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:(les suites) On a :suite définie par : 1. vérifions que : 2. On a : Montrons par récurrence que : (I)

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Texte intégral

(1)

:(les suites) On a : suite définie par :

1. vérifions que :

2. On a :

Montrons par récurrence que : (I)

 Pour n=0 on a :

donc la proposition(I) est vérifiée.

 Supposons que pour la proposition(I) est vérifiée, et montrons qu’elle l’est aussi pour (n+1).

On a :

Et comme donc :

D’où donc :

Alors la proposition(I) est vérifiée pour (n+1).

Conclusion :

On a montré par récurrence que :

2. une suite définie par : 1

 

3

n n

n

v u n IN

u

   

a) Montrons que une suite géométrique. on a :

 un 0

1

2 3 5

n n

n

u u u

u

 n IN

 

 

1

4 3

3 2 3

n n

n

u u

u

 

 

   

 

 

1

3 3 5

3 3 3=

5 5

3 15 3 4 12

= =

2 3 2 3

4 3

=

2 3

n n

n n

n n

n n n

n n

n n

u u

u u

u u

u u u

u u

u u

 

 

 n IN un3

0 2 3

u  

nIN

 

 

1

4 3

3 2 3

n n

n

u u

u

 

 

un 3 0

4

un  3

0 2et  

3 un

0

un1 3 0

 

un13

 

 n IN un3

  v

n

 vn

   

1

3 5 2 1

3 3 5 2 2

1 1= = = =

5 5 5 5 5

n n n

n n n n

n

n n n n n

u u u

u u u u

u u u u u u

  

  

 

D’où :

 

 

1

4 3

3 2 3

n n

n

u u

u

 

  n IN

     

1

3 5 3 4 3

3 12 4

3 3 = = =

5 5 5 5

n n n

n n

n

n n n n

u u u

u u

u

u u u u

 

(2)

D’où :

Conclusion : une suite géométrique de raison est de premier terme .

On en déduit : a) Montrons que

Ecrivons en fonction de n.

On a : donc :

c) Déterminons la limite de . On a :

(Et comme car alors :

(la géométrie dans l’espace)

On considère les points A(2,1,3), B(3,1,1) et C(2,2,1).

1. a) Montrons que On a ;AB

1,0, 2

et AC

0,1, 2

Donc :

D’où :

 

 

1

2 1 5 1

5 4 3 = 2

n n

n n

n n

u u

v v

u u

  

1 q  2

0 0

0

1=1 3

v u

u

 

 

1

2

n

n IN vn

  

   

    

 

 

1 3 1

n n

n

u v n IN

v

   

un

 

1

2

n

n IN vn

 

   

   

     

1 3 1

2 1 1

2

n

n n

u n IN

    

 

    

 un  

1 3 1 2 1 1

2

n

n n

u n IN

   

   

   

 

lim 1 0

2

n

n 

  

1 1 1 )

  2 n 1

nlim u



2 2

AB AC i jk

     

0 1 1 0 1 0

2 2 2 2 0 1

0 2 2 0 1 0

AB AC i j k

AB AC i j k

     

2

2

ABACi

j

k

On a:

 

1 3 1

3

3 1

1 3

1 3

1

n

n n n n

n

n n n n

n n n n

n n

n

v u

v u u

u

v v u u

u v u v

u v

v

     

   

   

  

  1 3

: 1

n n

n

n IN v

u v

 

conclusion

(3)

b) est un vecteur normale au plan et en

déduit que est une équation cartésienne

du Plan (ABC) et On a A(2,1,3) appartient au plan (ABC) donc ce qui l’équation cartésienne du plan (ABC) : . 2. a) Montrons que est le centre de(S) et que son rayon est r = 6.

L’équation de (S) est x2y2z2 2x2y340 Donc :

x1

 

2 y1

 

2 z0

2360

x1

 

2 y1

 

2 z0

2 62

Ce qui montre que (S) a pour centre et rayon r = 6.

b) Montrons que

On a :

on en déduit que le plan (ABC) coupe la sphère (S) selon un cercle (T) car .

3. a) est la droite qui passe par et qui est perpendiculaire au plan (ABC),donc est un vecteur directeur de() , Ω un point qui lui appartient, une représentation paramétrique est :

b) Déterminons les coordonnées du point intersection du plan (ABC) et la droite ,ces coordonnées vérifient le système :

En remplaçant x , y et z par leurs valeurs en fonction de t on obtient Donc

Conclusion : le point d’intersection de (P) et est bien le point B(3,1,1) est qui est le centre du cercle (T).

(les nombres complexes)

2, 2,1

AB AC

n

2x2y  z d 0 2 2 2 1 3      d 0 d 9

2x2y  z 9 0

1, 1, 0

1, 1, 0

 

, ABC

3

d

 

       

2 2 2

, 2 1 2 1 0 9

2 2 1

= 9 3 9

d ABC    

 

, ABC

3 6

d  

 

2, 2,1

n

 

1 2 1 2

x t

y t t IR

z t

 

   





 

 

1 2 1 2 t 2 2 9 0

x t

y t IR

z t x y z

 

   

 

  

   

2 1 2 t   2 1 2t   t 9 0

9t 9 0 donc =1t

 

(4)

1. Soit l’équation :

On a donc l’équation admet deux solutions complexes :

D’où 2. a) on a :

D’où :

b) On a :

On a : b u arg b arg u

 

2

a u a u

  

 

        

     

arg

 

2

4 4

b a

   

    

      

arg

 

2

2 b

a

  

  

   

D’où :

d) d’après ce qui précède, on a :

Ce qui veut dire :

2 4 29 0

z z

 2

2 4 4 4 1 29

=16 116 = 100

: b ac    

Le discriminant

 0

1 2 5 2 2 5

2 2

b i b i

z i z i

a a

   

   

2 5 , 2 5

S   ii

   

= 5 8 2 5

=3+3i u b

i i

 

 

3 3 u  i

 

 

   

 2

2 : arg u 4

arg u  arg u  

donc : d'o ù

5 2

 

2 5

=

:a i i

3 3i

c On a)

 

2

2 arg b

a

  

   

  

 

 

2

2 A B arg b

a

 

 

  

 

 

 

et

   

, 2

A B A B  2

   et  

on a :

Et (posons un argument de u)

2 2

3 3 3 2

u   

3 2

cos 2

3 2

sin 2

u

u

   2

arg u  4

D’où : Et on a :

donc :

a  u

et

B bu A au u

   

A B

  

(5)

et puisque R est une rotation de centre et d’angle alors R(A)=B.

Conclusion : B est l’image de A par la rotation R.

(la probabilité)

On tire 2 boules simultanément 1.

A ‘’les 2 boules tirées sont rouges’’

2

4 6 2

( ) 45 45 15

P AC  

2. a)

Cas possibles Valeurs de X

RR 2

VV 4

RV 3

Donc l’ensemble des valeurs prises par X est . b) : On tire une boule rouge et une boule verte .Donc :

Pour déterminer la loi de probabilité de X on calcule P x

2

P A

 

152

 

 

62

3 8 15

15 5

4 45 45 15

P x P x C

D’où :

2 3 4

(Etude de fonction) Partie I :

1. a) Donc :

b) Pour tout réel x on a :

2

2

10 45

Card C

2,3, 4

X 3

341 61 24 8

45 45 15

C C

p X

i

p Xx

xi

i

p Xx

2 15

8 15

5 15

( ) 2 2 2x 4 x f x x e e

2 2

, 2x 0 2x 0

x x x

lim x lim e et lim e

      ( )

x

lim f x

  

 

2

2

( ) 2 2 x 4 x x 4 x 0

x

f x x e e et lim e e

      

3

1

i 1

i

p X x

(6)

D’où

donc la droite (D) d’équation est une asymptote oblique à la courbe

 

Cf au voisinage de -∞ . 2. a) on a :

( )

Donc : b) on a :

donc :

D’où la courbe admet une branche parabolique au voisinage de +∞ de direction l’axe des ordonnées.

b) On en déduit que :

Donc f est strictement croissante surIR . x -∞ 0 +∞

+ 0 +

f(x)

+∞

-5 -∞

c) ¬

donc : (car ¬

donc : (car )

on a : f continue et strictement croissante sur l’intervalle et

donc d’âpres le théorème des valeurs intermédiaires il existe un réel unique α appartenant à l’intervalle qui vérifie l’équation f(x)=0

4. a) on a : donc

est du même signe que ( car ) on a :

 

( ) 2 2

0

x

f x x

lim   

2 2

y x

 x IR

f x

 

= x 2 + e - 42

 

x ex

2 2

, 2x 2x

x x x

lim x lim e et lim e

         

( )

x

lim f x

  

x IR*

f x = 2 -2+ e - 4

x

ex

x x x

 

 

2, x

x x

lim 2 - 2 lim e - 4

x   

 

 

x

x

lim e x

  

et ( )

x

lim f x

 x  

 Cf

 

 

 

2

2

2

( ) 2 2 4

= 2 2 1

2 1

x x

x x

x

x IR f x e e

e e

e

   

3. ) a

 x IR

f( )x 0 (0)et f 0

( ) f x

 

(1) e2 4 4

f   ee e (1) 0

fe4

 

2ln 4 ln 4 ln16

(ln 4) 2 ln 4 2 4 2 ln 4 2 4 4

=2 ln 4 1

f   ee   e  

(ln 4) 0

f ln 4 1 ln  e

1;ln4

f(1) f(ln 4)0

1;ln4

 x IR

f(x) - 2x - 2

 

ex

ex4

f(x)- 2x - 2

 

ex4

ex 0

(7)

(la fonction exponentielle est strictement croissante) x -∞ ln4 +∞

f(x)-(2x-2)

-

0 +

Conclusion : est au-dessous de la droite (D) sur l’intervalle et au-dessus de la droite (D) sur l’intervalle

dressons un tableau de signe pour :

x -∞ 0

ex 1

+∞

-

0 +

¬ s’annule en 0 en changeant de signe et f(0)=-5 donc

le point A(0,-5)est un point d’inflexion unique pour la courbe .

b) on a :

x -∞ ln4 +∞

f(x)-(2x-2) - 0 +

4 0 ln 4

4 0 ln 4

x x

e x

e x

    

   

 

Cf;ln 4

ln 4;

 

   

 

( ) 2 1 2 2 2 1 1

= 1

x x x

x x

f x e e e

4e e

 

      

 b)

f

( ) f x

f 

 

Cf

 

2 ln 4

ln 4 2 0

0

2ln 4 2 0

ln 4 0

4 4

2

4 4

2 2

:

x

x x e x

e e dx e

e e

e e

 

 

 

5. a on a)

= 9

2

 

0ln 4 ( ) 2 2

u.a A

f xxdx c)construction de

¬ f strictement croissante sur IR

¬ x=ln4 asymptote verticale (+∞)

¬ y=2x-2 asymptote oblique(-∞)

¬

¬ A(0,-5) point d’inflexion

¬

 Cf

 

 

( ) 0 x ln 4;

( ) 0 x ; ln 4

f x

f x

   

   

 

0 0

f 

(8)

   

 

 

 

:

x x

Donc : A x f x dx cm

dx cm cm

D'où A cm

  

ln 4 2

0

ln 4 2 2

0

2 2

2 2

4

9

2 4,5

e e

Partie II :

1. a) (E)

L’équation caractéristique de (E) est :

Les solutions sont :

Donc les solutions de (E) sont de la forme :

b) On vérifiant les conditions initiales sont solutions du système :

D’où 2.

a) • h est dérivable sur est

D’où h est croissante sur

3 2 0

y y y

2 2

3 2 ; 3 4 1 2 1

r   r o      

1 1 2 2 r et r

 x IR ( )g x e2x ex

 ,IR2

et

(0) 2 2 2 1

(0) 3 3 4

g g

 

 

    

      

 x IR

g( ) = ex 2x4ex

2

( ) ln x x ln 4;

h x e e  x 

ln 4;

 

 

ln 4 e 4 2

: e 2 0 e 4 0 ln 4; ( ) 0

x

x x

x

et

x h x

 

   

  

donc

ln 4;

 

 

2 2

2 2

4 2 4

( )

4 4

2 2

=

4

x x x x

x x x x

x x

e e e e

h x

e e e e

e e

( u .a1cm2 )

La solution général de (E) est de la forme

1 2

r x r x

ye e

 ,IR2

(9)

•h continue et croissante sur donc admet une fonction réciproque définie sur et

Donc :

Conclusion : h admet une fonction réciproque définie sur IR.

Donc :

et comme

donc

ln 4;h1

 

ln 4;

h    ln 4

x ln 4

ln 4; lim ; lim ( )

x x

h h(x) h x





 

ln 4;

;

h    IR

h1

 

2ln 5 ln 5 ln 5 ln 5

) 4 4 5 5 4 5

beee e    

 

ln 5 ln 5

h

 

h1

 

ln5 h h

11(ln 5)

h

 

ln 5 ln 5

 

1 ln 5 ln 5

h

 

1

ln 5

ln 5

1 1 1

5 =

: 5

2 2 6

4

h ln

h ln e

e

D'où

Et

 

2

ln 4

lim 4 0

lim ( )

x x

x

x

e e

h x



 

 





D’où :

 

2

ln 4

lim 4 0

lim ( )

x x

x

x

e e

h x



 





ln 4

lim ( )

lim ( )

x

x

h x h x

 

 

 





alors on a :

 

1

 

5 1

h ln 6

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