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Syndicat des patrons monteurs de boîtes argent

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- P a B i b'i 0 t h è^ ^ Collège, Chaux-de-Fonds

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journag

Cinquième année. — N0 50

P r i x du numéro 10 centimes

Samedi 20 Juin 1891

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O r g a n e d e In S o c i é t é I n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Syndicat des patrons monteurs de boîtes argent

Résumé

de l'assemblée générale ordinaire du syndicat des patrons monteurs de boîtes argent

tenue

à l'hôtel du Bielerhof à Bienne, jeudi le i8 juin iS9i

R é s o l u t i o n s

De 68 membres aclits dudit syndicat 36 étaient présents ou dûment repré- sentés.

Le rapport et les comptes du syndicat de l'exercice courant 1890/1891 ont été approuvés.

La continuation du syndicat a été votée par 22 voix contre 14 parmi les- quelles se trouvaient les démissionnaires.

Il a été donné acte à ces derniers au nombre de 34 de leur sortie du syndicat en leur rappelant toutefois qu'ils restaient solidairement liés pour les charges finan- cières du syndicat pour l'exercice prochain 1891/1892 soit jusqu'au 30 juin 1892.

Une commission de sept membres, prise en partie parmi les démissionnaires, a été chargée d'étudier les bases sur les- quelles pourrait être reconstituée la nouvelle association et de rapporter sur cette question à l'assemblée générale, fixée au jeudi, 26 juin courant, à l'hôtel du Bielerhof à Bienne. Elle a pour mission spéciale d'étudier les change- ments à apporter au syndicat, en vue de réduire les frais d'administration et d'amener dans son giron un plus grand nombre de membres.

Cette commission a été composée comme suit : MM. Breguet de Tramelan, Diethelm de Sonvillier, Wœlti de Gran- ges, Bamseyer de Villeret, Schneeberger- Calame de Bienne, Bénoni Erard du Noirmont et Straub de Soleure.

Les membres de cette commission seront indemnisés de leurs débours si

ils se réuniront déjà!, mardi prochain, 23 juin courant, dès les 8 heures du matin, à l'hôtel du Bielerhof à Bienne.

La dite commission vérifiera encore les comptes du syndicat et aura à rapporter à la prochaine assemblée générale sur le mode de liquider la situation financière actuelle du syndicat et sur les charges qui incombent aux anciens membres.

Communiqué.

Projet de statuts

— fin —

P é n a l i t é s .

ART. 23.

Sous peine de tous dommages-intérêts et d'une amende de 100 à 500 fr. aucune mesure de coercition, telle que suspension de travail, ne peut être appliquée à un patron ou à un groupe d'ouvriers sans que le différend ait été préalablement soumis à la tentative de conciliation de !'inspecteur-contrôleur et que cette mesure ait été décrétée par la chambre syndicale mixte.

Les infractions à l'esprit des présents sta- tuts dont l'amende n'est pas fixée sont pas- sibles d'une amende de cinq à cinquante fr.

(Art. 12, § e, 13 et 17).

ART. 24.

Les peines relatives à l'application du principe du travail réciproque sont pronon- cées par la chambre syndicale mixte.

Les peines relatives aux obligations qui in- combent exclusivement aux membres actifs sont prononcées par la chambre syndicale patronale.

Dans tous les cas qui sont du ressort de la chambre syndicale mixte, celle-ci entendra préalablement le délinquant dans ses obser- vations éventuelles. Son défaut entraînera l'application de la peine maxima.

La même disposition règle les cas qui sont du ressort de la chambre syndicale patronale, compétente pour juger en dernier ressort toute amende dont le maximum de la peine n'excède pas cinq cents francs. 11 est toute- fois fait une exception pour les contraven- tions dont le maximum n'excède pas cent francs. Dans ce dernier cas la chambre syn- dicale patronale statuera hors la présence du délinquant.

Les infractions qui entraînent une peine dont le minimum est de cinq cents francs seront jugées en premier ressort par le tribu- nal civil de Bienne, dont la juridiction est reconnue par anticipation, et en cas de re- cours par le tribunal fédéral.

La procédure à suivre devant ces tribunaux sera orale.

^ ART. 25.

Le promit des amendes est acquis au syn- dicat, à l'exception de celles prononcées par la chambre syndicale mixte, lesquelles ren- trent dans la caisse du groupe auquel appar- tient le délinquant.

V I . D i s p o s i t i o n s g é n é r a l e s . Convocation.

ART. 26.

Les convocations aux assemblées générales seront faites par le bureau de la chambre syndicale patronale, par lettres recomman- dées, qui devront être mises à la poste au moins six jours francs avant l'assemblée.

Ces assemblées se tiendront, en règle générale, dans la localité le plus au centre des établissements syndicataires.

Votations.

ART. 27.

Toutes les votations auront lieu à main levée ; les nominations auront lieu au scrutin secret, à la majorité absolue pour le premier tour de scrutin et à la majorité relative, si une seconde votation est nécessaire.

Tout membre du syndicat peut se faire re- présenter à une assemblée générale par un membre du syndicat ou par une personne appartenant à son établissement, munie d'une procuration signée.

Aucun des participants à une assemblée générale n'a droit à plus de deux suffrages.

Toutes propositions de revision des tarifs et des conditions de vente ne pourront être prises en considération par l'assemblée si elles n'ont figuré sur l'ordre du jour qui devra chaque fois accompagner la convocation.

Modifications des tarifs et de la cote.

ART. 28.

Immédiatement après la réception d'une convocation aune assemblée générale appelée à établir ou à modifier les tarifs et les condi- tions de vente, chaque membre du syndicat est tenu d'envoyer au contrôleur, sous pli fermé et recommandé, l'état de ses marchés fermes. La même communication doit être

•faite au contrôleur chaque fois que la cote de l'argent à facturer aux clients des mem-

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244 LA FÉDÉRATION HORLOGÊRE SUISSE

bres du syndicat est modifiée, et cela dans les vingt-quatre heures qui suivront la réception de la nouvelle cote. Tout marché ferme qui serait conclu entre la date de réception d'une convocation et celle du vote des nouveaux tarifs constituerait une infraction aux statuts.

Tout retard dans ces communications sera passible d'une amende disciplinaire de cinq francs à cinquante francs.

ART. 29.

Les boîtes qui auraient été refusées ou qui ne pourraient plus être écoulées aux prix et conditions des tarifs, seront vendues pour le compte du producteur par les soins du con- trôleur.

ART. 30.

L'assemblée ordinaire du mois de juin pourra désigner un organe officiel du syndicat ou décider un bulletin hebdomadaire, bi- mensuel ou mensuel pour les membres actifs du syndicat, et dont l'abonnement est compris dans la cotisation.

Les statuts, les tarifs et les conditions de vente seront traduits en langue allemande.

Le texte officiel est celui en langue française.

ART. 31.

L'assemblée générale, de même que les chambres syndicales, patronale et mixte, tiendront un registre de leurs délibérations, et toutes les décisions seront, si possible, si- gnées séance tenante, par leurs présidents et secrétaires respectifs.

V I I . R é v i s i o n , d i s s o l u t i o n e t l i q u i d a t i o n .

ART. 32.

Pour être prise en considération, toute de- mande de dissolution du syndicat ou de ré- vision des présents statuts, devront être adressées à la chambre syndicale patronale avant le 1e r mai. Elles ne pourront être dis- cutées qu'à l'assemblée générale ordinaire obligatoire du mois de juin.

La dissolution du syndicat ou la révision des statuts ne pourra être prononcée que par la majorité des membres actifs du syndicat.

Si toutefois à ladite assemblée, la majorité des membres présents, sans former la ma- jorité des membres actifs du syndicat, se prononçait pour la dissolution ou la révision des statuts, il y aurait lieu de provoquer une nouvelle réunion avec le même ordre du jour, et à cette seconde assemblée, la dissolution ou la révision des statuts pourra être pro- noncée à la majorité des membres présents.

ART. 33.

L'association ne poursuivant aucun but lucratif, l'assemblée qui en aura décidé la dissolution disposera de sa fortune soit en faveur d'une société analogue, soit en faveur d'un établissement d'utilité publique.

V I I I . D i s p o s i t i o n s t r a n s i t o i r e s .

ART. 34.

Dès que ce projet de statuts aura été pro- visoirement accepté par cinq patrons et vingt- cinq ouvriers, ceux-ci prendront l'initiative d'une assemblée générale de tous les inté- ressés, avec l'ordre du jour suivant :

1· La constitution d'un syndicat des indus- triels et ouvriers travaillant à la boîte de la montre est-elle nécessaire?

2. Eventuellement lesdits intéressés sont- ils disposés d'entrer en discussion sur ce projet?

La résolution, affirmative de ces deuxques- tions entraînera après elle la nomination d'un comité d'initiative chargé de l'élaboration des statuts définitifs de la nouvelle association et de provoquer une seconde assemblée pour les accepter et éventuellement nommer les autorités et établir un budget.

N.-B. — Les adhésions provisoires seront reçues par le soussigné, auteur du projet, jusqu'à fin juin courant.

Bienne, le 6 juin 1891.

A . C H A T E I i A I V , n o t .

U n e m a n i f e s t a t i o n i n c o n s i d é r é e Des membres des chambres fédérales partisans des nouveaux tarifs, dans un accès de protectionnisme que beaucoup regrettent déjà, ont adressé au Conseil fédéral une virulente adresse dont les termes sont vivement critiqués par les protectionnistes qui ont encore conservé quelque sang-froid. L'appel qu'ils font au patriotisme n'est guère en place et les sus- picions qu'ils expriment au sujet de M. le conseillerfédéral Droz sont absolument in- justifiées. A la suite du blâme implicitement

contenu dans l'adresse en question,M.Droz, blessé dans ses sentiments les plus in- times, a prié le Conseil fédéral de le dé- charger de la direction des négociations diplomatiques.

Les signataires de la fameuse adresse paraissent se rendre compte, — mal- heureusement un peu tard — de la mauvaise action qu'ils ont commise et plusieurs d'entre eux sont venus rayer leur nom; il est à espérer que leur nombre s'augmentera de tous ceux que la passion n'égare pas.

N é g o c i a t i o n s i n t e r r o m p u e s Les négociations du traité de commerce austro-germano-Italien vont s'ouvrir pa- rallèlement avec celles du traité auslro- germano-Suisse. Ces dernières viennent de subir une interruption, nos délégués à Vienne étant obligés de demander de nouvelles inslruclions à notre gouver- nement. On ne nous dit pas sur quels chapitres s'est produit ce temps d'arrêt, ce heurt prévu entre deux proteclion- nismes.

Nos délégués sont certainement aussi convaincus que nous le sommes nous- mêmes, et que l'est sans doute le conseil fédéral, de ce fait évident que l'avantage d'être lié avec deux grands pays de l'Eu- rope et bien têt avec un troisième, par des traités de commerce maintenant autant que faire se peut, le statu quo, vaut bien quelques sacrifices faits sur les prétentions exagérées consignées en chif- fres platoniques dans d'inutiles tarifs de combat; ces positions soi-disant straté- giques sont tellement belles qu'il faut les abandonner, avant même d'avoir essuyé le feu de l'ennemi, car il n'a garde de s'aventurer jusque-là sachant bien que la garnison sera forcée d'en sortir tôt ou tard pour venir à sa rencontre.

NOUVELLES DlVKRSES

R é f é r e n d u m . — La députation neuchâ- teloise aux Chambres fédérales adresse un pressant appel à ses concitoyens et confédé- rés en faveur du référendum contre le tarif des péages.

«Il importe, dit-elle, de réunir dans une même protestation et un même effort tous ceux que préoccupe le souci de ne pas porter un nouveau coup à notre commerce déjà si fortement éprouvé, à notre industrie qui lutte

avec tant de peine s u r le marché universel,

— tous ceux qui ne peuvent pas s'engager dans la voie de l'isolement national, — tous ceux qui entendent que le salaire de l'artisan et de l'ouvrier, le modeste appointement de l'employé, le travail du petit agriculteur, permettent de se procurer une nourriture suffisante, ainsi que l'entretien et le vêtement nécessaires.

Veut-on que nos concitoyens pauvres soient forcés d'aller chercher à l'étranges le pain et le bien-être qu'ils ne trouvent plus dans la patrie : Veut-on augmenter l'émigration"? »

l i e t a r i f d o u a n i e r r u s s e . — La Cor- respondance russe annonce que le nouveau tarif douanier contient une augmentation de cinquante pour cent des droits d'entrée sur les vins provenant de l'étranger. Le com- merce des vins de table français va se res- sentir de cette lourde augmentation. Ce nou- veau tarif a pour but de développer en Ruesie le commerce des vins du pays. La consom- mation des vins de Bordeaux, qui sont d'un usage très répandu en Russie, va considé- rablement diminuer.

D'après la même correspondance, la question du traité de commerce entre la Russie et l'Allemagne est définitivement tranchée dans le sens négatif. Le cabinet de Saint-Pétersbourg aurait repoussé catégori- quement les offres de l'Allemagne. Le gou- vernement russe n'a trouvé, paraît-il aucun intérêt à conclure un nouveau traité de com- merce. Les pourparlers des deux gouverne- ments se sont, en dernier lieu, arrêtés à des diminutions sur certains points du tarif dou- anier : la Russie a légèrement diminué le tarif sur le fer ; par contre, l'Allemagne a consi- dérablementabaissélesdroits sur les céréales.

l i e s s y n d i c a t s e n F r a n c e . Dans un moment où toutes les professions tendent à se syndiquer en France, on lira avec intérêt une déclaration d'un ministre français, M.

Yves Guyot, concernant l'attitude que le gouvernement français entend prendre dans cette question.

<t Le gouvernement de la République est parfaitement décidé à faire respecter la loi des syndicats ; mais les ouvriers syndiqués ne doivent pas abuser d'une loi de protection.

Où irions-nous si un bourgeois ne pouvait plus renvoyer sa cuisinière parce qu'elle fait partie d'mi syndicat? Dans ces conditions, les syndicats auraient vite vécu.

Le meilleur moyen pour les ouvriers de conserver leurs syndicats, c'est de les utiliser sérieusement, de ne pas abuser. La Compa- gnie d'Orléans a renvoyé des ouvriers, parce qu'elle n'avait pas de travail à leur fournir.

Véritablement, le gouvernement ne saurait intervenir là-dedans et savoir s'il est vrai, oui ou non, que le travail manque. Ce n'est pas son métier. Dans le cas actuel, d'ailleurs, la compagnie a fait son devoir. Plusieurs des ouvriers congédiés ont été repris et placés dans différents services.

Je veux me rendre utile aux travailleurs et aux ouvriers toutes les fois qu'ils élèvent des réclamations pour des motifs sérieux ; mais le gouvernement n'use de la faculté d'inter- venir auprès des compagnies pour leurs agents que lorsque ces motifs sont bien cons- tatés, Ï

J o u r n é e d e IO h e u r e s . — Un grand industriel de Paris, M. Bornevot, fabricant de chaussures, a mis en pratique la journée de 8 heures pendant une quinzaine de jours ; il voulait expérimenter la théorie d'après la- quelle l'ouvrier n'ayant pas à répartir ses forces sur un long temps de travail peut fournir autant dans un temps moindre. Voici les résultats de l'expérience.

N'occupant plus les ouvriers que 8 heures au lieu de 11, il fallait s'attendre à une di- minution de 27°/o sur la production. Cette

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• . -

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 245

diminution n'a été que de 19,92 % ce qui

•démontre que, dans les 8 heures de travail, l'effort produit a été plus grand de 7,08 % ; la conclusion est donc celle-ci : si l'on a produit en 8 heures 80,08% du travail, fait enllheurescela donne 10% à l'heure. Donc deux heures en plus de travail par jour donneront la somme de travail nécessaire à

!la production habituelle. A la suite de cette expérience, le fabricant en question a réduit à 10 heures la journée de travail dans ses ateliers.

I i ' e x p o e i t i o n d e C'hicayo. — L'expo- sition de Chicago est activement préparée.

Des craintes s'étaient fait jour au sujet des droits de douane à acquitter par les marchan- dises venant du dehors. Cette crainte est il- lusoire, puisque la franchise de droits a été accordée. Da plus, pour faciliter l'accès de l'exposition aux produits exotiques, il s'est

•formé une société spéciale, qui se chargera de la représentation des exposants, de la ré- ception des envois et de la vente sur échan- tillons (International Exhibit C0, Chicago).

A r r e s t a t i o n d ' u n b a n q u i e r — Un banquier nommé Favre, demeurant rue de la Victoire 05, à Paris, vient d'èlre mis en état d'arrestation à lasuite de nombreuses plaintes.

Les bureaux de Favre occupaient deux piè- ces ; il avait trois employés. Ses opérations reposaient sur les courses. Il avait fait im- primer une circulaire fort intéressante, por- tant en exergue une vignette encadrée dans un fer à cheval : Un minotaure terrassant une hydre; autour: L'union fait la force.

Pour 4,000 francs déposés, les clients de- vaient toucher 300 fr. par mois.

Détachons du prospectus ces quelques li- gnes superbes :

«Nous sommes convaincus que nos clients n'auront qu'à se louer d'avoir répondu à no- tre appel, au lieu de se laisser entraîner par

dos promesses fantastiques dont les événe- ments récents ont malheureusement démontré l'inanité.

«Aussi, est-ce avec une entière confiance que nous venons vous proposer, M , d e participer à nos opérations. »

l i e t a r i f Kf a c M.inlej;et l e s v o y a g e u r s d e c o m m e r c e a u x É t a t s - U n i s . — Le correspondant de l'Exportation française signale le cas suivant :

Une maison de joaillerie de Londres avait demandé au département du trésor si- un représentant envoyé par elle pouvait importer aux. Etats-Unis des diamants, de l'or, des bijoux, etc., et donner une garantie pour payer les droits sur les marchandises qu'il pourrait vendre, ou bien s'il fallait qu'il dépo- sât le montant total des droits, pour en rece- voir le solde lorsqu'il réexporterait la mar- chandise invendue.

Le secrétaire Spaulding a répondu que si l'agent désire être mis en possession des mar- chandises à son arrivée et les vendre, il devra les entrer pour la consommation et payer les droits. Aucun remboursement ne peut être fait en cas de réexportation pour des mar- chandises ne restant pas d'une façon cons- tante sous la garde des officiers de douane

— et n'est accepté aucune garantie. — M.

Spaulding ajoute qu'il n'est pas nécessaire d'obtenir une licence du gouvernement pour avoir le droit de vendre les articles ci-dessus énoncés.

Le même fonctionnaire a informé un im- portateur de Chicago que dans l'opinion du trésor l'estampage du mot France sur les mouvements des horloges ne suffisait pas pour remplir les prescriptions de la section 6 de l'acte du 1e r octobre 1830 qui requiert le marquage des marchandises avec le nom de la contrée d'origine.

Eiiste d e s m a r c h a n d s h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fpnds à l'hôtel de la Fleur -de- Lis : Liste dressée jeudi 18 juin 1891, à 5 heures du soir ; MM.

Stem, New-York. — Steinmetz, Russie.—

Salasmick, Russie.

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