• Aucun résultat trouvé

Annales de Chimie et de Physique. 6e série, t. VII, VIII et IX; 1886

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Annales de Chimie et de Physique. 6e série, t. VII, VIII et IX; 1886"

Copied!
11
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238728

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238728

Submitted on 1 Jan 1887

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Annales de Chimie et de Physique. 6e série, t. VII, VIII et IX; 1886

B.-C. Damien

To cite this version:

B.-C. Damien. Annales de Chimie et de Physique. 6e série, t. VII, VIII et IX; 1886. J. Phys. Theor.

Appl., 1887, 6 (1), pp.251-260. �10.1051/jphystap:018870060025101�. �jpa-00238728�

(2)

i- Soit par les vibrations autour de leurs axes de deux cy- lindres de poids égaux suspendus à la barre, et à égale distance

de son milieu par deux fils métalliques ou non;

2° Soit par les vibrations pendulaires du fil, vibrations dues à

ce que le fil n’est jamais rigoureusement attaché au centre de gra- vite de la barre;

3° Soit par les vibrations transversales du fil, comme cela arri-

vait quand le fil supportait une faible charge.

Outre ces trois causes d’erreurs, M. Tomlinson en découvrit

une quatrième due à ce que le fil a,

y

au début, une élasticité va-

riable et qui devient maxima après

un

temps d’oscillation plus ou

moins grand selon la nature du fil. Ce maximum d’élasticité dis-

paraît d’ailleurs par le choc ou par une élévation de température

de 2° C. ou 3° C.

Il est bon alors, avant de commencer les observations, de faire

effectuer au fil quelques centaines d’oscillations.

Ces quatre causes d’erreurs pourront affecter toutes les expé-

riences où l’on utilisera les vibrations de torsion d’un fil.

H. CREVAUX.

ANNALES DE CHIMIE ET DE PHYSIQUE.

6e série, t. VII, VIII et IX; 1886.

G.-W HIRN. - Recherches expérimentales

sur

la limite de la vitesse que prend

un

gaz quand il passe d’une pression à

une

autre plus faible (’ ). T. VII, p. 289- 34 9~

Après avoir rappelé les diverses équations par lesquelles on a essayé de représenter le mouvement des fluides élastiques ou non élastiques, l’auteur se demande : i ° s’il existe

un

~r2aximzcm pour le volume c~’~tn gaz s’écoulant d’un réservoir à charge constante

( 1 ) Les Annales de Chimie et de Physique contiennent, t. IX, p. 375-,flo6,

un

Mémoires de jBI. Hugoniot

se

trouvent discutées les conséquences que 1B’1. Hirn tire de

ses

expériences. ( Voir p. 79 de

ce

volume

un

résumé de

ce

Mémoire.)

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018870060025101

(3)

252

dans un autre dont on fait varier à volonté la contre-pression;

2° s’il existe une vitesse limite vers laquelle converge la vitesse

d’écoulement, à mesure que la contre-pression diminue, comme l’indique la formule bien connue de Weisbach ou de Zeuner.

De l’air à la pression et à la température ordinaires était ren-

fermé dans un gazomètre qui, pendant l’écoulement, s’abaissait

avec une vitesse mesurée au moyen d’un appareil enregistreur, ce qui faisait connaître la quantité de fluide écoulé. Le gaz s’écoulait par un orifice étroit de forme variable dans

un

récipient oii l’on

avait fait le vide au moyen d’une pompe à eau. La pression, dans

le récipient, était mesurée au moyen d’un manomètre à eau.

C’est avec ces données que 11~I. Hirn calculait les vitesses d’écoule-

ment qui, dans certains cas, auraient dépassé 4000111 et même

5000"l. Cette vitesse augmenterait d’ailleurs au delà de toute

limite, si la pression dans le réservoir pouvait décroître indéfini-

ment.

La vraie loi d’écoulement des gaz serait donc inconnue d’après

M. Hirn, et il faudrait en conclure que les équations de l’Hydro- dynamique sont erronées et que

«

la théorie moderne des gaz

reçoit un démenti formel de l’expérience

» .

H. RIGHI. - Recherches expérimentales et théoriques

sur

la lumière polarisée

réfléchie par le pôle d’un aimant. T. VIII, p. 65-iA5.

C’est la suite de recherches déjà résumées dans le Journal de

Physique ( ~ ~. Dans le deuxième Mémoire, l’auteur suit une marche

inverse de celle adoptée dans le premier. Il commence par l’étude

théorique, examine particulièrement le cas des vibrations recti-

lignes réfléchies et applique sa théorie au cas des réflexions mul-

tiples et à celui des réflexions sur

un

corps transparent placé

sur le pôle. Il décrit ensuite une disposition nouvelle pour l’étude du phénomène de Kerr et rapporte les résultats de nouvelles ex-

périences qu’il a exécutées, soit pour vérifier de nouveaux ré- sultats théoriques, soit pour étudier l’effet des diverses longueurs

d’onde de la lumière incidente, soit pour arriver à la détermi-

(’ ) Voir

Ire

série, t. V, p. 188.

(4)

nation des constantes qui entrent dans les formules auxquelles il

est conduit.

BOUTET. 2013 Étude expérimentale

sur

les meilleurs moyens de produire des

sons

purs et constants dans des tuyaux et spécialement

sur

l’influence de la

ma-

tière, de la forme, du diamètre et de l’épaisscur des orifices

sonores.

T. I~,

p. ~06-~22.

Voici les conclusions de ce Mémoires

10 Il ’n’est pas nécessaire que les disques soient métalliques

pour produire des sons; les plaques en bois percées à la manière

des disques de Masson fournissent les plus beaux sons. Les ori-

fices faits avec de vieux bouchons de laboratoire, s’usant à la lime

avec beaucoup de régularité, ont surtout été excellents.

2~ La forme circulaire de l’orifice n’est pas indispensable; des

orifices triangulaires, carrés ou rectangulaires, ont donné des sons

d’une grande pureté.

3° L’épaisseur des disques est limitée, et l’on n’a obtenu des

sons qm’a~Tec des épaisseurs comprises en tre 2,111111 et ce nombrc augmenté du double du diamètre. Pour étudier la loi des épais-

seurs, NI. Boutet a fait construire plusieurs jeux de disques nlétal- liques en zinc ayant 1 mm d’épaisseur et pouvant se superposer

exactement. Les orifices en liège ayant d’abord une grande épais-

sem°, on les usait peu à peu avec une lime fine. Ceux qui n’étaient,

pas circulaires n’on t donné de sons qu"avec des épaisseur s peu

considérables; 1"épaisseur des orifices triangulaires n’a j«amais dépassé le côté et celle des orifices carrés ou rectangulaires a tou- jours été très faible.

Le diamètre semble pouvoir grandir indéfiniment avec la

puissance de la soufflerie et les dimensions des tuyaux.

5° Le timbre varie avec la matière du disque, et les sons les plus

doux ont été fournis par le bois ou le liège.

6° M. Boulet n’a pas obtenu de sons en dehors de la loi de Bernoulli. Quelques-uns, difficiles à classer parmi les harmo- niques du son fondamental, étaient produits par l’orifice sonore,

et le tuyau ne les renforçait pas, ainsi qu’on a pu le vérifier en

enlevant ce tuyau.

(5)

254

Ces expériences ont, en outre, confirmé les observations sui- vantes, qui avaient été faites par Masson :

1 ° Pour un mêlne son, la pression peut varier entre certaines

limites sans que le son change sensihlement. L’intensité entre ces

limites augmente avec la pression. La transition d’un harmonique

à

un

autre, par variation de pression, est toujours brusque et le

son qui finit hausse un peu à la limite supérieure, de même que

le son qui naît est un peu trop bas. Dans ces deux cas, l’intensités

a faibli. Cette légère différence de ton que présentent les harmo- niques, quand ils commencent ou finissent, explique les incerti-

tudes que présentent parfois les tableaux d’expériences.

2° Il résulte de l’observation précédente qu’il y a réaction entre

les vibrations de l’air produites à l’orifice et celles de la colonne renfermée dans le tuyau; d’où l’unisson dans les diverses parties

d’un système qui, prises isolément, produiraient des sons diflé-

rents.

Cette réaction est encore mise en évidence en substituant au

tuyau employé un autre un peu plus court ou plus long : l’harmo- nique se trouve élevé ou abaissé, bien que le son de l’orifice soit resté fixe.

31 Pour

un

même orifice et un même tuyau, des pressions très

différentes peuvent occasionner le même son; dans ce cas, leurs racines carrées paraissent toujours être dans un rapport simple ou harmonique.

Les sons rendus par

un

même tuyau ne dépendent pas des diamètres des orifices sonores, mais seulement de la pression de

l’air. Néanmoins, les sons graves sont plus facilement obtenus

avec des plaques minces et des ouvertures d’un plus grand dia-

mètre.

,

5~ Un tuyau rend souvent deux sons, quelquefois trois; seule-

ment les sons obtenus sont toujours dans des rapports simples.

6° On obtient des sons en plaçant indifféremment les orifices

sonores au-dessous ou au-dessus des tuyaux.

~° Enfin, les dimensions de la caisse sont sans influence sur la

nature des sons et sur la facilité de leur production; seulement la

caisse ne peut être percée de deux ouvertures se correspondant

(6)

par deux faces opposées : sans cela, on ne produirait des sons que

par la rentrée de l’air dans la caisse.

M. Boutet fait remarquer, en terminant, qu’il a fallu beaucoup

de tâtonnements pour déterminer les orifices qui convenaient aux

divers tuyaux et pour faire vibrer ceux de grandes dimensions. Il y est parvenu en perçant des bouchons de liège et les travaillant

avec soin; il a pu ainsi faire varier graduellement la forme des orifices et l’épaisseur des disques. Il a également obtenu de bons

résultats avec des jeux de disques en zinc de illlm d’épaisseur et

pouvant se superposer exactement.

LÀNGI,EY. - Sur les spectres invisibles (1). T. IX, p ~3-5o~.

L’objet de ce Mémoire est :

-

1° De décrire la formation réelle de spectres invisibles formés par des corps froids, le sol de notre planète ou la glace par

exem ple ;

2° De déterminer la relation qui existe entre la réfraction et la

longueur d’onde.

Le spectre visible et le spectre ultra-violet ont été jusqu’à pré-

sent beaucoup plus étudiés que le spectre infra-rouge. Ce n’est qu’en i 883 que furent publiés les résultats de mesures montrant

t’importance de ce dernier spectre dans lequel il existe à peu près

cent fois autant d’énergie solaire que dans l’ultra-violet.

En 1880, Draper assignait à la longueur d’onde la plus grande

obtenue avec certitude la valeur 1 (L. Quant aux longueurs d’ônde supérieures, on les cherchait

au

moyen de formules d’extra-

polation dont les résultats sont discutés dans ce travail. Une des

meilleures, celle de Cauchy, assigne une limite comprise entre 1 tL et IF,5 à la longueur d’onde qu’un prisme quelconque peut faire

distinguer. Indépendamment de cette limite théorique, on suppo- sait d’ailleurs que le verre absorbait toute la chalcur obscure, de

( 1 ) Voir Journal de Physique, 2e série, t. V, p. 337,

une

analyse d’un mémoire de

1I. Langley publié dans le Plzitosoplzicat lJfagazine, et relatif

aux

mêmes ques-

tions.

(7)

256

telle sorte que la chaleur solaire de la longueur d’onde la plus grande était arrêtée par la substance des prismes, même s’il n’y

avait pas d’autreS obstacles.

Or, en 1881, ~1. Langley trouve par expérience que le verre or-

dinaire était comparativement diathermane pour presque toute la chaleur obscure solaire et que des ondes thermiques, dont la lon-

gueur d’onde dépassait de beaucoup la limite théorique, traversaient

un prisme de flint-glass. Au moyen d’un réseau de 1to’B’B land, il

montra en outre qu’il existait des longueurs d’onde de 2U~, J dans

une région du spectre solaire à partir de laquelle la chaleur cesse

d’une .façon relativement brusque) comme si elle éua* IL remplacé

par une bande froide d’une étendue indéfinie. Ces résultats ont

d’ailleurs été confirmés par MM. Abney et Festing et par M. Bec-

querel.

Une question importante se présente donc :

«

Cette valeur 2u~, 7 de la longueur d’onde la plus lointaine qui puisse être observée avec certitude correspond-elle à la chaleur la plus basse qui puisse être obtenue de 11’11111J()rte quelle source

terrestre, oc1 bien notre planète émet-elle, vers l’espace, des ondes

de longueur encore plus grande?

o.

Pour répondre à cette question, il faut prendre unc source à

température très basse, comparable à celle du sol, et non seule-

ment mesurer la chaleur invisible extrêmement f’aible, mais en

outre l’étendre en un spectre au moyen d’un prisme ou d’un

réseau, puis déterminer les indices de réfraction de ses parties saillantes, et, s’il est possible, leurs longueurs d’onde.

Ivl. Langley décrit d’abord les expériences qui lui ont permis de

déterminer les indices de réfraction. Ne pouvant se servir d’un

prisme de ver3’e, lequel est presque absolument t athermane pour la chaleur d’ une source à la température de l’eau bouillan te, ni de

réseaux dont les spectres empiètent les uns sur les autres, il prit

des prismes de sel gemme taillés avec une précision inconnue jus- qu’ici et dont les faces devaient être repolies de temps en temps.

Les lentilles de son spectrométre étaient également en sel gemme.

Comme surfaces radiantes, il employait :

1 ° La partie la plus chaude du charbon positif de l’arc élec-

trique ;

(8)

257

~° Des bandes de plane incandescent chauffées entre le rouge sombre et le point de fusion;

3° Des surfaces de cuivre à toutes les températures au-dessous

du rouge ;

4° Des cubes de Leslie pleins d’aniline à 100’1 et 178° et pleins

d’eau entre i oo° e t o° ;

5° Enfin les bandes dit bolomètre lui-même pour des tempéra-

tures

un

peu au-dessous de o".

Le bolomètre avait subi quelques perfectionnements concernant

surtout la forme de la boîte et la facilité de la mise au point. Un

ruban ou

un

fil de platine, de fer ou de charbon, de 1 ~’°’ de long et de ~ o‘oo à 1 ôo de millimètre d’épaisseLir, le plus souvent relié à

un

galvanomètre, est soumis à l’influence de la chaleur radiante. Pour le mettre à l’abri des courants d’air, ce bolomètre est placé à l’in-

térieur de chan)bres ou tambours successifs sépares par des dia-

phragmes et ayant une ouverture centrale comnune. Un bolomètre pourvu d’une bande de £ de millimètre de largeur et fonctionnant

sous l’influence de la chaleur obscure seule peut être mis au point

à 10" d’arc près.

Le galvanomètre employé rappelle dans son ensemble le galva-

nomètre à réflexion de Sir ~~. Thomson.Le miroir est rigoureuse-

ment concave, il pèse og’,o63; il est platiné sur le devant. La

palette de platine des instruments ordinaires a été remplacée par des ailes de libellule. La plaque de verre qui ferme le devant du

galvanomètre a des côtés optiquelnent plans et parallèles ; quant à l’écran, c’est une portion d’un cylindre de 1 m de rayon partagée

en 5oo divisions de il" chacune. On peut évaluer facilement le /0

d’une de ces divisions. Pour donner une idée de la précision de l’instz.~ument, on peut dire que, quand il exécute une oscillation

simple en vingt secondes, une déviation de 10foo de division de l’é-

chelle est produite par

un

courant 1 de oamp, o00 000 000 ~ à travers

les bobines d’une résistance de 20 011111s. L’expérience a montré

que le bolomètre, relié à cet instrulnent, pouvait indiquer environ , ouuo~uouuu de degré centigrade et non seulement indiquer, mais

mesurer une quantité inférieure à 100’000 de degré.

Ayant construit les courbes représentant les radiations des

sources à différentes températures. l’auteur constate que la posi-

(9)

258

tion du maximum varie avec la température de la source contrai-

rement à ce qu’avaient récemment annoncé certains physiciens.

En traçant une courbe représentant le spectre solaire fourni par le prisme de sel gemme et en le plaçant dans sa vraie position par rapport aux spectres des chaleurs étudiées par 11~I. Langley, on voit

que le maximum de ces dernières se trouve toujours bien au-

dessous de la partie la plus basse de la chaleur solaire invisible.

Pour la détermination des longueurs d’onde, M. Langley em- ployait un réseau concave de Rowland éclairé par la lumière de l’arc électrique. Mais le réseau étale les rayons émis par cet arc en

un grand nombre de spectres superposés. Si l’on place une fente

en

un

point convenable, il existe sur cette fente

un

certain nombre de spectres. Pour les distinguer les uns des autres, 1~~. Langley fait

tomber les rayons passant par cette fente sur

un

prisme de sel

gemlne et il étudie avec le bolomètre les quantités de chaleur de

qualités différentes qui ont été ainsi dispersées.

Le Tableau suivant résume le travail de llrl. Langley. Gomme or-

dinairement l’indice est la quantité connue et la longueur d’onde

la quantité inconnue, ce Tableau contienu l’erreur probable

moyenne, telle qu’elle est finalement corrigée. La longueur

d’onde D2 du sodium est prise égale à 0{L, 589o.

La figure ci-contre représente les relations entre n et À pour le

prisme de sel gemme. Les courbes ponctuées représentent les

résultats de l’extrapolation par diverses formules.

On voit qu’aucune des formules de dispersion connues ne donne,

(10)

259 par l’extrapolation, des résultats exacts (la formule de Ketteler n’a pas été examinée). Le trait le plus saillant de ces nouvelles observations, c’est que la courbure de la courbe, aussi loin qu’on puisse la suivre, diminue de plus en plus, et la courbe, dans les

derniers points ou elle soit visible, fait plus que se rapprocher sen-

siblement de la ligne droite : i elle forme avec l’axe des ~, un angle

bien défini;

jz

devient donc une fonction linéaire dé ~,(i2

=

a~~.

En outre, le fait précédent signifie aussi qoe, aussi

.

loin que s’é-

tendent ces observations, on ne trouve yuère de hmzte cc l’il1 dice du rayon que le ~risn2e peut transmettre, sauf celle provenant de l’absorption par ce prisme.

Le Tableau suivant résume les connaissances actuelles, sur les longueurs d’ondes visibles et invisibles, et sur les longueurs des

ondes sonores :

(11)

260

M. Langley termine en disant :

«

L’abîme entre la plus courte

vibration sonore et la plus longue vibration de l’éther est donc maintenant comblé dans une certaine mesure.

»

B.-C. DAMIEN.

Références

Documents relatifs

Ce pacemaker est en fait un générateur d’impulsions ; il peut être modélisé par le circuit électrique en dérivation, dont le schéma est donné dans le document 1 de l'annexe 1

résultat sous une forme la plus

La racine carrée d’un nombre

Pour comprendre (et retenir) les propriétés des racines carrées, il est opportun de bien comprendre qu'il n'y a (presque) rien de nouveau à savoir... Il faut rechercher ensuite le

Rappel définition : on dit qu'un nombre b (différent de zéro) est l'inverse d'un nombre a (différent de zéro) si et seulement si et aucun des deux nombres n'est nul6. On note

La réponse est donc non : le double de 3 est 6, c'est à dire. Oui, est un

En effet : 1°) Par définition la racine carrée d'un nombre positif est un nombre positif.. 2.3) Nature de ces nombres.. Définition. Opérations et

Présenter dans un tableau les dié- rentes expressions de f (x) et les intervalles dans lesquels elles sont valides.. Retrouver le tableau précédent en utilisant