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W.-H. PREECE. — The electric light (La lumière électrique) ; Philosophical Magazine, 5e série, t. VII, p. 29; 1879

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237511

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237511

Submitted on 1 Jan 1879

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W.-H. PREECE. - The electric light (La lumière électrique) ; Philosophical Magazine, 5e série, t. VII, p.

29; 1879

G. Foussereau

To cite this version:

G. Foussereau. W.-H. PREECE. - The electric light (La lumière électrique) ; Philosophical Mag- azine, 5e série, t. VII, p. 29; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.209-211.

�10.1051/jphystap:018790080020900�. �jpa-00237511�

(2)

209

W.-H. PREECE. 2014 The electric light (La lumière électrique) ; Philosophical Maga-

zine, 5e série, t. VII, p. 29; I879.

Les calculs relatifs à la chaleur

dégagée

dans les diverses por- tions d’un circuit

galvanique peuvent,

dans une certaine mesure,

nous

renseigner

sur la lumière

produite quand

la

température dépasse

une limite donnée.

D’après

les lois de Joule et

d’Ohm,

la chaleur H

dégagée

dans

un circuit

pendant

l’unité de

temps

est

représentée,

à un facteur

constant

près,

par la formule

R étant la résistance totale et E la force électromotrice.

En

désignant

par p la résistance

intérieure, par 1 la

résistance

particulière

dans

laquelle

se

produisent

les

phénomènes

à

étudier,

et par o la résistance du reste du

circuit ,

on a pour la chaleur totale

dégagée

et pour la chaleur

dégagée

dans la

portion

1

et

enfin,

en

supposant

n résistances

égales

à 1

groupées

successi-

vements en série et en

surface,

On trouve aisément que ces

expressions

deviennent maxima

quand

la résistance considérée nl

ou l n

est

égale

à celle du reste

du circuit. Dans le

premier

cas, on

peut,

pour une valeur de n assez

grande, négliger

p -I- r par

rapport

à

iil,

ce

qui

donne

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080020900

(3)

2I0

Dans le second cas, au

contraire, l n

devient

négligeable

par

rapport à 03C1+r,

et l’on a

Dans l’un eu l’autre cas, la

quantité

totale de chaleur utilisée est en raison inverse du nombre des résistances 1

introduites,

et la

quantité

de chaleur

produite

dans

chaque

résistance est en raison inverse du carré de ce même nombre.

D’autre

part,

la lumière émise doit décroître

plus

vite que la chaleur

produite, puisque

au-dessous d’une certaine

température

la chaleur n’est

plus accompagnée

de lumière. La masse à échauffer

est

proportionnelle

au nombre des

foyers.

Son accroissement abaisse la

température,

et par suite diminue la lumière fournie par

une

quantité

de chaleur donnée. En outre, s’il

s’agit

de l’arc élec-

trique,

la

multiplication

des

bougies

donnera lieu à un

transport

plus

abondant de

parcelles

de

charbon,

ce

qui

constitue une dé-

pense de travail

étrangère

à la chaleur

produite.

La diminution de lumière sera donc

plus rapide

que ne

l’indique

la loi

précédente.

Si le courant est

produit

par un

appareil magnéto

ou

dynamo- électrique

mu par une machine à vapeur, la

quantité qui

reste con-

stante n’est

plus

la force électromotrice

E,

mais le travail total

produit

dans l’unité de

temps.

On a, suivant que les résistances

sont en série ou en

surface,

en

désignant

par W la chaleur totale

produite

dans le

circuit,

ou, en faisant les

approximations déjà indiquées,

A mesure que le courant sera distribué à un

plus grand

nombre

de

foyers, il y

aura

perte

de lumière dans le

premier

cas, par suite de l’abaissement de

température ,

comme nous l’avons vu

plus

haut,

bien que la

quantité

de chaleur demeure constante. Dans le

(4)

2II

second cas, la diminution de lumière sera

plus rapide

que ne l’in-

dique

la formule.

D’ailleurs,

la chaleur W n’est constante que si la machine a

atteint sa vitesse de rotation maxima. Cette limite est obtenue

avec six

foyers

lumineux pour la machine Wallace et avec

cinq bougies

Jablochkoff pour la machine Gramme. L’auteur conclut à

l’impossibilité

de la subdivision indéfinie de la lumière

électrique,

au moins avec les machines actuellement

employées.

G. FOUSSEREAU.

THOMAS GRAY.2014 On the experimental determination of magnetic moments in ab-

solute measure. (Détermination de moments magnétiques en valeur absolue) ; Phil.

Magazine, 5e série, t. VI, p. 32I ; I878.

Le but du travail de l’auteur est de

rechercher,

d’une

part,

comment la

trempe

de l’acier influe sur son

aimantation,

de

l’autre,

si les barreaux aimantes abandonnés à eux-mêmes con- servent leur état

magnétique.

Toutes les mesures sont faites en

-

prenant

pour unités fon damentales le

centimètre,

le gramme e t la seconde.

Les

expériences

ont

porté

sur des barreaux d’acier de 5"- de

long,

extraits d’un même fil de

ocm,

097 de diamètre

pesant 5gr,

77

par mètre.

Ces

barreaux, placés

dans un vase de fer à

parois minces,

furent

portés

au rouge

vif, puis plongés brusquement

dans l’eau

à I5°. Pour les

recuire, après

les avoir

partagés

en faisceaux de

cinq,

on les

plaçait

dans un bain d’huile et on retirait un faisceau

aux

températures

suivantes :

100°,

I50°,

200°,

250°, 260°, 270°, 280°,

300°;

chaque

faisceau était abandonné dans l’air à un refroidissement len t.

On aimantait une

première

fois

chaque

barreau en le

plaçant

à l’intérieur d’une hélice

composée

de I60 tours, traversée par le

courant d’une

pile

de 1 o éléments

Daniell,

modèle W.

Thomson;

l’intensité du courant était

I

I,065 et la force

magnétisante 377.

Une

seconde aimantation

pouvait

être

communiquée

à l’aide d’une

seconde

hélice,

dont la force

magnétisante

était i ioo. On déter-

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