HAL Id: jpa-00237554
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Submitted on 1 Jan 1879
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W. CHANDLER ROBERTS. - Note on the examination of certain alloys by the aid of the induction-balance
(Note sur l’étude de certains alliages à l’aide de la balance d’induction); Phil. Magazine, 5e série, t. VIII,
p. 57; 1879
G. Foussereau
To cite this version:
G. Foussereau. W. CHANDLER ROBERTS. - Note on the examination of certain alloys by the aid of the induction-balance (Note sur l’étude de certains alliages à l’aide de la balance d’induction);
Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 57; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.355-356.
�10.1051/jphystap:018790080035501�. �jpa-00237554�
355
En
résumé,
la balance d’induction permet d’observer tous leschangements
moléculairesproduits
dans les métaux par diversesforces,
telles que lachaleur, l’électricité,
lemagnétisme,
latension,
la
torsion,
lapression.
G. FOUSSEREAU.W. CHANDLER ROBERTS. - Note on the examination of certain alloys by the aid of the induction-balance (Note sur l’étude de certains alliages à l’aide de la ba- lance d’induction); Phil. Magazine, 5e série, t. VIII, p. 57; I879.
M. Roberts a étudié différents
alliages
avec la balance d’induc- tion. Il acomparé
ses résultats avec ceux que M. Mathiessen aobtenus relativement à la conductibilité
électrique
desalliages
etqu’il
apris
pour base d’une classification. Lesalliages
malléablesont amenés à l’état de
pièces
de0m,024
de diamètre et deo"Booi3
d’épaisseur.
Pour lesalliages
d’étain et decuivre, qui
ne sont pastous
malléables,
on a dûadopter
des dimensions différentes.Gomme type du
premier
groupe deMathiessen,
l’auteur étudie lesalliages
deplomb
et d’étain. L’action inductrice croît d’unefaçon
sensiblementrégulière
duplomb
à l’étain.Comme
exemple
du second groupe, on a choisi lesalliages
d’oret
d’argent.
La courbe des résultats passe nettement par un mini-mum pour
l’alliage
contenant35,5
pour 10od’argent
etqui
cor-respond
à la formuleAuAg (AU2Ag d’après
la notation laplus
usitée en
France).
Dans ces deux cas, l’accord avec la courbe desconductibilités est satisfaisant.
Les
alliages
de cuivre et d’étain ont étépris
pour type du troi- sième groupe. Leurs différences de couleur et de cassure faisaientprévoir
un résultat assezcomplexe.
Eneiet,
en partant du cuivre pur, la courbeprésente
un minimumcorrespondant
à la formuleSn
Cu4, puis
un maximum pour Sn Cu3 et un nouveau minimum moinsmarqué
pour Sn Cu2.D’après
les recherches de M. Richesur les densités de ces
alliages,
les deuxpremières
formules aumoins
paraissent correspondre
à des combinaisons définies. L’ac- cord avec la courbe des conductibilités n’est pas aussicomplet
que dans les cas
précédents,
cequi
tient vraisemblablement à la difficulté d’obtenir desalliages
bienhomogènes
de toute compo- sition.Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080035501
356
La délicatesse de cette inéthode de recherches
paraît
destinée àrendre
quelques
services à l’industriemétallurgique.
M. Roberts aétudié avec une attenti on
particuli ère
lesalliages d’argent
et d’orcontenant de o à 5 pour I00 de ce dernier métal. Il trouve que le
procédé
peutsignaler
des différences très-faibles dans leur compo- sitions, pourvuqu’il n’y
entre aucun autre métal.G. FOUSSEREAU.
W.-A. AYRTON ET J. PERRY. 2014 A new theory of terrestrial magnetism (Nouvelle explication du magnétisme terrestre); Phil. Magazine, juin I879.
. On sait que M. A. Rowland a montré par
l’expérience
que lemouvement d’un corps électrisé
agit
à distance surF aiguille
ai-mantée comme le ferait un courant
électrique.
Les auteursexpli-- quentle magnétisme
terrestre par une action de ce genre : la Terre serai tchargée d’électricité,
et elleagirait
surl’aiguille
aimantée envertu de son mouvement de rotation
diurne;
Faction dechaque point
de la surface terrestre surl’aiguille
serait due à la vitesse re-lative de ce
point
parrapport à l’aiguil1e. Puisqu’on
connaît lagrandeur
de la forcemagnétique
terrestre, on peut calculer lacharge électrique qu’il
faut attribuer à la Terre et lepotentiel
cor-respondant.
Lepoten tiel
estégal, d’après
le calcul des auteurs, à la différence despotentiels qui
existent auxpôles
d’unepile
dea’4
millions d’éléments Daniell. Cette tension seraitcapable
dedonner dans l’air une étincelle de
40oPi
delong.
G. LIPPMANN.
F. AUERBACH. 2014 On the passage of the galvanic current through iron (Sur le pas- sage du courant galvanique à travers le fer); Philosophical Magazine, 5e série, t. VIII, p. I; I879.
Les divers
physiciens qui
se sontoccupes
du passage des cou-rants