HAL Id: jpa-00238303
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Submitted on 1 Jan 1884
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LORD RAYLEIGH. - Acoustical observations
(Observations acoustiques); Philosophical Magazine, 5e série, t. XVII, p. 188; 1884
Ch. Claverie
To cite this version:
Ch. Claverie. LORD RAYLEIGH. - Acoustical observations (Observations acoustiques); Philosoph- ical Magazine, 5e série, t. XVII, p. 188; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.548-549.
�10.1051/jphystap:018840030054802�. �jpa-00238303�
548
On passe d’une de ces divisions à la suivante par un nombre in- défini de forrnes de vibrations
possibles, qui changent
avec lepoint
d’ébranlemeut ;
car ces vibrationspartielles
sontpossibles
pourtoute
place
dudiapason qui
necorrespond
pas à un neeLlcl ouqui
n’en est pas très voisine.
Si le
point d’attaque
n’est pas au milieu dufil,
la forme de cedernier est,
pendant
lavibration, dissymétriquie
parrapport
au milieu.1B1. Melde étudie ensuite les moyens d’entretenir le mouvement vibratoire d’une
corde,
d’uneii-iembrane,
à l’aide d’mn courantélectrique
et d’un élecuro-aimant. E. GRIPON.FR. FUCHS. 2014 Kleine Akustische Versuche (Petites expériences d’acoustique);
Annalen der Physik und Chemie, t. XXI, p. 513 ; 1884.
L’auteur
indique
un moyen faciled’analyser
les sons des voyelles.On se bouche l’une des oreilles avec un tube de caoutchouc ouvert; l’autre extrémité de ce tube aboutit à la bouche
qui
a laforme
qui
convient à laprononciation
d’unevoyelle A,
parexemple.
La seconde oreille est bouchée avec une houlette de
papier
mâché.La bouche
agit
comme unrésonnateur;
si l’on estprès
d*’unpiano,
d’unsonomètre,
et si l’on fait rendre à l’instrument la série des sonsqu’il peut produire,
en allant du grave àl’aigu,
on entendrale résonnance de certaines notes ; et l’on reconnaîtra ainsi
quels
sontles
harmoniques qui
caractérisent lavoyelle correspondant
à l’ac-commodation de la bouche. E. GRIPON.
LORD RAYLEIGH. 2014 Acoustical observations (Observations acoustiques); Philo- sophical Magazine, 5e série, t. XVII, p. 188; 1884.
Lord
Rayleigh
a fait l’examenstroboscopique
d’unjet
de fuméesortant d’un Lube de verre
effilé,
et ébranlé par levoisinage
d’undiapason.
La sensibilité du
jet
a semblé maximum pour des sons corres-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030054802
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pondant
à 256 vibrations par seconde. Les meilleurs résultats ont été obtenus endirigeant
lejet
de fumée transversalement devant l’oLmerture d’un résonnateur. Deuxdiapasons,
à peuprès
de mêmehauteur et donnant des
battements, produisaient
un effet très re-inarquable.
D’autres
expériences
ont été faites avec desjets
d’eau co-lorés avec le permanganate de potasse,
dirigés
de haut en bas dansun bassin
plein
d’eau additionné de sulfate ferreux pour détruire le permanganate, et ébranlés par undiapason
dont lepied reposait
sur la même table que les
appareils.
Les notesauxquelles
cesjets
étaient sensibles étaient
beaucoup plus
graves que pour lesjets
de fumée
(de
20 à 50 vibrations parseconde),
et l’onpouvait
lesobserver,
même sans lesprocédés stroboscopiqnes.
Cetteplus grande
sensibilité pour les sons graves était due non à la différence de densité desliquides
et des gaz, mais à la différence deviscosité,
comme cela a été vérifié en lnodifiant la viscosité de l’eau par l’action de la chaleur ou par sonmélange
avec del’alcool. CH. CLAVERIE.
P. DE HEEN. 2014 Détermination de la loi générale qui régirait la dilatabilité d’un
liquide quelconque chimiquement défini ; Bulletin de l’Académie royale de Belgique, 3e série, t. IV; 1882.
En supposant que les molécules d’un
liquide
s’attirent en raison inverse de laseptième puissance
de leurdistance,
et que le tra- vail des forces moléculairespendant
la dilatationqui correspond
à1° est une constante pour un même
liquide,
l’auteur établit la re-lation
à
laquelle
les volumes de tous lesliquides
devraient obéir. Danscette
formule, a représente
le coefficient de dilatation élémentaire à latempérature
de o’.L’auteur compare les valeurs de
dV dt
calculées par cette formule àcelles
qui
se déduisent des forlnulesempiriques
données par di-vers auteurs, en
particulier
parKopp
et Is.Pierre;
l’accord desdeux valeurs est en