• Aucun résultat trouvé

Sur le rayonnement secondaire qui prend naissance lorsque les rayons β du radium viennent frapper les lames métalliques minces.Relations entre la vitesse des rayons primaires, l'épaisseur de la lame et l'intensité des rayons secondaires

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Sur le rayonnement secondaire qui prend naissance lorsque les rayons β du radium viennent frapper les lames métalliques minces.Relations entre la vitesse des rayons primaires, l'épaisseur de la lame et l'intensité des rayons secondaires"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00242228

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242228

Submitted on 1 Jan 1907

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

lorsque les rayons β du radium viennent frapper les lames métalliques minces.Relations entre la vitesse des rayons primaires, l’épaisseur de la lame et l’intensité des

rayons secondaires

P. Dobler

To cite this version:

P. Dobler. Sur le rayonnement secondaire qui prend naissance lorsque les rayons β du radium vien- nent frapper les lames métalliques minces.Relations entre la vitesse des rayons primaires, l’épaisseur de la lame et l’intensité des rayons secondaires. Radium (Paris), 1907, 4 (3), pp.103-107. �10.1051/ra- dium:0190700403010301�. �jpa-00242228�

(2)

trouvée avec la thoriallite dans la province de Saba-

ragamuwa, à Ceylan. Ce minerai est probablement

de formation récente et sa composition est en partie

la suivante : Th O2, 6(),26 pour 100; Ce O2, 7,18 pour 100; Zr O2, 2,23 pour 100; U02, 0,46 pour 100.

Lc plomb n’est aucunement mentionné et, d après la

teneur en uranium, il faudrait s’attendre à rencontrer

0,08 pour 100 de plomb : cette quantité a sans doute

été négligée au cours de l’analyse.

Un résultat semblable a été obtenu par l’auteur dans une étude d’un spécimen de thorite de Norvège qui contenait seulement 0,40 pour 100 d’uranium, 52,0 pour 100 de Th 01 et moins de 0,1 pour 100

de plomb.

L’hélium n’est aucunement mentionné dans les

premières de ces thorites dont nous avons harlé ; et,

dans les échantillons étudiés par l’auteur, il a été

impossible de déceler des quantités mesurables

d’héliurn. - Quoique Ramsay ait établi que la quan- tité relativement grande d’hélium contenu dans la

thoriauite de Sabaragamuwa est une preuve de la

production de l’hélium par le thorium, il semble tout

à fait probable que cette thorianite fournit la preuve du contraire : en effets, elle semble ne contenir que la moitié de la quantité d’hélium qui serait produite par la désagrégation de l’uranium seul.

. Résumé.

Il a été mis en évidence que dans les minéraux

primaires inaltérés d’une méme provenance, la quan- tité de plomb est proportionnelle à la quantité d’ura-

nium contenue dans le minerai; et que dans le;

minéraux primaires inaltérés de provenance différente, la teneur en plomb relativement a la teneur en ura-

nium est plus grande dans les minéraux dont l’origine

est, d’après les données géologiques, d’une formation plus ancienne. Ceci est considéré comme une preuve que le plomb est le produit final de la désagrégation

de l’uranium.

Il a également été montré que, d’après les faits expérimentaux sur lesquels on peut s’appuyer aujour- d’hui, les quantités d’hélium trouvées dans les miné-

raux radioactifs sont environ de l’ordre de grandeur

des quantités auxquelles il faut s’attendre si l’on sup- pose que l’hélium est produit seulement par la désa-

grégation de l’uranium et de ses produits; en tout

cas, la quantité d’hélium que l’on rencontre est tou-

jours inférieure à celle que l’on pourrait ainsi prévoir.

Il semble à présent tout à fait improbable que le

plomb ou l’hélium puissent être des produits de la désagrégation du thorium.

Sloane physical laboratory. Décembre, 27, 1906.

Traduit de l’anglais par A. LABORDE.

Sur le rayonnement secondaire

qui prend

naissance

lorsque

les

rayons 03B2

du radium

viennent

frapper

les lames

métalliques

minces

Relations entre la vitesse des rayons primaires, l’épaisseur de la lame et l’intensité des rayons secondaires

Par P. DOBLER,

Laboratoire du professeur Paschen (Extrait du mémoire original par E. BAUER) 3.

1. -- Introduction.

EU de temps après sa découverte des substances

P

radioactives, Becquerel troua qu’un corps

frappe par leur rayonnement émet des rayons secondaires 4.

Plus tard, Paschen observa qu’une laine métallique

’1. DUNSTAN and BLAKF., loc. cit.

2. JouJ’n. Chim. Phys., III, 6,17, ’1905.

3. Annalen der Physik, t. 92, p. 227, janvier 1907.

1,. Henri BECQUEREL, Mémoires de l’Académie, 46. p. 57. §9fi5.

mince, placée sur le chemin des rayons B, ne produit

pas d’olnbre : au contraire le rayonnement secondaire

renforce le rayonnelnent total en arrière de la lame1.

Il fit agir les rayons 8 du radium sur une plaque pho- tographique recouverte en partie par une mince bande de platine et trouva que le noircissement était plus

considérable sous le platine qu’aux endroits frappés

directement par les rayons B. Ce travail, entrepris

sur le conseil du professeur Paschen, a pour but de déterminer comment l’intensité du rayonnement en

t. P,srHEX. Physik Zeitschr.. 16. p. 502. 1904.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:0190700403010301

(3)

arrière de la couche de platine dépend de la vitesse

des rayions 8 et do l’épaisseur du l’écran.

- IL - Dispositif expérimental.

Dans un champ magnétique uniforme H, on disperse

les rayons B en un spectre. Chaque espèce de rayon parcourt une trajectoire circulaire dont le rayon R est donné par la formule connue

La mesure de R permet de calculer la vitesse cor-

respondante au moyen des tables de Kaufmann (Gôt- tinger lVachrichten, 1901, p. 1). Pour obtenir un

Fig. 1.

spectre pur, Kauf

mann et Becquerel prennent comme

source de rayonne- ment un grain de

sel de radium A

( fig. 1); les rayons passent par un trou B percé dans

un écran et vien- nent ensuite frap-

per une plaque pho- tographique aux points Ci, C2, C3.

A et B étant fixes, les points C déterminent chacun

une circonférence dont on peut calculer le rayon.

Comme il s’agit ici de détcrminer les points d’égale

intensité dans le spectre direct et le spectre renforcé

(voir 6) il est important que les points correspon- dant à des rayons d’égale vitesse soient en ligne droite,

ce qui 11’a pas lieu dans le dispositif de Becquerel, qui exige de plus des temps de pose considérables, car on

ne peut employer duc très peu de radium pour avoir

uu spectre pur. Il vaut donc mieux, au lieu d’une source

ponctuelle et d’un trou dans l’écran, employer deux

fentes parallèles. On peut alors sc servir d’un petit

tube de verre rempli de radium et les points d’égale

intensité se trouvent sur des parallèles aux fentes. Le

spectre, il est vrai, n’est pas absolument pur; mais l’incertitude qui en résulte est négligeable par rap-

port aux autres erreurs.

III. - Calcul du diamètre.

Deux dispositifs furent employés :

Dispositif I. - (Fig. 2). - Le plan de la plaque photographique fait un angle aigu avec le plan pas- sant par les 2 fentes A et B. Les rayons ne frappent

pas tous la plaque sous le même angle ; les plus déviés

ont une incidence plus rasaiite, les plns rapides sont

presque normaux .

Au point E les rayons non déviés viennent agir snr

la plaque. On connaît par constriietioii d=4,55 eH1.,

d1 = 2,20 cm.,

d2 = 593 CIII. On

mesure sur la pla-

que C E = x.

Ces données per- mettent de calcu- ler R.

Dispositif II. - (Fig. 3). - Pour

éviter les erreurs

qui pourraient pro- venir des dinercn-

ces entre les angles

d’incidence des rayons et pour con-

Fig. 2.

trôler les résultats donnés par le dispositif 1 on em- ploya une méthode analogue à celle de Becquerel et

pour laquelle tous

les rayons coupent

à angle droit la pla-

que photographi-

que. A cet effet,

on place la plaque parallèlement à la

fente B et dans le

plan perpendicu-

laire au milieu de

Fig. 5.

A B. Ici les rayons y ne viennent pas laisser de trace nette sur la plaque photographique, il faut donc que le bord de la plaque soit toujours à la même distance

du plan AB (2cm,25 dans l’appareil utilisé) pour pou- voir comparer les mesures sur les diverses plaques.

Le rayon de courbure est donné par la formule

(Cf. figure 5) a était égal à 1 centimètre.

IV. - Appareils.

Pour les mesures, on se servit tantôt de 15 milli- grammes tantôt,

de 20 milliâram-

mes de bromure de radium pur ren- fcrmés dans deux

petits tubes de

verre mince. Le tube rempli de sub-

stance active est

placé dans une rai-

nure R creusée

Fig. 4.

dans un bloc de plomb B et recouvert d’une lame de

(4)

plomb B (fig. 4). Le bloc B est taillé de façon à

arrèter la plupart des rayons qui ne vont pas dans la direction de la fente.

Au-dessous du radium se trouve un écran duc

plonlh S, percé d’une fente C. L’écran a 2,5 ccmi-

Fig. 5.

mètrcs d’épais-

seur et une lar- geur de 5, 1 centi- mètres ; il arrête les rayons y les

plus pénétrants.

Pour arrêter les rayons secon- daires qui au-

raient pu être émis par l’écran

on place, parallè-

lement à celui-ci et à une distance d’un demi-centi-

mètre, une plaque de laiton M.

Les morceaux de plomb étaient fixés dans une boite

en bois, placée entre les pôles d’un électro-aimant de manière que le radium, la fente et la plaque photo- graphique ftissent dans un champ magnétique uni-

forme.

Les expériences furent faites dans la chambre noire,

la boîte était de plus enveloppée d’une étoffe noire.

La plaque photographique était placée dans un

châssis en bois et introduite dans la boîte par la

glissière F.

La figure 4 représente le dispositif en demi-gran-

deur :

Dans le dispositif II (fig. 5) la substance était pla-

cée au fond d’une boîte de plomb B, dont les pa- rois étaient épaisses de 0,5 centimètre et larges de

5,5 centimètres . Le tout était t fixé dans une boîte

en bois.

V. - Mesure du champ magnétique.

Le champ magnétique était produit par un électro- aimant excité au moyen d’un batterie d’accumula- teurs. Les surfaces terminales des pôles étaient des

cercles de 8 centimètres de diamètre et leur distance était de 4 centimètres.

Des mesures faites avec une spirale de bismuth montrèrent que si, avant chaque expérience, on a

soin d’inverser plusieurs fois le courant pour détruire le magnétisme rémanent, le champ est parfaitement

défini par l’intensité du cou1-ant. ’

Il suefit alors de mesurer une fois pour toutes le

champ correspondant à chaque valeur de l’inten-

sité, au moyen d’un appareil au professeur Pas-

chen 1. Dans les expériences ultérieures la simple

mesure de l’intensité du courant permit de déter-

111iner H.

1. PASCHEN. Physik Z eitschl’., 6, p. 571. 1905.

VI. - Vitesse des rayons B pour lesquels l’absorption des rayons primaires est égale à l’émission des rayons secondaires par la lame de platine.

Si on a placé dans l’appareil llllc plaque photogra- phique non recouverte de platine, clle présente la

trace des rayons en deux endroits : on voit d’abord

une mince bande noire qui traverse la plaque et qui

est due aux rayons y du radium. Ce trait donne le

point E de la figure 2.

Après un petit intervalle qui dépend de l’intensité du champ magnétique, la plaque est impressionnée

par le spectre des rayons 8. Les traces des rayons de même vitesse se trouvent sur des parallèles au trait

des rayons y.

Tous les rayons 6 n’ont pas la mème action sur la

plaque : la plus faible est celle des plus rapides et

des plus lents, la plus forte pour les plaques utilisées

est celle des rayons de vitesse v = g,6 1010 centi-

mètres : sec.

Si la plaque est recouverte en partie par une mince bande de platine de façon que tous les rayons puissent

la frapper, on constate que, sous le platine, l’action sur

la plaque est plus considérable dans une certaine

région, moins considérable dans une autre qu’aux points non recouverts frappés par des rayons de même vitesse. On détermine alors la région 1"intensité est

la même dans le spectre direct, et dans le spectre ren- forcé, c’est-à-dire ou l’absorption des rayons primaires

est justement égale à l’émission des rayons secon- daires. Pour déterminer cette région, on promène der-

rière la plaque le filament rectilignc d’une lampe à incandescence, jusqu’à ce qu’il semble également bril-

lant sur toute sa longueur. Cette détermination peut

se faire avec assez de précision. On mesure la dis-

tance de cette région au trait produit par les rayons y, ce qui permet de calculer le rayon de cour- bure de la trajectoire et la vitesse des rayons B cor- respondants. L’épaisseur de platine traversée est

d sin a, d étant l’épaisseur de la lame, x l’angle d’inci-

dence des rayons. On obtient ainsi le tableau suivant ;

Tableau A.

(5)

Les différences maxima entre les valeurs observées de RH et la valeur moyenne

sont de 4 à 5 pour 100.

Cependant le verre aussi

est le siège d’une émission de rayons secondaires. Tout se passe donc comme si une très mince couche de platine était

éfenduc à la surface de la pla-

que. C’est pourquoi il fut in- stitué une série d’expériences

l’on couvrit toute la plaque

d’une feuille de platine sur laquelle on plaça des bandes d’épaisseur variable. Ce pro- cédé a de plus l’avantage d’empêcher les rayons secon- daires très absorbables émis par les parois de la boite

d’agir sur la gélatine (fig. 6).

On compare donc sur la

plaque deux spectres qui se

sont formés sous des épais-

seurs différentes de platine.

Comme tout à l’heure on

détermine les lignes d’égale

intensité dans les deux spec-

tres. yloici les résultats de ces déterminations :

Tableaux B, C et D.

Les résultats sont représentés par les courbes de la

Iigure 7 où l’on porte l’épaisseur totale de la couche de platine en abscisse et la vitesse correspondante en

ordonnées. Les courbes correspondent aux résultats

des tableaux B, C et D.

Des mesures faites avec le dispositif Il donnéreut des

résultats concordants aux erreurs d’expérience près.

Fig. 6.

VII. - Relations entre l’intensité du rayonne- ment, la vitesse des rayons B et l’épaisseur

de la couche traversée.

Une mesure approximative du noircissement des

plaques, ainsi que les résultats du ë VI pPrmettent de

déterminer graphiquement comment varie l’intensité du rayonnement avec l’épaisseur de la couche de pla-

tine et la vitesse des rayons 8.

Portons en abscisses l’épaisseur de platine traversée

Fig. 7,

(en p) et en ordonnées l’intensité 1 du rayonnement.

A chaque valeur de d et 1 correspond un point du plan. Attribuons u chacun de ces points une cote représentant la vitesse des rayons B qui pour une épaisseur égale à son abscisse donnent nn noircisse- ment du la placlue égal à son ordonnée.

(6)

Si on relie les points (Totale vitesse au moyen d’une courbe (analogue aux courbes de niveau d’une carte géo- graphique), on obtientdans lc plan un système de courbes (fig. 8). Ne furent utilises pour la construction que

Fig. 8.

les résultats inscrits aux tableaux B, C et D. Chacun des mesures donne deux points d’une des courbes.

L’allure générale ne dépend que très peu de l’éva- luation de l’intensité (qui ne se fait naturellement

qu’en valeur relative et d’une manière approximative).

VIII. - Conclusion.

Toutes ces courbes ont une allure caractéristique.

Elles s’élèvent d’abord rapidement, restent un moment

presque horizontales, puis s’abaissent lentement. La branche qui s’abaisse présente un point d’inflexion.

En admettant que l’absorption des rayons B se fait d’après la loi e- rzd,

(d = 1 épaisseur de la couche absorbante ; x == cocf-

ficient d’absorption), le professeur Paschen a établi,

pour le rayonnement secondaire donné par de minces couches de platine la formule :

où 8 représente le coefficients d’absorption des rayons secondaires.

Si on prend i petit par iapport à p et si on dessine

les courbes représentées par cette formule, on obtient

un système de courbes tout à fait analogue à celui de

la figure 8.

La formule de Paschen représente bien les faits en

première approximation, mais la précision des mesures

ne permet pas de déterminer exactement A, a et B.

Théorie des

phénomènes

magnéto-optiques

dans les cristaux

Par Jean BECQUEREL,

Ingénieur des ponts et chaussées. Assistant au Muséum.

ANS une précédente étude, on a vu que certains

D

cristaux possèdent des bandes d’absorption

variables sous l’action d’un champ magnétique,

et que les autres phénomènes magnéto-optiques tels

que la biréfringence magnétique, et la polarisation

rotatoire magnétique sont liés aux modifications que subissent les bandes 1.

On peut rendre compte des principaux résultats expérimentaux par une généralisation de la théorie

que M. W. Voigt a donnée pour l’explication du phé-

nomène de Zeeman dans les corps isotropes présen-

tant des bandes d’absorption infiniment fines.

Dans le cas des cristaux, il faut tenir compte de la

variabilité des propriétés optiques suivant l’orienta-

tion de la vibration lumineuse à l’intérieur de la sub- stance. D’autre part, la largeur des bandes ne peut, en générale être négligée dans un corps solide 3.

1. Jean BECQUEREL. Radium, février 1907.

2. W. VOIGT. Wied. Ann. 6. (1899), page 346, 6 (1901),

page 784; 8 (1902), page 872.

5. Jean BECQUEREL, C. Ii. de l’Académie des Sciences, 19 novembre, 5, 10 et 24 décembre 1906. A l’époque je fai-

sais cette généralisation de ses anciennes théories, JI. Voigt, de

son côté, sans que j’en aie eu connaissance, avait entropris le

Supposons un cristal traversé par un faisceau lu- mineux. Soient X, Y, Z; L, n, N, les composantes des forces électrique et magnétique dont l’éther de-

vient le siège a l’intérieur de la substance, et dési-

gnons par X, D, S ; L, M, N, les composantes des polarisations électrique et magnétique. La polarisation électrique est la résultante de deux vecteurs dont l’un X, Y, Z, est la force électrique, qui correspond à

l’éther libre, et l’autre Laeh, EDh, ESh, exprime l’effet

de la matière pondérable.

Chaque groupe de composantes Xh, fflh, Sh repré-

sente une force électrique engendrée par un ensemble d’électrons h de même nature capables de mouve-

ments propres. Nous appellerons ces forces polarisa-

tions partielles.

mème travail qui, en décembre dernier, a paru dans les Yach.

d. K. Gesell. d. Jr1SS. mu GoltÍ1lgen. tes résultats de M. Voigt présentés sous une forme différente, et plus généraux sur cer-

tains points, sont très concordants avec les résultats que j’ai pu- bliés dans les Comptes rendus et que j’expose ici avec plus de détails.

Références

Documents relatifs

la vitesse des rayons cathodiques éinis par une lame de plomb exposée aux rayons y est, en moyenne, la même que celle des rayons du radium. D après la théorie du

pour trouver de l’eau oxygénée ; mais, dans les expé-. riences de ses auteurs, l’exposition n’a duré

La source à laquelle Bragg et Kleeman emprun- taient leurs rayons x, était une couche de radium très mince obtenue par cristallisation d’une solution. Cette couche

on fait passer les rayons entre leb dcux plateaux très rapprochés d’un condensateur placé dans un champ magnétique de façon que la force électrique soit

alors que les rayons les plus fortement déviés sont ceux qui, après traversée des écrans, ont la vitesse la plus petite leur permettant d’ioniser les gaz.

tration des rayons p ne peut dépendre que de leur vitesse, il suit de la constance du coefficient d’absor-. ption qu’a la traversée de la matière les

Les mesures démontrent en réponse à la question posée § 1, qu’il ne se produit pas de rayons y, ni de très pénétrants ni de peu pénétrants, quand des rayons

la différence entre le courant Fans champ magné- tique et avec champ magnétique diminue très peu et si cette faible charge négative peut être attribuée