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J.-W. DRAPER. - On a new form of spectrometer and on the distribution of light in the spectrum (Forme nouvelle de spectromètre et distribution de la lumière dans le spectre); Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 75; juillet 1879

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HAL Id: jpa-00237730

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237730

Submitted on 1 Jan 1880

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J.-W. DRAPER. - On a new form of spectrometer and on the distribution of light in the spectrum (Forme nouvelle de spectromètre et distribution de la lumière dans le spectre); Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 75;

juillet 1879

J. Macé

To cite this version:

J. Macé. J.-W. DRAPER. - On a new form of spectrometer and on the distribution of light in the spectrum (Forme nouvelle de spectromètre et distribution de la lumière dans le spectre); Phil.

Magazine, 5e série, t. VIII, p. 75; juillet 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.70-71.

�10.1051/jphystap:01880009007001�. �jpa-00237730�

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70

G.-F. FITZGERALD. 2014 On the tension of vapours near curved surfaces of their li-

quids (Tension maxima des vapeurs au voisinage d’une surface liquide courbe);

Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 382; I879.

On sait que sir W. Thomson a démontré que la tension maxi-

mum d’une vapeur est fonction de la courbure de la surface.

M.

Fitzgerald

retrouve la formule de sir W. Thomson en

s’ap-

puyant

sur la théorie moléculaire des gaz. La tension de la vapeur

dépend

du nombre des molécules

qui, partant

d’une

petite

pro- fondeur au-dessous de la

surface,

réussissent à traverser cette

épais-

seur

pendant

un

temps

donné.

Or,

le chemin moyen à

parcourir

dans le

liquide

est

plus grand quand

la surface est concave; le nombre des molécules émises est

donc moindre et la tension

plus

faible que si la surface est

plane

ou convexe. Le calcul de l’influence de la courbure est

exprimé

par un terme additif

proportionnel

à la

courbure,

ainsi que l’avait

indiqué

le raisonnement de sir W. Thomson.

Ainsi que le fait remarquer M.

Fitzgerald,

ce calcul

n’indique

pas, comme le raisonnement que nous

rappelons,

que ce terme additif est en même

temps proportionnel

à la constante

capillaire.

G. LIPPMANN.

J.-W. DRAPER. - On a new form of spectrometer and on the distribution of light

in the spectrum (Forme nouvelle de spectromètre et distribution de la lumière dans le spectre); Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 75; juillet I879.

M. W.

Draper projette

sur un

spectre

de la lumière

blanche,

dont il

peut

faire varier à volonté l’intensité par les

procédés

ordi-

naires de

photomëtrie.

Il admet que la

quan tité

de lumière inco- lore nécessaire pour faire

disparaître

une des teintes du

spectre

mesure l’intensité de cette couleur.

10

Opérant

sur un

spectre prismatique,

il trouve que la lumière

croît

régulièrement

du violet

jusqu’au

rouge ; le

jaune,

en

parti- culier, disparaît

avant le rouge

(et

même avant le vert,

d’après

des

remarques incidentes de

l’auteur).

Dans le

spectre

des

réseaux,

toutes les couleurs

disparaissent

à la fois

(le

rouge,

toutefois,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01880009007001

(3)

7I

semble

persister

un

peu),

d’où il conclut que dans un

spectre

normal la distribution de la lumière est

uniforme,

comme l’est

celle de la

chaleur, d’après

ses recherches antérieures.

Ces conclusions seraient fort

curieuses,

si elles ne

paraissaient

malheureusement peu

justifiée.

Mais

gràce

à

l’appareil

que

j’ai

construit en collaboration avec

M. Nicati

(1),

nous sommes en droit d’affirmer que dans le

spectre

prismatique

dont nous nous servons le maximuln est bien dans la

région

du

jaune

et que la lumière décroît à

partir

de ce

point

dans les deux directions.

(Le voisinage

de la raie C est

vingt fois,

celui de la raie F soixante-dix fois moins intense que le

maximum

Dans le

spectre normal,

ces différences d’intensité ne feraient que .s’accentuer dans le rouge et dans le bleu resteraient encore

du même ordre de

grandeur.

J. MACÉ.

POPE. - Télégraphie électro-musicale (Journal of the american electrical Society,

vol. Il, 3, p. 3. )

L’auteur fait

l’historique

sommaire des essais tentés pour trans-

mettre

électriquement

les sons à distance. On sait que les

premiers

furent faits en 1861 par

Philippe

Reis

(2).

Elisha

Gray (3) (1874)

utilisant les observations de

Page,

de

la Rive et Wertheim sur les sons

galvaniques,

se proposa de

transmettre

plusieurs

sons à la fois.

Le

problème

de la transmission de la

parole

n’a été résolu que par Alexandre Graham Bell

(4).

Dans les

premiers téléphones

il

employait

des électro-aimants

et des membranes

élastiques portant

en leur centre un

petit

dis-

que d’acier. C’est le

professeur

A.-E. Dolbear

(5) qui,

le

premier,

Voir Comptes rendus des séances de l’,4cadéinie des Sciences, t. LXXXIX, p. 716,

octobre 1879.

(2) Dingler’s Polytechnic Journal, vol. CXVIII, p. 185.

(3) Journal of the am. elect. Soc., vol. l, p. 13.

(4) Proc. of am. Acad. of Arts a.,id Sciences, vo1. XII, p. 1.

(5) The Telephone, p. i i g.

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