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Syndicat des patrons monteurs de boîtes argent

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Texte intégral

(1)

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Cinquième année. — N0 27.

P r i x du numéro IO centimes

Mercredi 1er Avril 1891.

Bureaux: Rue Neuve, 19

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6fr. 3 fr.

Union postale . 12 » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne Les

ANNONCES p3'*-

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » Minimum d'une annonce 50 centimes

annonces se paient d'avance

O r g a n e «le l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d é c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Rectification

Chaux-de-Fonds, le 30 mars 1891.

Monsieur le rédacteur,

La Fédération dans son premier article de mercredi 25 courant, intitulé L'horlogerie suisse et le tarif des péages, a commis une erreur que nous croyons devoir relever, par- ce qu'elle a son importance. Elle provient sans doute de ce que vous n'étiez pas exac- tement renseigné sur l'attitude prise par no- tre société dans la question du nouveau tarif douanier suisse relatif à l'horlogerie. Nous nous expliquons :

L'article auquel nous faisons allusion s'ex- prime comme suit à la seconde colonne de la page 110 : oc M. Bodenheimer et avec lui

« les fabricants de la Chaux-de-Fonds, se

« prononcent pour le premier système » (c'est-à-dire pour la réciprocité absolue du tarif d'horlogerie suisse contre le tarif fran- çais).

C'est précisément là qu'est l'erreur. Voici la décision prise par la société des fabricants d'horlogerie de notre ville à une forte majo- rité, dans sa séance du 23 courant :

«1° La société des fabricants d'horloge- rie est libre échangiste et demande le statu qxio dans les positions actuelles du tarif doua- nier suisse, concernant l'horlogerie et tout particulièrement les montres métal, argent et or. Elle estime que tout tarif protection- niste pourrait avoir pour notre industrie des conséquences funestes. Par esprit de conci- liation, elle ne se prononce pas sur les posi- tions du tarif relatives aux boites démontres, puisque cette question a été discutée par une assemblée d'intéressés à cette branche spé- ciale de notre industrie.

2° Pour ce qui concerne le cas ou un traité de commerce s'établirait entre la Suisse et la France, elle demande :

a) Un abaissement du tarif français actuel sur les mouvements, boites de montres et montres métal, argent et or.

b) Si cette alternative ne se produit pas, le maintien des tarifs actuels, et elle invite les délégués suisses à n'accepter pour aucun motif quelconque des aggravations au dit ta- rif.

c) Pour lutter contre une augmentation des tarifs français, si cela est nécessaire, frapper fortement par des tarifs de combat les articles que la France importe le plus en

Suisse, d'après les statistiques fédérales, de façon à obtenir des concessions sur les droits concernant l'horlogerie à mesure que nous en ferons nous-mêmes sur les articles fran- çais les plus frappés à l'importation en Suisse.

Chaux-de-Fonds, le 23 mars 1891. » Nous vous prions de h'én vouloir faire la rectification en question d;4ss votre prochain numéro, pour l'édification ire vos lecteurs et vous présentons, Monsieu: !e rédacteur, nos salutations distinguées. 4Γ'

Le comité de la Société des fabricants d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds.

En insérant cette rectification, nous ferons remarquer que nous ne connaissions pas la décision prise le 23 mars écoulé, par la So- ciété des fabricants d'horlogerie de la Chaux- de-Fonds, lorsqu'à paru notre numéro du 25 mars.

Par contre, nous savions qu'une assemblée des intéressés, convoquée par un comité spécial, en dehors de la Société des fabri- cants d'horlogerie, s'était prononcée à la presque unanimité, en faveur de la récipro- cité. De là notre appréciation généralisée à tous les fabricants.

Rédaction.

Syndicat des patrons monteurs de boîtes argent

La Chambre syndicale porte à la connais- sance de tous les collègues syndiqués, qui ont été empêchés de prendre part à l'assem- blée générale extraordinaire du 25 courant, que les décisions prises par elle en la séance de la Chambre syndicale mixte du 8 du même mois ont été ratifiées.

Pour différentes considérations, ladite as- semblée générale a trouvé à propos de ré- duire à un taux inférieur à l'amende statu- taire les peines encourues à ce jour pour in- fractions aux tarifs et conditions de vente.

Reconnaissant toutefois que cette clémence exceptionnelle ne saurait se continuer sans danger pour la marche normale du syndicat, elle a décidé qu'à l'avenir aucune remise de peine ne pourra être accordée sur l'amende rainima de fr. 500 prévue par nos statuts.

Les cas de récidive seront poursuivis avec une rigueur particulière.

Au nom de la Chambre syndicale : Le secrétaire, Le président, A . R o l l i e r . F . S e h l a t t e r . Bienne, le 30 mars 1891.

N.-B. A cette occasion, qu'il nous soit permis de rappeler à tous l'article 10 § C. de nos statuts qui impose à chacun l'obligation d'envoyer régulièrement au contrôleur l'état mensuel de sa fabrication. — Les amendes prévues audit article pour tout retard ou toute omission dans cet envoi continueront à être strictement appliquées.

NOUVELLES DIVERSES

C e r t i f i c a t s d ' o r i g i n e d e s j m a r c l i a n - d i s e s e x p é d i é e s e n F r a n c e . — L'ambas- sade de France, à Berne, a fait connaître au Conseil fédéral que l'attention du gouverne- ment français a été appelée sur les fraudes auxquelles peut donner lieu l'indication en chiffres du poids de la marchandise sur certifi- cats d'origine qui doivent accompagner cer- tains produits importés en France.

Afin d'éviter que ces documents ne soient utilisés, au moyen de l'altération ou de l'ad- dition d'un chiffre, pour des envois plus con- sidérables que ceux en vue desquels ils ont été délivrés, l'autorité française compétente a décidé que la mention du poids ' devrait désormais y être portée e n t o u t e s l e t t r e s . Cette formalité devra être remplie sur les certificats soumis au visa de la chancellerie de l'ambassade de France, à Berne, et sur ceux qui seraient également présentés aux chancelleries des consulats français en Suisse.

Cette décision est, par la présente publica- tion, portée à la connaissance des autorités, industriels et commerçants suisses intéres- sés dans la question.

Berne, le 25 mars 1891.

Département fédéral des affaires étrangères.

Division du commerce.

P r o p r i é t é i n t e l l e c t u e l l e . — Le bureau fédéral de la propriété intellectuelle a reçu pendant l'année 1890,1394 demandes de pa- tentes. 31 ont été retirées et 28 refusées.

Les patentes et brevets accordés figurant au rapport de gestion se répartissent comme suit par pays : Suisse 406=36 °/„, étranger

(2)

126 «Μ»»!*. - · LA FÉDÉRATION HORLOGÉRE SUISSE 726=64 %, soit Allemagne 331, France 145,

Autriche-Hongrie 48, Angleterre 75, Etats- Unis d'Amérique 63, Belgique 14, Italie 23, Danemark 1, Espagne 5, Suède et Norvège 6, Russie 10, Pérou 1, Roumanie 4.

V n k r a c h c o l o s s a l . — Il n'est question à Livourne, depuis trois jours, qued'unegran- de catastrophe financière, qui vient d'ébran- ler le crédit du pays et qui ne sera certes pas sans exercer un contre-coup très nuisi- ble dans d'autres villes ide l'Italie et môme à l'étranger. La maison Gorradini a suspendu ses paiements !

Pour vous faire comprendre d'emblée toute la portée de cet événement, — c'en est un pour Livourne et pour la Tosca · ne entière, — je vous dirai que les frè- res Corradini, d'une famille des Grisons de- venue presque livournaise par un long séjour en cette ville, partageaient avec une autre maison suisse, celle de MM. GiIIi et Bezzolla, ou, plutôt, disputaient à celle-ci le monopole du commerce des denrées coloniales et des spiritueux : outre leur banco (comptoir) où les affaires se .traitent en gros, et une quin- zaine de magasins (épiceries, drogueries et confiseries) pour la vente au détail, MM. Cor radini faisaient marcher une grande distille- rie et ils étaient, en même temps les princi- paux commanditaires d'une raffinerie de su- cre à Ancône. Partout ils jouissaient d'un crédit immense et leur signature était de l'argent comptant. Aussi la première nou- velle de leur déconfiture n'a-t-elle rencontré que des incrédules ; mais il a fallu malheu- reusement se rendre à l'évidence. On parle d'un passif de 20 millions ; et même en fai- sant la part de l'exagération, naturelle en pareil cas, il est sûr que les proportions du désastre n'ont fait qu'augmenter depuis 24 heures.

Le protectionnisme en Allemagne Le Moniteur officiel a publié le 19 un arti- cle étendu sur les négociations commerciales.

Il a esquissé la situation créée par les ten- dances protectionnistes de la France, de l'A- mérique et d'autres pays, tendances qui ont eu pour conséquence naturelle de manifester chez plusieurs pays le désir de se rapprocher entre eux par des traités de tarifs. C'est d'a- bord l'Allemagne et l'Autriche, auxquelles la Suisse et d'autres Etats viendront sans doute se joindre. En ce qui concerne la Suisse, le fait pourrait être regardé comme déjà cons- taté. L'article fait justice de nouvelles hasar- dées données par les journaux sur les négo- ciations en cours à Vienne ; il donne à en- tendre qu'elles continuent à être en bonne voie et qu'elles font espérer un résultat favo-

rable.

L'article du Moniteur de l'Empire alle- mand sur les tarifs douaniers et les négocia- tions avec l'Autriche-Hongrie parait destiné avant tout à faire taire les bruits persistants de difficultés survenues entre les négocia- teurs et à décourager les protectionnistes à outrance, qui voudraient faire échouer les pourparlers.

L'organe officiel ne saurait, naturellement, reconnaître tout le tort que le régime pro- tectionnisme a déjà fait aux populations alle- mandes. Il ne dit pas expressément, ce qui parait établi, que les consammateurs ont eu beaucoup à souffrir, l'Allemagne n'ayant pas assez de produits du sol pour sa consomma- tion et ayant, au contraire, un excédent de produits manufacturés, tandis qu'en Autri- . che-Hongrie, c'est l'inverse qui a lieu. Il re-

• connaît cependant que la nouvelle politique

• douanière avait abouti sur quelques points à des exagérations nuisant particulièrement

aux relations commerciales avec l'étranger, sans rapporter aucun avantage équivalent à Ii production intérieure ». Mais il relève sur- tout le danger résultant du fait que presque tous les Etats de l'Europe et de l'Amérique s'apprêtent à appliquer un régime de protec- tion outrée, interceptant ainsi tous les mar- chés extérieurs à l'exportation de leurs voi- sins. Le Moniteur de VEmpire continue en ces termes :

« Il semblait qu'un moyen d'échapper au danger commun s'offrait à l'Allemagne et à l'Autriche-Hongrie, c'était l'élaboration d'un traité de commerce avec tarifs convention- nels. Le désir sincère qui existait des deux parts d'aboutir à un traité de ce genre faisait espérer qu'il deviendrait la base d'une série de traités avec d'autres Etats, l'Allemagne, aussi bien que l'Autriche, pouvant, dès lors, offrir à d'autres Etats contre des concessions correspondantes de bénéficier des conces- sions obtenues et engager par là ces Etats à r-moncer au système du protectionnisme ab- solu. Il semblait qu'ainsi il était possible de conjurer le bouleversement complet des re- lations commerciales en Europe et de con- server à l'exrortation des deux empires au moins une partie des marchés qui lui étaient ouverts jusqu'ici.

« Depuis lors, la marche des événements a démontré la justesse de ces vues et n'a pu qu'encourager à persévérer dans cette voie.

La France à mis à exécution son plan, con- sistant à dénoncer tous ses traités ; en même temps, la}commission instituée pour délibérer sur le projet de tarif soumis aux Chambres a introduit, même dans le tarif minimum, des relèvements de droits d'une portée absolu- ment prohibitive. L'Espagne et le Portugal ont suivi l'exemple de la France, en dénon- çant leurs traités, et manifestent l'intention d'augmenter considérablement l*urs droits d'entrée. Il en est de même en Roumanie, qui cédant déjà auparavant aux idées écono- miques venues de France, avait dénoncé ses traités et préparé un tarif essentiellement protectionniste. En Suisse, la situation est analogue, et même en Belgique et aux Pays- BiS, qui considéraient jusqu'à présent, plus ou moins, le libre-échange comme étant dans leurs intérêts, des voix de plus en plus nom- breuses se font entendre pour réclamer la protection, en face des tendances prohibi- tionnistes de la France. Le bill Mac Kinley est entré en vigueur et menace l'importa- tion européenne. La crise de l'Argentine, et plus récemment celle du Chili ne resteront pas sans peser lourdement sur les rapports commerciaux de l'Europe avec ces pays. Le traité de réciprocité entre les Etats-Unis et le Brésil pourrait bien exercer aussi une in- fluence fatale sur le commerce européen, qui ne jouit pas de ia clause de la nation la plus favorisée.

Il résulte de là que le danger d'un boule- versement complet dans la situation écono- mique de l'Europe est devenu encore plus intense. En face d'une pareille situation, on doit espérer que, dans les deux empires, on comprendra de mieux en mieux le but des négociations en cours et l'on se persuadera de leur importance. L'exemple de ce qui s'est passé en 1881 et en 1832, lors de la conclusion des traités de commerce par la France, est la meilleure preuve que d'autres Etats se joindraient tout naturellement au traité. Il est d^jà hors de doute que la Suisse est prête, de son côté, à entrer en négo- ciations. D'autres E'ats inclinent visible- ment du même côté. Or, plus s'étendra le cercle de ces pays unis par des inté- rêts économiques communs, plus aussi les Etats qui observent encore une attitude ex- pectative auront des motifs de ne pas s'isoler.

A la longue, la France elle-même ne pourra

faire autrement que de s'assurer à son tour, par des concessions équivalentes, les avanta- ges des tarifs conventionnels conclus entre d'autres Etats.

« Les résultats des négociations en cours auront donc, pour l'ensemble de la politique com nerciale de l'Europe, des conséquences d'une portée considérable, abstraction faite des effets qu'ils pourront exercer sur la po- litique générale. »

— » » « —

Procédés industriels

V e r n i e à l ' o r ρ Dur c u i v r e o u l a i t o n Alcool à 95 degrés, 1 litre. Gomme laque en poudre, 85 grammes.

Vous mettez le tout dans une bouteille pleine aux trois quarts au plus, et bien bou- chée, vous exposerez au soleil ou dans l'étu- ve ; vous agiterez fréquemment jusqu'à l'en- tière dissolution de la gomme. Colorez au de- gré convenable avec rocou ou gomme goutta.

On garde ce vernis en bouteille de grès, pour appliquer ce vernis sur pièces d'orne- ments en cuivre ou laiton, on fait chauffer légèrement ces pièces, et on les trempe dans le vernis, on en applique plusieurs couches s'il le faut et ces objets restent longtemps beaux et se nettoyent parfaitement bien.

CSravure é l e c t r i q u e

Le courant électrique a été utilisé à la production des planches de photogravure, non en prenant la plaque comme anode, ainsi que cela avait été déjà essayé, mais en se servant du ceuraut pour régulariser la morsure à l'acide, et en parlant de cette ob- servation : que si l'on plonge dans un bain d'acide une plaque de métal reliée à l'une des bornes du dynamo, l'autre pôle étant mis en communication avec le bain, les parties de métal en contact avec l'acide ne se cou- vrent pas de bulles, et que l'attaque se fait plus régulièrement et rapidement que dans les conditions ordinaires.

La suppression des bulles à la surface du métal est un point très important, attendu que de leur formation résulte une attaque très inégile, dans le sens vertical et dans le sens latéral ; à l'impression, les traits man- quent de netteté, et le dessin perd tout effet artistique. Pour obvier autant que possible à cet inconvénient, on doit faire mordre dans des cuves oscillantes et passer une barbe de plume à la surface du métal.

Erratum. Au moment du tirage de notre dernier numéro, un compositeur fantaisiste, des services duquel nous nous priverons dé- sormais, a remplacé, à la 6mc ligne de la 3n o

colonne de la deuxième page, le mot mouve- ment par le mot moyenne et, au commence- ment de la 15",e ligne de la même colonne, le mot moyenne par un assemblage de lettres n'ayant aucun sens.

Nous espérons que nos lecteurs auront rectifié ces deux erreurs.

I i i e t e d e g m a r c h a n d e h o r l o g e r » ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée lundi 30 mars 1891, à 5 heures du soir : MM.

Huttener, Suède. — Halber, Varsovie. — Rosenblalt, Kowno. — WoIf, Vienne.

(3)

LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE 127

Tableau comparatif des droits de douane suisses et français pour l'horlogerie^

? |

Nature des objets Articles d'horlogerie

- • · • - . -

Montres d'or petites cyl.

jj υ « anc.

„ „ grand» cyl.

ν ν ν a n c·

v argent anc.. .

« cyl· · ·

„ métal anc. . . ν cyl. . . Ebauches et finissages (soit mouv. ébauchés) . Dito avec échappement fait, mais ni doré, nic- kelé ou argenté, anc.

Dito avec échappement fait, cyl

Mouvements finis soit terminés et réglés, prêts à la mise en boîte Ancre

Boîtes de montres or Boîtes de montres or Boîtes de montres arg.

υ D r met.

Poids moven par pièce

25 grammes 25 „ SO „ SO „ 100 „ 100 „ 125 „ 125 „

Movenne 25 grammes 25

25

25 25 10

±o

40 50

: • • • ' < • . ι

Dans 100 kl. combien de pièces ou douz.

4000 pièces 4000 „ 1250 „ 1250 „ 1000 „ 1000 „ 800 „ S00 „ 333 Douz.

333 „ 333 „

333 „ 333 „ 10,000 pièces

2.500 „ 2.500 „ 2.000 „

Proj et.du tarif minimum français ••>••

Taxe à la pièce ou à là douzaine

pièce frs. 3. 50

» „ 4 . 5 0 j, „ 3 . 5 0 ν „ 4 . 5 0

JJ Jl ^-

J, 1-50 η ν 1-25

υ » *•·

Douz. frs. 1. —

JJ j) 8. — H JJ 6 . —

υ υ 3 6 . — ν ν 2 4 . -

pièce com. 2. 50 ]

r gouv. 1.20

» 0 . 7 5 ν 0. 25

Nombre de pièces dans 100kl. ou douz.

4000 4000 1250 1250 1000 1000 800 800 333 Douz.

333 „ 333 „

333 „ 333 „ 10,000 pièc. com.

10,000 „ gouv.

ο - n n ·> COlIl, l

2,a00 pièces

1 gouv.·/

2.500 „ gouv.

2.000 v com.

Taxe par 100 kh ·

14,000 frs.

18,000 n

4,375 „ 5,625 „ 2,000 „ 1,500 „ 1,000 „ 800 „ 333 fcs.

2664 „ 1998 n

12078 „ 7992 „ 25,000 frs.

12,000 frs.

6,125 „ 3,000 Λ

1,875 „ 500 frs.

Tarif suisse des péages ia.\e pai iuu tu.

Actuel frs. 30 ν 30 j, 30

„ 30 j, 30 ,, 30

„ 30 ν 30

» 16

„ 16 ,, 16

* 30 j, 30

„ 30 ν 30

„ 30 ,, 30 ν 30 j, 30

Projet du Cons.féd.

frs. 100

„ 100 η 100 ,, 100 j, 100

» l o o ,, 100 j, 100

JJ 16

j, 16

» 16

ν 100

„ 100

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2

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Références

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