi, chaudement re- commandé par lui au Conseil fédéral, et en 1883 accepta de nouveau de représenter la Suisse auprès du gouvernement austro-Jion- grots. Malgré son âge, M. Aepli est encore fort bien conservé et ses facultés intellec- tuelle·, n'oni pas baissé. Le traité de com- merce avec l'Autriche-Hongrié estisbh'.œu- vre.

COTE DE L'ARGENT du 15 mai 1890 '

L'argent 800 laminé et Rl à fr. 141. — le'kilo id. 805 id. id. „ 1 4 1 . 8 0 id.

id. 875 id. id. „ 1 5 4 . 1 0 id.

id. 900 id. id. ,,158.35 id.

id. 935 id. id. „164.30 id.

Le rédacteur responsable : Fi 'tz HUGUENIN»

Réponse à l'annonce, ayant pour litre

INFORMATION

publiée dans le Journal la Fédération horlogère Suisse par M.

CARL FREY

F a b r i c a n t d e b i j o u t e r i e à P f o r z h e i m .

11 a plu à M. Cari FREV de Pforzheim, d'insérer contre moi un article assez équivoque que je ne laisserai certes pas passer sans faire valoir mes justes droits.

Je creij que pour le moment, il suffira aux intéressés de prendre connaissance de la carte postale que Monsieur Cari FREY m'a adressée le 6 mai 1890, soit 3 jours après qu'il remettait son information au bureau des annonces de la Fédération horlogère Suisse, carie que j'ai déposée en mains de

celle dernière. 1050

Monsieur Théodore LÈVY, fils

Chaux-de-Fonds

En me référant à mon avis du 24 avril, je viens par ces lignes vous dire, Monsieur, que par un accident imprévu il me fallait retour- ner ici et ne pouvais par conséquent pas vous faire visite.

Je vous prie donc Monsieur si vous aurez besoin de mes brace- lets-montres, de bien vouloir m'adresser votre cher ordre par lettre et d'agréer en attendant mes salutations bien empressées.

. '"."„ · ~.™„ sigrné Ch/FREY.

Pforzheim, le 6 mai 1890.

Si jai dû laisser l'envoi de Monsieur FREY pour compte;

ce dont je l'ai avisé à temps, c'est que les marchandises n'étaient pas conformes à la commission donnée, et trop mal conditionnées pour mon usage. Je ne pouvais les accepter à aucun prix.

Th. LÉVY, fils.

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