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Une influence des rayons du radium sur la surfusion cristalline

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00242350

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242350

Submitted on 1 Jan 1909

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Une influence des rayons du radium sur la surfusion cristalline

Louis Frischauer

To cite this version:

Louis Frischauer. Une influence des rayons du radium sur la surfusion cristalline. Radium (Paris),

1909, 6 (6), pp.161-164. �10.1051/radium:0190900606016100�. �jpa-00242350�

(2)

Une influence des rayons du radium

sur la surfusion cristalline

Par Louis FRISCHAUER

[Faculté

des Sciences de Paris. - Laboratoire de Mme

CURIE].

Liant donne

un

liquide â l’état de surfusion, capable

de cristalliser ;

on

sait que

sa

stabilité

en tant

que

liquide dépend, u température constante, de deux fac-

teurs

qui

sont :

1° Le pouvoir cristallisant spontané de la substance,

défini par le nombre de centres de cristallisation qui

se

forment par unité de temps dans

une

unité de

masse ;

2° La vitesse de cristallisation linéaire, c’cst-à-dire la vitesse

avec

laquelle

se

propage la cristallisation dans

un

tube étroit, si elle

a

été provoquée u l’aide

d’un germe.

Il y

a

bien d’autres facteurs qui

entrent cll

jeu

dans

ce

phénomène, tels que la présence de pous- sières, les

secousses,

les inégalités de densité, les

cou-

rants

de convection calorifique, etc. ;

ce sont

là des

causes

qui font que la cristallisation semble à pre- niière

vue un

phénomène peu régulier

et

dépendant

trop du hasard. Mais si l’on compare

entre eux

les résultats d’observations faites

en

nombre suffisam-

ment

grand

sur une

substance

tout

v fait pure, dis- tribuée uniformélnellt

et

protégée contre les poussières

et

les chocs,

on trouve

que la vitesse de cristallisation

est une

grandeur niesurable

avec

précision et

carac-

téristique pour

une

substance donnée. En étudiant

l’iofluencc de la température

sur

la vitesse de cristal- lisation

on a

trouvé qu’en abaissant la température à partir du point de fusion, la vitesse débute par des valeurs faibles, augmente ensuite plus rapidement,

atteint

un

maximum qui

reste constant

pendant

un

intervalle de telnpératurc

assez

étendu

et

finit par baisser de

nouveau en

tendant

vers

zéro,

ce

qui

a

lieu

notamment pour les substances polymorphies qui

sont

très sujettes à la

«

surfusion cristalline

».

Certaines observations de M. Ch. Bran1c avant fait

conclure à

un

effet de la lumière

sur ces

phénomènes, j’ai pensé qu’une influence semblable pouvait appar- tenir également

aux

rayons des substances radioacti-

vers,

dont

on

connaît les actions ionisantes

et

chiini- ques.

1. C. n. Académie des

Sciences,

53-3U:’.

Comme matière à essais j’ai choisi le soufre, parce

(1 u ’il peut être facilement obtenu par distillation

sous

forme de gouttelettes microscopiques qui

se conser-

vent

à 1 état de surfusion pendant des semaines entières, si l’on

a

soin d’éviter les poussières

et

les

chocs;

en

effet la tension superficielle élevé du

sou-

fre liquide ainsi que la forme hémisphérique de

ses

gouttes font que la cristallisation

ne se

propage que lentement d’une goutte à l’autre par des excroissances

en

forme d’aiguilles qui

en

sortant d’une goutte vien-

nent toucher

ses

voisines. Au contraire, dans le

cas

d’autres substances telles que le phénol, le salol

ou

la benzophénone (qui étant polymorphes admettcnt éga-

lcment la surfusion jusqu’à la température ordinaire),

l’observation visé

est

rendue très difficile par la volatilité de leurs gouttes aplaties, par leur tendance à

se

réunir

et

par les progrès rapides de lcur cristal-

lisation.

Le soufre employé pour

ces

expériences (sulfur purissim. cryst. Merck)

a

dû être préalablement

sull-

mis à

une

longue purification, pour éliminer les

traces

d’impuretés goudronneuses

et

celles du sulfure de

car-

bone provenant du traitement à l’usine. Une pureté

aussi grande que possible

est une

condition essentielle pour obtenir des valeurs bien comparables des vitesse

de cristallisation; ainsi )1. Tamman1, qui

il

étudié

d’une façon détaillée la cristallisation spontanée du bétol,

a

trouné qu’en ajoutant 1 pour 100U de C6II4 (OCH3) C0011 (acide d’anis), la vitesse augmente trois fois

et

que la même

teneur en

C2 CI.; (pcrchlorure d’éthanc) la fait baisser u

un

tiers de la valeur

nor-

lllale.

Dans le

cas

du soufre c’est surtout lu S2C qui

influence les expériences d une manière défavorable,

car toute trace

provoque la formation de cristaux

rhombiques. Puur carboniser les substances orgalli-

ques j’ai maintenu le soufre él

une

ébullition modérée

sans

accès d’air pendant huit heures chaque fois,

et

ceci à deux reprises ; puis je l’ai distillé de 5 à 7 fois dans le vide

en ne

gardant que les fractions moyennes

1. Llschr.

f. physik.

Cft.

25

1908. 442.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:0190900606016100

(3)

162

du di;tillil. Ces opérations

ne

prenaient lin que lors- qu’un

morceau

du produit de la grandeur d’un pois, évaporé

sur un verre

de montre,

ne

laissait qu’une

bordure presque imperceptible de

ce

qu’on appelle le

cc

saul’re noir

» et

dont

on ne

cunllait d’ailleurs pas exactement la composition. Les

vases

de

verre

employés pour

ces

manipulations

ont

du être soigneu-

sement lavés

a;ec un

mélange d’acide chromique

et

d’acide sulfurique, puis passés à l’eau, à l’alcool et li l’éther,

car

la moindre

trace

de graisse

et

même le simple contact des doigts su fut pour faire réapparai-

tre

ce «

soufre noir

».

Un grain du soufre ainsi prépare était introduit

dans l’espace entre

un

porte-objet plan

et un

petit

verre

de montre, collés ensemble

avec un

peu de colle à

verre; en

distillant plusieurs fois

sur un

bain à

sable

et en

retournant chaque fois la préparation, j’obtenais

sur

le porte-objet

une

couche uniforme de

gouttelettes circulaires, d’un diamètre de j4 à 90 03BC

leur nombre était

en

muyennc de 65 par mm2.

Abandonnée a elle-même, la cristallisation spon- tanée de

ces

gouttes

ne se

propage que lentcment,

quoique

assez

régulièrement; ainsi

sur une

surface

de 1,2 cm2 l’accroissement moyen

a

été d’une goutte

par jour pendant la première semaine:

Les gouttes trop grandes

ou

trop petites doivent

être exclues de

ces

calculs; ainsi les gouttes de plus

de 180 03BC cristallisent

en

quelques nlinutes ; il

en est

de même pour les gouttes doubles

en

forme de bis- cuit et de celles qui

sont

polluées par des poussières

ou

des petits cheveux;

au

contraire, les gouttes de

moins de 50 y-

ne

cristallisent que par contact. Il est intéressant de noter la forte tendance it la cristallisa- tion des gouttes doubles

en

forlne de z qui

se

fur-

ment

l’acilement par la réunion de deux gouttes circu- laires

sur

les bords illclinés du

verre

de

montre.

On évite leur apparition

en

employant des porte-

objets bien plans

et en

les gardant toujours dans

une

position horizontale.

Pour étudier l’influence du rayonnement du radlllm, je recouvrais chacune de

ces

préparations, du côté

du

verre

plan et exactement jusqu’à la moitié de celui-ci, d’un écran de plumb suffisamment épais et j’exposais le

tout

à l’action de 25 mbr. de bromure de radium pur, contenu dans

une

ampoule

en verre

mince de 16

mlll

de longueur, disposée u 6

mm

du

centre du dépôt de soufre. Je dois

mes

remercie-

ments

tout particuliers à Mme Curie pour le radium qu’elle

a

bien voulu mettre à

ma

disposition.

Il

est

bien entendu que chaque préparation était

chauffée

encore une

fois immédiatement

avant

l’ex-

périence pendant quelques secondes u 150°, pour éli- miner les germes (mi pouvaient s’ètre formés depuis qu’elle aBait été fabriquée.

La figure 1 représente

en

coupe transversale

un

F ig . 1.

dispositif qui permettait, d’exposer

aux

rayons du radium deux préparations u la fois. Un bloc de plomb C porte l’ampoule a radium D au moyen d’un petit

cro-

diet lixé à la surface latérale (haute’de 10 mIl)) ; AB

et A1B1 sont les deux préparations dont les parties de

droite sont exposées.

Pour compter les noyaux de cristallisation formés

pendant l’exposi- tion,

on

plaçait

ensuite la prépa-

ration

sous

le

microscope d’une

machine à divi-

ser

et

on

la

re-

cuuvrait d’ u n e échelle transpa-

rente divisée

en

rectangles de

16 x 3 mm, dis- posés commel’in- dique la figure 2

Fig. 2.

R

est

le porte-objet parsemé de gouttes de soufre

sur

la partic circulaire S; MN est la ligne inédiane qui sépare la partie exposée A de la partie protégée B.

La courbe pointillée indique la place de l’ainpoule à

radium pendant l’exposition précédente.

Dans la moitié B les rectangles I’, Il’

et

III’ étaient

utilisés pour compter le nombre moyen de gouttcs

transfornlées

cn

cristaux spontanément, c’est-à-dire

sans

l’action du radium; dans la partie A c’étaient les rectangles 1, Il

et

III qui étaient examinés séparé-

ment ; leurs distances à l’ampoule, étaient respective-

mcnt de 6v, 7.5

et

9.6 mm. Un

ne

faisait pas

en- trer

dans les calculs le rectangle 0 limitrophe à la partie exposée,

car

l’expérience avait montré que

ce

champ était

un

peu influencé par les rayons obliques

traversant une

partie de l’épaisseur de l’écraii

et

aussi parce cluc les foyers de cristallisation formée

en

I s’étendaient

souvent

jusqu’en U.

1près

une

exposition de 3 heures

on

pouvait déjà

ohserver presque dans

tous

les

cas un

accroissement

des noyaux dans le rectangle I. Dans

un

jour

ou

deux

(4)

leur nombre était environ le double du nombre moyen relatif à

un

des rectangles de la moitié B

et

l’accrois-

sement se

propageait aussi

vers

les bords du dépôt,

c est-a-dire dans 1 intérieur dcs rectangles Il

et

1 II.

La table suivatite indique

Un

valeurs moyennes le nombre de noyaux observés dans

une

préparation après

un

temps d’exposition de 15 heures à 4 jours :

La dernière ligne donne les quotients des excès

dans À par la moyenne de L; c’est-à-dire les valeurs de

ces

excès si l’on pose égale à 100 le nombre de nusaux l’ormés après chaque temps

1

dans la moitié B.

Voici

une

table plus complète de

ces

quotients y pour les différents temps d’exlosition t :

Les valeurs relatives

aux

temps

courts sont

mal définies

et

varient considérablement pour plusieurs expériences consécutives,

en

raison du petit nombre

de noyaux l’ormés

et

de la faible étendue de la

zone

influencée; mais pour des temps supérieurs a

1 ) heures les

mesures

répétées donll,

iit

des résultats bien concordants.

On remarquera que les valeurs des excès augmentent d’abord rapidement

avec

le temps d’cxllositioll, puis,

à partir de 2 ou 3 juurs, d’une façon plus lente. Les rectangles 1

et

11 reagissent beaucoup plus énergique-

ment et

plus régulièrement que le rectangle III dans lequel le diamètrc de gouttes

est souvent

inférieur à la valeur limite de Ji

03BC.

Indépendamment de l’accroissement du nombre des noBaux formés

Ull

observe généralement

en

A à partir

du deuxième jour

une

propagation plus rapide de la

cristallisation de goutte i. goutte, de

sorte

quail la fin

du quatrième jour le nombre total des gouttes cristal- lisées

en

.1

est

de 3 à 5 fois plus élevé qu’en B. Tou-

tel’ois le second phénomène dépend aussi d’autres circonstances ; par exemple de la vitesse de croissance

plus

Ull

moins grande que possèdent les différentes

espèces de cristaux potymorphes qui

se

forment, due

la disposition plus

ou

moins serrée des gouttes

et

aussi du temps plus

ou

moins long pendant lequel

a

duré la chauffe précédente : par conséquent

on a

quelquefois des résultats plus élevés pour

une

expo- sition

courte

que pour

une

longue.

.Bprès 28 jours d’exposition la partie A de la pré- paration accusait

un

nombre presque 3 fois plus grand de

centres

de cristallisation

et un

nombre 11 fois plus grand de gouttes cristallisées (me la par- tie B ; cependant, même dans le voisinage immédiat

du radium,

un

certain nombre de gouttes conservaient

encore

leur transparence. Mais après

une

chauffe de

6 heures à 70° j’ai trouvé que

toutes

les gouttes

en

A avaient cristallisé

sans

exception, alors que la forma- tion de cristaux en B n’avait fait que des progrès

médiocres. Une exposition de i semaines avait donc inimencé

toutes

les gouttes du soufre, mais

tous

les germes formés

ne

s’étaient pas développés; l’échauffe-

ment

à 70°

en

augmentant la vitesse de croissance

(sans produire de nonaux nouveaux)

a

suffi pour provoquer le développement des germes restés la- lents.

Je

me

suis proposé également d’examiner l’action de l’émanation du radium

sur ces

phéno-

mènes. J’ai employé pour cela

un

petit cy- lindre de

verre

(fig. 3). On introduisait

un

petit

morceau

de soufre dans la partie A

et

on

faisait le vide dans le cylindre; ensuite,

en

chautrant fortement la partie A dans

un

bain

de sable,

on

formait

un

dépôt de gouttelettes

sur

les parois intérieures. On déterminait

sous

le microscope la

zone

BC dans laquelle

les gouttes avaient le diamètre (54 -90 03BC)

convenable

aux

expériences ; puis,

un

intro-

duisait dans le cylindre, de la façon habituelle,

une

quantité d’émanation, non desséchée, for-

mée par

une

solution de :)0 milligrammes

de HaBr2 accumulée pendant quatre jours.

Après

un

jour

on tie

pouvait

encore con-

stater aucun

changement notable, mais, après

avoir conserve le cylindre pendant huit jours dans

une

position couchée,

un constata un

excès consi- dérable de cristaux dans la moitié inférieure. ! ne cliauné de six heures à 701 fit cristalliser toutes le,

gouttes de cette moitié alors que celle., de la moitié

supérieure restèrent claires pour la plupart.

Il semble donc que l’action observée soit due moins

aux

raBons

x

de l’émanation qu’à 1 activité induite qui

s fiait déposée de préférence

sur

la moitié inférieure.

sous

l’influence de la sapeur d eau répandue dans le cylindre,

et

avait provollué ainsi la formation de

ceii- tres

de cristallisation.

Pour établir si le phénomène étudié était influence

également par des rayons priBes de charge électrique.

j’ai expose pendant vingt heures

aux

raBons Roentgen

une

préparation de soufre

recouverte

à moitié d’un

écran de plomb, à

une

distance de 3 centimètres de

la

source

des rayons. Je n’ai pu constater

aucune

dif-

(5)

164

ierence

entre

les deux moitié, relativement

au nom-

lire des cristaux.

Il est probable que d’une façon analogue les rayons y du radium

sont sans

action

sur

la transformation cristalline. Les effets

nouveaux

observés seraient alors dus

aux

rayons B du radium,

car

les rayons x étaient

complètement arrêtés dans

mes

expériences par le

verre

de 0,9

mm

d’épaisseur qui recouvrait la prépa-

ration.

Je

nic

reserve de communiquer plus tard les réuul-

tats

d’autres expérience,,;, actuellement

Cll

cours,

culi- cernant

l’action des rayons du radium

sur

la hllasc

instable d’éléments allotropes

l1 sur

des solutions sursaturées.

ternie 11

mai

1909.]

Sur la valeur la plus probable

de la charge atomique

Par M. MOULIN

[Laboratoire de Physique générale

de

l’École

de

Physique

et de

Chimie

de

Paris.]

La

mesure

directe de la charge atomique (e) par la mcthodc de condensation de la vapeur d’eau

sur

les ions (J.-J. Thomson, H.-A. Wilson 1, MlHikan

et

he- genlan2), la détermination de la charge (2e) de la par- ticule

J

(Rutherford

et

Geiger 5) et la détermination du nombre N de molécules que contient la molécule gramme d’une substance quelconque, basée

sur

l’é-

tude du

mouvement

brownien (J. Perrin) 1, constituent trois méthodes entièrement différentes qui permettent

d’atteindre les grandeurs moléculaires d’une manière relativement précise.

Ces trois méthodes fournissent pour

e

des nombres très voisins. La méthode de H .-1. Wilson perfection-

née par MM. llillikan et llcgen1an

a

donné des valeurs oscillant autour de 4,03.10-10 U. E. S.; MM. Ruther- ford et Geiger

ont

trouvé 4,65.10-10, et, d’autre part, 11. Perrin obtient 4,1.10-10.

Ces deux dernières méthodes semblent devoir four- nir les résultats les plus précis. Bien que du même

ordre, les valeurs auxquelles elles conduisent présen-

tent

cependant

entre

elles

un

écart de 15 pour 100 et il est intéressant de

se

demander laquelle il

con-

vient d’adopter.

On sait que l’on peut calculer à partir de N

ou

de

e

et du nombre de particulcs x lancées par seconde par 1 gramme de radium (3,4.10-10)- dont la détermina- tion par la méthode électrique de Rutherford et Geiger

scmbIe susceptible d’une grande précision

-

diffé-

rentes

données radioactives que l’on peut ensuite comparer à l’expérience. M. Rutherford

a

effectué

ces

calculs à partir de la charge atomique 4,65.10-10

1. Yuy. loH8.

Électrons. Corpuscules, Suciété

de

Physique.

2. Amer.

Phys.

Soc..

Chicago,

1908.

3. Le

Radium, septembre

1908.

4. C.

R., i46 1908 967;

i47

(1908) 394,

et

Revue du

Jlois. novembre 1908.

U.E.S. qui fournit, pour N, 62.1022. J’ai reproduit

ses

résultats dans le tableau ci-dcssous,

ct

j’y ai ajouté les valeurs correspondantes calculées à partir

du nombre N de M. Perrin (N= 70,5.1022;

e

= 4,1.10-10). Les résultats de l’expérience figurent

dans la dernière colonne.

La comparaison des valeurs calculées et observées

est

nettement

en

faveur du nombre de M. Pcrrin

et

l’accord

est

d’autant plus remarquable que

ce

nombre

a

été détermine indépendamment des phénomènes de

radio-activité.

La charge trouvée par MM. Rutherford

et

Geiger

1. Société

Française de Chimie-Physique (séance

du

21 Avril

1909).

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