Aug. RIGHI. - Ricerche di elettrostatica (Recherches d'électrostatique); Nuovo Cimento, avril, mai et juin 1873

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Submitted on 1 Jan 1873

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Aug. RIGHI. - Ricerche di elettrostatica (Recherches d’électrostatique); Nuovo Cimento, avril, mai et juin

1873

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. Aug. RIGHI. - Ricerche di elettrostatica (Recherches d’électrostatique); Nuovo Cimento, avril, mai et juin 1873. J. Phys. Theor. Appl., 1873, 2 (1), pp.406-407.

�10.1051/jphystap:018730020040601�. �jpa-00236901�

406

pour ^un oeil infiniment

presbyte

^{et un}

objet

infiniment

éloigné,

2. Si on limite le

champ,

^{comme le fait}

Euler,

les deux formules

précédentes

^deviennent

ou

3.

Si,

^avec

Massotti,

^on cherche le

champ

^{de la}

plus grande clarté,

^{on trouve} tang

4. Enfin si l’on suppose l’ouverture de la

pupille

^infiniment

petite,

^{on a} pour le

champ

Le

champ

^{réel sera}

plus petit

que le

champ calculé,

parce que l’oeil se trouve forcément

plus

^{ou moins}

éloigné

de l’oculaire. Si l’oeil se

déplace

^{derrière ce}

dernier,

^le

champ

^{se trouve}

agrandi,

comme si le diamètre de l’oeil se trouvait accru.

E. GRIPON.

AuG. RIGHI. - Ricerche di elettrostatica (Recherches d’électrostatique);

Nuovo Cimento, avril, ^{mai et} juin I873.

1. L’ auteur

rappelle

la méthode de

Faraday

pour évaluer les

charges électriques,

^en

plaçant

les corps

chargés

^{dans un conducteur}

creux.

2. Il

l’applique

^{à un} corps isolant frotté ^{et montre}

qu’il

^{a réel-}

lement une

charge électrique,

^et que, par

suite,

les molécules d’un corps isolant

chargé

^{ne sont} pas

simplement polarisées.

3. Il fait voir ensuite que les

expériences

^de

Felici,

^montrant que la

charge

^{induite dans un} conducteur faisant

partie

^d’un

système

isolé à travers un corps isolant est

proportionnelle

^{à la}

charge

^de

l’inducteur, s’expliquent

^en supposant le corps isolant constitué

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018730020040601

407 par des molécules conductrices disséminées dans un milieu abso- lument isolant

(ce qui

^{semble évident a}

priori

^et

indépendant

^de

toute

hypothèse).

4. L’auteur étudie

l’électrophore

^{et montre} que l’on doit

rejeter l’hypothèse

^d’une

polarisation

permanente ^{des molécules du} corps isolant. Il fait à ce

sujet

^les

expériences

suivantes. i° Une lame d’un mauvais conducteur est électrisée

négativement

par frotte-

ment sur la

face a;

^il

place

^la

lame,

par ^cette face _a, sur un

disque métallique

^A

communiquant

^au

sol;

^il

place

^{dessus un}

second

disque métallique,

^le

^touche,

^{l’enlève et le trouve}

chargé positivement.

^{2° Si le}

disque

^{A est isolé et} que le

disque

^{B com-}

munique

^au

sol ,

^{au bout de}

quelques minutes ,

^{on fait aussi}

communiquer

^{A au}

sol ;

il isole B et le trouve

chargé négative-

inent; ^mais la lame isolante est presque

complétement déchargée.

3° Une lame isolante frottée

perd progressivement

^sa

charge,

^{si on}

la

place

par la face non frottée sur un conducteur

communiquant

^au

sol.

4o

^Deux lames isolantes étant

placées parallèlement, près

^l’une

de

l’autre,

^{comme les armatures d’un}

condensateur,

^on électrise la face extérieure de l’une

pendant

que la ^face extérieure de l’autre

communique

^avec le sol par ^un

disque métallique ;

la lame frottée

garde

^sa

charge,

tandis que,

petit

^à

petit,

l’autre lame se

charge

^d’é-

lectricité de

signe contraire,

^{et elle} arrive à avoir une

charge

pres- que

égale

^à celle de la

première.

A. POTIER.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Annales de Chimie et de Physique.

4e ^{série. - Tome XXX. - Novembre} 1873.

VICTOR DE LUYNES. ^- jJ1é,noire sur la trelnpe ^{du verre et en} particulier

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par ^la

décharge

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