HAL Id: jpa-00237070
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Submitted on 1 Jan 1875
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F. ZÖLLNER. - On a simple ocular- spectroscope for stars (Sur un spectroscope oculaire simple pour les étoiles); Berichte der kön. Sächs. Gesellschaft, avril 1374; et Philosophical Magazine, t. XLVIII, p. 137;
1874)
A. Lallemand
To cite this version:
A. Lallemand. F. ZÖLLNER. - On a simple ocular- spectroscope for stars (Sur un spectroscope oculaire simple pour les étoiles); Berichte der kön. Sächs. Gesellschaft, avril 1374; et Philo- sophical Magazine, t. XLVIII, p. 137; 1874). J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.24-25.
�10.1051/jphystap:01875004002401�. �jpa-00237070�
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H. HERWIG. 2014 Die elechtrodynamischen Erscheinungen abhängig vor der Freien
Elecktricität an der Oberflache Stromleiter ( Influence de la distribution de l’elec- tricité libre sur les actions électrodynamiques apparentes); Annales de
Poggendorff,
t. CXLIX, p. 44; 1873.
Les attractions ou
répulsions
de deux circuits par des courantsélectriques
doiventdépendre,
non-seulement des intensités de cescourants, mais aussi de la manière dont se distribue l’électricité libre à la surface des conducteurs.
Si,
parexemple,
dansl’clectro-dynamo-
mètre,
ons’arrange
de manière à faire passer le courant successi-vement dans les deux
bobines, puis
dans unegrande résistance,
lesdeux bobines seront
cl1argées
d’électricités de mêmesigne; si,
aucontraire,
lagrande
résistance est intercalée dans le circuit entreles
bobines,
celles-ci serontchargées
d’électricités designes
con-traires. Les forces mesurées par la déviatiol de la bobine
suspendue
pourront
être différentes dans les deux cas, bien que l’intensité ducourant reste la
même,
et cette différence sera d’autantplus
sensibleque les deux bobines seront
plus éloignées
de lapcrpendicularité.
’
Employant
36 éléments deBunsen, l’angle
des axes des deux bo- bines étant de 81degrés environ,
11I.licrivig
est arrivé à avoir des déviations diflërant de./7 de
leurvaleur,
endéplaçant
une résistanceliquide
introduite dans le circuit.A. POTIER.
F. ZÖLLNER. 2014 On a simple ocular- spectroscope for stars (Sur un spectroscope
oculaire simple pour les étoiles); Berichte der kön. Sächs. Gesellschaft, avril 1374;
et Philosophical Magazine, t. XLVIII, p. 137; 1874).
La
figure
suivantereprésente
engrandeur
naturelle la coupe d’unspectroscope
fixé à l’oculaire d’une lunette.Sur la monture de l’oculaire
01 0.,
on visse un tubeAB,
danslequel
est enchâssée une lentillecylindrique
L de 10 centimètresArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01875004002401
25 de
foyer.
Dans ce tube entre un second tube CD portant unpetit prisme
à vision directequ’une
vis depression S
fi~.c dans laposi-
tion convenable.
Pour observer avec cet instrument le
spectre
d’uneétoile,
on re-tire d’alord le
prisme,
et l’onrègle
l’oculaire defa(-on
que, l’oeil étant en0,
onaperçoive
une minceligne
delumière;
leprisnie
estalors mis en
place
et tourne de telle sorte duc son arête soit bienparallèle
aufoyer
linéaire de la lentillecylindrique.
D’après
31.Zi~llner,
1 intensité lumineuse de cepetit spectroscope
est si
considérable,
que, combine av ec unpetit télescope
de3’,
5d’ouverture et de
4o
centimètres defoyer,
il montre distinctement leslignes
des étoiles de i regrandeur,
et même celles de a d Her-.
cule, quand
l’état del’atmosphère
1(~ permet. Oupourrait
luiadaptcr
aisément une échellemicrométrique,
etmême,
sans cettcaddition,
il est propre à des observationssystématiques ayant
pour but d’étahlir la constitutiontypique
desspectres
des étoiles fixes.A. LALLEMAND.
M. AVENARIUS. 2014 Ueber innere latente Wärme (Sur la chaleur latente interne);
Atinales de Poggendorff, t. CLI, p. 303; 1874.
L’auteur a
répété
lesexpériences
deCagniard-Latour.
Un
liquide
est renfermé dans un tube scellé u lalampe
dont l’aira été
cliassé, puis
chaufféprogressivement;
leliquide
s’élèn e -1’ abordjusqu’à
une certainetempérature
r, s’arrête uninstant,
setrouble, puis
montetrès-rapidement;
le troubledisparait,
et la colonne li-quide
limitée par unpetit
nuage continue às’élever, remplit
com-plétement
le tube et,jusqu’à
latempérature
de 330degrés,
onn’observe
plus
rien departiculier :
si on laisse refroidirprogressi-
vement, le trouble 1 eCOllllnellce à 1 a
tcinpfrature
’r. On ne com-lnence
généralement
aapercevoir
la limite duliquide
duclorsque
le trouble a
disparu
et que la hauteur est celle duliquide
avantl’ascension
rapide signalée plus
haut.Quand
1rs tubes ont été très-chargés,
leliquide apparaît
d’abord enhaut, quand
ils 1 ont ététrès-peu
ilapparait
en bas., La