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Traité théorique et pratique de l'art de bâtir Rondelet, Jean Baptiste A Paris, 1834 ETH-Bibliothek Zürich Shelf Mark: Rar 9213

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Traité théorique et pratique de l'art de bâtir

Rondelet, Jean Baptiste A Paris, 1834

ETH-Bibliothek Zürich

Shelf Mark: Rar 9213

Persistent Link: https://doi.org/10.3931/e-rara-34171

Inhaltsverzeichnis

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TABLE DES MATIERES

SOMMAIRE DU SECOND LIVRE

DU TRAITE DE L’ART DE BATIR .

CHAPITRE PREMIER .

DE D’APPAREIL DES CONSTRUCTIONS ANTIQUES .

Pages . DiFFÉRENS GENRES d ’aPPAREIL CONNUS ET PRATIQUÉS PAR LES ANCIENS POUR LA CON¬

STRUCTION des murs . Caractères primitifs des constructions en pierre de

taille chez différenspeuples anciens et modernes. — Les pierres généralement grandes , et souventcolossales dans les monumens de l’Egypte. — L’appareil , quoique très -régulier , n’a jamais été accusé comme moyen de décoration dans aucun monument égyptien, avantladomination d’Alexandre. — Constructions remarquables par les dimensions des pierres , en Perse et enSyrie. — Pierres qui ne pouvaient être remuées par moins de cent hommes, employées par l’empereur Alexis, dans la ville de Nicomédie. — Ruines d’une forteresse des anciens Péruviens , prèsde Cusco, remarquables par l’énormitédes pierres qui s’y rencontrent . — Caractère général des constructions antiques. — Appareil

simple et par assisses réglées , chaque pierre formant l ’épaisseur du mur . —

Exemple decet appareil. — Appareil double , formé de pierres d’égalesdimen¬

sions, posées deux à deux en largeur , et seules en longueur , sur l’épaisseur du mur . — Exemplesde cetappareil. — Appareil triple ,formé de pierres de dimensions égales,poséestrois àtrois en largeur,et seulesen longueur sur l’épais¬

seur du mur . — Exemple de cet appareil. — Appareil composé, alternative¬

ment double et triple sur l'épaisseur du mur . — Exemple de cet appareil. —

Appareil irrégulier , formé de pierres de toutes dimensions , raccordées en assises

rompues , au moyen d’entailles sur tous les sens. — Exemple de cet appareil.

— Appareil polygonal , formé de pierres taillées en prismes irréguliers. — Exemple de cet appareil. — Appareil enchaîné, formé de pierres alternative¬

ment refouillées sur chaque lit , pour s’encastrer les unes dans les autres . — Exemplede cetappareil. —Autre de l’invention de l’auteur . — Appareil mixte, forméde pierres et de poutres combinées ensemble , d’après les indications de Vitruve , et la description des murs des Gaulois , par Jules César. 1—12

TOME II .

(3)

354 TABLE DES MATIERES . CHAPITRE DEUXIÈME .

Principes de l ’appareil pour les murs , piliers et massifs en pierres de taille . PAGES.

De la stabilité . — De la direction de la pesanteur . — Du centre de gravité . —

Position et forme à donner aux pierresdetaille pour lesmurs et piédroits. — Des dimensions despierres. — Nouvelle méthode pour l’appareil des masifs et revêtemensenpierres de taille. — Observation surle système d’appareil enchaîné dont on a fait usage pour la construction du phare d’Edystone. 13—22

CHAPITRE TROISIÈME .

DE LA POSE.

Perfection de la pose chez les anciens . — Absence totale du mortier entre les pierresdes édificesantiques. —Clefsde bois , cramponsdeferetde bronze , em¬

ployés par les ancienspour opérer uneliaison entre les blocs des constructions en pierre detaille. — "Vicesdes constructions modernes en pierres de taille .

— Conditionsessentielles de la solidité desmurs , sacrifiées à larégularité des surfaces apparentes. — Causes de l’introduction de ces abus. — Défautde ces constructions rendus plus sensibles par le détail des précautionsqu’exigeleur

etablissement .— Conséquence inévitable du démaigrissement des lits des pierres dans les parties d’édifices qui ont degrandes charges à soutenir. — C’est unique¬

ment à ce procède absurde ,cité pour exemple par quelques auteurs , qu’ilfaut at¬

tribuer Taffaissementdes piliers de l'église Sainte - Geneviève. —Manière de poser les pierres de taille pour former des constructions solides . — Description

détaillée desdiverses opérationsde la pose , d’après l’observationdesmonumens antiques , et les principes de l’art de bâtir . ■— Note sur lescauses des dégrada¬

tions survenues aux piliers du dôme de l’eglise de Sainte-Genevieve, et sur les moyens employés par l’auteur pour la consolidation etla conservation de

ce monument . ^ ^

(4)

TABLE DES MATIÈRES . 355

LITRE TROISIÈME .

STÉRÉOTOMIE-

PREMIÈRE SECTION

Tracé des courbes qui peuvent servir à former la surface intérieure des voûtes.

CHAPITRE PREMIER .

DESCOURBES FERMEES.

Du cercle . — De l’ellipse. — De l’ellipse considéréecomme le résultat de la section oblique d’un cylindre. — Comparaison du cercle avec l’ellipse. — Du compas à l’ellipse, ou compas ovale. — Des perpendiculaires à l’ellipse. — Nouvelle

propriété des foyers de l ’ellipse , découverte par l ’auteur . — Les foyers repré¬

sentent les extrémités de l’axe du cylindre ou du cône compris dans la section oblique qui produit l’ellipse. — Démonstrations. — Des ovales et anses de paniers. — Delacicloïde. — De lacassinoïde. — Comparaison de l’ellipse des sections coniques aux deux courbes précédentes.—Descourbes àonze centres qui

ne sont pas desimitationsd’ellipses. — Première méthode. —Deuxième méthode.

— Troisième méthode. — Quatrième méthode , pour former avec le même nombre d’arcs de cercle une imitation d'ellipse. —Des cintres surhaussés.

Des cintres pour les arcs rampans.

CHAPITRE DEUXIÈME .

DESCOURDES OUVERTES.

Circonstances qui peuvent nécessiter l ’emploi des courbes ouvertes pour former le cintre des voutes . — De la parabole . — Méthode graphique pour tracer

cette courbe , lui mener des tangentes , et lui élever des perpendiculaires. — De l’hyperbole. — Méthode graphique pour tracer cette courbe , lui mener des tangentes et lui éleverdesperpendiculaires. —Delachaînette.—Moyen méca¬

nique d’obtenir cette courbe. — Méthode graphique pour tracer lachaînette , mener des tangentes à sa courbe , et lui élever desperpendiculaires.

pages

39—65

66—74

(5)

356

TABLE DES MATIÈRES.

DEUXIÈME SECTION.

Tracé des épures.

CHAPITRE PREMIER.

DES PROJECTIONS .

FAGES. Définition de ce qu ’on entend par épures dans i.’art de bâtir . — Tracé des

Épures aussiancien que laconstruction en pieires detaille. — Epures de cha¬

piteaux égyptiens, tracées dans les carrières de Gébel Abou - Fedah , dans l’Heptanomide. — Principes du tracé des épures. — Corps solides divisés en trois classes, relativement aux projections. — Première classe, solides à sur¬

facesplanes. —Deuxième classe,solides terminéspar des surfaces planes et des surfaces courbes. — Troisième classe;solides dont la surface est à double cour¬

bure . — Projectiondes lignes droites . — Projectiondessurfaces. — Projection

des lignescourbes. — Projection des solides. 75—81

CHAPITRE DEUXIÈME .

DÉVELOPPEMENT rfES SOUDES A SURFACES PLANES .

Développemens des polyèdres réguliers . — 1°. Le tétraèdre , ou solide à quatre faces semblables . — 2 °. L ’héxaèdre , ou cube dont la surface est composée de six carrés égaux . — 3 °. L ’octaèdre , composé de huit triangles équilatéraux . _ 4 °. Le dodécaèdre , composé de 12 pentagones . — 5 °. L’icosaèdre , composé

de vingt triangles équilatéraux . — Développementdespyramides etdes prismes.

— Développement des prismes droits et obliques. — Développement des cy¬

lindres droits et obliques. — Développement descorps ousolides dont lasur¬

face est à double courbure . 82—91

CHAPITRE TROISIÈME .

DES ANGLES DES PLANS OU SURFACES ' QUI TERMINENT LES SOLIDES .

Distinction de trois espèces d’anglés dans les solides . — 1°. Les angles plans . —

2°. Les angles solides. — 3°. Les angles des plans. — Moyen pour obtenir gra¬

phiquement les mesures des angles des plans. — Angles des plans déterminés

par le calcul trigonométrique . . 92—95

(6)

TABLE DES MATIÈRES . 357

TROISIÈME SECTION.

Construction et appareil des voûtes plates .

NOTIONS PRÉLIMINAIRES SUR lAPPAHEH ET LA CONSTRUCTION DES VOUTES . PAGES.

Systèmes de construction en usage av -nt la connaissance des voûtes . — Consi¬

dérations générales sur la stabilité les voûtes , en raison de leur épaisseur, du nombre et dela grandeur de leirs voussoirs,delaforme de leur cintre , et de celle de leur extrados. — Les 'OÛtes plates sont toutessemblables quant àleurssurfaces.—Les différentes espices de voûtes àsurfaces courbes peuvent se réduire àtroisprincipales, savoir :lesvoûtes cylindriques ,les voûtesconiques et les voûtes sphériques. —Voûtes composées,formées de la reunion de plu¬

sieursparties des voûtes simples. — Direction àdonner aux rangs de voussoirs dans les voûtessimples et lesvoûtescomposées. — Construction particulière desvoûtes d’arêtes gothiques. — Eqiilibredesvoûtes, résultant du poids des voussoirs mis entreeux commela diffrencedes tangentesdes angles formespar leurs joints , obtenus par une opéraion graphique. — Table de la moindre épaisseur des voûtes circulaires ouelliptiques , prise au milieudela clef.

Observations sur la pose des vousscirs. 96—108

CHAPITRE PREMIER.

PLATES - BANDES El PLAFONDS NON APPAREILLES.

Efforts de l ’art pour appliquer l ’empioi de la pierre a tous ses ouvrages .—

Parallèle entre l’architecture grecque et l’architecture égyptienne. — Opinion des anciens sur les conditions de lasolidité des constructions de ce genre.

— Étonnement de l’antiquité pourlesexemplesqui s’éloignaient desprincipes reçus. — Plates-bandes et plafonds lu temple de Karnak , à Thèbes , en Égypte. — Plates-bandes et plafond» du temple de Thésee, à Athènes. — Plates-bandesetplafonds du tombeat de Mylasa. — Plafonds delatribune de Pandro9e, attenant autemplede Minerve Poliade , à Athènes. — Plates - bandes du portique du Panthéon d’^grippa , à Rome. — Plates-bandes du temple de la Concorde, à Rome. — Plates-bandes du temple de Jupiter Stator , à Rome. — Plates-bandesdu templedeMars Vengeur , à Rome. — Instructions de Philibert de l’Orme, relatives à la construction des plates-

bandes . . . ^09—

(7)

358 TABLE DES MATIÈRSL CHAPITRE DEUXIÈME

APPAREIL DES PLATES - BANDES ET P. ABNDS .

PAGES.

EXISTENCE SIMULTANÉE DES PLATES - BANDES, DES ARCS ET DESVQJTES APPAREILLÉES , CONSTATÉEPOUR LAPREMIÈRB FOIS DANS l ’ÉMISSAIREDU LACAlRNO , CONSTRUIT 338 ans après la fondation de rome .— Appareil des plates -bantes -carté de l ' architec¬

ture grecque à cause de l’action qu’il exerce sur les ponts d’appui , et de l’irrégularité de laforme des claveaux. — Plate-bande apareillée de l’émis¬

saire du lac Albano. — Appareil de la porte du ttmieau d’Iamblichus, à Palmyre . — Appareildela porte du templedeJupita -, à Baalbeck. — Ar¬

chitraves appareillées du temple de Junon , dans le iotique d’Octavie, à Rome. — Architraves appareilléesavec les claveaux apjarns ,des carcères de Domitien, à Rome. — Appareil des plates-bandes dais lethéâtre de Mar- cellus , à Rome. — Appareil d’une porte dans l’intërituidu tombeau de C.

Métella , à Rome. — Appareil de l’une des portes du pdas de Dioclétien, à Spalatro . — Plates-bandes appareillées à joints ondul>s, dans l’architecture des Arabes. — Principes de l’appareildes plates-bandes. —Règlesrelatives à

l’appareil des plafonds , ou voûtes plates. . 114—120

QUATRIÈME SECTION .

appareil des arcs , des portes et des voites en berceau.

Etat de l ’art dé l ’appareil des voûtes ciiez les anciens Pojains . — Forme indé¬

cise de l’extrados dansles arcsde l’émissaire dulac Albtnc —Arcs extradossés d’égale épaisseur au pont Fabricius , à Rome. — Arcscimposés d’un double rang devoussoirs, extradossésd’égale épaisseur , tirés «iumême monument. — Arcs formés d’un triple rang de voussoirs extradossés d'igde épaisseur ,tiré des égouts de Tarquinl ’Ancien, construits l’an 580 de la foidation de Rome. —

Arc biais, appareillé à tas déchargé ,danslemur d’enceinfc du forum de Nerva, à Rome. —Voûte coniquede l’émissaire du lacAlbano.—Descentes droites des arènes deNismes. —Voûte cylindriquedes bains de Diare, à Nismes. — Voûte sphérique du temple rond de Baalbeck. — Appareilfigiré en stuc , sur une

voûte d’arête , dans la galerie des statues de laville Aduenne, à Tivoli. . . . 121—124 CHAPITRE PREMIE1.

DES arcs .

Tracé de l épure des arcs droits et biais , dans des murs a plomb et en talus . —

Détail particulier du tracé des pierres . — Epures des a-cs droits , biais et en talus , dans desmurs circulairesenplan , désignés sous le nom d’arcs en tour

ronde . . . 125—131

(8)

rABLE DES MATIÈRES . 359 CHAPITRE DEUXIÈME .

DES ARRIÈRE - VOUSSURES.

Les voussures sont des esicis de surfaces coniques . — Epures de l’arrière - voussure dite deMarseille.—Premier moyen. — Deuxième moyen. — Épures de l’arrière-voussure dite e Montpellier , par deux méthodes différentes. _ Épure de l’arrière-voussue dite de Saint-Antoine.

CIAPITRE TROISIÈME .

DES VlUTES EN BERCEAU QUI SE PÉNÈTRENT .

Courbes formées par la rencontre des voûtes , désignées sous le nom de lunettes , susceptibles de produire c 'e infinité de figures différentes . — La manière de les développerest fondé sur un même principe — Épure de la voûte en berceau circulaire, ou plin cintre , pénétré par une autre d’un moindre diamètre ,qui la rencontreperpendiculairement ou à angles droits. —Épure du berceau droit , semblabe au précédent , pénétré par un autre de moin¬

dre diamètre , qui le rencoitre obliquement. — Moyen pour corriger l’iné¬

galité des anglesdans cettepénétration .

CEAPITRE QUATRIEME .

DES DESCENTES.

Descente droite rachetant ubberceau , ou épure de la pénétration d ’une voûte

droite par une voûte inclime dans le sens de la hauteur . —Descente biaise rachetant un berceau , ou épure de la pénétration d’une voûte droite par une voûte qui la rencortrc obliquement , en plan et sur lahauteur . . .

CHAPITRE CINQUIÈME .

DES VOUTES d ’arÊTE .

Pénétration de deux voûtes d’éiale hauteur . — Dans les voûtes d ’arêtes régu¬

lières, les courbes , formées par les pénétrations , vont en ligne droite d’un angle à l’autre du plan —-Épure de la voûte d’arête sur un plan rec¬

tangulaire. — Manière de t-acer les pierres par équarrissement. — Ma¬

niéré de tracer les pierrei par les panneaux de douelle et beuvaux d’angle. — Épure dela voûti d'arête irrégulière , sur quadrilatère dont les cotes sont inégaux. — Epu-e de la voûte d’arête sur hexagone régulier . Epure de la voûte d’arêie gothiqne. — Epure de la voûte à doubles aretes en pleincintre. —Épuie de lavoûte gothique à triples arêtes.

PAGES.

132—136

137—140

141—143

144—157

(9)

360 TABLE DES MATIÈRES . CHAPITRE SIXIÈME.

DES VOUTES EN ARCS DE CLOITRE .

, FACES.

Différence entre ces voûtes et les voûtes d’arête . — Epure de la voûte en arc

de cloître sur un plan carré. — Epure de la voûte en arc de cloître sur un plan octogone. — Observation sur les voûtes en arc de cloître sur un plan irrégulier. — Epure de la voûte en arc de cloître barlongues. — Epure de

la voûteen arcde cloître avecplafond dans le milieu. 158—162

CINQUIÈME SECTION .

Appareil des voûtes coniques , sphériques , sphéroïdes et conoïdes ; des voûtes composées et des escaliers.

CHAPITRE PREMIER .

DES VOUTESCONIQUES ET CONOÏDES.

Distinction entre ces deux espèces de voûtes . — Épure de la voûte conique

ou trompe dans l’angle rachetant un pan coupé. — Epure de la trompe dans l’angle rachetant un angle saillant. — Épure de la trompe dans l’angle rachetant une tour ronde . — Epure de la voûte conique biaise et inclinée dans un mur en talus . — Epure de la voûte conique à double ébrasement , biaise et percée dans un mur en talus. — Epure de la voûte conoïde. — Note

sur la grande voûte conoïde du dôme de Sainte-Geneviève. . 163—173 CHAPITRE DEUXIÈME .

DES VOUTESSPHÉRIQUES ET SPHÉROÏDES.

Différence entre les noms de dôme et decoupole donnés aces voûtes .— Epure de la voûte sphérique appareillée par assises horizontales , formantdescouronnes de voussoirs concentriques. — Expédient pour suppléer au défautde lapierre dans le tracé des voussoirs des voûtes sphériques. — Épure de la voûte sphé¬

rique appareillée en arcs verticaux, formant enplande carrés évidés, inscrits les uns dans les autres — Épure de la voûte sphérique incomplète sur plan carré , appareillée par carrés inscrits. — Épure des niches ou voûtes hémi¬

sphériques . —Épure de latrompe en niche surle coin. — Voûtes sphéroïdes sur un plan ovale ou elliptique. — Note sur la manièrede tracer les caissons dans les voûtes sphériques et sphéroïdes. — Décroissement irrégulier des caissonsdela coupole du Panthéon d’Agrippa , à Rome. — Méthode suivie pour le tracé des compartimens en fer de la coupole de la Halle aux Blés

de Paris . . . 174- 194

(10)

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE TROISIÈME .

DES VOUTES COMPOSÉES.

Pendentifs ou voûtes sphiricocylindriques . — Usage ordinaire de ces voûtes .

Exemples lesplus renarquablesdecegenre de voûtes. — Epure et appa¬

reil despendentifs parrings de voussoirs horizontaux. — Epure despenden¬

tifsappareillés en trompe, ou par voussoirs disposésen forme de panache .

— Épure de la voûte l’arête annulaire , résultant de la pénétration d’un berceau circulaire, par une voûte conoïde de*même hauteur de cintre . — Epure de la trompe en tour ronde , ou voûte sphéroïdeérigée sur un mur

droit . . .

SIXIÈME SECTION.

Appareil des escaliers en pierre.

CHAPITRE PREMIER .

DE IA VIS SAINT - GILLES SUR PLAN CARRÉ.

Origine du nom donne aux esialiers de cf. genre — Cette pièce de trait secompose

de voûtes d’arêtes et en arcs decloîtregauches etrampantes, dont l’exécution présente beaucoup de difficultés. — Instruction particulière sur le tracé de l ’épure de la vis Saint-Gilles, sur plan carré. — Erreurs dans lesquelles sont tombés plusieurs acteurs de traités de coupes des pierres. — Moyens d’éviterlescoupes vicieusis dans l’appareilde cesescaliers.

CHAPITRE DEUXIÈME .

DE LA VIS SAINT- GILLES RONDE.

Méthode simplifiée pour le tracé de l ’épure de la vis saint -gilles runde .

Autre méthode plusprompte à suivre dans l’exécutionde cette piècede trait .

— Observation relative à la disposition despremiers rangs de voussoirs. . . CHAPITRE TROISIÈME .

DES ESCALIERS A VOUSSURES ET A REPOS .

Emplacemens convenables aux escaliers de ce genre . — Forme et disposition les plus favorables au développementde ces escaliers. — Épure dugrand escalier à repos, soutenu par desvoussures rampantes et par des trompes dans les angles,ou pardesparties de voûtesen arcde cloître. —Manières différentes de tracer les voussoirs dans les voussures de ces escaliers.

361

pages .

195—201

202—207

208- 211

212—215

TOME II 46

(11)

362 jlaulE DES MATIERES . CHAPITRE QUATRIÈME.'

DES ESCALIERS A JOUR.

RAGES. Les marches et le limon sont principalement a considérer dans ces sortes d’es¬

caliers . — Epure de l’escalier à jour , soutenu par la seule coupe des marches , ' avec limon et sans limon. — Epure de l’escalier à jour avec limon arrondi dans les angles,paliers et marches tournantes . — Epure de l’escalier à base

circulaire, appelé vis àjour ,avec limon et sans limon. 216—220

009 -

LIVRE QUATRIÈME.

PREMIÈRE SECTION.

Etablissement des aires .

Aires ou superficies planes formées par des ouvrages en pierre , en maçonnerie , ou par un enduit quelconque . — Avenues et chaussées pavées en pierre au

devantdes ancienstemples de l’Egypte. — Invention des routespavéesattri¬

buée aux Carthaginois. 221—223

CHAPITRE PREMIER .

DES VOIES PUBLIQUES ET GRANDS CHEMINS. ARTICLE PREMIER .

Des chemins antiques . — Les grands chemins sont un des moyens dont les anciens se sont servis pouragrandir et maintenir leur empire. — Parallèle de l’étendue des grands chemins de l’empire romain avec celle des routes du royaume de France , en 1824. — Du titre de curator viarum . — Organisation des tra¬

vaux relatifs à l’établissement et à l’entretien des grands chemins. — Honneurs décernés aux fondateurs et restaurateurs de voies publiques. —Des diffé¬

rentesespèces de chemins en usage chez les anciens Romains. — Signification des mots via , actus , iter , semita , trames , diverticulum , divortium , caltis ,

— Largeur des voies antiques. — Des matières dont les Romains formaient leurs chemins, de leur construction , et destravaux extraordinaires pour les établir endivers lieux. — Statumen . rudus , nucléus , summum dorsum ou

(12)

TABLE DES MATIÈRES .

summa crusta . — Chemins conduits à travers les marais ,les étangs,les lacs, les rivières ,les montagnesles plus élevées et les rochersles plus escarpés. — Passage des Alpes par Annibal. — Calcination des pierres employée depuis avec succès au même genre d’ouvrage. — Routes modernes établies par les Français dans les Alpes .

ARTICLE II .

Des chemins modernes . — Des différentes espèces de chemins , indépendamment

de leur situation. — Parallèle des chemins antiques avec noschemins mo¬

dernes. — ModiGcations dont notre système de grands chemins serait sus¬

ceptible. — De l’établissement des chaussées en raison des matières dont on peut disposer. — De la formation des massifs. — Du pavé. — Pavés dispo¬

sés par rangées transversales ou obliques sur la largeur des chaussées. — Avantages et inconvéniens de cette dernière disposition. — Des routes fer¬

rées. — Supériorité des chaussées pavées pour lesroutesexposées au passage de voitures chargées au delà de 2,000 kilogrammes par roue. — Chemins établis sans pavé ni massif de maçonnerie. — Note surles chemins en fer, dits chemins à ornières. — Chemins à ornières étroites . — Chemins à or¬

nières plates. — Chemins en fer à une seule ornière . — Table montrant l’effet d’uneforce de traction de 50 kilogrammes à différentes vitesses, sur un canal , uncheminenfer et une route ordinaire .

CHAPITRE DEUXIÈME .

DES AIRES ET PAVÉS INTÉRIEURS .

Etablissement des massifs sous les aires et pavés intérieurs , d’après Yitruve .

— Briques dont lesbords sont recreusés en forme de canal , placées dans le massif des aires des terrasses. — Exemple de pierres dont les joints sont re¬

creusés en forme de canal , observé par Piransei dans un aquéduc antique .

— Détails observés par l’auteur dans diverses constructions antiques. — Des aires et pavés à la grecque. — Des pavés à la vénitienne , dits composti et pavimenti lerrazzati . — Du lastrico. — Des aires en plâtre .

363

PAGBS.

224—234

235—244

245—258

46.

(13)

364 TABLE DES MATIÈRES .

DEUXIÈME SECTION .

Construction des murs en maçonnerie- CHAPITRE PREMIER .

DES MÛRS ENMOELLONS.

FAGES.

Des différentes espèces de maçonneries antiques et modernes . — De l ’opus

incertum , ou maçonnerie en petites pierres informes. —. De l’opus reticu- latum , oumaçonnerie en petites pierres carréesdisposéespar rangs obliques.

— De l’opus isodomon , ou maçonnerie en moellons d’égale grandeur. — De l’opus pseudisodomon , ou maçonnerie en moellons de grandeurs iné¬

gales. — De Copus emplecton , ou maçonnerie de blocage. —Exemples des divers genres de maçonneries antiques observés par l’auteur . — Maçonne¬

ries modernes comparées à celles des anciens. 259—269

CHAPITRE DEUXIÈME .

DES MERS EN BRIQUES.

Combinaisons des briques pour former des languettes , des cloisons et des murs . — Languettes et cloisons formées par des briques posées de plat et dechamp. — Petits murs ou fortes cloisonsforméesde deux briques d’épais¬

seur . — Combinaisons différentes pour des murs de trois rangs de briques d’épaisseur. — Murs ayant quatre rangs de briques d’épaisseur. — Briques posées obliquement dans des murs ou massifs d’une très-grande épaisseur.

— Combinaisonsde briques carrées et de demi-briques posées carrément ou diagonalement. — Murs composés de rangées de pierres et de briques al¬

ternatives . — Exemples antiques etmodernesdece genre deconstruction. . 270—27 I CHAPITRE TROISIÈME .

DES MURS ET MASSIFS EN MAÇONNERIE MIXTE.

Murs et massifs en maçonnerie de blocage parementés en moellons et en bri¬

ques . — Exemples tirés des constructions antiques . — Moyen de relier les

paremens des murs. — Précautions pour prévenir l’inégalité du tassement.

Desrevêtemensenpierrede taille. — Exemples tirés de l’antiquité . — Obser ■ vations sur la construction des piliers , etdes murs du dôme de Saint-Pierre

de Rome, — Comparaison des constructions en plâtre et de celles en mortier. 272—278

(14)

TABLE DES MATIÈRES . 365

TROISIÈME SECTION .

Construction des voûtes en maçonnerie.

CHAPITRE PREMIER .

DESVOUTES EN MOELLONS.

Distinction des voûtes en voûtes légères , voûtes moyennes et voûtes solides .

— Principes relatifs à la construction des voûtes en pierre de taille , appli¬

cablesaux voûtes en maçonnerie. — Détailsdes meilleurs procédés à suivre pour la construction des voûtes maçonnées en mortier et en plâtre. —

— Précautions à prendre pour les voûtes en maçonnerie composéesdeplu¬

sieurs rangs de voussoirssuperposés.

CHAPITRE DEUXIÈME .

DES VOUTES EN BRIQUES.

Voûtes en briques ordinaires pour les appartemens . — Il y a deux manières

différentes dedisposer les briques pour former une voûte , indépendamment de la directiondes rangs. — Voûtesdésignées sous le nom devoûtes plates .

— Voûtes plates de l’ancien hôtel des bureaux de la guerre à Versailles. — Voûtes forméesavec desbriquesposées deplat , maçonnéesen plâtre . — Es¬

sais dece genrede construction par le maréchal de Belle-Isle. — Autres es¬

saisde M. le comte d’Espie. — Formedesvoûtes en impériale, ou en arc de cloître , préférable pour les voûtes plates. — Voûtes plates du palais Bour¬

bon. — Voûtes de la halle aublé de Paris. —Des voûtesenpoteries creuses.

Exemples antiques de ce genredeconstruction .

CHAPITRE TROISIÈME .

DES VOUTES EN MAÇONNERIE MIXTE.

Premières voûtes de ce genre exécutées par les anciens étrusques . — Diffi¬

cultésdespénétrations sauvées par l’emploi de la maçonnerie mixte. -— Ma¬

çonnerie mixte combinée avec l’emploides briquesdans la construction des voûtes. — Exemples tirés des monumens antiques. — Les anciens Romains ménageaienten relief sur lescintres le renfoncement des caissons et compar- timens dont ils ornaient leurs voûtes. — Précautions à prendre pour le dé- cintrement des voûtes en maçonnerie mixte. — Dangers auxquelsles voûtes sont exposéesparla manie de faire entrer lesclefs de force. — Manières dif¬

férentes d’extradosserlesvoûtes . . ,

tages .

279—280

281—293

294—297

(15)

366 TABLE DES MATIÈRES .

QUATRIÈME SECTION .

Composition et application des enduits.

CHAPITRE PREMIER .

DESENDUITS EN MORTIER.

ARTICLE PREMIER .

PAGES. Des enduits antiques . — Usages des enduits chez les anciens . ■— Des enduits

sur les murs . — Détail des opérations pour l’établissement des enduits , d’après Vitruve . — Observations faites par l’auteur dans les ruines des édi¬

fices antiques de Rome. —Desenduits sur les cloisons. —Desenduits dans les lieux humides. — Note sur les tegulœ rnammatœ , ou tuiles à mamelons citées par Vitruve . — Enduits pour les ouvragesdemaçonnerie qui doivent contenir de l’eau. — Indication des moyens pour atteindre à la perfection

des anciens en ce genre. . . 298—309

ARTICLE II .

Des enduits modernes . — Enduits formés de trois couches , le crépi , le premier

enduit et le second enduit. — Détail de la préparation et de l’application du crépi.— Préparation et applicationdu premier enduit . —Composition et ap¬

plication dudeuxième enduit .— Matière employée àNaples pour la dernière

couche des enduits . 309—311

CHAPITRE DEUXIÈME .

DES ENDUITS EN PLATRE.

Enduits formés de trois couches . — L e gobetage , le crépi et l’enduit .— Prépa¬

ration du plâtre pour le gobetage et manière de l’appliquer sur les murs. — Préparation duplâtre pourlecrépi , et manière de l’étendre sur le gobetage.

— Préparation du plâtre pour l’enduit ,et manière de l’étendre et deledres¬

ser.— Enduits sur les cloisons,pans de bois,plafonds et lambris sous lestoits.

Des lattis jointif et à claire voie.—Dublancenbourre . — Opinion de l’au

teur sur ce genre d’ouvrage. . . 311—312

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TABLE DES MATIÈRES . 367

CHAPITRE TROISIÈME.

DES STUCS.

ARTICLE PREMIER .

PAGES.

Des stucs antiques . — Préparations de la chaux et du marbre pour les stucs et

enduits ,nommés opéra albaria et marmorata , parles Romains, d’après Yi- truve . ■—Manière d’établir les voûtes en stuc dansles appartemens , d’après le même auteur . — Exemplesd’ouvrages modernes exécutés d’après les indica¬

tions de Yitruve . —Opinion de l’auteur sur ce genre d’ouvrages.—Indication des procédésen usage aujourd’hui pour l’établissement des voûtes du même

genre. . . 313—317

article ii .

Des stucs modernes . — Renseignemens recueillis par l’auteur sur la fabrication des stucs enmortier , enItalie. —Stucs pour lesornemens et sujets degrand relief. — Stuc pourles enduits etlesornemens. —Stuc pour les ouvrages d’ar¬

chitecture .— Stuc en plâtre .— Choix du plâtre le plus propre à ce genre d’ouvrage.— Préparation du plâtre . — Substances employées pour procurer au plâtre plusdefermeté.— Nature et préparations des couleurs dont on se sert pour imiter les nuances des marbres.— Manière depolir le stuc.— Ta¬

bleaux en stuc exécutés par incrustations. 318—325

NOTES ADDITIONNELLES

SUR PLUSIEURS PLANCHES.

Planche neuvième. Pages. 327—329

Planche quatorzième. . 329—330

Planche dix-huitième. —330

Planche vingt-huitième. 330—337

Planche soixante-cinquième. . . . 337—341

Planche soixante-sixième. . . ; . . 341—345

Planche soixante-neuvième. . . 345- -352

FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES .

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