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Mesures concernant le rayonnement gamma diffusé

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(1)

HAL Id: jpa-00233420

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Mesures concernant le rayonnement gamma diffusé

H. Ketelaar

To cite this version:

(2)

MESURES CONCERNANT LE RAYONNEMENT GAMMA

DIFFUSÉ

Par H. KETELAAR

(1).

Sommaire. 2014 Grâce à l’emploi de 7 g de radium on a pu étudier le rayonnement diffusé par des

écrans minces de plomb, dans des conditions très favorables.

La méthode d’absorption permet une analyse du rayonnement diffusé. On trouve une composante dure

intense dont le coefficient d’absorption est voisin de 0,4/cm de Pb. La proportion de cette composante dans le rayonnement diffusé total varie en fonction de la composition du rayonnement primaire. En filtrant le

rayonnement direct du radium avant qu’il atteigne les écrans diffusants, par des écrans de zéro; 1,35

et 3,0 cm de plomb, on a trouvé que la proportion de cette composante était respectivement égale à 6,6 ; 12,3 et 14,4 p. 100 du rayonnement diffusé total. Ces valeurs se rapportent à une composition du

rayonnement diffusé non altéré par son absorption partielle dans l’écran diffusant lui-même.

D’autre part le rayonnement de diffusion total présente un excès par rapport au rayonnement diffusé par effet Compton, qui est pour les mêmes filtres de 24, 48 et 53 pour 100 du Compton à 120°.

On sait que le

rayonnement

gamma diffusé par des corps de faible nombre

atomique

obéit aux lois de la

diffusion par effet

Compton,

et que les formules les

plus

complètes

sur ces lois ont été établies par Klein et

Nishina (2).

D’autre

part

le

rayonnement

diffusé par des corps de nombre

atomique

élevé

comprend

en outre

un

rayonnement

plus

dur dont la

composition

et l’inten-sité varient peu en fonction de la direction dans

laquelle

on observe le

rayonnement

diffusé.

En vue d’une discussion sur la nature de l’interac-tion entre les gamma et la matière des

écrans,

il était lc

intéressant de déterminer avec la

plus grande

précision

possible

la

composition

du

rayonnement

diffusé et l’intensité relative des

composantes

dures par

rapport

au

rayonnement

diffusé par effet

Compton.

Par une

technique

améliorée,

et

grâce

à

l’emploi

de

prépara

tions

importantes

de radium

(jusqu’à

7

gr), j’ai

cherché à

préciser

les données antérieures sur le même

sujet.

,

Intensité du

rayonnement

diffusé. - Le rayon nement étant diffusé par les

électrons,

son intensité

pour un métal donné est

proportionnelle

au nombre

d’électrons de l’écran. Pour des écrans d’un même métal et de même surface l’intensité est

proportionnelle

à

l’épaisseur,

c’est-à-dire au nombre d’électrons par em2. C’est ce que vérifie

l’expérience,

tant que le

rayonnement

diffusé n’est pas absorbé

appréciable-ment dans la substance même de l’écran. Tant

qu’il

en est ainsi on dit que l’écran est mince.

Si donc on soumet au

rayonnement

incident des

écrans « minces» d’aluminium et de

plomb

de même

forme,

on

peut

déterminer l’intensité du

rayonnement

(1) Aspirant du Fonds National de la Recherche Scientifique

de Bolgique.

(2) MEITNER et HUPFELD, Z. 1931, 146, 67. - GRAY

et

TARRANT. Proc. lloy. Soc., 1932, 223, 135. - STAHEL et KETELAAR.

J. de

Physique,

1934, 512, 10.

diffusé par chacun

d’eux,

et

rapporter

cette intensité à un électron par cm~. Pour arriver à ce résultat on

porte

en

graphique

les intensités observées en fonction de

l’épaisseur

du radiateur mesurée en nombre

d’élec-trons/cm’

de l’écran. La

figure

1 donne l’intensité du

Fig. 1. - Intensité du

rayonnement diffusé à M0~ par des écrans de 15 cm de côté. (Filtre primaire : 1,35 cm Pb.)

rayonnement

diffusé par des écrans de

petites

dimen-sions,

15 cm de

côté,

soumis entièrement au rayonne-ment incident. Les mesures sont effectuées à l’aide d’une chambre d’ionisation

remplie

de CO2 à

la

pression

de 15

atmosphères.

L’unité d’intensiLé est liée à la

vitesse de

déplacement

du fil de

l’électromètre,

U = 10-1

cm/sec

(sensibilité statique

~

6,6 cm/v;

capacité

voisine de 17

cm).

L’emploi

d’un écran de

petit

format

permet

de

sou-mettre toutes les

parties

de celui-ci au

rayonnement

incident direct. Mais sa

petitesse

limite l’intensité du

rayonnement

diffusé. La

précision

des mesures s’en

(3)

244

trouve affectée. Pour remédier à cet inconvénient on

peut

se servir d’écrans

plus grands

(fig. 2).

Dans ce cas le

plomb

du canal où se trouve la source

absorbe une

partie

des rayons

atteignant

la

périphérie

de l’écran. La

qualité

du

rayonnement

qui

atteint cette zone de

pénombre

n’est donc pas

rigoureusement

la même

qu’au

centre. Toutefois

l’expérience

a montré

que cette zone était étroite et que son influence était

négligeable.

Le

rapport

entre les

rayonnements

diffusés par le

plomb

et l’aluminium n’est pas sensiblement

altéré.

Fig. 2. - Schéma du

montage des écrans diffusants.

Pour déterminer les dimensions utiles d’un

grand

écran il suffit de comparer l’intensité totale du

rayon-nement

qu’il

diffuse à l’intensité du

rayonnement

dif-fusé par un

petit

écran de même

épaisseur.

L’expé-rience a montré que dans les limites où le filtre

pri-maire a été modifié au cours de ces mesures, cette

sur-face utile était

indépendante

de

l’épaisseur

du filtre

primaire.

Des observations ont été effectuées avec des écrans de 50 cm de

côté,

dans une direction faisant un

angle

moyen de 120°

7°)

avec la direction du

rayonnement

incident. La

préparation

de 2 g était assez forte pour

permettre

des mesures, même

lorsque

le

rayonnement

primaire

était filtré assez fortement. Les mesures ont été effectuées avec des filtres

primaires

de

zéro,

de

1,35

cm et de

3,0

cm de

plomb,

Comme on l’a montré

, ailleurs

(J. /~A~., 1933, 8~ 471),

seules les

composantes

les

plus

dures du

rayonnement

incident suscitent la formation du

rayonnement

secondaire

dur,

alors que toutes les

composantes

interviennent dans le

phéno-mène de diffusion par effet

Compton.

Il s’ensuit

qu’en

filtrant le

rayonnement

primaire

on affaiblit dans une

plus

forte

proportion

le

rayonnement

diffusé par effet

Compton

que le

rayonnement

dur

qui

lui est

super-posé.

La

proportion

du

rayonnement

dur dans le

rayonnement

total sera donc d’au tan t

plus

grande

que

le filtre

primaire

sera

plus épa,is.

Les résultats sont

consignés

au tabteau 1 et

représentés

par la

figure

3. TABLEAU 1. - Intensité du

rayonnenlent

di f fusé,

en

fonction

de

l’épaisseur

du

diffusant,

pour

différents

filtres pî-intaires.

Fig. 3. -

Rayonnement diffusé à 120- par des écrans de 50 cm

de côté en aluminium et en plomb. (Filtres primaires : zéro;

1,32 cm et 3,0 cm Pb.)

(4)

représente respectivement

24 pour

1 00,

48 pour 100 et ]

53 pour 100 du

rayonnement

Compton

suivant

l’épais-

1 seur du filtre

primaire.

]

Composition

du

rayonnement

diffusé. - On

1 voit sur la

figure

3

qu’une

courbe

qui

représente

l’in- 1

tensité en fonction de

l’épaisseur,

se confond pour les

petites épaisseurs

avec sa

tangente

initiale. On

peut

(voir

J.

Physique,

1934,

10,

515)

tirer du

rapport

entre la

tangente

initiale et la limite certaines conclu-sions

quant

à la

composition

de l’excès de diffusion du

plomb.

Mais la valeur de cette

interprétation

est

ren-due

précaire

par la

complexité

du

spectre

du rayonne-ment incident et par l’incertitude sur les valeurs des

coefficients d’affaiblissement des divers

rayonnements

dans les conditions

d’expérience.

Cette méthode ne

pourra

donc,

dans le cas d’un

rayonnement

complexe,

servir

qu’à

la vérification sommaire

d’hypothèses

ti-rées d’ailleurs. Et il est

préférable

de déterminer la

composition

du

rayonnement

diffusé par une méthode

plus

directe.

On connait la méthode habituelle

qui

permet

de déterminer la

composition

d’un

rayonnement

par

absorption.

En

l’appliquant

au

rayonnement

diffusé par un écran mince on se heurte à une difficulté

expé-rimentale : l’intensité initiale étant

trop

petite,

l’ab-sorption

ne

peut

être

poussée

que

jusqu’à

une faible

épaisseur

du filtre absorbant. Si on recourt d’autre

part

à un diffusant

épais l’absorption

du

rayonnement

diffusé à l’intérieur même du diffusant altère la compo-sition du

rayonnement

diffusé,

celui ci se trouvant

privé

d’une

plus

forte

proportion

de ses

composantes

les

plus

molles. C’est pour éluder ces inconvénients que

j’ai

eu recours à une méthode que voici.

Parmi les courbes de la

figure

3 considérons par

exemple

celle du

plomb

pour un filtre

primaire

nul. La

tangente

initiale

permet

de déterminer l’intensité totale du

rayonnement

diffusé par un écran

d’épaisseur

quel-conque pour autant que celui-ci soit « mince »,

c’est-à-dire pour autant que la

composition

ni l’intensité du

rayonnement

diffusé ne soient altérées par

absorption

daus le diffusant même.

Or il est à remarquer que

l’épaisseur

jusqu’à laquelle

un écran

peut

être considéré comme « mince »

dépend

du coefficient d’affaiblissement du

rayonnement

diffusé dans la substance de l’écran. Si le coefficient d’affai blissement est

égal

à

le

rayonnement

sera affaibli de 1 pour 1()0

après

une

épaisseur

égale

à d’autant

plus petite

par

conséquent

que lio est

plus

grand.

Autrement dit : un écran est

plus

longtemps

« mince » pour un

rayonnement

dur que pour un

rayonnement

mou. Déterminons alors une courbe

expérimentale

comme nous l’avons fait pour celles de

la

figure

3 mais en

plaçant

devant la chambre

d’ionisa-tion un

premier

filtre absorbant. Si les

points

expéri-mentaux

permettent

le tracé d’une

tangente initiale,

cette dernière donnera l’intensité du

rayonnement

dif-fusé par un écran « mince o

quelconque,

filtré cette fois par le filtre absorbant considéré,. On a

donc’

ainsi un

point

de la courbe

d’absorption

du

rayonnement

dif-fusé par un écran mince.

Un

avantage

de cette méthode est que ce

point

est bien déterminé

puisqu’il

est déduit d’un groupe de

plusieurs

observations

indépendantes.

En

augmentant

l’épaisseur

du filtre absorbant on

peut

déterminer ainsi

Fig. 4 et 5. - Intensité du

rayonnement diffusé, en fonction de l’épaisseur du diffusant, pour différents filtres d’absorption. (Filtre primaire : 3 cm de plomb Source : 7 g de radium.) les

point

successifs de la courbe

d’absorption.

Les

(5)

246

La

figure 4

se

rapporte

aux

plus

petites

épaisseurs

du filtre

d’absorption.

Les

tangentes

initiales sont bien déterminées : les

points

du

graphique

sont bien

alignés

et n’annoncent pas encore la courbure que

prendront

les courbes à de

plus

grandes épaisseurs

du radiateur. La

figure 5

se

rapporte

à de

plus grandes

épaisseurs

des filtres

d’absorption.

La méthode reste

applicable

aussi

longtemps

que les

points

expérimentaux

permettent

de déterminer la

tangente

initiale. Et son

grand avantage

résulte de

l’observation faite ci-dessus :

qu’un

écran reste

plus

longtemps

mince pour un

rayonnement

dur que pour un

rayonnement

mou. C’est ainsi par

exemple

qu’un

écran diffusant de 1 mm de

plomb

(~75.

1023

ét/em2)

absorbe une fraction

appréciable

du

rayonnement

diffusé mou, comme on

peut

le constater à la

figure

3;

mais que les

composantes

diffusées

qui

traversent l’écran absorbant de 16 mm par

exemple

varient encore

linéairement pour des diffusants

d’épaisseur

supérieure

à 1 mm, comme on

peut

le voir à la

figure

il. Ainsi l’observation du

rayonnement

diffusé

peut

être utilisée pour des écrans

plus épais.

Fig. 6. -

Absorption du rayonnement diffusé par des écrans minces (rapportés à une épaisseur de 10’5 (Source : 7 g Ra; filtres primaires : zéro; 1,35 cm et 3,0 cm Pb.)

L’interprétation

de ces courbes

appelle

aussi

quel-ques réserves. L’examen de la

figure 5

montre notam-ment que la détermination des

tangentes

initiales rela-tives aux absorbants les

plus

épais

n’est pas tout à fait

dépourvue

d’incertitude. Constatons aussi en

pas-sant que par

l’emploi

de diffusants très

épais,

on

peut

encore déterminer des

points qui

donnent l’intensité

observée,

mais

qui

ne

permettent plus

de tracer une

tangente

initiale. Ces

points

sont donc

perdus

pour

cette méthode : ils ne donnent

plus

de

renseignements

sur l’intensité du

rayonnement

diffusé par des écrans

minces. Mais ils restent encore utilisables en tant

qu’ils

se rattachent à une courbe

d’absorption

relative à uu

diffusant

épais.

Je reviendrai

plus

loin sur ce dernier

cas.

Les valeurs déduites des

tangentes initiales,

et

qui

donnent par

conséquent

les courbes

d’absorption

du

rayonnement

diffusé par un écran mince sont

portées

dans la

figure

6.

Cette

figure

contient les courbes

d’absorption

rela-tives à trois différentes

épaisseurs

du filtre

primaire.

On y voit que la

pente

finale définit un coefficient d’affaiblissement de

O,4jcrn

de

plomb.

Des mesures

précédentes

(J.

Physique,

1934,

10,

516),

qui

avaient

permis

de pousser

l’absorption

directe

jusqu’au

même

point

à peu

près,

avaient mené à une conclusion

ana-logue.

Si cette

composante

n’est pas

rigoureusement

monochromatique

il semble

cependant

certain

qu’elle

correspond

à une bande intense au delà de

laquelle

il

peut

encore exister un

rayonnement

plus

dur,

mais alors nécessairement peu abondant.

Composante

la

plus

dure du

rayonnement

dif-fusé. - Pour déterminer la

composante

la

plus

dure du

rayonnement diffusé,

considérons la

figure

7

qui

Fig. 7. -

Absorption du rayonnement diffusé par un écran de

plomb épais, à 420~. (Source, 7 g; filtre primaire, 4,35 cm Pb.) donne une courbe

d’absorption complète,

utilisant les

derniers

points

obtenus directement. On voit que

l’ab-sorption peut

être

poussée

plus

loin que par la méthode

précédente,

et que l’on décèle l’existence de compo-santes

plus

dures. Cette

figure

a été établie en

recou-rant à une

préparation

de 7 g, et

l’absorption

a été

poussée jusqu’à

68 mm de

plomb.

Il serait

illu-soire de chercher à déterminer la dureté des

(6)

admettre pour cette

pente

à peu

près n’importe quelle

valeur,

sous la seule réserve que si on se donne une

valeur de la

pente

l’intensité de la

composante ayant

cette dureté se trouve

automatiquement

fixée.

Si nous supposons que le

rayonnement

le

plus

dur

qui

existe dans le

rayonnement

diffusé ait la même

qualité

que le

rayonnement

incident on

peut

détermi-ner la

quantité

maximum d’un

rayonnement

pareil.

Des mesures effectuées dans des conditions

expérimen-tales

identiques

ont montré que

l’absorption

du rayon-nement incident donnait une

pente

de

0,21/em

Pb. Admettons que les derniers

points

de la

figure

7 soient dus à la

présence

d’une telle

composante.

On trouvera la

proportion

de celle-ci dans le

rayonnement

non

filtré en faisant passer par les derniers

points

une

droite dont la

pente

est

égale

à L’intersection de cette droite avec l’axe des ordonnées montre que le

pourcentage

d’une telle

composante

est de l’ordre de 1 pour 100 du

rayonnement

total et de 10 pour 100 de la

composante

dure considérée

précédemment.

Nous comparerons dans un travail ultérieur ce résultat au résultat

théorique

trouvé par Franz

(Z. Physik,

1935,

98, 314)

relativement au

rayonnement

diffusé sans

changement

de

longueur

d’onde.

On

peut

donc

admettre,

sans

grande

erreur, que la

composante

dure la

plus

intense du

rayonnement

dif-fusé par des écrans minces de

plomb

a une

pente

voi-sine de

0,4/cm

de

plomb.

On

peut alors,

d’après

la

figure

6,

déterminer la

proportion

de cette

composante

par

rapport

au

rayonnement

total. On trouve

qu’elle

est de

6,6

pour 100 dans le cas d’un filtre

primaire

nul.

12,3

pour 100 dans le cas d’un filtre

primaire

de

1,3~

cm de Pb

(0,347 .102;>

éljcm2).

14,4

pour 100 dans le cas d’un filtre

primaire

de 3.0 cm de Pb

(0,828.120;> él/em2).

Les conclusions que l’on

peut

tirer de ces résultats

quant

au mécanisme de

production

du

rayonnement

dur diffusé

paraîtront

ultérieurement dans un article

publié

en collaboration avec MM. Stahel et

Kipfer.

Je remercie le Fonds National de la Recherche

Scien-tifique

de l’aide

qu’il

m’a accordée au cours de l’exécu-tion de travail. Je remercie

également

M. A. Piccard de

l’hospitalité

qu’il

m’a donnée dans ses laboratoires et de l’intérêt

qu’il

a,

porté

à ce travail. Je remercie

particulièrement

M. E. Stahel de la bienveillance avec

laquelle

il n’a cessé de me conseiller dans l’exécution de ces recherches.

Note à la correction.-Dans une note de MM. Bothe et Gentner parue le 13 mars

1936,

dans les

Naturwis-senschaften se trouvent des résultats relatifs à la

diffusion du

rayonnement y provenant

d’une source de Th C". Par une méthode d’écrans

minces,

analogue

à celle

qui

est décrite ici et

qui

a

déjà

été

employée

antérieurement

(cf.

Journal de

Physique,

1933,

460, 8,

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