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L. BOLTZMANN. - Experimentelle Bestimmung der dielektricitats-Constante einiger Gaze (Mesure de la constante diélectrique de quelques gaz) ; Poggendorff's Annalen, t. CLV, p. 403, 1875

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HAL Id: jpa-00237190

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237190

Submitted on 1 Jan 1876

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L. BOLTZMANN. - Experimentelle Bestimmung der dielektricitats-Constante einiger Gaze (Mesure de la constante diélectrique de quelques gaz) ; Poggendorff’s

Annalen, t. CLV, p. 403, 1875

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. L. BOLTZMANN. - Experimentelle Bestimmung der dielektricitats-Constante einiger Gaze (Mesure de la constante diélectrique de quelques gaz) ; Poggendorff’s Annalen, t. CLV, p. 403, 1875.

J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.23-24. �10.1051/jphystap:01876005002301�. �jpa-00237190�

(2)

23

alors

supprima

le

cylindre horizontal ;

il fit monter une colonne

d’air humide entre l’une des sources de chaleur et la

pile

thermo-

électrique,

et il observa encore une

absorption

de chaleur.

M.

Hoorweg adopte

cette dernière

disposition

de 81.

Tyndall

en

la

modifiant;

il

supprime

les écrans latéraux sur

lesquels

il pour- rait y avoir

vaporhésion .

Le vent d’une soufllerie

acoustique

traverse un vase

rempli

de

fragments

de silex

mouillées ;

de là il arrive dans une

longue

caisse

dont le

couvercle, percé

de trous, forme pomme

d’arrosoir;

il

monte entre la

pile

et l’eau des sources de chaleur sous forme

d’une colonne verticale de i mètre,

d’épaisseur.

La

quantité

de

chaleur reçue de ce côté par la

pile

diminue aussitôt cl’ une manière sensible.

Quand

on

remplace

l’eau par un

liquide plus

volatil

(éther,

sulfure de

carbone, etc.),

la diminution est considérable.

Il y a

augmentation

au lieu de

diminution, quand

on

remplace

le

silex inouillé par du chlorure de calcium. M.

Hoorweg

conclut donc que la vapeur

d’eau, d’éther,

etc. augmente le

pouvoir

absorbant de l’air pour la chaleur

rayonnante.

Peut-être ces

expériences comportent-elles

une cause d’erreur

dont l’auteur ne

parle

pas. En insufflant de l’air sur une

paroi

imbibée d’un

liquide volatil,

on

produit

du

froid,

l’air

qui

sort de

l’appareil

à

évaporation

est

plus

froid que l’air

qu’il déplace,

et

agit

sur la

pile

par

rayonnement.

Inversement

l’appareil

à dessiccation échaune l’air

qui

le traverse.

J. LIPPMANN.

L. BOLTZMANN. - Experimentelle Bestimmung der dielektricitats-Constante einiger

Gaze (Mesure de la constante diélectrique de quelques gaz) ; Poggendorff’s Annalen,

t. CLV, p. 403, I875.

Un condensateur

puissant

est

chargé,

au moyen d’une batterie de 300

Daniell;

un électromètre est en communication avec l’ar-

mature

qui

est en communication avec la terre : il

indique

donc une

déviation nulle. On

interrompt

la communication avec la terre, et l’on

ajoute I

Daniell aux 3oo

éléments ;

on obtient alors une dé- viation

positives (- 03B2) ;

en enlevant cet

élément, l’aiguille

revient

au

zéro ;

on fait alors le vide

rapidement

dans le

récipient qui

con-

tient le

condensateur,

et

l’aiguille

est déviée

négativement (201303B1),

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01876005002301

(3)

24

ce

qui indique

que le gaz dilué a un coefficient

diélectrique

moins

grand.

Si

Di

est le coefficient

diélectrique

du gaz

dilué, D2

celui du

gaz avant

qu’on

ait fait le

vide,

le

rapport ] ]

L’expérience

montre que, si

b1

et

h2

sont les

pressions

initiale et

finale du gaz, le

rapport

est constant par consé-

quent

le coefficient

diélectrique

D croît

proportionnellement

aux

pressions,

et l’on

peut

écrire

pour la valeur du coef’ficient

correspondant

à la

pression b;

d’autre

part, Do

est l’unité par définition.

Les valeurs de 03BB pour

l’air, l’hydrogène,

etc., sont données dans le tableau

suivant,

pour une

température

de 15

degrés

environ :

Ces nombres

paraissent approchés

à

70 près.

En les

comparant

aux indices de réfraction de ces gaz, la relation

théorique

de

Maxwell,

D

=== i 2, paiaît vérifiée.

A . POTIER.

D. BOBILEFF, privat-docent à l’Université de Saint-Pétersbourg. - Sur la forme et la position des franges d’interférence de l’appareil de M. Jamin; Comptes rendus de

la Société de Physique de Saint-Pétersbourg.

On observe ordinairement dans

l’appareil

de M.

Jamill (1)

l’in-

terférence des rayons du second

ordre,

c’est-à-dire de ceux dont chacun a subi une réflexion sur la face antérieure d’un

iniroir,

et

(1) Voir le Cours de Physique de l’École Polytechnique, t. III, p. 53g et suiv.

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